Ce qui confirme que je suis né « kon »
« Qu’il(s) retourne(nt) en Afrique » !
De qui parle-t-on ? Du député LFI qui interpellait « Miss-Borgne » ou des « migrants » qui s’expatrient ?
Et pourquoi ceux-là retournerai(en)t-il(s) sur le continent sahélien ?
Parce que d’une part, notre député « Nupes » est né et vit en « Gauloisie-éternelle » depuis son premier soupir, il ne peut donc pas être concerné par l’injonction.
Il faut donc lire « Ils » et non pas « Il », le reste c’est de la polémique bassement politicienne.
Quoique…
D’autre part, notre « sinistre de l’ordre public et des cultes » estime que l’immigration est au contraire une chance pour notre pays.
Il est lui-même issu, s’en vante-t-il à plusieurs reprises, de la migration…
Je veux bien puisqu’en qualité de Corsu, j’admets volontiers que l’impatriation de tous les « Gauloisiens », par assimilation silencieuse, aura été une totale réussite.
Je m’explique : Mes ancêtres ont su virer les « ritaux », les « britishs » et même les « nazillons-teutons » plus récemment, et ce à plusieurs reprises, loin des côtes de l’Île-de-Beauté.
En revanche, pour avoir la paix, il aura fallu leur balancer un Ajaccien dans les gencives pour qu’ils acceptent de devenir Corsu sans le dire.
Il faut s’en convaincre puisque Bonaparte les aura emmenés jusqu’à Moscou et qu’ils ont tellement aimé ça qu’ils en ont redemandé en reprenant son neveu comme second empereur des « Gauloisiens » : C’est dire la réussite du procédé de colonisation !
Depuis, à part quelques kouillons, non seulement « Paris-sur-la-Seine » paye 2 euros (en subvention) à chaque fois qu’un Corse en paye un seul (en taxe et impôt) et que pour autant, les « procédés » réputés être de la corruption sont toujours trois fois plus élevés sur l’Île que partout ailleurs sur le continent.
Bref, ça fonctionne comme du temps de mes ancêtres, sans coup férir.
Désormais, il est question de créer un titre de séjour à l’adresse des
migrants pour les métiers « en tension », tout en prévoyant la
régularisation des clandestins qui travaillent déjà sur le territoire.
Autrement dit, de créer un nouvel appel d’air migratoire en disent les
détracteurs des projets en cours.
Par ailleurs, donner la possibilité à tous les demandeurs d’asile de travailler avant d’obtenir leur statut de réfugié, on envisage de leur ouvrir un deuxième guichet pour régulariser leur séjour quand bien même ils seraient déboutés au titre de l’asile.
Sauf que le « travail au noir » est formellement interdit : Mon « beauf’ », celui qui fait « philosophe grec » et accessoirement le meilleur Tamara du monde (ils viennent depuis l’Australie pour s’en régaler), il s’est fait choper pour avoir embauché un albanais « irrégulier » qui parlait grec une heure à peine avant de voir débarquer l’inspection du travail, une première depuis 20 ans d’activité…
Même pas eu le temps de lui demander ses papiers et d’en faire faire déclaration aux autorités autorisées !
En fait, il s’agit ainsi de provoquer l’arrivée d’une main-d'œuvre bon marché, qui va tirer les salaires vers le bas et créer une sous-catégorie de prolétaires : Tous les moyens sont bons pour sauvegarder votre pouvoir d’achat !
Il faut dire que nos jeunes ne veulent plus pousser un balai ni même faire d’études poussées, préférant se scotcher devant un écran et réclamer bruyamment des subsides à tout le monde jusque dans les rues.
On recueille bien nos femmes djihadistes parties en Syrie tellement on manque cruellement de bras !
Et puis c’est la « gôche de progrès » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
qui aura supprimé le délit de séjour illégal, tout comme la double peine,
supprimée elle pendant le quinquennat de « Bling-bling » qui n’est
pas vraiment « Soce-pur-sucre ».
C’est le sens de l’Histoire et c’est comme ça qu’on retrouve à la tête de la municipalité parigote une équipe d’incompétents qui ne sait que défoncer les chaussées et trottoirs et racketter le citoyen pour payer toutes leurs frasques en vue de 2024 et de ses JO qu’on va voir ce qu’on va voir !
