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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 27 novembre 2022

Enfin un billet « kaka-prout »…

Et je sais déjà ce qu’on va en dire !
 
Que le « niveau » de ce blog baisse ;
Que son administrateur verse dans la scatologie ;
Qu’il fait de la diarrhée mentale (depuis toujours) : Confirmation, donc ;
Qu’il pète désormais plus haut que son kul ;
Cest du « Kaka-poum » ou du « Merde in Russia » pour reprendre Jacques (Du-Tronc) ;
Et cætera.
J’assume, justement parce que j’ai envie de parler, notamment, de flatulences.
 
Figurez-vous que contrairement à « ma petite-sœur » (celle que si elle n’existait pas, il faudrait tout de même l’inventer : Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2018/05/aujourdhui-cest-lascension.html) puisqu’elle se prétend « sans défaut » aucun… « une sainte »…), tout le monde pète à en avoir des flatulences, car c’est ainsi que notre corps fonctionne et nous ne pouvons pas faire autrement…
Notez toutefois qu’il existe des pilules qui, paraît-il, font que vos pets sentent la rose, et on trouve également des sous-vêtements filtrant leur odeur sur le marché.
C’est scientifique…
Un bon désodorant masquera les odeurs les plus insupportables en deux ou trois « pschitt »…
Bien que je ne puisse pas personnellement pas attester de l’efficacité de ces méthodes innovantes, en revanche on peut partager de nombreux faits intéressants sur les flatulences.
 
À quel point pétons-nous ? Il convient de savoir que les adultes produisent environ 1 litre de gaz par jour. Cela se traduit par une moyenne de 14 pets par jour. Ce nombre peut toutefois aller jusqu’à 21 par jour.
Et combien d’espace prend un pet ? Eh bien des chercheurs (très sérieux et largement subventionnés pour ça) ont mené des études sur ce sujet ! La réponse se situe quelque part entre une bouteille de vernis à ongles et une canette de soda.
Ils vous conseillent d’ailleurs de ne pas retenir vos pets. Le gaz peut s’accumuler et un gros pet risque de sortir à un moment donné par inadvertance. Si vous le retenez encore, il peut même être réabsorbé et sortir par votre bouche !
Mais le rot fera probablement l’objet d’un post à venir…
 
Pour la petite histoire, signalons toute fois qu’en 2019, un homme en Australie a poursuivi son ancienne entreprise en justice pour 1,8 million de dollars australiens (environ 1,2 million d’euros). Il a déclaré que son superviseur lui pétait dessus plusieurs fois par jour et il a perdu le procès.
On se demande bien pourquoi…
En 2016, le gouvernement canadien a d’ailleurs réellement débattu de l’utilisation du mot « pet » au parlement. Tout cela parce que « la députée Michelle Rempel a accusé le gouvernement de traiter la province de l’Alberta ‘‘comme un pet dans la pièce’’ à propos des emplois ».
En tout cas, ne pétez pas devant les policiers de Berlin. Un homme à qui l’on demandait de présenter sa carte d’identité l’a fait, et s’est vu infliger une amende de 900 euros pour avoir manqué de respect aux agents assermentés de la force publique « Teutonne ».
 
Mais le « pet » peut avoir sa place dans la littérature. William Shakespeare, par exemple, a utilisé des blagues à propos des pets comme dans « La Comédie des erreurs » lorsqu’il a écrit : « Un homme peut vous dire un mot, monsieur, et les mots ne sont que du vent ; Oui, et vous le dire en face, pour qu’il ne le dise pas par derrière. »
Naturellement, c’était de l’humour britannique… à double effet.
On peut également citer d’autres œuvres littéraires qui mentionnent les pets, comme « L’Enfer » de Dante Alighieri, « Les Contes de Canterbury » de Geoffrey Chaucer et « Ulysse » de James Joyce.
Jonathan Swift a même écrit un pamphlet intitulé « The Benefit of Farting » (Les bienfaits des pets) en 1722 !
Outre la référence dans « Ulysse », l’auteur semblait avoir une obsession érotique pour les flatulences, en particulier celles de sa femme bien-aimée et néanmoins muse, Nora Barnacle. Il lui a écrit une lettre en 1909, où il mentionne ses pets de nombreuses fois ! Dans une partie de la lettre il a déclaré : « Je pense que je reconnaîtrais le pet de Nora n’importe où. Je pense que je pourrais reconnaître le sien dans une pièce pleine de femmes qui pètent. »
Le présomptueux que voilà…
Oui, il semble que James Joyce était sexuellement attiré par les flatulences, et il n’est pas le seul. Certaines personnes ont ce fétiche qu’on appelle « éproctophilie ».
 
