En ouvrant une « crise » de plus avec la
« Ritalie » !
Le navire « humanitaire » Ocean Viking a débarqué vendredi au
port militaire de Toulon 230 migrants secourus en Méditerranée, une première en
« Gauloisie-ex-post-confinée » qui suscite de vives tensions avec nos
voisins transalpins et déclenche, pour le plus grand bonheur de tous, un
nouveau débat sur le sujet de l’immigration. « Le navire a accosté vers 8 h
50 et les personnes ont commencé débarquer », a indiqué le préfet du Var
lors d’une conférence de presse.
Merci pour l’information, abondamment relayée par les « médias aux ordres ».
Avec à son bord un médecin tricolore embarqué à bord avant l’arrivée du navire à quai. Il nous a été indiqué par la porte-la-parole de l’association des « passeurs » que « le débarquement commencera d’abord par les personnes présentant des vulnérabilités particulières établies par le médecin français, puis les femmes, les enfants et les familles ».
Tout est dans l’ordre : Les femmes et les enfants d’abord, c’est une des lois de la mer(et des forbans). Les autres, à la baille !
Notez que je ne vois pas bien comment on peut être « vulnérable »
et se tamponner volontairement une odyssée à l’issue incertaine : Il y en
a des courageux, prêt à tout pour se faire soigner !
Qu’on y réfléchisse un peu : Après trois semaines d’errance à la recherche,
vaine, d’un port sûr en « Ritalie-enclavée », le « bateau
ambulance » norvégien affrété par l’ONG « Gauloisienne » SOS
Méditerranée aura accosté au port militaire de Toulon, « à titre
exceptionnel » nous précise-t-on et en vertu « d’un devoir d’humanité
», avait annoncé notre « Sinistre de l’Ordre Public & des
Cultes ». Et une fois au port, il débarquera les hommes, femmes et enfants
qu’il avait secourus au large de la Libye et ils seront immédiatement placés
dans une « zone d’attente » de confinement.
Les rescapés à bord de l’Ocean Viking, dont 57 enfants, « ne pourront pas sortir du centre administratif où on va les mettre et ne seront donc pas techniquement sur le sol français », a indiqué « Gégé-Dard-à-la-main ».
Toulon, est devenu un « port-franc » physiquement détaché du continent sans que personne ne m’ait averti et sans que personne ne puisse en administrer la souveraineté !
Leur arrivée en casernement, pour être ensuite évacués en « centre de loisir » crispe évidemment notre extrême-droâte, qui a crié au « laxisme » par la voix de « Marinella-tchi-tchi », députée du rang dans le civil, tandis que la gôche et les écololos ont salué une « décision digne des valeurs » de mon pays.
De l’art d’enfoncer les portes ouvertes…
Dès le lendemain, toutes ces personnes, qui viennent de différents pays,
dont certains en guerre comme la Syrie, ont fait l’objet d’un suivi sanitaire,
puis de contrôles de sécurité des services de renseignements, avant d’être
entendues par l’Office gauloisien de protection des réfugiés (Ofpra), qui
attribue, ou non, le statut de réfugié.
Procédure respectable.
Sauf qu’en pleine présentation d’un projet de loi sur l’immigration qui prévoit de réformer les procédures d’asile pour parvenir à expulser davantage de migrants illégitimes, l’entourage du « sinistre » a tenu à préciser que « ceux qui ne reçoivent pas l’asile seront éloignés directement depuis la zone d’attente vers leur pays d’origine ».
Et encore un voyage payé par la Princesse !
C’est aussi l’occasion de rappeler que les deux tiers des personnes ne
resteront de toute façon pas chez nous, puisqu’elles seront relocalisées dans
neuf pays, a précisé le ministère, citant la « Teutonnie » qui doit
en accueillir environ 80, le Luxembourg, la Bulgarie, la Roumanie, la Croatie,
la Lituanie, Malte, le Portugal et l’Irlande.
Et ça eu été également l’occasion pour notre « sinistre-national » de vertement critiquer le nouveau gouvernement d’extrême droâte « Ritalien » qui a refusé d’ouvrir ses ports à l’Ocean Viking, alors que le droit maritime l’y obligeait : « L’Italie a été très inhumaine. »
Bonne affaire : Il a, « en même temps », annoncé la suspension « à effet immédiat » de l’accueil prévu de 3.500 migrants actuellement en « Ritalie » et promis de tirer « les conséquences » sur les autres aspects de sa « relation bilatérale ».
