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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 7 octobre 2021

Ils sont fort drôles, une fois de plus !

Décès de « Nanard ».
Qu’il repose en paix pour l’éternité…
 
En revanche, sur la « Planète Gauloisienne », c’est l’effervescence : Tout le monde se dispute sa dépouille en hommages appuyés comme en anecdotes « personnelles ».
Une vraie pièce de Feydeau !
Ou un bal des pompiers, je ne sais pas encore…
Aucune pudeur !
Tels qu’ils ne lui trouvent que des qualités…
Ah bé ?
 
Personnellement, j’en aurai aussi à vous raconter - d’ailleurs je l’ai déjà fait à plusieurs reprises - mais je ne retiens qu’une chose : Il me doit encore 400 millions d’euros !
Et si son décès entraîne de facto la fin des poursuites pénales encore en cours, j’espère bien qu’à l’occasion de sa succession ouverte depuis lors, le Trésor finira bien par me rembourser ce que j’ai eu à payer par l’intermédiaire du Service aux carambouilles du sieur.
C’est la moindre des choses, n’est-ce pas ?
 
Rien de personnel, rassurez-vous, mais je reste solidaire de tous les « kon-tribuables » de ce pays et je n’irai pas porter au pinacle le « saint-personnage » qu’on veut bien honorer comme d’un martyr de la condition humaine.
Pas comme tous ces fats qui l’encensent désormais sans vergogne et jusqu’à Marseille.
Car il faut aussi savoir compter et tirer sa révérence quand lui tire la sienne.
Et surtout ne pas le prendre pour une sorte de modèle à suivre et honorer.
 
Rappelez-vous simplement des années 80, la « Gauloisie-impétueuse » que « Mythe-errant » s’efforcera d’abattre - il détestait tellement la Vème République et tout ce qu’elle représentait de magnifique et splendide - et de son très ambigu du « retour de l’entreprise », car on s’apercevait en « Socialie-scientifique », que pour combattre le chômage et donner à tout le monde les moyens d’une prospérité perdue, il fallait des entreprises et des entrepreneurs prêts à prendre des risques financiers…
Or, « Nanard », déjà porté au pinacle par les « nains-du-neurone-soces » et quelques « trisomiques-autistes » issus des mêmes rangs dogmatiques, n’a certainement pas été un homme d’entreprise exemplaire.
En revanche, il faut lui reconnaître ça, il a été, indirectement et par la bande, le révélateur des problèmes que le système dirigeant et nos élites ont avec l’économie de marché, le capitalisme et l’industrie.
Une vraie caricature.
 
On se souvient encore dans les campagnes (et même « en ville ») de l’émergence de sa notoriété médiatique à cette époque-là.
Parce qu’il osait racheter des entreprises cassées par la crise des années 1970 (Manufrance, La Vie Claire) pour un franc symbolique, pratiquait sans scrupule des licenciements et revendait ces entreprises une fois « dégraissées », de préférence par appartements, sans s’être soucié de créer les bases d’une nouvelle croissance.
Bien des racheteurs se sont ainsi fait rouler et les démêlés ont commencé avec la justice.
Et je ne vous dis pas les salariés et leurs syndicats, dindons de la farce !
Mais lui ne faisait pas encore ça avec l’argent du « kon-tribuable », mais avec celui des banquiers en « mouillant sa chemise » : Il faut le lui reconnaître également.
Du coup et parallèlement, les médias ont commencé à le fêter.
Il avait du bagout, parlait d’audace, de risque et plus il en faisait, plus il devenait populaire.
 
Or, quand « Mythe-errant » essaie de créer un populiste de gôche pour contrer le « Borgne-de-San-Cloud », alors même qu’il venait d’abandonner, rapidement après son élection, la lutte contre le chômage et la crise, et qu’il constatait la montée du père de « Marinella-tchi-tchi », il décide de l’instrumentaliser.
Il tâche alors d’en faire un populiste de gôche pour contrer le populisme de droâte.
Je me souviens encore de ce débat violent avec « le borgne » où ils ont failli en venir aux mains, « sauf respect pour votre grand-âge » (et les gardes du corps du leader du « F.Haine ») et constate aujourd’hui la cruauté de la vie : L’un vient de mourir, ruiné, l’autre se porte bien, descendance (politique) assurée.
Quel contraste !
 
« Nanard » avait en fait l’étoffe d’un homme politique : Il fut élu deux fois député, en 1988 et en 1993, il fut le tombeur de « Michou-Roro-Card » du PSU en créant une liste « soce » dissidente en 1994, qui talonna – et ridiculisa – la liste « P.Soce » emmenée par l’ancien « Premier sinistre ».
Il fit également un passage, rapidement interrompu au gouvernement, pour cause de démêlés avec la justice en qualité de « sinistre de la ville ».
Nommé le 2 avril 1992, alors que le président d’alors devait sûrement penser que « Nanard », entre son hôtel particulier situé rue des Saints-Pères et son yacht amarré dans le port de Marseille, avait suffisamment d’expérience pour trouver une solution aux problèmes des banlieues !
Le kon : En fait, en tant que bon représentant de la « gôche-caviar », il a complètement sous-estimé les problèmes d’insécurité et d’immigration dans les banlieues et on en paye encore le prix et les dividendes.
Et vous constatez comme moâ que pour tous ces exploits, les médias lui rendent hommage.
Et si mon pays méritait mieux, finalement… ?
 
