Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 22 octobre 2021

Évidences

De Jean-Marc
 
Un petit garçon fait ses devoirs de français.
Tout à coup, il demande à Jean-Marc, son père :
« – Papa… le mot chat, c’est bien un « t » que ça prend à la fin, pas un « s » ?
– Ça dépend du sens. S’il s’agit de l’animal qui fait « miaou », c’est effectivement un « t ».
Mais s’il s’agit du trou d’une aiguille dans lequel on passe le fil à coudre, c’est un « s ».
– Et le chat des bonnes femmes, ça prend un « t » ou un « s » ?
– Ça dépend si tu le caresses ou si tu l’enfiles. »
 
Jean-Marc téléphone à la police.
« – Je reçois des coups de téléphone et des lettres de menace et je voudrais déposer une plainte.
– Depuis combien de temps ça vous arrive ?
– Quelques mois.
– Soupçonnez-vous quelqu’un ?
– Oui évidemment ! Ça vient des fonctionnaires du ministère des impôts ».
 
Deux femmes âgées sont assises sur un banc de parc.
La première dit à l’autre :
« – Je pense que mon fessier est en train de s’endormir.
– Oui, je l’ai entendu ronfler tantôt ! »
 
Une jeune informaticienne qui paramétrait la nouvelle bécane d’un utilisateur, lui demanda quel mot de passe il voulait utiliser pour accéder au réseau.
Voulant taquiner la jeune femme, il lui dit d’entrer « PENIS ».
Sans sourciller, elle tapa le mot de passe et elle éclata de rire à la lecture du message d’erreur.
« Désolé, ce mot de passe invalide ! Pas assez long ! »
 
Un instituteur appelle au tableau l’un de ses élèves :
« – Qu’est-ce qu’une autobiographie ?
– Euh… L’histoire de la vie d’une voiture ? »
 
Deux fous sont dans une auto.
Le chauffeur dit à l’autre :
« – Les freins ne marchent plus !
– Ce n’est pas grave.
– Mais nous sommes dans une pente !
– La voiture va s’arrêter. Regarde, il y a un stop en bas de la rue… »
 
Selon Jean-Marc le snobisme, c’est l’action de s’acheter des choses qu’on n’aime pas avec de l’argent qu’on n’a pas dans le but d’impressionner des gens qu’on n’aime pas.
 
La maîtresse à une de ses élèves qui a un gros bandage autour de la tête :
« – Mais que t’est-il arrivé ?
– Une abeille m’a piquée.
– Mais c’est un bandage énorme pour une piqûre !
– Mais mon père l’a tuée avec sa pelle… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devisant devant une bière (déconfinée).
« – Vers 50 ans, chez la femme, il y a la ménopause…
Et chez l’homme, il y a le syndrome de l’oignon !
– C’est quoi encore, ça ?
Ils prennent de la bedaine, ils s’arrondissent, ils ont la queue qui sèche, et quand ils se déshabillent, leurs femmes se mettent à pleurer ! »
 
Une vieille revenue :
Ça se passe dans le frigo, dans le bac à œufs.
10 œufs sont à l’intérieur.
Le premier œuf, celui qui se trouve le plus à gauche, regarde l’œuf placé le plus à droite et dit à son voisin :
« Dis-donc, regarde l’œuf au bout là-bas, t’as vu la gueule qu’il a ? Il est vraiment trop moche. »
Le deuxième œuf regarde et s’étonne à son tour :
« Oh la vache ! T’as raison… »
Et le deuxième œuf se retourne vers le troisième et lui dit :
« – Dis, t’as vu la gueule de l’autre au bout ?
– Oh purée… c’est pas possible… »
Et il se retourne vers le quatrième œuf et lui dit :
« – Eh ! Regarde l’œuf du bout, il tire une de ces gueules…
– Tu m’étonnes, il est vraiment trop laid… »
Et ainsi de suite jusqu’au huitième œuf qui dit à son voisin :
« Dis, tu as vu ton voisin, il n’est pas bien… »
Alors le neuvième œuf se retourne discrètement, regarde avec attention son voisin, puis il se retourne vers le huitième œuf et lui dit :
« T’es con ou quoi ? C’est un kiwi… »
 
Une femme dit à son mari :
« Quand un homme perd ses cheveux sur le devant, ça veut dire qu’il est un grand penseur. Et quand un homme perd ses cheveux à l’arrière, ça veut dire qu’il est un amant extraordinaire.
Jean-Marc lui répond :
« Oui, mais moi… Je perds mes cheveux sur le devant et en arrière… Qu’est-ce que ça veut dire ? »
Germaine lui rétorque :
« Ça veut dire que tu penses être un amant extraordinaire. »
 
Mon ex-patron trouvait que ses employés n’avaient aucun respect envers lui.
Un matin, il installe une affiche, sur la porte de son bureau, où il est écrit : C’EST MOI LE PATRON.
Au retour du déjeuner, épinglé sur son affiche, il lit le message suivant, écrit à la main : Votre femme a appelée, elle veut reprendre son affiche !
 