Rome doit en trembler de peur…
De son côté, SOS Méditerranée a dit éprouver « un soulagement teinté d’amertume. » « Les rescapés ont vécu un véritable calvaire », a indiqué à l’Agence « Trans-Presse » la directrice de l’ONG.
Trois des 234 migrants que comptait le navire ont dû être évacués jeudi vers la Bastia pour raisons médicales, où ils ont reçu des soins appropriés avant de rejoindre leur campement provisoire.
À bord, la nouvelle du débarquement aurait suscité des scènes de liesse,
des embrassades, des chants et des larmes de joie chez ces personnes dont
certaines viennent d’Érythrée, de Syrie ou du Soudan du Sud.
Il est « urgent que les États européens mettent en place un mécanisme de répartition pérenne », a plaidé une nouvelle fois la « boss » de l’assoce, alors que la « Ritalie » multiplie les déclarations anti-migrants, victoire électorale oblige.
« L’Europe doit augmenter encore la pression sur le gouvernement italien pour le contraindre à respecter ses engagements », a estimé l’association « Gauloisie terre d’asile ».
On a bien rapatrié les cendres de Napoléon jusqu’aux Invalides…
Effectivement, depuis juin, un système de relocalisation, qui avait déjà connu un premier volet en 2019, prévoit qu’une douzaine d’États membres accueillent de manière volontaire 8.000 migrants arrivés dans des pays dits de « première ligne » comme la « Ritalie ».
Cependant, seuls 117 ont été relocalisés en vertu de ce mécanisme adopté.
Un nombre insuffisant, juge Rome, qui « prend la crampe ».
Rappelons également que depuis le début de l’année, 1.891 migrants ont
disparu en Méditerranée, en tentant de rejoindre l’Europe, dont 1.337 en
Méditerranée centrale, selon l’Organisation internationale pour les migrations
(OIM).
Je ne sais pas comment ils les comptent, puisqu’ils ne laissent pas de traces, mais admettons : Et ce sont des chiffres terribles.
Même si c’est probablement moins que des trouffions russes qui ne savaient pas qu’ils ne défendaient pas leur pays jusqu’en Ukraine.
De toute façon, c’est toujours trop.
En fait, c’est un débat récurrent, depuis l’émergence, en 2014, d’associations « humanitaires » affrétant des bateaux pour partir au large des côtes libyennes récupérer les clandestins embarqués sur des rafiots de fortune afin de les prendre en charge et de les amener tranquillement en « Ritalie », un transbordement plus tard.
Ces ONG, parties prenantes de cette immigration extra-européenne qui fond sur notre continent, seraient-elles de connivence avec les passeurs qui, on ne le dira jamais assez, ne sont rien d’autre que des trafiquants de chair humaine, des esclavagistes des temps modernes ?
La très sérieuse agence de presse « Ritalienne » Adnkronos vient
justement de jeter un pavé dans la mare : Selon un document confidentiel de
l’agence Frontex (qui garde nos frontières…), couvrant la période du 1er
janvier au 18 mai 2021 et qu’elle a pu consulter, « les migrants venant de
Libye déclarent constamment avoir vérifié, avant leur départ, la présence des
ONG dans la région, expliquant que, ‘‘en l’absence des navires des ONG en
Méditerranée, beaucoup refusent de partir’’ ».
Une connivence, sinon une complicité « de fait » est donc établie : Comment, sinon, expliquer que ces migrants aient pu vérifier la présence d’ONG à la lisière des eaux territoriales libyennes, si ce n’est par l’intermédiaire des passeurs… visiblement au fait des mouvements des navires humanitaires ?
Une connivence établie surtout par le fait que l’arrivée de ces migrants en Europe est méthodiquement assurée par ces ONG qui leur servent ainsi de garantie d’arriver à bon port en toute sécurité.
Presqu’une « promenade de santé »…
Adnkronos poursuit : « En raison de la réorganisation des routes des trafiquants d’êtres humains, la Libye, et Zuara en particulier, sont devenues un pôle d’attraction et l’embarquement principal vers l’Europe et l’Italie. »
La « jungle de Calais » aussi, en sont temps.
Bref, les ONG font l’essentiel du boulot, les passeurs n’ayant plus qu’à sortir des eaux territoriales, la côte restant en vue par beau temps… (pour le retour).