J’imagine déjà le bordel…
Il faut dire que le pays, en panne de logements et d’équipements « écolologiquement viables », n’a pas trop les moyens d’assimiler correctement des populations qu’elle accueille mal, ce qui fait que bien des immigrés basculent trop souvent dans la violence, la drogue ou le communautarisme islamiste, quand ils ne sont pas les victimes de passeurs sans scrupule.
L’assimilation en passant par la case « prison », ce n’est pas ce qu’on fait de mieux pour nos migrants.
Bien heureusement, tous ne passent pas par là et leur sort est sûrement meilleur qu’en Afrique.
Je vais même vous dire que les « mangeurs de porridge » envient mon pays pour venir s’installer dans notre « diagonale du vide » et j’en connais plusieurs comme ça.
Même un qui nous vient du Brésil, qui aura épousé ma filleule elle-même écossaise qui s’est souvenue, après le Brexit, qu’elle avait de la famille dans la Corrèze…
Ma « cousine », celle qui fait conservatrice de Musée dans le civil, elle a épousé un pinardier « helvète » qui se trouve être tout de même mieux soigné en « Gauloisie-des-droits-de-l’homme » que dans le pays de Calvin que tout le monde vante : C’est dire.
Quant à ma colombienne, elle aura su éviter à ses filles les difficultés endémiques de son pays.
Reste que mon pays, celui justement colonisé et phagocyté par les Corses,
la « Gauloisie-merveilleuse » a été de tout temps un grand pays d’assimilation.
Mais pas vraiment la terre d’un multiculturalisme qui n’a jamais été un modèle universel
ailleurs que chez les « ricains ».
Assimiler à la culture « Gauloisienne » et à la civilisation européenne qui est la nôtre, c’est précisément ce que nous n’arrivons plus à faire, compte tenu de l’ampleur des flux migratoires (jusque depuis l’Ukraine) et, accessoirement de l’affaissement de nos cadres communs qui nous tenaient encore ensemble, les uns à la campagne, les autres dans les quartiers bourgeois des villes et la plèbe dans les « no-go-zones » ou les villes-nouvelles des « cités ».
Du coup, la migration est aujourd’hui devenue un sujet si brûlant.
Et qui dérape quand on est un « proto-facho ».
Les quelques mots qui feront date dans la 16ème législature par
les très vives réactions qu’ils ont provoquées, jeudi 3 novembre, « Grég-Deux-Fournisseurs »,
député « Air-Haine » de Gironde (patrie des négriers d’antan…), a
crié cette phrase alors que son collègue « Carlos-Martens-Bill-Ongogo »,
élu LFI du le Val-d’Oise, s’exprimait dans l'Hémicycle. Ce dernier posait une
question au gouvernement à propos du sort de centaines de migrants bloqués en
mer après avoir été secourus en Méditerranée, sur le bateau « Ocean Viking ».
Un bateau avec 236 migrants à bord, repêchés en Méditerranée au large de la Libye et qui peinent à débarquer en Sicile, contrairement aux principes des lois maritimes.
Il finira peut-être à Bastia : On y a encore des bergeries restées en jachère en altitude…
Des propos qui ont scandalisé une très large partie de la classe politique et provoqué son exclusion pendant 15 jours par le bureau de l’Assemblée nationale, après un vote, vendredi dernier.
Si l’opposition de gôche et la majorité, ainsi que plusieurs associations, dénoncent le racisme de ces propos, le député s’en défend.
Eh oui : Être privé de buvette pendant quinze jours, pour des propos certes maladroits mais également mal interprétés, c’est scandaleux…
Rappelons que l’Assemblée Nationale n’a pas attendu l’arrivée massive de 89 députés du parti d’extrême droâte pour être secouée par des accusations de racisme visant ses membres.
Durant l’histoire de la Vème République, elles ont majoritairement concerné des députés de droâte (ils ne se refont pas), comme « Al-Un-Ma-rolex », qui avait vu en « J’y-Vingt-sang-Plaqué » un « Coréen national » en septembre 2011 lors d’une interview sur Public Sénat. Quelques mois plus tôt, l’élue « Marie-Cantal-Brune-aile » affirmait qu’il fallait remettre les migrants « dans les bateaux ! » dans la salle des Quatre Colonnes, là où le cousin « Pasquale » voulait affréter des charters depuis les plateaux télés…
Ces accusations de racisme ont parfois été portées envers des responsables de gôche, à l’image de l’élu LFI « Fanfan-Ruff-fin » avec ce propos « magnifique » : « Je pense que je peux être absent pendant les trois années supplémentaires et Delphine O (ex-députée LREM-même-pas-en-rêve) n’arrivera même pas à arriver à la moitié de mes interventions ou de mes questions écrites. Je suis 158 fois moins cher. Tu vois, je ne suis même plus le Chinois de l’Hémicycle à ce tarif-là », avait-il lâché en mars 2019, dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.