Une jeune fille à son copain du moment :
« – Un baiser et je suis à toi pour toujours.
– Merci pour l’avertissement. Bye bye ! »
 
Le début de la sagesse, selon Jean-Marc, c’est…
– De ne pas dire des mots sales pour éviter de les avaler à l’occasion.
– D’être capable, selon les jours, d’être le pigeon et le monument.
– Toujours visiter des sites Web bien honnêtes pour faire bonne figure en cas de mort subite.
– Toujours éviter les abus d’alcool. On ne sait jamais, vous pourriez tirer sur un fonctionnaire de l’impôt et le rater.
– Conduire prudemment. Tout comme on rappelle les autos, votre créateur pourrait vous rappeler.
– Si vous ne pouvez pas être poli, au moins restez vague et imprécis.
– Si vous prêtez 100 € à une personne que vous n’aimez pas et que vous ne la revoyez plus jamais, vous avez fait un bon placement.
– Vous pensez que personne ne tient à vous ?
Essayez de ne pas payer votre prêt bancaire pendant trois mois !
– N’achetez jamais une auto que vous ne pouvez pas pousser.
– Les vers de terre matinaux se font bouffer par les oiseaux. Restez au lit !
 
Une « classique » :
Voilà ce qui arrive lorsque l’on se trompe d’adresse e-mail…
Un couple de parisiens décide de partir en week-end à la plage et de descendre au même hôtel qu’il y a 20 ans, lors de leur lune de miel.
Mais, au dernier moment, à cause d’un problème au travail, la femme ne peut pas prendre son jeudi.
Il est donc décidé que le mari prendrait l’avion le jeudi, et sa femme le lendemain.
Jean-Marc arrive comme prévu et après avoir loué la chambre d’hôtel, il se rend compte qu’il dispose d’un ordinateur avec connexion Internet.
Il décide alors d’envoyer un courriel à sa Germaine.
Mais il se trompe en écrivant l’adresse.
C’est ainsi qu’à Trifouillis-les-oies, une veuve qui vient de rentrer des funérailles de son mari mort d’une crise cardiaque reçoit l’email.
La veuve consulte sa boîte aux lettres électronique pour voir s’il n’y a pas de messages de la famille ou des amis.
C’est ainsi qu’à la lecture du premier d’entre eux, elle s’évanouit.
Son fils entre dans la chambre et trouve sa mère allongée sur le sol, sans connaissance, au pied de l’ordinateur.
Sur l’écran, on peut lire le message suivant :
« À mon épouse bien-aimée,
Je suis bien arrivé.
Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles maintenant et de cette manière.
Ici, ils ont des ordinateurs et tu peux envoyer des messages à ceux que tu aimes.
Je viens d’arriver et j’ai vérifié que tout était prêt pour ton arrivée, demain vendredi.
J’ai hâte de te revoir.
J’espère que ton voyage se passera aussi bien que s’est passé le mien.
P.S. : Il n’est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtements : il fait une chaleur d’enfer ici ! »
 
Nous vivons dans une paroisse agricole. Chaque année, il y a toujours une épluchette de blé d’inde. Nous avons invité ma belle-soeur qui était veuve et habitait la ville.
 
« – Pourquoi les hommes ont le cerveau de la grosseur d’un pois ?
– Parce qu’il est enflé ! »
 
Jean-Marc dit à sa femme :
« – Je pense que tu devrais apprendre à repasser, ça nous coûterait moins cher en pressing chaque semaine.
– À la condition que tu apprennes à baiser, on économiserait autant sur tes locations de films pornos. »
 
« – Mon vieux, c’est fou comme tu peux ressembler à ma femme…
– Sans blague !
– Parfaitement ! À part la moustache bien entendu.
– Mais je n’ai pas de moustache !
– Ah oui, mais elle si. »
 
