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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 2 novembre 2022

Petit cours d’Histoire contemporaine

D’où nous vient l’idée du « Grand-reset » ?
 
La fameuse « Grande Réinitialisation » est-elle née dans la seule cervelle de Klaus Schwab patron du « Forum de Davos », d’après vous ?
Il se trouve que son programme de la « Quatrième Révolution industrielle » n’est pas forcément le sien, pas plus que sa prétention à avoir inventé la notion de « capitalisme des parties prenantes ».
Klaus Schwab n’est guère plus qu’un agent de relations publiques habile pour un programme technocratique mondial, une unité corporatiste du pouvoir des entreprises avec le gouvernement, incluant l’ONU, un programme dont les origines remontent au début des années 1970, post-soixante-huitards, et même avant, et partiellement concrétisé dans « l’Agenda 2030 ».
En réalité, il me semble que la « Grande Réinitialisation » de Davos n’est jamais qu’un plan actualisé d’une dictature dystopique mondiale, une fiction utopique, sous le contrôle de l’ONU, dont l’élaboration remonte à plusieurs décennies.
Vous n’étiez pas nés, (moâ si et je me souviens encore), mais les acteurs clés seraient probablement David Rockefeller et son protégé, Maurice Strong.
 
Rappelez-vous, qu’au début des années 1970, il n’y avait sans doute personne de plus influent dans la politique mondiale que feu David Rockefeller, alors surtout connu comme président de la Chase Manhattan Bank.
À la fin des années 1960 et au début des années 1970, les cercles internationaux directement liés à David Rockefeller ont lancé un éventail éblouissant d’organisations d’élite et de groupes de réflexion.
Parmi ces organisations, citons le « Club de Rome », le « 1001 : A Nature Trust », lié au « World Wildlife Fund » (WWF), la « conférence de Stockholm » des Nations unies sur la « Journée de la Terre », l’étude du MIT intitulée « Limits to Growth » et la vieille « Commission trilatérale », une organisation privée créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du « groupe Bilderberg » et du « Council on Foreign Relations », parmi lesquels David mais aussi Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski, Carter, etc.
Son but est de promouvoir et construire une coopération politique et économique entre ces trois zones clés du monde, pôles de la Triade (USA, Europe, Japon).
À l’instar du groupe Bilderberg, il s’agit d’un groupe partisan du mondialisme, auquel certains attribuent, au moins en partie, l’orchestration de la mondialisation économique.
 
En effet, dès 1968, David Rockefeller a fondé un groupe de réflexion néo-malthusien, le « Club de Rome », avec Aurelio Peccei et Alexander King.
Aurelio Peccei, était un cadre supérieur de la société automobile Fiat, propriété de la puissante famille « Ritalienne » Agnelli.
Gianni Agnelli de Fiat était un ami intime de David Rockefeller et un membre du comité consultatif international de la Chase Manhattan Bank de Rockefeller.
Agnelli et David Rockefeller étaient proches depuis 1957.
Agnelli est devenu un membre administrateur de la « Commission trilatérale » de David Rockefeller en 1973.
Quant à Alexander King, chef du programme scientifique de l’OCDE, il était également consultant auprès de l’OTAN.
C’était le début de ce qui allait devenir le mouvement néo-malthusien « des gens polluent » qui « puent la clope et le diesel » pour reprendre une approche « proto-jupitérienne »… puisque bien des choses sont liées.
 
En 1971, le « Club de Rome » a publié son fameux rapport, finalement profondément erroné, « Limits to Growth » (Les limites de la croissance), qui prédisait la fin de la civilisation telle que nous la connaissions en raison de la croissance rapide de la population, associée à des ressources fixes comme le pétrole. Et c’était à courte échéance… en trois ou quatre générations tout au plus !
Le rapport concluait que sans changements substantiels dans la consommation des ressources, « le résultat le plus probable sera un déclin plutôt soudain et incontrôlable à la fois de la population et de la capacité industrielle ».
Je m’en souviens et ça a été un « choc » à une époque de croissance soutenue de la fin des « trente glorieuses ».
Il s’appuyait sur des simulations informatiques réalisées par un groupe d’informaticiens du MIT. Il énonçait une prédiction audacieuse : « Si les tendances actuelles de croissance de la population mondiale, de l’industrialisation, de la pollution, de la production alimentaire et de l’épuisement des ressources se poursuivent sans changement, les limites de la croissance sur cette planète seront atteintes au cours des cent prochaines années ».
On y est toujours… et « Élan Must » veut migrer sur Mars…
C’était en 1971.
En 1973, Klaus Schwab, lors de sa troisième réunion annuelle des chefs d’entreprise à Davos, a invité Peccei pour présenter « Limits to Growth » aux chefs d’entreprise réunis.
 