Avant d’être immédiatement pointé du doigt par les députés de la majorité d’alors.
Ils ne peuvent pas s’en empêcher…
Pourtant, les propos de « Greg » représentent « quelque
chose qu’on n’a jamais connu sous la Vème République »,
observe un historien. « Jean-Marie Le Pen était coutumier des
provocations antisémites, mais cela ne se passait pas dans l’enceinte de l’Assemblée
nationale. »
Quand je pense que j’ai des potes feujs qui votent pour « Marinella-tchi-tchi » en espérant ne pas se faire bouffer la laine sur le dos par quelques maghrébins…
Heureusement qu’il y en a beaucoup plus qui se souviennent de ce que c’est.
Pour retrouver trace d’incidents racistes, il faut remonter à la IIIème République, pendant les années 1930, lorsque des députés d’extrême droâte tenaient des propos antisémites au sein de la chambre basse du Parlement.
Alors comment expliquer que les bancs du Palais Bourbon aient été si longtemps préservés de tels propos, parfois tenus par des militants ?
« Chaque député n’est pas le représentant de ses électeurs mais de la France toute entière et cela prend donc une valeur très forte ».
« L’Assemblée nationale est une enceinte qui a une forme de sacralité. »
Depuis les dernières élections législatives de juin, la sacralité du lieu
contraste cependant avec l’apprêté des débats qui s’y tiennent. En toile de
fond, la question des propos racistes des membres du « Air-haine » s’est
immiscée dans les discussions et les invectives. Et ce, dès le lendemain des
législatives, en juin, lorsque le jeune député LFI « Louis-Ah-Boyard »
avait dénoncé « une pandémie de racisme » en refusant de
serrer la main des élus « Air-haine ».
Lors de la séance introductive, le doyen des députés, l’élu « Air-haine » José Gonzalez (Un patronyme breton ou corrézien ?), avait quant à lui été vivement critiqué pour avoir fait référence à l’Algérie Gauloisienne en ouverture de la législature.
La rentrée des députés, début octobre, n’a pas poussé cette question au second plan du débat parlementaire. Au contraire. La députée Renaissance des « jupitériens », « Astre-ride-Pano-cyan-Bouvet » s’est ainsi vu infliger le 11 octobre un rappel à l’ordre de la présidente de l’Assemblée nationale pour avoir dénoncé en séance « l’ADN xénophobe vieux de 50 ans » du « Air-haine ».
Trois semaines plus tard, la députée « Air-haine » du Var, « Alexan-drap-Massons », a expliqué à la tribune que le « but premier » de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) « est de sauver des vies en mer et non d’aller y chercher toujours plus de migrants », provoquant l’indignation de nombreux élus de la Nupes.
Pour se justifier, le parti d’extrême droâte ne cesse depuis les
législatives de dénoncer la « censure » qui sévit, selon ses membres,
à l’Assemblée nationale. « Des critiques, dans l’enceinte de la
démocratie française, ont le droit d’être prononcées. Que (Yaël) Braun-Pivet
sanctionne des députés de la majorité comme des députés d’opposition, c’est une
remise en cause de la liberté d’expression », avait fustigé le
président par intérim du Rassemblement, « Jor-dans-Barbarella » sur
BFMTV, au lendemain du rappel à l’ordre infligé à « Astre-ride ».
Pour le successeur de « Marinella-tchi-tchi », les propos de « Grég » interviennent d’ailleurs dans « un calendrier qui tombe très mal, à la veille du congrès du parti pour désigner son président », explique un politologue spécialiste de l’extrême droâte.
Or, pas de chance, depuis l’arrivée à sa tête de « Marinella-tchi-tchi », en 2011, sa formation s’est employée à balayer les accusations de racisme dans une stratégie assimilable à une « dédiabolisation ».
Chassez le naturel, il revient au galop disait ma grand-mère…
La sortie de « Grég », qui a par la suite reproché à « Carlos » d’avoir vu « un coup à jouer dans la victimisation communautaire », pourrait donc fragiliser cette stratégie.