Une prof discute des Dix Commandements avec ses élèves de 5 et 6 ans.
Après avoir expliqué le commandement « honorer » ton père et ta mère, elle demande :
« Y a-t-il un commandement qui nous enseigne comment traiter ses frères et ses sœurs ? »
Jean-Marc, un petit garçon (l’aîné d’une famille) répond aussitôt :
« Tu ne tueras point. »
 
C’est un vieux couple encore très heureux.
Ils ont tous les deux 94 ans.
Le mari meurt soudainement d’une crise cardiaque.
Leur fille accourt vers sa mère pour la consoler, et celle-ci lui confie :
« – Ton père est mort en faisant l’amour, le pauvre.
– Mais qu’avez-vous pensé à votre âge de continuer à faire de telles folies ?
– Tu sais ma fille, c’était devenu une habitude, et nous y allions bien lentement. Tous les dimanches matin, on suivait le rythme des cloches de la messe de sept heures. À Ding, c’était l’entrée et à Dong, c’était la sortie. On ne se fatiguait pas trop, tu sais, et c’était notre petit bonheur.
Si ça n’avait pas été de ce camion de crème glacée avec son Gueding Guedang Gueding Guedang de fou, ton père serait sûrement encore en vie… »
 
Une petite fille s’entretient avec son professeur sur les baleines. Le prof lui dit qu’il est physiquement impossible pour une baleine d’avaler un humain parce que, même si c’est un gros mammifère, sa gorge est très petite.
La petite fille lui mentionne que pourtant, Jonas a été avalé par une baleine.
« – Je te dis que ce n’est pas possible.
– Quand je serai au paradis, je demanderai à Jonas.
– Et si Jonas est en enfer ?
– Dans ce cas, vous lui demanderez. »
 
 
La même petite fille rentre de l’école toute excitée :
« – Maman, maman, Jean-Marc m’a embrassé sur la bouche à la récréation !
– Ah bon ? Et comment est-ce arrivé ? » demande la maman mi-amusée, mi-indignée…
« Ça n’a pas été facile », reconnaît la petite fille, « mais j’ai trois copines qui m’ont aidé à l’attraper. »
 
Une petite fille dit à Jean-Marc :
« – Dis, on se mariera quand on sera grand ?
– Avec toi ? Tu rigoles, c’est impossible !
– Tu me trouves moche ?
– Non, c’est pas ça, mais chez nous, on se marie qu’en famille : Mon père avec ma mère, mon oncle avec ma tante, Mamie avec Papy… »
 
Le petit Jean-Marc récite sa prière avant d’aller se coucher :
« S’il vous plaît, Seigneur, faites que Prague soit la capitale du Canada ! »
Sa mère l’interrompt.
« – Pourquoi demandes-tu que Prague soit la capitale du Canada ?
– Parce que c’est ce que j’ai répondu à l’examen. »
 
Germaine est en train de cuire des œufs lorsque son mari, Jean-Marc, rentre à la maison.
Il entre dans la cuisine et se met à crier :
« Attention ! Attention ! PLUS DE BEURRE ! RETOURNE-LES !
RETOURNE-LES ! DU BEURRE, PLUS DE BEURRE !!
TU NE VOIS PAS QU’ILS VONT BRÛLER ??
Mais fais attention !
VITE ! RETOURNE-LES ! ALLEZ, DÉPÊCHE-TOI !
RETOURNE-LES MAINTENANT ! MAINTENANT !!
Attention, TROP DE BEURRE, CA VA GICLER !
Attention !
TU VAS TE BRÛLER !!
HOLA, HOLA, BEAUCOUP TROP DE BEURRE !
ET PAS ASSEZ DE SEL, IL FAUT PLUS DE SEL !! »
Germaine, complètement excédée, finit par lui hurler :
« SSSSSSSTOOOOOOOOOOOOOPPPP ! Pourquoi tu cries comme ça ?
Mais qu’est-ce qu’il te prend ? »
Jean-Marc se retourne et dit très calmement, en quittant la cuisine : 
« Rien, c’est juste pour te montrer ce que ça fait quand tu es à côté de moi en voiture ! »
 
Solutions des contre-pets de la semaine dernière :
 
« Les biologistes se livrent à la proJection de beaucoup de SPerme. »
« Ce marin tripote les corSages de façon inDécente. »
« Ce Breton a perdu son calBar en arrivant vers la Mer. »
 
Propositions de la semaine :
« Le commissaire est utile au poste ! »
« Le maire de Lourdes hésite entre cierges et hosties… »
« Celui-là se sent comme un malotru du coup ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire