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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 24 novembre 2022

Un post qui devrait figurer dans la rubrique « Le coin du juriste-fiscaliste »

 La culture « réveillée »… (woke)
 
Avertissement : « LE PRÉSENT BILLET A ÉTÉ CRÉÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » ! »
 
En effet, pour les féministes, « Miss Gauloisie » est discriminatoire… et ce genre de chose se règle devant les prud’hommes !
Sauf que je n’ai aucun texte de décision à vous présenter, puisque ça n’est pas encore décidé par la justice de mon pays (qui n’est pas encore russe…).
On se rappelle ― seulement pour ceux qui étaient nés à cette époque-là ― que naguère, l’élection de « Miss Gauloisie » était ce qu’on appelle un moment de « télévision populaire ».
Les familles se mettaient devant la télé, un samedi soir de décembre, pour regarder défiler, venues de tout le pays, les jeunes filles réputées être les plus belles du pays.
Au moins c’est formateur sur les canons de la beauté féminine…
Autrement dit, on pouvait régaler sa macula en amortissant le coût sa redevance télé, en tout bien tout honneur, puisqu’il ne s’agissait pas d’un spectacle censuré pour pornographie ou autre monstruosité pédopornographique, même si certaines candidates pouvaient paraître bien jeunes.
Tout juste une once d’érotisme quand les demoiselles paradaient en bikini (quoique celui-là n’a pas été de mode tout de suite…)
 
Et puis il y avait un peu de chauvinisme régional dans les chaumières par-dessus tout ça, et dans les discussions (« Miss Provence fait vulgaire », « Miss Pas-de-Calais est toute pâlotte », « Miss Corsica-Bella-Tchi-tchi fait penser à un mouflon », « Miss Bretagne est limite prognathe », « Miss Aveyron est un peu brachycéphale », etc.…), d’autant plus que ces belles jeunes filles toute de chair fraîche ne défilaient pas seulement en maillot de bain, contrairement à ce qu’un raccourci facile voudrait nous mystifier.
(Quoique c’était la séquence préférée de « mon papa à moâ », celui qui me fait encore frémir quand je l’évoque…).
On les voyait aussi en costume régional, ces costumes venus d’une culture « Gauloisienne » qui n’existe que dans la diversité. Il y avait des entretiens d’embauche avec le présentateur (moments irradiants de spontanéité et d’ingénuité : « Je suis actuellement… en BTS esthéticienne… dans le but de devenir… esthéticienne… » ; « Je veux faire caissière au supermarché près de chez mes parents, comme ça je les verrais tous les jours ».
Aucune ne souhaitant rencontrer un prince charmant et à charmer, naturellement, les petites-filles avaient grandi et ne croyaient déjà plus aux contes de fée et au Père Noël !
(Un présentateur qui fut très longtemps l’inoxydable Jean-Pierre Foucault et avant lui l’indétrônable Léon Zitrone avec ses toques et casaques du PMU en direct).
 
Bref, une fois de plus, le dieu des foyers domestiques donnait un peu de sel à l’enchaînement des jours de la « Gauloisie-populaire » à travers « l’étrange petite lucarne » et cette compétition absurde, moquée par tous les médias.
Au moins, chez Mister univers, il s’agit de montrer ses muscles et ça demande beaucoup d’efforts, de sueurs, d’anabolisants et de stéroïdes.
La beauté, certes ça s’entretient, mais c’est un acquis de naissance : Il suffit de sélectionner correctement ses géniteurs, espérer qu’ils ne picolent pas trop, et se donner la peine de naître…
 
Changement de plan des « woke-féministes » : Ça ne peut plus durer comme ça !
Et tous ces beaufs’ qui ne se rendent même pas compte qu’aimer son pays, ses régions et rendre hommage à la beauté des jeunes filles, c’est en soi un problème… Un problème d’éveil des consciences, naturellement.
Culture du viol en cultivant les fantasmes les plus odieux avec de la chair fraîche ?
Repli régionaliste nauséabond et indécent sur la scène des mondialistes ?
Probablement un peu de tout ça.
Mais pas seulement, car surtout, selon le collectif « Osez le féminisme ! », cette compétition est horriblement discriminante, jusqu’à l’odieux.
Réfléchissez, pour y participer, non seulement il faut avoir été primé dans son village, puis dans son canton, enfin dans son département, puis dans sa région, avant de pouvoir espérer « kon-péter » autour de la planète pour un titre « mondial » ou « universel ».
Mais pas seulement : En effet, le règlement du concours « Miss Gauloisie » stipule que les candidates doivent mesurer au minimum 1,70 mètre et être « représentatives de la beauté ».
Ça alors, l’horreur !
Le collectif a donc porté plainte pour discrimination à l’embauche sur la base du droit du travail.
Et le jugement sera rendu aux prud’hommes le 6 janvier prochain (c’est pour cette raison que ce post d’un agent « non russe » ne peut pas encore être mis en ligne dans la rubrique « le coin du juriste-fiscaliste »).
Mais la démarche interpelle tout de même.
 