Le compte rendu officiel de la séance retranscrit la formule au singulier.
Accusé d’avoir visé « Carlos », député LFI black (ce n’est pas de sa
faute s’il est « négatif » et personne n’est parfait), « Grég »
a assuré que sa « réponse concernait le bateau et les migrants »,
et non son collègue et néanmoins opposant.
Ce qui me paraît logique.
Mais dans une précédente version, il avait expliqué avoir dit « Qu’il retourne en Afrique », en référence au « bateau de SOS Méditerranée ».
Il ira, c’est certain.
C’est vrai qu’un propos raciste, voire antisémite, n’a pas à avoir à être
prononcé au nom du Peuple Gauloisien dans l’hémicycle qui reste sa représentation.
C’est comme ça puisque c’est la loi votée par ledit Parlement.
Et nos élus se doivent d’être exemplaires.
Mais ça change quoi au juste puisqu’on le savait déjà ?
Tout le monde sait que le « Air-haine » est raciste et son ex-patron antisémite (au sens large, feuj et arabe, sauf feu Saddam Hussein, qui était un vrai « pote » du borgne de San Cloud).
Chacun aura pu le vérifier en côtoyant son électorat.
Les mêmes sont « pro-poux-tine », mais de ça, on n’en cause pas trop parce que « Mes-Luches », le pro-créolisation national admirateur de Chavez et Castro, de LFI/Nupes également.
C’est pourtant la même veine : Écraser, éradiquer, non pas la misère du monde et les souffrances d’autrui, mais ce qui ne me ressemble pas, c’est leur seul sens de l’humain !
Ou alors je n’ai rien compris : C’est vous dire si je suis probablement kon !
De qui parle-t-on ? Du député LFI qui interpellait « Miss-Borgne » ou des « migrants » qui s’expatrient ?
Et pourquoi ceux-là retournerai(en)t-il(s) sur le continent sahélien ?
Parce que d’une part, notre député « Nupes » est né et vit en « Gauloisie-éternelle » depuis son premier soupir, il ne peut donc pas être concerné par l’injonction.
Il faut donc lire « Ils » et non pas « Il », le reste c’est de la polémique bassement politicienne.
Quoique…
D’autre part, notre « sinistre de l’ordre public et des cultes » estime que l’immigration est au contraire une chance pour notre pays.
Il est lui-même issu, s’en vante-t-il à plusieurs reprises, de la migration…
Je veux bien puisqu’en qualité de Corsu, j’admets volontiers que l’impatriation de tous les « Gauloisiens », par assimilation silencieuse, aura été une totale réussite.
Je m’explique : Mes ancêtres ont su virer les « ritaux », les « britishs » et même les « nazillons-teutons » plus récemment, et ce à plusieurs reprises, loin des côtes de l’Île-de-Beauté.
En revanche, pour avoir la paix, il aura fallu leur balancer un Ajaccien dans les gencives pour qu’ils acceptent de devenir Corsu sans le dire.
Il faut s’en convaincre puisque Bonaparte les aura emmenés jusqu’à Moscou et qu’ils ont tellement aimé ça qu’ils en ont redemandé en reprenant son neveu comme second empereur des « Gauloisiens » : C’est dire la réussite du procédé de colonisation !
Depuis, à part quelques kouillons, non seulement « Paris-sur-la-Seine » paye 2 euros (en subvention) à chaque fois qu’un Corse en paye un seul (en taxe et impôt) et que pour autant, les « procédés » réputés être de la corruption sont toujours trois fois plus élevés sur l’Île que partout ailleurs sur le continent.
Bref, ça fonctionne comme du temps de mes ancêtres, sans coup férir.
Par ailleurs, donner la possibilité à tous les demandeurs d’asile de travailler avant d’obtenir leur statut de réfugié, on envisage de leur ouvrir un deuxième guichet pour régulariser leur séjour quand bien même ils seraient déboutés au titre de l’asile.
Sauf que le « travail au noir » est formellement interdit : Mon « beauf’ », celui qui fait « philosophe grec » et accessoirement le meilleur Tamara du monde (ils viennent depuis l’Australie pour s’en régaler), il s’est fait choper pour avoir embauché un albanais « irrégulier » qui parlait grec une heure à peine avant de voir débarquer l’inspection du travail, une première depuis 20 ans d’activité…
Même pas eu le temps de lui demander ses papiers et d’en faire faire déclaration aux autorités autorisées !
