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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 11 octobre 2021

« Pandora-Pampers »

Autre décryptage
 
En fin de semaine dernière, suite à mon post de mercredi dernier (https://flibustier20260.blogspot.com/2021/10/faisceau-de-fils-rouge.html), où je vous faisais part d’une « première impression » quant à notre campagne électorale et les « feux verts » allumés par certains, je reçois un message d’un inconnu qui me fait part de ses propres analyses.
Je réponds poliment et il me renvoie une série d’arguments qui l’interroge, pour finalement me demander ce que j’en pense.
Dans l’urgence (coutumière) je reprends pour lui répondre.
Il se reconnaîtra.
 
Il commence par dire sa stupéfaction de voir ces « Pandora-Pampers » surgir soudainement de nulle part…
Pourquoi cette parution et ce scandale mondial à ce moment-ci de la crise pandémique qui s’essouffle ?
« Mondial », c’est vrai, alors que je n’avais qu’une lecture hexagonale autocentrée dans ma première réaction…
Parfois, je manque de « hauteur », c’est comme ça.
La crise sanitaire qui s’essouffle, je ne serai pas aussi confiant que lui : On va nous redonner du « mutant » d’ici sous peu.
La soupe était tellement bonne qu’il serait dommage de ne pas resservir un peu de rabiot…
 
Pour lui, « Ces « papers » ne sont que le coin gauche de la couverture nauséabonde qui recouvre les activités des larbins politiciens, des vedettes et d’une pléthore de riches corrompus ».
Probablement.
Et il continue.
« Pourquoi quelques milliardaires cupides et le gouvernement américain corrompu ont-ils chargé de cette besogne une bande de journalistes stipendiés ? Ces mêmes journalistes « d’enquête », qui n’ont pas fait leur travail d’enquête pendant dix-huit mois de pandémie bidon, tout à coup se réveillent et nous lance sur la piste futile des tricheurs d’impôts ? »
On peut se poser la question, en effet.
Sauf que la pandémie n’est pas une « fiction » mais bien réelle.
Elle a seulement été « instrumentalisée » pour « changer le monde », défoncer les libertés publiques de nos démocraties « 1.0 » au profit d’une autre qui n’est jamais qu’une « démocrature 2.0 », à l’instar de toutes les « dictatures démocratiques » que sont, par exemple, la Chine et la Russie.
En revanche, c’est vrai que cette séquence s’essouffle… conjoncturellement.
Et curieusement, on nous jette en pâture quelques fraudeurs putatifs qui n’ont fait que « s’enrichir en passant » pour être au bon endroit au bon moment.
On vient même d’en enterrer un et avec « les honneurs » (cf. : https://flibustier20260.blogspot.com/2021/10/ils-sont-fort-droles-une-fois-de-plus.html) toutes hontes bues : Je ne m’étonne plus de rien, savez-vous !
 
D’après lui, il faut considérer que c’est la 3ème diffusion de tels papiers « incendiaires » et que les deux précédents drames journalistiques n’ont apporté aucun changement sauf de rendre les riches plus futés et plus tordus pour se soustraire à l’impôt.
Belle conclusion !
Mais ils n’ont rien d’incendiaires et relève plutôt de la presse-caniveau : J’attends les éventuelles poursuites pour le confirmer…
 
« De fait, à l’occasion de la crise pandémique bidon, les banquiers et les GAFAM sont à peaufiner un nouveau système financier numérisé comprenant une fiche universelle d’identification biométrique (le pass-sanitaire), une application de reconnaissance faciale à la chinoise et le remplacement de la monnaie papier par la monnaie numérique unique. »
« Le passe sanitaire premier stade du processus de gestion totalitaire mondialisé ».
Je demande à voir : C’est plus compliqué que ça. Il s’agit désormais de convaincre et non d’imposer, car ça ne marchera pas aussi facilement, désormais.
 
Et afin de justifier un tel système de contrôle policier mondialisé le gouvernement américain jette alors en pâture une poignée de fraudeurs que la masse des péquenots s’illusionneront pouvoir emprisonner en réclamant la prison numérique pour tous !
Cependant, le propre de l’évasion fiscale c’est de permettre aux riches de s’évader.
Certes, mais de s’évader des « enfers fiscaux », un autre totalitarisme qui ne dit pas son défaut essentiel jusqu’à devenir totalement confiscatoire au fil du temps…
La solution n’est pas de réprimer, mais d’adoucir la facture fiscale, tout simplement.
 
« Il y a donc eu une autre « fuite » de documents concernant des placements offshores permettant de réaliser des économies d’impôts, réalisés par des personnes que les États-Unis n’aiment pas :  Les transactions secrètes et les actifs cachés de certaines des personnes les plus riches et les plus puissantes du monde ont été révélés par la plus grande fuite de données offshore de l’histoire. »
Je veux bien, mais dénoncer ce n’est pas non plus démontrer…
« Les « Pandora Pampers » représentent la dernière – et la plus importante en termes de volume de données – d’une série de fuites majeures de données financières qui touchent le monde offshore depuis 2013 ».
Il n’y a cependant aucun indice sur la manière dont ces papiers ont été acquis : « Qui y a eu accès ? Comment ? Quelle était la chaîne de conservation de ces documents ? S’agit-il des dossiers complets de ces 14 sociétés ou certains ont-ils été supprimés avant d’être publiés ? Lesquels ? Tous ces dossiers sont-ils authentifiés et vérifiés ou y a-t-il des documents falsifiés parmi eux ? »
De bonnes questions, effectivement.
 
D’ailleurs, aucun des rapports de la presse n’a abordé ces questions.
« Mais il y a au moins deux indices importants que ces « Pandora papers » font partie, comme les « Panama papers » il y a cinq ans et les « Paradise papers » il y a quatre ans, d’une « opération de manipulation de l’information » menée par les suspects habituels des 5 eyes, les services secrets des États-Unis, du Royaume-Uni, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande ».
Pourquoi pas ?
Moâ, ce qui m’importe de savoir c’est pourquoi certaines personnes n’y figurent pas : Je trouve cela assez curieux !
 
Et lui de rappeler que le 3 juin 2021, la Maison Blanche organisait une conférence de presse, menée par des hauts fonctionnaires de l’administration, sur la lutte contre la corruption.
Et il m’en donne le texte préalablement traduit (je ne sais donc pas s’il est authentique) mais je vous le reproduis tout de même…
« Officiel principal de l’administration : Super ! Merci. Bonjour à tous ! Bonjour et merci de vous joindre à l’appel aujourd’hui. Je suis très enthousiaste à l’idée de vous parler du programme de lutte contre la corruption du Président, avant le lancement, plus tard dans la matinée, d’un mémorandum d’étude sur la sécurité nationale – NSSM – sur la lutte contre la corruption.
Ainsi, avec ce mémorandum, le président Biden établit officiellement la lutte contre la corruption comme un intérêt fondamental de la sécurité nationale des États-Unis. C’est un engagement qu’il a pris pendant la campagne. Et sa promesse était qu’il donnera la priorité aux efforts de lutte contre la corruption et qu’il apportera davantage de transparence aux systèmes financiers américains et internationaux ».
 
Le mémorandum en question est assez court. Sous « Section 2 : Stratégie », il y a plusieurs points intéressants :
« (c) Tenir pour responsables les individus corrompus, les organisations criminelles transnationales et leurs facilitateurs, notamment en identifiant, en gelant et en recouvrant, le cas échéant, les avoirs volés grâce à un partage accru de l’information, à la collecte et à l’analyse de renseignements, à des mesures d’exécution pénales ou civiles, à des avis et à des sanctions ou à d’autres autorités et, lorsque cela est possible et approprié, en restituant les avoirs recouvrés au profit des citoyens lésés par la corruption ;
(…)
(e) Soutenir et renforcer la capacité de la société civile, des médias, d’autres acteurs de la surveillance et les responsables à mener des recherches et des analyses sur les tendances de la corruption, à plaider en faveur de mesures préventives, à enquêter sur la corruption et à la mettre au jour, à demander des comptes aux dirigeants et à informer et soutenir les efforts de réforme et de responsabilité du gouvernement, et s’efforcer d’offrir à ces acteurs un environnement opérationnel sûr et ouvert aux niveaux national et international ;
(f) Travailler avec des partenaires internationaux pour lutter contre la corruption stratégique des dirigeants étrangers, des entreprises d’État étrangères ou affiliées, des organisations criminelles transnationales et d’autres acteurs étrangers et de leurs collaborateurs nationaux, notamment en comblant les lacunes exploitées par ces acteurs pour s’ingérer dans les processus démocratiques aux États-Unis et à l’étranger ; »
 