Et citant le document confidentiel de Frontex : « La Libye est une fois
de plus perçue par les Subsahariens comme le dernier pays de départ pour
rejoindre l’UE. Le fait qu’à ce jour beaucoup de ces migrants signalés dans
l’opération navale européenne Themis n’aient besoin que d’une période de six à
sept mois pour rejoindre l’Italie suggère que les réseaux criminels ont
efficacement adapté leur mode opératoire pour ‘‘trafiquer’’ les migrants en
Libye et au-delà en Italie. »
Zuara, c’est une ville portuaire libyenne à 60 km de la frontière tunisienne, elle est donc devenue « une plaque tournante du trafic et le principal lieu de dernier départ en Libye et dans la région de la Méditerranée centrale », ce fameux couloir migratoire d’où il est parti « environ 40 % de tous les migrants signalés en Méditerranée centrale ».
Enfin, Adnkronos explique que, grâce aux interrogatoires de débriefing, Frontex observe « de plus en plus l’implication directe des milices des autorités locales dans l’activité de ‘‘trafic’’ à Zuara. (…) Cette zone continuera probablement à attirer les migrants qui cherchent à rejoindre l’Italie depuis la Libye », conclut le rapport.
Et curieusement cette révélation de l’agence de presse « Ritalienne »
n’a rencontré aucun écho en « Gauloisie-des-droits-de-l’Homme » (et
de la femme et des bambins). Cela confirmerait peut-être trop visiblement le
discours de Matteo Salvini et de Giorgia Meloni en la matière (approuvé par 63
% des « Ritaliens ») et relancerait le conflit entre Frontex, chargé
du contrôle des frontières, et les ONG chargées d’amener les migrants de Libye
en Europe.
Rappelons, à ce sujet, que seuls 16 % des migrants empruntant le couloir de Méditerranée centrale arrivent par les bateaux de ces ONG.
Tous les autres passent par ailleurs.
À la Commission européenne, un député européen du groupe Identité et Démocratie, Antonio Maria Rinaldi, figure notoire de la Ligue de Matteo Salvini, n’entend pas laisser enterrer cette « bombe ».
Avec notamment Marco Zanni, président d’ID, il a formulé une interrogation avec demande de réponse écrite à ce sujet : « La Commission a-t-elle connaissance de ce document confidentiel ? En outre, par souci de transparence, n’estime-t-elle pas qu’il soit nécessaire de publier ce document ? Enfin, si ces révélations étaient confirmées par le document Frontex, ne pense-t-elle pas que ces éléments seraient à considérer en priorité dans le cadre de la réforme actuelle contenue dans le ‘‘pacte européen sur l’asile’’ ? »
Plus largement, ce rapport fuité opportunément par Frontex bat sérieusement en brèche le discours moralisateur et en même temps faussement ferme mais vraiment laxiste des grandes consciences de gôche comme du gouvernement.
« Le roi est nu et ça commence à se voir » en disent certains.
Personnellement, je ne comprends toujours pas pourquoi l’équipage du
navire n’a pas été arraisonné par les autorités administratives (ou militaires)
toulonnaises pour « complicité de trafic de chair humaine » et leur
navire saisi.
Le drame de la migration, parce que c’est un drame répété, c’est que des « bénévoles » y apportent leur concours (alors que d’autres réclament un crédit d’impôt pour don à des associations et fondations), faisant les choux gras des « passeurs-esclavagistes » locaux (autrement dit des mafias libyennes et d’ailleurs) en faisant pleurer les chaumières occidentales avec des images poignantes de gamins noyés et des discours larmoyants sur l’Humanisme des « Lumières ».
Tout et son contraire, quoi, parce que ça revient à financer des bandits, des voyous, des trafiquants et des mafieux… combattus par ailleurs avec nos impôts !
Je pense qu’un séjour en détention et une rétention administrative des
navires devraient refroidir les ardeurs des uns et des autres, tant que nous
n’avons pas les moyens matériels d’accueillir tous ces migrants qui restent des
êtres humains à part entière et ont parfaitement le droit au même respect,
commun à tous ceux qui sont nés sur cette petite planète bleue.
(Les « exogènes », c’est un autre souci…)
D’autant qu’en soi, cette « chair à trafic », ça reste une sorte de miracle cosmologique de la nature (ou de la création) qui reste si fragile !