Un humoriste « Gauloisien », aussi connu sous le nom de « Pétomane », avait le talent de lâcher des gaz à volonté sur commande et en a fait des prestations publiques en 1890.
Paul Oldfield, un humoriste britannique, est la succession contemporaine de Joseph Pujol, mais il est plus connu sous le nom de « Monsieur Méthane » et il se produit depuis le début des années 1990.
On gagne sa pitance comme on peut, de nos jours…
 
Parlons plus sérieusement de choses « impétueuses » comme le lien entre le volume sonore d’un pet et son odeur : Malgré de nombreuses recherches (subventionnées) il n’a toujours pas été prouvé scientifiquement. Pas encore.
Mais notez qu’un inventeur « Gauloisien » a déclaré avoir inventé une pilule qui donne une odeur de chocolat, de rose, de gingembre, de violette ou de muguet aux pets comme signalé en introduction de ce billet.
Mais si vous voulez une « couche supplémentaire » de protection, il existe une société qui vend des sous-vêtements filtrant les odeurs !
Pas contre les bruits, hélas : Il s’agit d’être « discret » en laissant seulement échapper un mince filet à pression mesurée, si vous souhaitez ne pas être « dénoncé ».
 
Scientifiquement, Mara Sidoli, une chercheuse (qui a trouvé), a examiné le cas d’un garçon qui utilise les flatulences comme mécanisme de défense lorsqu’il se sent en danger.
« Péter pour se défendre contre une peur indicible », je demande à voir… même si c’est le cas du putois. Qui lui se sert de son odeur pour « draguer les gueuzes » de son espèce : Tous les goûts sont dans la nature…
Personnellement, quand je lâche les gaz de peur, il y a tout le reste qui suit !
Ça a dû m’arriver au moins une fois, mais c’était à l’occasion d’une crise de fou rire incontrôlable…
 
Car péter peut aussi être une question de vie ou de mort : Par exemple, le cyprinodon se nourrit d’algues et peut accidentellement ingérer le gaz produit par les algues. Cela peut être potentiellement fatal pour le poisson car sa capacité à nager s’inhibe. La seule solution est de péter…
Les termites pètent d’ailleurs énormément. Environ 20 millions de tonnes de méthane sont libérées dans l’atmosphère par les termites chaque année !
Cela représente environ 1,3 % des émissions mondiales de méthane !
Fameux.
On devrait les taxer…
Car si les vaches pètent (que les nouveaux-zélandais veulent les taxer), tous les animaux ne pètent pas : Les pieuvres et les oiseaux, par exemple, ne pètent pas du tout. Les paresseux ne le font pas non plus et sont probablement les seuls mammifères qui n’émettent pas de gaz.
 
On a également découvert que les pets sentent plus fort sous la douche. C’est dû au fait que vous n’avez pas de vêtements sur vous pour absorber l’odeur et que vous vous trouvez dans un espace clos.
De plus, la vapeur de la douche peut renforcer votre odorat !
C’est exact que quand je pète en nageant, il m’arrive de m’intoxiquer le naseau. Mais comme je flotte moins bien après, je m’abstiens autant que je peux. Et puis les sons du refoulement de gaz en surface s’entendent de loin.
 