En fait, il s’agit ainsi de provoquer l’arrivée d’une main-d'œuvre bon marché, qui va tirer les salaires vers le bas et créer une sous-catégorie de prolétaires : Tous les moyens sont bons pour sauvegarder votre pouvoir d’achat !
Il faut dire que nos jeunes ne veulent plus pousser un balai ni même faire d’études poussées, préférant se scotcher devant un écran et réclamer bruyamment des subsides à tout le monde jusque dans les rues.
On recueille bien nos femmes djihadistes parties en Syrie tellement on manque cruellement de bras !
C’est le sens de l’Histoire et c’est comme ça qu’on retrouve à la tête de la municipalité parigote une équipe d’incompétents qui ne sait que défoncer les chaussées et trottoirs et racketter le citoyen pour payer toutes leurs frasques en vue de 2024 et de ses JO qu’on va voir ce qu’on va voir !
J’imagine déjà le bordel…
Il faut dire que le pays, en panne de logements et d’équipements « écolologiquement viables », n’a pas trop les moyens d’assimiler correctement des populations qu’elle accueille mal, ce qui fait que bien des immigrés basculent trop souvent dans la violence, la drogue ou le communautarisme islamiste, quand ils ne sont pas les victimes de passeurs sans scrupule.
L’assimilation en passant par la case « prison », ce n’est pas ce qu’on fait de mieux pour nos migrants.
Bien heureusement, tous ne passent pas par là et leur sort est sûrement meilleur qu’en Afrique.
Je vais même vous dire que les « mangeurs de porridge » envient mon pays pour venir s’installer dans notre « diagonale du vide » et j’en connais plusieurs comme ça.
Même un qui nous vient du Brésil, qui aura épousé ma filleule elle-même écossaise qui s’est souvenue, après le Brexit, qu’elle avait de la famille dans la Corrèze…
Ma « cousine », celle qui fait conservatrice de Musée dans le civil, elle a épousé un pinardier « helvète » qui se trouve être tout de même mieux soigné en « Gauloisie-des-droits-de-l’homme » que dans le pays de Calvin que tout le monde vante : C’est dire.
Quant à ma colombienne, elle aura su éviter à ses filles les difficultés endémiques de son pays.
Assimiler à la culture « Gauloisienne » et à la civilisation européenne qui est la nôtre, c’est précisément ce que nous n’arrivons plus à faire, compte tenu de l’ampleur des flux migratoires (jusque depuis l’Ukraine) et, accessoirement de l’affaissement de nos cadres communs qui nous tenaient encore ensemble, les uns à la campagne, les autres dans les quartiers bourgeois des villes et la plèbe dans les « no-go-zones » ou les villes-nouvelles des « cités ».
Du coup, la migration est aujourd’hui devenue un sujet si brûlant.
Et qui dérape quand on est un « proto-facho ».
Un bateau avec 236 migrants à bord, repêchés en Méditerranée au large de la Libye et qui peinent à débarquer en Sicile, contrairement aux principes des lois maritimes.
Il finira peut-être à Bastia : On y a encore des bergeries restées en jachère en altitude…
Des propos qui ont scandalisé une très large partie de la classe politique et provoqué son exclusion pendant 15 jours par le bureau de l’Assemblée nationale, après un vote, vendredi dernier.
Si l’opposition de gôche et la majorité, ainsi que plusieurs associations, dénoncent le racisme de ces propos, le député s’en défend.
Eh oui : Être privé de buvette pendant quinze jours, pour des propos certes maladroits mais également mal interprétés, c’est scandaleux…
Rappelons que l’Assemblée Nationale n’a pas attendu l’arrivée massive de 89 députés du parti d’extrême droâte pour être secouée par des accusations de racisme visant ses membres.