Au bout du compte, il restera surtout comme le président de l’Olympique de Marseille. Avec la première victoire d’un club hexagonal en Ligue des Champions en 1993, sauf que le gain reste entaché d’un match acheté, quelques jours auparavant en championnat… pour reposer les joueurs !
Prêt à tous les coups-bas et autres tricheries.
Sans état d’âme ni scrupule…
Et s’il est encore adulé à Marseille pour avoir gagné la Coupe d’Europe avec, il est vrai, un entraîneur et des joueurs d’exception, il est aussi et surtout celui qui a coulé l’équipe pour plusieurs années à cause de l’affaire VA-OM, le plus gros scandale dans le foot tricolore.
Mais ils ont oublié, mes potes marseillais…
Bien à son image : « Un pôvre parmi les riches » !
Un petit roublard de banlieue qui a une veine exceptionnelle (quoique…)
Rien que du flanc, du vent qui brasse l’argent des banquiers, vos comptes de dépôts.
 
Car avec le recul, il apparaît comme un des nombreux subterfuges utilisés par « Mythe-errant » pour ne pas prendre les décisions qui s’imposaient au pays.
Ambitieux, affairiste et sans scrupules, il s’est nourri de la désindustrialisation de mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…).
En combattant le « F.Haine », il a conforté la paresse des grands patrons gauloisiens qui préféraient importer de la main d’œuvre bon marché plutôt que d’investir dans la robotisation des usines et d’imiter la grande puissance industrielle ascendante de cette époque, le Japon.
Surtout « Nanard » a conforté notre système dans une vision caricaturale du capitalisme : On pense à tous les entrepreneurs créateurs de vraie richesse et d’innovation pour le pays, qui ont été éclipsés par l’affairiste au bagout sans limites.
Lui rien : Aucune création de richesse pour la collectivité.
Juste pour son nombril…
On pourrait en tirer pour tous nos gamins une leçon d’économie politique où « Nanard » serait donc le contraire d’un modèle à suivre.
Mais qui sait parler d’économie aux collégiens et aux lycéens dans « Les Ducs-à-Sion-Natio-anale » ?
 
Car depuis 1981 et sa condamnation pour l’achat des châteaux du dictateur Bokassa (qu’il avait réussi à escroquer), il a été condamné par la justice plus d’une dizaine de fois (il a même fait de la prison) dans des affaires pour complicité de corruption et subornation de témoins, abus de biens sociaux, faux, usage et recel de faux, abus de confiance, escroquerie en bande organisée, fraude fiscale…
N’en jetez plus !
Un casier judiciaire long comme un jour sans pain…
Son meilleur coup aura failli entrainer la faillite du Crédit Lyonnais.
Il aura fallu créer un « consortium de réalisation » pour ne pas planter tous les clients de la banque, vous.
Et je me souviens de Rouger, un ancien président du tribunal de commerce de « Paris-sur-la-plage » (quai de Corse), très au fait des procédures de liquidation judiciaire, le premier président du CDR, de rapporter que le bagout et le culot de « Nanard » l’aura obligé à se ranger à ses arguments contre ses propres convictions !
Le portefeuille du CDR comprenait entre autres : Les principales participations industrielles du groupe Crédit lyonnais (Adidas, Executive Life, participations dans les holdings de François Pinault (Artémis), Vincent Bolloré, etc.), la plupart ayant été acquises dans le cadre de la politique de Banque-Industrie, un axe stratégique pour le Crédit lyonnais durant les années 1990.
Les prêts accordés à diverses entreprises cinématographiques (principalement issus du CLBN, filiale néerlandaise du Crédit lyonnais, dont le financement de la MGM par la nébuleuse Paretti).
Les participations dans divers établissements financiers (Altus Finance, Banque Colbert, SdBO, etc.) et de nombreuses créances et actifs immobiliers.
Les pertes sur les actifs transférés ont été estimées à environ 16 milliards d’euros.
La gestion de la « promotion Titanic » de l’ENÂ…
 
« Nanard » n’y est responsable que pour un bout. Tout petit, mais tout de même 400 millions pour solde de tous comptes !
Qu’il récupère une première fois, après plein d’abattements, remises et faveurs du fisc et du CDR, grâce à une décision arbitrale arrachée à « Chri-Chri-La-Garde-Meurt-mais-ne-se-rend-pas » devenue Pédégé de la BCE après être passée au FMI…
Ce qui en dit long sur les « qualités » de la dame.
Car l’arbitrage était truqué dès le départ, c’est dire la générosité de celle qui était alors « sinistre de la Rilance » de « Bling-bling »…
Avant d’en perdre le bénéfice avec l’arrivée aux affaires de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », héritier de « Mythe-errant »…
 
Reconnaissons à l’impétrant un « parcours exceptionnel », parce qu’il me doit toujours, même décédé, ces 400 millions d’euros escroqués au pays…
Bref, c’est la fin des années « bling-bling » qu’on enterre cette semaine.
En revanche, le capitalisme de connivence lui survivra.
On est même entré dans sa version « 2.0 » avec le capitalisme d’État de « Jupiter », qui décide du qui, du comment, du combien et vous met sous camisole sanitaire tout un pays pour mieux obliger les survivants à tendre la main pour de l’argent que personne n’a vraiment…
Magnifique, finalement, n’est-ce pas ?

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