Ceci dit, les toubibs et autres carabins appellent le pet, le vent, « flatus », un terme qui date de 1651 et trouve son origine dans le mot latin qui signifie « l’action de souffler ». Médicalement il est défini comme un « gaz produit dans l’estomac ou les intestins ».
Quant aux borborygmes, c’est le terme utilisé pour décrire le grondement dans votre ventre lorsque des gaz se forment au moment de la digestion.
Notez tout de même que la « science-en-marche » estime que la plupart des pets sont sans odeurs, au moins à hauteur de 99 % des pets émis pour être composés d’oxygène, de dioxyde de carbone, d’azote, d’hydrogène et de méthane. Or, tous ces gaz sont en fait inodores.
Quand ça sent le soufre, c’est le fait d’un œuf pas très frais qui aura été ingéré par mégarde.
Toutefois les pets des autres sentent plus mauvais que les nôtres, c’est un fait incontournable, et c’est parce que nous sommes simplement plus habitués à l’odeur de nos propres gaz.
Les pets des autres sentent donc plus fort que les siens…
 
Ceci dit et en laissant de côté bien des aspects de la flatulence, la « sagesse populaire » et plurimillénaire en dit que :
« Le pet est un gaz qui pue.
Il roule dans la vallée du kul,
Et annonce avec fracas
L’arrivée d’un gros kaka ! »
Une transition toute trouvée pour parler d’étron… Plus exactement, de nos cabinets d’aisance qui restent étonnants à travers le monde : Les toilettes sont bien un sujet des plus intéressants, en tout cas plus que vous ne le pensez !
 
Certes, elles sont essentielles pour maintenir de bons niveaux d’hygiène, mais elles ont également suscité de nombreuses controverses pour diverses raisons.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, 2,3 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à des toilettes !
Quant aux autres, leurs toilettes ne sont pas toujours « clean ».
On estime ainsi qu’une personne moyenne passe environ trois ans de sa vie aux toilettes. Oui, trois ans !
À condition de vieillir « vieux ».
Plus si on y installe une bibliothèque avec quelques bons livres ou des BD, ou si vous vous autorisez à jouer à la game-boy en ce lieu clos.
En effet, une personne moyenne ira aux toilettes 2.500 fois par an.
Je ne sais pas comment vous faites : Personnellement, c’est une fois par jour, exceptionnellement deux, très exceptionnellement plus, mais c’est seulement quand je suis malade et que je ne digère pas, ou que je suis intoxiqué par des mets avariés.
Et ne me dites pas qu’il faut compter les pauses « petits-pipis ». D’abord, en ce qui me concerne, diabétique que je suis resté, il me faut me « soulager » toutes les deux heures, et 3 à 4 fois par nuit.
Mais pour économiser les 9 litres d’eau d’une chasse, je fais comme « Kon-sta-Sot », notre génial écolologiste, me l’a demandé : Je prends une douche à chaque fois…
C’est vous dire si je suis propre et sens bon.
 
Par ailleurs, il faut savoir qu’il existe une pénurie de produits de « première nécessité » à Cuba, dont le papier toilette. La demande est si forte que certaines personnes l’introduisent clandestinement dans le pays et le revendent.
Autre chose : Les personnes qui urinent dans les rues de « Paris-sur-la-plage » sont devenues un vrai problème, et l’amende de 68 € n’a rien changé. « Sœur-Âne » s’est attelée au problème et aura décidé d’installer, en plein air des urinoirs publics écolologiques appelés « uritrottoirs ». Un simple récipient, facile d’accès, relié au tout à l’égout…
Le « Chi » avait inventé les « crotinettes » à roulettes, mais l’usage en a été réservé aux canins à qui on devait « apprendre le caniveau ».
Maintenant, les « parigots-têtes-de-veaux » ramassent leur déjections avant que ce soit enterré sous le macadam…
On les reconnaît facilement en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » quand ils n’abandonnent pas leur rituel en plein maquis…
 
Sachez également que pour éviter de salir les toilettes, les hommes en « Teutonnie » sont encouragés à faire pipi assis plutôt que debout. Au moins, ils ne se salopent plus les pompes mais les fesses qu’ils remballent ensuite dans le pantalon ou leurs Lederhosen traditionnels.
Cela a provoqué une controverse et déclenché des débats houleux sur le point de savoir si les hommes devaient ou non s’asseoir pour faire pipi.
En Suède on est moins malin : Il faut payer pour utiliser de nombreuses toilettes publiques en Suède. Si tu n’as pas de menues monnaies, tu fais sur toâ !
À Mexico City, ville connue pour ses hauts niveaux de pollution atmosphérique, les excréments se retrouvent également dans les particules d’air !
En fait, il existe au Mexique des problèmes d’hygiène majeurs, notamment en ce qui concerne la qualité de l’eau.
 