Avec les « Pandora-Pampers » participe donc bien à une première mise en œuvre de cette stratégie.
Sauf qu’en « bon juriste, je fais deux différences :
L’une entre fraude fiscale et « optimisation fiscale » qui ne sont pas de même nature puisque l’une est interdit et punie alors que l’autre est encouragée par le Législateur lui-même…
Et l’autre entre fraude et corruption. Frauder, c’est planquer et on se fait choper quand ça ressort.
Corrompre, c’est être actif pour extorquer une chose à laquelle vous ne pourriez pas prétendre autrement.
 
Toutefois, d’après lui, les États-Unis utilisent leurs capacités de renseignement, c’est-à-dire qu’ils piratent les systèmes des fournisseurs de services extraterritoriaux, et diffusent sélectivement tout ce qu’ils jugent utile à leur objectif à la « société civile » et aux médias qui publient (ou non) les informations qu’ils reçoivent !
Admettons…
 
Dans les questions-réponses de leur briefing de base, les « hauts fonctionnaires de l’administration » ont confirmé que c’était exactement ce qu’ils prévoyaient de faire :
« Merci de faire cela. Comme vous le savez, les militants anti-corruption exhortent périodiquement le gouvernement américain à utiliser ses différents atouts et capacités, y compris la communauté du renseignement, pour exposer des cas spécifiques de corruption à l’étranger, pour nommer et faire honte aux fonctionnaires corrompus – et les arguments qu’ils avancent sont familiers – mais comprennent également non seulement, vous savez, une dissuasion de la corruption, mais aussi une contribution possible à la promotion de la démocratie. »
Or, de ce que j’en sais, les « Pandore-Pampers » sont en pleine confusion avec l’optimisation fiscale/corruption…
Passons.
 
Est-ce que le mémorandum – le programme – comprend un élément qui se rapporte à cela ?
« Ce que je peux dire à ce sujet, c’est que le mémorandum inclut des composantes de la communauté du renseignement. Donc, le travail sur ce front, en partie, reste à voir, mais ils participent – le directeur du renseignement national et l’Agence centrale de renseignement.
Nous allons donc examiner tous les outils à notre disposition pour nous assurer que nous identifions la corruption là où elle se produit et que nous prenons les mesures appropriées.
Et je profite de l’occasion pour mentionner que nous allons également utiliser cet effort pour réfléchir à ce que nous pouvons faire de plus pour soutenir d’autres acteurs qui, dans le monde, exposent la corruption et la mettent en lumière.
Bien sûr, le gouvernement américain a ses propres méthodes internes, mais, en grande partie, la façon dont la corruption est exposée est le travail des journalistes d’investigation et des ONG d’investigation.
Le gouvernement américain – comme je l’ai dit plus tôt, en termes de soutien que nous fournissons déjà – dans certains cas, fournit un soutien à ces acteurs. Et nous allons examiner ce que nous pouvons faire de plus sur ce front également. »
 
Que signifie le mot « soutien » dans ce contexte ?
« Eh bien, parfois, cela se résume à l’assistance étrangère. Il existe des lignes d’assistance qui ont permis de faire démarrer des organisations de journalisme d’investigation. Ce qui me vient le plus immédiatement à l’esprit est l’OCCRP, ainsi que l’assistance étrangère qui va aux ONG, en fin de compte, qui font un travail d’investigation sur la lutte contre la corruption, également ».
Autrement dit, le projet prétendument indépendant Organized Crime And Corruption Reporting Project (OCCRP) est financé, comme le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), par diverses fondations « occidentales » et gouvernements « occidentaux ».
On pense notamment à Soros et son « Open society », le même qui aura ruiné la Livre Sterling il y a quelques années de ça aura failli emporter l’ancêtre de l’Euro, « l’ECU » du « serpent monétaire européen »…
En revanche, comme l’admet le « haut fonctionnaire de l’administration », il a été « lancé » par le gouvernement américain et probablement britannique par la suite.
C’est un aveu.
 
