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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 4 novembre 2022

Mon nouveau cardio n’est pas très optimiste

En revanche, Jean-Marc compense…
 
Une religieuse meurt dans un accident.
Arrivée devant St-Pierre, ce dernier lui dit : Sœur Madeleine, c’est une erreur vous ne deviez pas mourir tout de suite. On vous renvoie sur terre, mais vous devez me téléphoner chaque semaine pour me dire ce que vous faites.
Marché conclu ! La première semaine la religieuse téléphone à St-Pierre :
« Allo St-Pierre, c’est sœur Madeleine. Je suis en bavière, je bois de la bière et j’en suis bien fière. »
La deuxième semaine :
« Allo Pierre ! C’est Madeleine, je suis en Italie, je mange du ravioli et j’en suis ravie. »
La troisième semaine :
« Allo Pierrot ! C’est Mado ! Je suis à Honolulu, j’ai goûté au cul, tu me r’verras plus ! »
 
« Quel est le comble de la frustration pour un manchot » demande Jean-Paul à Jean-Marc à l’occasion d’une tournée de bière ?
« Tout le mon sait que c’est d’avoir le cul qui pique alors qu’il est accroché par la main au bord d’une falaise »
 
Ils « philosophent » ensuite tous les deux :
« ― La femme est un sujet sur lequel l’homme aime s’étendre. C’est une définition philosophique.
― Plus que ça ! En zoologique, la femme est un animal sans poil dont la peau est très recherchée.
― Et la géométrique c’est la femme est un ensemble de courbes qui fait lever une ligne droite !
― Quant à la géographique, la femme est comme le globe terrestre : Entre 15 et 25 ans, elle est comme l’Afrique ; chaude, à moitié vierge et à moitié inexplorée.
Entre 25 et 35 ans, elle est comme l’Asie ; Exotique et mystérieuse.
Entre 35 et 45 ans, elle est comme l’Amérique ; déjà bien connue, mais encore belle et pleine de ressources.
Entre 45 et 55 ans, elle est comme l’Europe ; traversée de long en large, et fatiguée, mais vous pouvez encore trouver des endroits intéressants.
Entre 55 et 65 ans, elle est comme l’Australie ; tout le monde sait où elle se trouve mais personne ne pense réellement à y aller. »
 
« ― Oh regarde papa une étoile filante ! » s’écrie la petite Marie-Léa.
« ― J’espère que tu as eu le temps de faire un vœu.
― Oui, j’espère qu’il se réalisera, sinon j’aurai 0/20 en géographie !
― Ah bon ? C’était quoi, ton vœu ?
― Que Londres devienne la capitale de l’Italie, avant que le prof corrige les copies. »
 
Un couple, très riche, est assis dans le salon.
La femme ferme la Bible qu’elle vient de feuilleter.
« ― Tu te rends comptes, Georges, que Dieu a créé le monde en six jours.
― En effet, Bernadette, c’est incroyable.
Aujourd’hui, avec les syndicats, ça lui prendrait au moins six mois.
C’est l’enfer ! »
 
Au bar du grand bateau de croisière, Jean-Paul demande tout à coup à l’éblouissante rousse assise à côté de lui.
« Supposons que le bateau fasse naufrage et qu’il faille attendre trois mois sur une île déserte avant l’arrivée des secours, qu’apporteras-tu comme lecture ? »
Elle n’hésite pas une seconde :
« Le plus tatoué des marins du bateau ! 
 
Jean-Marc et Jean-Paul, (de retour sur Terre), attablés une nouvelle bière :
« ― Sais-tu pourquoi on repêche très peu de survivants dans les crashs d’avion en mer ?
― À cause des quotas de pêche, non ? »
 
Jean-Marc débarque à Paris.
Il se balade dans les rues sans savoir où il va.
Au cours de sa promenade, guidé par un sixième sens acéré, il se retrouve par hasard rue St Denis.
Là, une personne du beau sexe, légèrement vêtue pour la saison, l’accoste et lui dit :
« Alors mon tout beau, on fait l’amour ? »
Pas follement emballé, il répond tout de même :
« ― Euh, ça peut s’envisager. Mais je ne pense pas qu’ici on puisse me faire ce qu’on me fait chez moi.
― Il n’y a pas de problème avec moi. Je suis une véritable pro. Tu ne seras pas déçu.
― Oui, peut-être. Mais je ne pense pas que tu puisses me faire ce qu’on me fait chez moi.
― Je n’ai aucun interdit. Je suis une très bonne spécialiste. Tu risques même d’être surpris.
― Euh certainement, mais je ne pense pas que tu puisses me faire ce qu’on me fait chez moi.
― Ah oui… Et qu’est-ce qu’on te fait chez toi de si fabuleux ?
― On me fait crédit… »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, à l’heure de l’apéritif : « Une journée sans orgasme est une journée de perdue.
Et les jours ne reviennent pas.
Pas plus que les nuits a dit le sage. »
 
« ― Tu connais la différence fondamentale entre un avocat et une roue qui crie ?
― Euh non ?
― La roue qui crie, plus tu la graisses moins elle crie. L’avocat plus tu le graisses plus il crie »
 
Les mêmes :
« ― Comment reconnaître deux gays dans une forêt ?
― Facile : Il y en a un qui est un peuplier et l’autre lui fait le bouleau. »
 
« ― Comment on dit « culotte » en allemand ?
― Je n’en sais rien, j’ai fait espagnol en première langue.
― Kamoufle-latouf. »
 
Un peu de science :
Analyse physico-chimique. ÉLÉMENT : Homme
SYMBOLE : H
ANALYSE QUANTITATIVE : Mesure 17 cm bien que quelques isotopes existent en 25, 20, 13 et même 10 cm.
DÉCOUVREUR : Ève (découvert par accident un jour ou elle avait envie de côtelettes)
LIEU D’EXTRACTION : Se trouve en grandes quantités en présence d’un gisement de F très pur.
PROPRIÉTÉS PHYSIQUES :
a) Surface souvent recouverte de poils, raides par endroits, doux dans d’autres.
b) Bout quand on l’agite, se glace quand on le met en présence de la logique et du bon sens, se liquéfie quand on le traite comme un dieu.
c) Devient exécrable lorsqu’on le mélange à n’importe quel alcool.
d) Peut être la cause de maux de tête (ou des maux d’autres parties du corps) ; à manipuler avec précaution.
e) Diminue son entropie directement après sa réaction avec l’élément F (état se manifestant par des ronflements… zzzzz).
f) Augmente sa masse considérablement en vieillissant, perd de ses capacités réactionnelles.
g) Se déshydrate rapidement par temps sec.
h) Rarement trouvé à l’état pur après 14 ans.
i) Possède souvent un attachement inexplicable à sa roche mère, rendant l’extraction difficile…
j) Si on le met sous pression, devient trop dur et improductif ; n’est productif que si l’on utilise la subtilité, les subterfuges, et la flatterie.
PROPRIÉTÉS CHIMIQUES :
a) Tendance très forte à réagir avec l’élément F, même si la réaction est parfois endothermique.
b) Réputé être le meilleur catalyseur pour les réactions de transformation de l’élément F…
c) Possède la faculté d’entrer en réaction avec à peu près n’importe quoi.
d) En cas de réaction importante, l’aspect de l’élément change pour virer au rouge cramoisi.
e) Si il est saturé en alcool, il devient inerte et repoussant pour la plupart des éléments.
f) Ne convient pas pour les tâches ménagères et les opérations de nettoyage.
g) Ne convient pas non plus pour les tâches familiales.
h) Est neutre en ce qui concerne la courtoisie et l’impartialité.
USAGES COURANTS :
a) Transport de choses lourdes, chauffeur, dîners gratuits au restaurant…
b) Usage possible pour les activités sexuelles.
 
TESTS :
Les spécimens les plus purs ne sont pas synonymes de pureté, et ceux qui ont déjà servi, encore moins.
DANGERS :
La réaction avec un autre élément H est extrêmement violente si l’élément F est le catalyseur.
 