Beaucoup de gens croient qu’il existe une loi en Écosse disant « Si quelqu’un frappe à votre porte et requiert l’utilisation de vos toilettes, vous devez le laisser entrer ».
Mais c’est une légende ! Ils font comme tout le monde, derrière un arbre…
Autres choses : Lorsque vous songez à des toilettes dans le ciel, l’avion vous vient immédiatement à l’esprit. Mais sachez qu’utiliser les toilettes du plus haut bâtiment du monde, le Burj Khalifa, fonctionne aussi !
Quant aux toilettes de l’ISS, c’est un aspirateur-entonnoir, pas très commode d’utilisation, qui récupère votre production pour l’ensacher et l’évacuer dans la « poubelle » du bord. Pas question de fabriquer des « microsatellites » de crotte inutile divagants autour de la station !
 
Il faut aussi savoir que la Corée du Sud abrite le premier parc au monde sur le thème des toilettes. Si !
Mais le pays fait face à un problème : Celui des caméras cachées dans les toilettes publiques pour femmes.
Utiliser les toilettes en Antarctique peut être un peu délicat. Un scientifique affirme que les « bouteilles à pipi » sont essentielles si vous avez une envie pressante et que vous ne voulez pas affronter l’immense froid qui règne à l’extérieur.
De quoi se geler les kouilles…
On se souvient encore de la « Grande armée » du cousin « Bonaparte » durant la campagne de Russie, où les pipis tombaient en glaçon avant d’arriver au sol…
Néanmoins, il existe un certain nombre de règles pour différentes toilettes là-bas, y compris une toilette japonaise qui enveloppe et scelle vos excréments dans un sac en plastique.
D’ailleurs, les Japonais sont connus pour être à la pointe des nouvelles technologies et les toilettes ne font pas exception ! Si bien que l’expérience peut être étonnante.
On n’a même pas besoin de s’essuyer des traces d’étrons restés sur les fesses une fois expulsés du rectum. Un jet d’eau (parfois utilisé par les musulmans qui ont quelques pécules) le fait à votre place, sans les mains pour les premiers (à gauche pour les seconds) et un filet d’air tiède vous sèche le séant…
Il existe même une solution pour ceux qui se sentent gênés par les sons qu’ils émettent aux toilettes : Un appareil qui reproduit le son de l’eau qui coule !
Ce qui peut aussi vous encourager à faire pipi si vous rencontrez des difficultés !
 
La Chine avait également un problème majeur avec les toilettes publiques, ce qui a entraîné un investissement d’environ 3 milliards de dollars pour la construction et la rénovation de 68.000 d’entre elles.
Les toilettes publiques en Chine se sont considérablement améliorées depuis la… « révolution des toilettes ».
La ville chinoise de Chongqing abrite d’ailleurs les plus grandes toilettes publiques (et probablement les plus bizarres pour avoir des cuvettes et urinoirs psychédéliques) du monde. Une obsession chinoise, où on peut trouver un restaurant aménagé uniquement sur le thème des toilettes, situé dans la ville de Shenzhen.
 
Mais si vous souhaitez être plongé dans l’histoire de l’hygiène et l’évolution des toilettes dans le monde au cours des 5.000 dernières années, il vous faudra visiter le Musée international des toilettes à… New Delhi.
Tant pis pour votre signature-carbone.
Il paraît que ça reste instructif…
 
Allez, je ne vous escagasse pas plus avec ce thème « scientifique », même s’il en reste beaucoup à dire (je ne suis pas non plus gastro-entérologue diplômé) et je vous souhaite une excellente fin de fin week-end à toutes et tous !
 
I3
 
PS  et pour mémoire : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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