Dans les faits, les États-Unis ont copié le modèle de WikiLeaks. En 2017, l’administration « McDo-Trompe » a traité WikiLeaks de « service de renseignement hostile non étatique » pour avoir publié des documents gouvernementaux secrets qui lui ont été remis par des lanceurs d’alerte qui dénonçaient des meurtres, des piratages et d’autres méfaits du gouvernement américain.
Or, pendant de nombreuses années, les États-Unis ont soutenu la concurrence de Wikileaks en fondant et/ou en soutenant l’OCCRP, l’ICIJ et d’autres organisations similaires qui sont alimentées par des documents fournis par des agences de renseignement des « 5 Eyes ».
Ces organisations sont des « services de renseignement non étatiques » qui publient les documents privés de personnes que les « 5 Eyes » n’aiment pas.
 
« Nous sommes en quelque sorte dans l’après-WikiLeaks en ce moment », a déclaré un ancien haut responsable du contre-espionnage.
Pourtant, les services d’espionnage ont de plus en plus recours à un modèle de type WikiLeaks pour mettre en ligne des documents volés.
En 2018, l’administration « McDo-Trompe » a accordé à la CIA de nouvelles autorisations secrètes agressives pour entreprendre le même genre d’opérations de « hack-and-dump » pour lesquelles les renseignements russes avaient utilisé WikiLeaks.
Entre autres actions, l’agence a utilisé ses nouveaux pouvoirs pour diffuser secrètement en ligne des informations sur une entreprise russe qui travaillait avec les services d’espionnage de Moscou.
C’est de bonne guerre…
 
Le programme n’a pas été lancé sous « McDo-Trompe » mais ce n’est qu’une extension d’un programme qui existe depuis des années.
L’OCCRP a été fondé en 2006 et a d’abord frappé uniquement les gouvernements d’Europe de l’Est. Les « Panama-Pampers » ont été publiés en 2016.
Les nouveaux « Pandora-Pampers » n’en sont qu’une nouvelle variante.
Admettons aussi : Ce qui est plus que probable, le déroulé des ces histoires de « fuites » tendent à le démontrer…
 
Or, chacun l’aura compris : L’un des principaux objectifs de ces publications de données volées est la propagande.
Il suffit, pour s’en rendre compte, de regarder la photo que le Guardian a placée en haut de son article sur ces documents : La tête de loin la plus grosse sur cette photo est celle du président russe, « Vlad-Poux-Tine ».
Il n’est pourtant pas du tout mentionné dans les « Pandora-Pampers » et rien ne prouve qu’il possède des avoirs offshores ou qu’il soit exceptionnellement riche.
Même si on s’en doute, entouré qu’il est de tous ces oligarques honteusement enrichis sous son « règne » et avec ses autorisations, sur le dos du peuple russe.
Le seul rapport qu’il a avec l’histoire est le suivant : « Le roi Abdallah fait partie des dizaines de dirigeants actuels et anciens dont les investissements à l’étranger ont été exposés. Parmi les autres dirigeants figurent le président russe Vladimir V. Poutine, dont l’ancienne maîtresse présumée a acheté un appartement à Monaco… ».
De quoi en rire, n’est-ce pas ?
 
Ainsi, une riche jeune fille russe, qui aurait eu une liaison avec « Poux-Tine » il y a une vingtaine d’années, a acheté un appartement dans un pays étranger en utilisant une entité offshore.
Et la liaison « présumée » est en fait une rumeur jamais confirmée qui a été diffusée par le média russe « Proekt », financé par l’oligarque anti-Poutine Khodorkovky, qui vit à Londres.
Effectivement, douteux…
 
Et mon correspondant de poser la bonne question sur ce « détail » : « Comment cela peut-il justifier que le communiqué, qui nomme 35 dirigeants nationaux, anciens ou en place, (mais pas Poutine), de nombreux fonctionnaires et des dizaines de milliardaires, soit précédé de la photo de Poutine ? »
Notons ensemble qu’en 2016, le Guardian a fait de même avec les « Panama-Pampers ». Or, « Poux-Tine » n’était pas plus mentionné dans ces documents, mais malgré tout en tête de liste dans l’article du Guardian à ce sujet.
Curieux, non ?
 