Durant l’histoire de la Vème République, elles ont majoritairement concerné des députés de droâte (ils ne se refont pas), comme « Al-Un-Ma-rolex », qui avait vu en « J’y-Vingt-sang-Plaqué » un « Coréen national » en septembre 2011 lors d’une interview sur Public Sénat. Quelques mois plus tôt, l’élue « Marie-Cantal-Brune-aile » affirmait qu’il fallait remettre les migrants « dans les bateaux ! » dans la salle des Quatre Colonnes, là où le cousin « Pasquale » voulait affréter des charters depuis les plateaux télés…
Ces accusations de racisme ont parfois été portées envers des responsables de gôche, à l’image de l’élu LFI « Fanfan-Ruff-fin » avec ce propos « magnifique » : « Je pense que je peux être absent pendant les trois années supplémentaires et Delphine O (ex-députée LREM-même-pas-en-rêve) n’arrivera même pas à arriver à la moitié de mes interventions ou de mes questions écrites. Je suis 158 fois moins cher. Tu vois, je ne suis même plus le Chinois de l’Hémicycle à ce tarif-là », avait-il lâché en mars 2019, dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux.
Avant d’être immédiatement pointé du doigt par les députés de la majorité d’alors.
Ils ne peuvent pas s’en empêcher…
Quand je pense que j’ai des potes feujs qui votent pour « Marinella-tchi-tchi » en espérant ne pas se faire bouffer la laine sur le dos par quelques maghrébins…
Heureusement qu’il y en a beaucoup plus qui se souviennent de ce que c’est.
Pour retrouver trace d’incidents racistes, il faut remonter à la IIIème République, pendant les années 1930, lorsque des députés d’extrême droâte tenaient des propos antisémites au sein de la chambre basse du Parlement.
Alors comment expliquer que les bancs du Palais Bourbon aient été si longtemps préservés de tels propos, parfois tenus par des militants ?
« Chaque député n’est pas le représentant de ses électeurs mais de la France toute entière et cela prend donc une valeur très forte ».
« L’Assemblée nationale est une enceinte qui a une forme de sacralité. »
Lors de la séance introductive, le doyen des députés, l’élu « Air-haine » José Gonzalez (Un patronyme breton ou corrézien ?), avait quant à lui été vivement critiqué pour avoir fait référence à l’Algérie Gauloisienne en ouverture de la législature.
La rentrée des députés, début octobre, n’a pas poussé cette question au second plan du débat parlementaire. Au contraire. La députée Renaissance des « jupitériens », « Astre-ride-Pano-cyan-Bouvet » s’est ainsi vu infliger le 11 octobre un rappel à l’ordre de la présidente de l’Assemblée nationale pour avoir dénoncé en séance « l’ADN xénophobe vieux de 50 ans » du « Air-haine ».
Trois semaines plus tard, la députée « Air-haine » du Var, « Alexan-drap-Massons », a expliqué à la tribune que le « but premier » de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) « est de sauver des vies en mer et non d’aller y chercher toujours plus de migrants », provoquant l’indignation de nombreux élus de la Nupes.
Pour le successeur de « Marinella-tchi-tchi », les propos de « Grég » interviennent d’ailleurs dans « un calendrier qui tombe très mal, à la veille du congrès du parti pour désigner son président », explique un politologue spécialiste de l’extrême droâte.
Or, pas de chance, depuis l’arrivée à sa tête de « Marinella-tchi-tchi », en 2011, sa formation s’est employée à balayer les accusations de racisme dans une stratégie assimilable à une « dédiabolisation ».
Chassez le naturel, il revient au galop disait ma grand-mère…
La sortie de « Grég », qui a par la suite reproché à « Carlos » d’avoir vu « un coup à jouer dans la victimisation communautaire », pourrait donc fragiliser cette stratégie.
Ce qui me paraît logique.
Mais dans une précédente version, il avait expliqué avoir dit « Qu’il retourne en Afrique », en référence au « bateau de SOS Méditerranée ».
Il ira, c’est certain.
C’est comme ça puisque c’est la loi votée par ledit Parlement.
Et nos élus se doivent d’être exemplaires.
Mais ça change quoi au juste puisqu’on le savait déjà ?
Tout le monde sait que le « Air-haine » est raciste et son ex-patron antisémite (au sens large, feuj et arabe, sauf feu Saddam Hussein, qui était un vrai « pote » du borgne de San Cloud).
Chacun aura pu le vérifier en côtoyant son électorat.
Les mêmes sont « pro-poux-tine », mais de ça, on n’en cause pas trop parce que « Mes-Luches », le pro-créolisation national admirateur de Chavez et Castro, de LFI/Nupes également.
C’est pourtant la même veine : Écraser, éradiquer, non pas la misère du monde et les souffrances d’autrui, mais ce qui ne me ressemble pas, c’est leur seul sens de l’humain !
Ou alors je n’ai rien compris : C’est vous dire si je suis probablement kon !
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