Analyse physico-chimique. ÉLÉMENT : Femme
SYMBOLE : Fm
MASSE ATOMIQUE : Poids moyen environ 59 kg. Peut varier de 40 à 250 selon l’âge.
DÉCOUVREUR : Adam
PROPRIÉTÉS PHYSIQUES :
a) Surface généralement recouverte d’une couche colorée.
b) Point d’ébullition très bas, surtout au printemps.
c) Peut refroidir très très vite.
d) Fond facilement quand elle est bien traitée.
e) Devient amère quand elle est mal traitée.
f) Plusieurs variétés existent, du métal vierge à la raclure.
g) Émission de sons en cas de pressions à certains endroits stratégiques.
h) Processus de sublimation très difficile à mettre en œuvre.
g) Barycentre (point G) parfois inexistant.
PROPRIÉTÉS CHIMIQUES :
a) Très grande affinité avec l’or, l’argent, le platine et les pierres précieuses.
b) Absorbe facilement de grandes quantités de substances hors de prix.
c) Peut exploser subitement sans avertissement préalable et sans raison connue.
d) Insoluble dans les liquides mais l’activité est fortement augmentée par une solution saturée en alcool.
e) Plus puissant agent connu dans les processus d’argento-réduction.
USAGES COURANTS :
a) Très ornementale, surtout dans un coupé sport.
b) Peut être très relaxante par moment.
c) Peut apporter une aide déterminante pour beurrer les tartines du bon côté.
TESTS :
a) Les spécimens les plus purs rougissent lorsqu’ils sont découverts au naturel.
b) Tourne au vert en face d’un plus beau spécimen.
DANGERS :
a) Fatale, sauf entre des mains expérimentées.
b) Il est illégal d’en posséder plus d’une.
 
C’était après deux ans de mariage, Germaine demanda à son mari…
« ― Chéri, depuis que nous sommes mariés, est-ce que tu m’aimes autant ?
― Plus ! » répond Jean-Marc
« ― Oui… comment ça ?
― J’ai toujours aimé les femmes mariées. »
 
Germaine et Marie-Chantal à la terrasse d’un café devant leurs tasses de thé.
« ― J’aimerais bien savoir qui est le monsieur qui me regarde sans cesse.
– Un antiquaire… »
 
Après 20 ans, Jean-Marc, Jean-Charles et Jean-François, trois copains, se retrouvent.
L’une deux dit : « Ma femme a une taille de guêpe et tous les soirs, je la pique, je la pique… »
Le deuxième affirme : « Moi, ma femme a une taille de sauterelle, et tous les soirs, je la saute, je la saute… »
Le dernier certifie que : « Moi, ma femme a une taille d’éléphant, et tous les soirs, je la trompe, je la trompe… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, à l’heure du digestif :
« ― Sais-tu pourquoi les paysannes ne portent pas de culottes l’été ?
― Aucune idée ! Comment sais-tu ça ?
― Pour ne pas avoir de mouches sur la figure !
― Ah c’est le motard heureux alors…
― Oui, il a des mouches collées entre les dents ! »
 
Un homme de 75 ans va voir son médecin pour une analyse de spermatozoïdes.
Son médecin lui donne un petit bocal et lui dit de revenir le lendemain pour l’analyse.
Le lendemain, le vieux apporte un bocal vide et tout propre.
Le médecin lui demande pourquoi.
« Eh bien voilà, j’ai essayé avec la main droite, sans succès. Avec la main gauche, rien non plus, alors j’ai demandé à ma femme de m’aider.
Elle a essayé avec la main droite puis la gauche, toujours rien.
Ensuite elle a essayé avec la bouche, avec ses dents, sans les dents, toujours sans succès.
Alors, on a demandé à la voisine qui a essayé avec la main droite, la gauche, avec sa bouche, avec ses dents, sans ses dents… »
Le médecin l’interrompt :
« – Vous avez même demandé l’aide de la voisine ?
– Eh oui, docteur, vous voyez, on a tout essayé et on n’a toujours pas pu ouvrir ce flacon ! »
 
« ― Pourquoi Bill Clinton portait-il des boxer en flanelle ?
― Pour ne pas prendre froid aux chevilles, voyons ! »
 
« ― Mon cher ami, nous avons dans notre famille un homme de lettres.
― Ah oui ? un académicien ?
― Non, un facteur ! »
 
Un couple de personnes âgées se chauffait près du poêle pendant les grands froids d’hiver (sobriété et transition écologique obligent).
Soudain pour une raison inconnue, une violente explosion se produit et les deux vieux se retrouvent dehors sur le banc de neige.
Le vieux se met à rire, incapable de se contrôler.
La vielle lui demande ce qu’il a à rire comme ça.
Après avoir réussi à se calmer, le vieux répond :
« Voyons ma veille, as-tu réalisé que ça fait 50 ans que nous sommes mariés et c’est la première fois que nous sortons ensemble ! »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
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