Et il persiste : « Un autre indice que tout cela est de la propagande filtrée par le gouvernement américain (et du matériel de chantage) vient de l’absence totale de noms de milliardaires et de politiciens corrompus américains dans le matériel fourni.
Le fait qu’aucun de leurs noms ne se trouve dans les dossiers publiés des services offshore indique que ceux-ci ont été soigneusement éliminés. »
Ou plus malins que d’autres…
Autrement dit, les documents publiés sont une fausse critique que le système fait de lui-même.
S’ils soutiennent les objectifs de la politique étrangère américaine en accusant les personnes que les États-Unis n’aiment pas, ils conduiront également à un soutien accru de la surveillance financière et de l’espionnage.
 
Tout en déshonorant ou en éliminant la concurrence étrangère, ils font la promotion des paradis fiscaux américains comme l’Alaska, le Nevada et le Delaware auprès des « clients » étrangers : « Les Pandora Papers contiennent des détails sur plus de 200 trusts créés aux États-Unis ces dernières années. Dans des dizaines de cas, les clients avaient abandonné des paradis plus traditionnels, comme les îles Vierges britanniques et les Bahamas, au profit des États-Unis.
La destination la plus populaire a été le Dakota du Sud, où la valeur des actifs détenus dans des trusts a atteint plus de 360 milliards de dollars au cours de la dernière décennie.
La législation de l’État du Dakota du Sud autorise la création de trusts secrets qui n’ont pas à payer un centime d’impôt à l’État pour leurs gains. Contrairement à la plupart des États, qui limitent la durée de vie des trusts à un siècle ou moins, les trusts du Dakota du Sud sont également « perpétuels », ce qui signifie qu’ils n’ont pas de date de fin. Cela signifie qu’ils peuvent continuer à réaliser des gains exonérés d’impôts et à les transmettre aux générations futures, théoriquement, pour toujours ».
Tordu comme raisonnement, mais convainquant à mes yeux…
Sauf que moâ, j’éviterai de travailler aux USA : Le dollar américain appartient au seul gouvernement US et il en fait ce qu’il veut !
Gênant pour des opérations de corruption…
 
Car par cette manœuvre, les États-Unis ont donc entrepris d’accuser les paradis fiscaux offshores et les dirigeants étrangers de corruption alors qu’ils sont eux-mêmes les plus grands pécheurs dans les deux cas.
Il y a une constante dans tout cela : À chaque fois que les États-Unis accusent une personne ou un gouvernement étranger de faire « quelque chose », il est fort probable que cette « chose » soit exactement ce que les États-Unis soient en train de faire eux-mêmes.
Disons que c’est un peu comme si on voulait abattre le chien du voisin en prétendant qu’il a la rage.
Bref, de la concurrence déloyale : Il faut tout de même le faire, dans cette branche du « crime de corruption » organisé !
 
Si tout cela est « éclairant », ça ne répond qu’indirectement à ma préoccupation.
Sauf à constater que notre « Jupiter » national ne fait toujours pas partie des persona non grata des « maîtres du monde » !
Enfin, pas encore.
Ça doit le rassurer, parce qu’il reste tout de même incisif sur le devenir de l’Otan et même de l’UE notamment sur le plan de la défense commune.
Notez que justement, ça fait le jeu de « Poux-Tine » qui doit bien en rigoler.
Je note pour ma part qu’à ces jeux de dupes, le monde est bien plus complexe qu’on ne peut le penser : Tous ces éléments contraires et antagonistes sont véritablement intriqués les uns dans les autres.
Un vrai foutoir !
 
En conclusion, et avec ma « vue basse », je vais poursuivre ma recherche des « fils-rouges » quand ils passent sous mon nez, mais sur mon horizon de « Gauloisien ».
En remerciant au passage mon « inconnu » de faire la démonstration d’une collusion « anti-Poux-Tine » qui… n’en est pas vraiment une : Qu’il ouvre les yeux et se relise ! 

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