Alors, en rajouter entre bipèdes de la même espèce et alors qu’aucun de nous tous n’a vraiment choisi de naître ici (ou là) à cette époque-là (ou ci), il y a un minimum qui relève du simple bon sens et pas de la « police politique », non ?
Merci pour l’information, abondamment relayée par les « médias aux ordres ».
Avec à son bord un médecin tricolore embarqué à bord avant l’arrivée du navire à quai. Il nous a été indiqué par la porte-la-parole de l’association des « passeurs » que « le débarquement commencera d’abord par les personnes présentant des vulnérabilités particulières établies par le médecin français, puis les femmes, les enfants et les familles ».
Tout est dans l’ordre : Les femmes et les enfants d’abord, c’est une des lois de la mer
Les rescapés à bord de l’Ocean Viking, dont 57 enfants, « ne pourront pas sortir du centre administratif où on va les mettre et ne seront donc pas techniquement sur le sol français », a indiqué « Gégé-Dard-à-la-main ».
Toulon, est devenu un « port-franc » physiquement détaché du continent sans que personne ne m’ait averti et sans que personne ne puisse en administrer la souveraineté !
Leur arrivée en casernement, pour être ensuite évacués en « centre de loisir » crispe évidemment notre extrême-droâte, qui a crié au « laxisme » par la voix de « Marinella-tchi-tchi », députée du rang dans le civil, tandis que la gôche et les écololos ont salué une « décision digne des valeurs » de mon pays.
De l’art d’enfoncer les portes ouvertes…
Procédure respectable.
Sauf qu’en pleine présentation d’un projet de loi sur l’immigration qui prévoit de réformer les procédures d’asile pour parvenir à expulser davantage de migrants illégitimes, l’entourage du « sinistre » a tenu à préciser que « ceux qui ne reçoivent pas l’asile seront éloignés directement depuis la zone d’attente vers leur pays d’origine ».
Et encore un voyage payé par la Princesse !
Et ça eu été également l’occasion pour notre « sinistre-national » de vertement critiquer le nouveau gouvernement d’extrême droâte « Ritalien » qui a refusé d’ouvrir ses ports à l’Ocean Viking, alors que le droit maritime l’y obligeait : « L’Italie a été très inhumaine. »
Bonne affaire : Il a, « en même temps », annoncé la suspension « à effet immédiat » de l’accueil prévu de 3.500 migrants actuellement en « Ritalie » et promis de tirer « les conséquences » sur les autres aspects de sa « relation bilatérale ».
Rome doit en trembler de peur…
De son côté, SOS Méditerranée a dit éprouver « un soulagement teinté d’amertume. » « Les rescapés ont vécu un véritable calvaire », a indiqué à l’Agence « Trans-Presse » la directrice de l’ONG.
Trois des 234 migrants que comptait le navire ont dû être évacués jeudi vers la Bastia pour raisons médicales, où ils ont reçu des soins appropriés avant de rejoindre leur campement provisoire.
Il est « urgent que les États européens mettent en place un mécanisme de répartition pérenne », a plaidé une nouvelle fois la « boss » de l’assoce, alors que la « Ritalie » multiplie les déclarations anti-migrants, victoire électorale oblige.
« L’Europe doit augmenter encore la pression sur le gouvernement italien pour le contraindre à respecter ses engagements », a estimé l’association « Gauloisie terre d’asile ».
On a bien rapatrié les cendres de Napoléon jusqu’aux Invalides…
Effectivement, depuis juin, un système de relocalisation, qui avait déjà connu un premier volet en 2019, prévoit qu’une douzaine d’États membres accueillent de manière volontaire 8.000 migrants arrivés dans des pays dits de « première ligne » comme la « Ritalie ».
Cependant, seuls 117 ont été relocalisés en vertu de ce mécanisme adopté.
Un nombre insuffisant, juge Rome, qui « prend la crampe ».
Je ne sais pas comment ils les comptent, puisqu’ils ne laissent pas de traces, mais admettons : Et ce sont des chiffres terribles.
Même si c’est probablement moins que des trouffions russes qui ne savaient pas qu’ils ne défendaient pas leur pays jusqu’en Ukraine.
De toute façon, c’est toujours trop.
En fait, c’est un débat récurrent, depuis l’émergence, en 2014, d’associations « humanitaires » affrétant des bateaux pour partir au large des côtes libyennes récupérer les clandestins embarqués sur des rafiots de fortune afin de les prendre en charge et de les amener tranquillement en « Ritalie », un transbordement plus tard.