La production avait pourtant fait un effort sur les critères en cessant d’exiger que les candidates fussent célibataires et sans enfant.
Le concept de « Miss », qui signifie « Mademoiselle » (un terme qui a disparu du langage juridique « Gauloisien ») et qui est devenu flou avec les années, d’autant que la société a changé : On ne réclame plus de certificat de virginité pour kon-courir.
En revanche, 1,70 mètre semblait une norme intangible facile à comprendre pour le woke-féminisme, notamment du fait du port de robes de créateurs (faites pour les grandes) lors de la soirée.
Salauds de couturiers discriminant qui ne veulent pas habiller ni les cageots ni les boudins…
En revanche, les anorexiques, les planches à repasser, les silhouettes androgynes et les fils de fer, ça ils adorent.
À croire qu’ils en deviendraient tous gays pour ne pas aimer vraiment les formes rondes et féminines qu’ils parviennent pourtant, et paradoxalement, à sublimer avec quelques bouts de tissus disparates…
 
En revanche, le second critère, « représentatives de la beauté », semble plus périlleux en ces temps très relativistes.
Le temps du nombre d’or, des profils classiques, des silhouettes harmonieuses et d’une représentation univoque de la beauté est révolu. Il n’y a qu’à voir la spectaculaire évolution des campagnes de publicité féminine entre les années 2000 et nos jours.
Ce flou artistique n’a pas contenté « Osez le féminisme ! » qui déclare : « Est-ce qu’en 2022 on peut encore mettre en concurrence des femmes sur des critères sexistes, sur des diktats et injonctions irréalistes ?
La société n’a plus envie de ça, ça devient ringard. »
C’est qu’au fond, tout le monde doit bien savoir que la beauté est objective et qu’elle obéit à des invariants.
Personnellement, quand je fais un tour dans les musées admirer les chefs-d’œuvre d’ancêtres disparus depuis parfois des siècles ou des millénaires, je reste un peu stupéfait de la représentation qu’ils font tous de la féminité dans leurs statuaires ou, plus récemment, dans leurs peintures.
Je veux dire que, à part les œuvres dites « dites primitives » qui ressemblent plus à des Botero ou des Picasso, la beauté est célébrée dans la nudité, plus ou moins… dénudée, mais reste celle des jeunes pucelles ou de jeunes éphèbes.
Nos artistes étaient déjà des pédo-pervers !
Ou alors c’est carrément celle du muscle, pas encore « clou et cuir » mais presque, avec une nette tendance au voyeurisme des pénis mis en valeur sans avoir l’air d’y toucher…
 
Plus généralement, en 2022, peut-on encore mettre en concurrence des femmes ailleurs que sur un ring de catch (et encore… tellement c’est dégradant) ?
Notez que c’est ce que les femmes elles-mêmes font tous les jours avec les hommes, même si ça ne se passe pas à la télé. C’est le jeu de la vie.
Et entre elles, la concurrence est parfois rude pour séduire un mâle « représentant kouillu de l’espèce », je peux en témoigner.
Ainsi, dans la pub, quel monsieur, gros, gras, adipeux et chauve pourrait exiger de représenter une ligne de sous-vêtements sur un panneau en 4 x 3 ?
Deux poids deux mesures, n’est-ce pas…
Quant à savoir si ces critères sont sexistes… Disons que oui, dans la mesure où ils sont masculins, cela coule de source chez les féministes (woke ou non).
Du coup, les woke-féministes peuvent bien déconstruire tout ce qu’elles veulent, même devant les Prud’hommes, la majorité des hommes préférera toujours Rachel Welch, Adriana ou BB, c’est comme ça.
 
Ensuite, le « la société n’a plus envie de ça, ça devient ringard ».
Voire !
Pour des quadras « parigots CSP++ » aigries qui, après avoir multiplié les aventures, finiront par malaxer des chatons devant Netflix, peut-être.
Pour un couple de Gauloisiens-moyens, déformés par la vie, la bouffe aux hormones et les canettes de bière frelatée, peut-être moins.
Au contraire peut-être même : Les « gauloisiens », les vrais, le peuple, celui qui vote en somme et paye avec bonheur, ont vraisemblablement envie de beauté, y compris de la part de leurs enfants et pour leurs rejetons.
Mais bon, nous devrons attendre avec impatience le 6 janvier pour savoir s’il est ou non discriminatoire de recruter que de belles jeunes femmes pour un concours de beauté.
Et même pour savoir s’il est ou non répréhensible d’organiser des concours de beauté qui se prolongent sur le plan international.
 
La question, en fin de compte, est de savoir si la beauté « objective », y compris des corps, a encore droit de cité, puisqu’elle est une vivante discrimination.
Et puis moâ j’attends qu’une Andréa Furet (transgenre dans sa tête et son corps) gagne ce concours.
Déjà, qu’il puisse participer relève de l’exploit juridique. Mais il elle a été éliminée au mois d’octobre empêché de poursuivre la compétition au titre de « Miss Île-de-Gauloisie » à Dammarie-les-Lys.
Il, elle ne regrette rien, en plus et en dit que « J’avoue que c’est une petite surprise pour moi de ne pas faire partie des finalistes mais j’ai été très soutenue et j’ai donné le maximum, c’est tout ce qui compte » et de repartir du concours « avec beaucoup d’émotion et le sentiment du devoir accompli. »
Pour une mannequin-comédienne, c’est effectivement une rampe de lancement formidable…
 
Dommage : J’aurai bien rigolé, parce qu’après tout, je ne vois pas pour quelle raison les « kouillus » comme moâ (et mon simple quintal de muscles et de neurones) ne peuvent pas participer en qualité de candidat à cette élection des Miss.
C’est tout de même une discrimination invraisemblable que personne, hélas, ne dénonce, pas même les wokes de « Osez le féminisme ! » : Devoir se faire « bistourer » et « hormoner » pour participer à un concours réservé uniquement aux femmes (-objets), c’est écœurant.
Donc je ne serai pas ― une fois de plus ― devant mon écran le 17 décembre.
De toute façon, on n’y voit plus la charmante Geneviève et son chapeau iconique…
 
Pour rappel : « LE PRÉSENT BILLET A ÉTÉ CRÉÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » ! »

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