En 1974, le même « Club de Rome » aura déclaré avec audace : « La Terre a un cancer et le cancer, c’est l’homme ».
Fallait oser, effectivement.
Puis : « Le monde est confronté à un ensemble sans précédent de problèmes mondiaux interdépendants, tels que la surpopulation, les pénuries alimentaires, l’épuisement des ressources non renouvelables (pétrole et matières-premières), la dégradation de l’environnement et la mauvaise gouvernance ».
Ils ont alors fait valoir qu’« une restructuration « horizontale » du système mondial est nécessaire… des changements radicaux dans la strate normative ― c’est-à-dire dans le système de valeurs et les objectifs de l’homme ― sont nécessaires pour résoudre les crises énergétique, alimentaire et autres, c’est-à-dire que des changements sociaux et des changements dans les attitudes individuelles sont nécessaires pour que la transition vers une croissance organique ait lieu. »
 
Dans ce rapport de 1974, « Mankind at the Turning Point » (L’humanité à la croisée des chemins), le « Club de Rome » affirmait en outre que « l’interdépendance croissante entre les nations et les régions doit alors se traduire par une diminution de l’indépendance. Les nations ne peuvent être interdépendantes sans que chacune d’elles ne renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins n’en reconnaisse les limites.
Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial fondé sur une répartition mondiale de toutes les ressources finies et un nouveau système économique mondial. »
Telle était d’ailleurs la formulation initiale de l’« Agenda 21 » de l’ONU, repris pour l’« Agenda 2030 » et par la « Grande Réinitialisation » de Davos en 2020.
C’était avant la révolution de l’informatique et 20 ans avant l’avènement d’Internet que personne n’avait anticipé, hors peut-être JJSS (Jean-Jacques Servan-Schreiber), notre ministre des réformes (le premier) pour être le « réformateur » de « Giskar-A-la-Barre » sous « Le Chi », et l’Europe se comptait à six.
JJSS n’a d’ailleurs pas fait long-feu au gouvernement : Il voulait abolir la dissuasion nucléaire et redessiner l’aile de l’Airbus A 300.
Or, Airbus vole bien avec son aile « non-réformée » et on s’aperçoit aujourd’hui qu’un pays qui ne peut pas « sanctuariser » son territoire sous un parapluie nucléaire peut être envahi par ses voisins : Demandez donc aux Ukrainiens.
Passons…
 
L’organisateur de loin le plus influent du programme de « croissance zéro » de Rockefeller au début des années 1970 était son ami de longue date, un pétrolier milliardaire canadien, nommé Maurice Strong.
Celui-ci a été l’un des principaux propagateurs de la théorie scientifiquement selon laquelle les émissions de CO2 d’origine humaine provenant des véhicules de transport, des centrales au charbon et de l’agriculture sont à l’origine d’une hausse spectaculaire et accélérée de la température mondiale qui menace la planète, ce que l’on appelle le réchauffement climatique.
Pourtant, on apprend jusque dans les caves des « pinardiers » dans les vignobles que le CO2 est plus lourd que l’air, est refoulé dans les coins obscurs des cuves de vinification et que c’est un poison pour l’homme à haute dose et non pas à l’état de trace dans l’air qu’on respire.
Peu importe…
En tant que président de la « conférence de Stockholm » des Nations unies organisée en 1972 à l’occasion de la Journée de la Terre, Strong a promu un programme de réduction de la population et d’abaissement du niveau de vie dans le monde entier afin de « sauver l’environnement ».
Il ainsi a énoncé son programme écologiste radical : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité de provoquer cela ? »
C’est ce qui se passe actuellement sous le couvert d’une pandémie mondiale hyper médiatisée : Un « grand effondrement » !
 
Strong était un choix curieux pour diriger une initiative majeure de l’ONU visant à mobiliser l’action sur l’environnement, car sa carrière et sa fortune considérable s’étaient construites sur l’exploitation du pétrole, comme un nombre inhabituel des nouveaux défenseurs de la « pureté écologique », tels que David Rockefeller ou Robert O. Anderson de l’Aspen Institute ou John Loudon de Shell.
On n’est plus à un paradoxe près : C’est comme si le cartel des drogues vous prévenez qu’il vous vent de la merde.
Strong avait rencontré David Rockefeller en 1947 alors qu’il était un jeune Canadien de dix-huit ans ayant abandonné ses études secondaires et, à partir de ce moment-là, sa carrière est devenue liée au réseau de la famille Rockefeller.
Grâce à sa nouvelle amitié avec David, Strong, à l’âge de 18 ans, se voit confier un poste clé aux Nations Unies sous la direction du trésorier de l’ONU, Noah Monod.
Les fonds de l’ONU sont gérés de manière assez pratique par la Chase Bank de Rockefeller. C’était un exemple typique du modèle de « partenariat public-privé » que Strong allait déployer ― le gain privé sur les fonds publics d’un gouvernement.
Une façon pratique comme une autre de faire une fortune privée sur le dos du denier public…
Dans les années 1960, Strong était devenu président de l’énorme conglomérat énergétique et compagnie pétrolière de Montréal plus connu sous le nom de Power Corporation, alors propriété de l’influent Paul Desmarais. Power Corporation aurait également été utilisée comme caisse noire politique pour financer les campagnes de certains politiciens canadiens tels que Pierre Trudeau, le père de Justin Trudeau, le protégé de Davos, selon certaines sources, mais c’est une autre histoire…
 
En 1971, Strong est donc nommé sous-secrétaire des Nations Unies à New York et secrétaire général de la conférence du Jour de la Terre, la Conférence des Nations Unies sur l’environnement humain (Sommet de la Terre I), qui se tiendra à Stockholm, en Suède.
Cette année-là, il est également nommé administrateur de la Fondation Rockefeller, qui finance le lancement du projet de Journée de la Terre à Stockholm. À Stockholm, le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) est créé avec Strong à sa tête.
 
Bien plus tard, en 1989, Strong est nommé par le secrétaire général des Nations Unies à la tête de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1992 ou CNUED (« Sommet de la Terre de Rio II »). Il y a supervisé la rédaction des objectifs de l’ONU en matière d’« environnement durable », l’Agenda 21 pour le développement durable qui constitue la base de la « Grande Réinitialisation » de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU (prix Nobel de la Paix dans un passé récent avec Gore, ex-vice-président des USA et caution morale de l’ensemble.
Strong, qui était également membre du conseil d’administration du WEF de Davos, s’était arrangé pour que Schwab soit l’un des principaux conseillers du Sommet de la Terre de Rio.
En tant que secrétaire général de la conférence de l’ONU à Rio, Strong a également commandé au « Club de Rome » le rapport intitulé « La première révolution mondiale », rédigé par Alexander King, qui admettait alors que l’affirmation du réchauffement de la planète par le CO2 n’était qu’une ruse inventée pour forcer le changement : « L’ennemi commun de l’humanité est l’homme. En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement de la planète, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses semblables feraient l’affaire.
Tous ces dangers sont causés par l’intervention de l’homme, et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés.
Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ».
On savait déjà que l’Homme était un loup pour l’Homme : L’idée a finalement bien pris.
 
Le délégué du président « Piton-à-la-clip » à Rio, Tim Wirth, a admis la même chose en déclarant : « Nous devons nous occuper de la question du réchauffement de la planète. Même si la théorie du réchauffement climatique est fausse, nous ferons ce qu’il faut en termes de politique économique et de politique environnementale ».
 
À Rio, Strong a introduit pour la première fois l’idée manipulatrice de « société durable » définie par rapport à cet objectif arbitraire d’élimination du CO2 et des autres gaz dits à effet de serre.
Depuis le « durable », qui ne veut rien dire, sauf à être le contraire de l’osbolescence, aura fait un succès international.
« L’Agenda 21 » est devenu « l’Agenda 2030 » en septembre 2015 à Rome, avec la bénédiction du Pape (François Ier et son « Laudato sì »), avec 17 objectifs « durables ».
Il déclare entre autres : « La terre, en raison de sa nature unique et du rôle crucial qu’elle joue dans l’établissement humain, ne peut être traitée comme un actif ordinaire, contrôlé par des individus et soumis aux pressions et aux inefficacités du marché.
La propriété foncière privée est également un instrument principal d’accumulation et de concentration des richesses et contribue donc à l’injustice sociale…
La justice sociale, la rénovation et le développement urbains, la fourniture de logements décents et de conditions saines pour la population ne peuvent être atteints que si la terre est utilisée dans l’intérêt de la société dans son ensemble ».
 
En bref, la propriété foncière privée doit être « socialisée » à défaut d’être nationalisée, pour « la société dans son ensemble », une idée bien connue à l’époque de l’Union soviétique, et un élément clé de la « Grande Réinitialisation » de Davos.
Convergence logique avec le marxisme-léninisme, donc, ou plutôt une déclinaison des concepts de base…
À Rio en 1992, où il était président et secrétaire général, Strong a déclaré : « Il est clair que les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée ― impliquant une forte consommation de viande, la consommation de grandes quantités d’aliments surgelés et de plats préparés, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, de la climatisation des maisons et des lieux de travail, et de logements en banlieue ― ne sont pas durables ».
La grosse insulte, quoi !
 
Strong n’a pas tenu compte de son propre appel. Ce que Strong n’a pas dit à ses alliés écolologistes à Rio, c’est qu’il avait également fait un achat important de la Colorado Land and Cattle Company, auprès du marchand d’armes saoudien et actif de la CIA, Adnan Khashoggi.
À cette époque, Strong était au cœur de la transformation de l’ONU en un véhicule permettant d’imposer furtivement un nouveau fascisme technocratique mondial, en utilisant des avertissements alarmants sur l’extinction de la planète et le réchauffement climatique, en fusionnant les agences gouvernementales avec le pouvoir des entreprises dans un contrôle non élu de presque tout, sous le couvert fabuleux de la « durabilité ».
 
En 1997, Strong a supervisé la création du plan d’action qui a suivi le Sommet de la Terre, l’Évaluation de la diversité mondiale, un plan directeur pour le déploiement d’une Quatrième Révolution industrielle, un inventaire de toutes les ressources de la planète, la façon dont elles seraient contrôlées et comment cette révolution serait réalisée.
À cette époque, il était co-président du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, à la mort de Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a d’ailleurs écrit : « Il était mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami ; un conseiller indispensable ; et, pendant de nombreuses années, un membre de notre conseil de fondation ».
 
Par ailleurs, avant d’être contraint de quitter l’ONU en disgrâce à la suite d’un scandale de corruption lié au programme « Food-for-Oil » (pétrole contre nourriture) en Irak (Strong a en effet encaissé un chèque de 988.885 $ émis par une banque jordanienne et signé de la main de Tongsun Park, un homme d’affaires Sud-coréen qui fut inculpé en 2006 par la Cour Fédérale de New York dans le détournement du programme en faveur de Saddam Hussein, mais tout le monde se servait à l’époque sur le dos des irakiens…), Strong aurait été  également directeur du Temple occulte de la « compréhension du Lucifer Trust » (alias Lucis Trust), situé dans la cathédrale Saint-Jean-le-Dieu de New York, « où les rituels païens consistent notamment à escorter les moutons et le bétail jusqu’à l’autel pour la bénédiction » : Tout un symbole !
C’est là que le vice-président Al Gore a prononcé un sermon, tandis que les fidèles se dirigeaient vers l’autel avec des bols de compost et des vers…
 
Telle est l’origine sombre qu’il convient de connaître du programme de la « Grande Réinitialisation » de Schwab, selon lequel nous devrions manger des vers et ne pas avoir de propriété privée afin de « sauver la planète ».
Ce programme est sombre, dystopique et destiné à éliminer des milliards d’« humains ordinaires ».
Un milliard, ça me paraît peu : Certains estiment qu’il faudrait réduire l’humanité à un demi-milliard d’individus seulement…
 
Après tout, quand je vois la tronche de la plupart de mes contemporains, je me demande parfois ce que fout cette humanité-là, dont je fais partie, sur cette planète-là.
Il y aurait comme une erreur de casting si Dieu avait réellement créé l’Homme à son image, mais passons : Ce n’est qu’une opinion qui ne vaut pas plus ni mieux qu’une autre.
 
Ne vous en faites en tout cas pas pour le bonhomme : Il est mort à Ottawa en novembre 2015 après avoir vécu durant une quasi-décennie en exil en Chine.
En revanche, ses fils spirituels poursuivent son œuvre et nous pourrissent la vie jusque dans nos quotidiens.
Il faut dire qu’ils sont aidés par « l’air du temps » et les opinions publiques nourries aux subventions étatiques et internationales : Après tout, c’est votre pognon (et de plus en plus le mien : Le fisc vient de me rappeler mes devoirs), mais il me semble qu’il serait mieux placé à développer les sciences du vivant plutôt que dans des technologies militaires.
Passons également : Ce n’est qu’une opinion qui ne vaut pas plus ni mieux qu’une autre.
Enfin, l’essentiel, c’est que vous soyez un peu éclairés sur ces sujets : Au moins les générations futures ne pourront pas affirmer que nous ne savions pas…
Car nous ne sommes pas dupes !

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