Ces ONG, parties prenantes de cette immigration extra-européenne qui fond sur notre continent, seraient-elles de connivence avec les passeurs qui, on ne le dira jamais assez, ne sont rien d’autre que des trafiquants de chair humaine, des esclavagistes des temps modernes ?
Une connivence, sinon une complicité « de fait » est donc établie : Comment, sinon, expliquer que ces migrants aient pu vérifier la présence d’ONG à la lisière des eaux territoriales libyennes, si ce n’est par l’intermédiaire des passeurs… visiblement au fait des mouvements des navires humanitaires ?
Une connivence établie surtout par le fait que l’arrivée de ces migrants en Europe est méthodiquement assurée par ces ONG qui leur servent ainsi de garantie d’arriver à bon port en toute sécurité.
Presqu’une « promenade de santé »…
Adnkronos poursuit : « En raison de la réorganisation des routes des trafiquants d’êtres humains, la Libye, et Zuara en particulier, sont devenues un pôle d’attraction et l’embarquement principal vers l’Europe et l’Italie. »
La « jungle de Calais » aussi, en sont temps.
Bref, les ONG font l’essentiel du boulot, les passeurs n’ayant plus qu’à sortir des eaux territoriales, la côte restant en vue par beau temps… (pour le retour).
Zuara, c’est une ville portuaire libyenne à 60 km de la frontière tunisienne, elle est donc devenue « une plaque tournante du trafic et le principal lieu de dernier départ en Libye et dans la région de la Méditerranée centrale », ce fameux couloir migratoire d’où il est parti « environ 40 % de tous les migrants signalés en Méditerranée centrale ».
Enfin, Adnkronos explique que, grâce aux interrogatoires de débriefing, Frontex observe « de plus en plus l’implication directe des milices des autorités locales dans l’activité de ‘‘trafic’’ à Zuara. (…) Cette zone continuera probablement à attirer les migrants qui cherchent à rejoindre l’Italie depuis la Libye », conclut le rapport.
Rappelons, à ce sujet, que seuls 16 % des migrants empruntant le couloir de Méditerranée centrale arrivent par les bateaux de ces ONG.
Tous les autres passent par ailleurs.
À la Commission européenne, un député européen du groupe Identité et Démocratie, Antonio Maria Rinaldi, figure notoire de la Ligue de Matteo Salvini, n’entend pas laisser enterrer cette « bombe ».
Avec notamment Marco Zanni, président d’ID, il a formulé une interrogation avec demande de réponse écrite à ce sujet : « La Commission a-t-elle connaissance de ce document confidentiel ? En outre, par souci de transparence, n’estime-t-elle pas qu’il soit nécessaire de publier ce document ? Enfin, si ces révélations étaient confirmées par le document Frontex, ne pense-t-elle pas que ces éléments seraient à considérer en priorité dans le cadre de la réforme actuelle contenue dans le ‘‘pacte européen sur l’asile’’ ? »
Plus largement, ce rapport fuité opportunément par Frontex bat sérieusement en brèche le discours moralisateur et en même temps faussement ferme mais vraiment laxiste des grandes consciences de gôche comme du gouvernement.
« Le roi est nu et ça commence à se voir » en disent certains.
Le drame de la migration, parce que c’est un drame répété, c’est que des « bénévoles » y apportent leur concours (alors que d’autres réclament un crédit d’impôt pour don à des associations et fondations), faisant les choux gras des « passeurs-esclavagistes » locaux (autrement dit des mafias libyennes et d’ailleurs) en faisant pleurer les chaumières occidentales avec des images poignantes de gamins noyés et des discours larmoyants sur l’Humanisme des « Lumières ».
Tout et son contraire, quoi, parce que ça revient à financer des bandits, des voyous, des trafiquants et des mafieux… combattus par ailleurs avec nos impôts !
(Les « exogènes », c’est un autre souci…)
D’autant qu’en soi, cette « chair à trafic », ça reste une sorte de miracle cosmologique de la nature (ou de la création) qui reste si fragile !
Alors, en rajouter entre bipèdes de la même espèce et alors qu’aucun de nous tous n’a vraiment choisi de naître ici (ou là) à cette époque-là (ou ci), il y a un minimum qui relève du simple bon sens et pas de la « police politique », non ?
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