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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 25 octobre 2021

De la ferme à l’assiette…

Le contrôle total de la production agricole ?
 
Ils m’amusent, tous, les uns et les autres. En revanche quand on se mêle de me faire savoir ce que je dois manger et boire et ce que je n’aurai plus le droit de manger ou de boire, là je commence à m’inquiéter.
Déjà, je suis obligé de me vacciner pour pouvoir me déplacer librement (et encore pas partout : Je reste interdit dans les réunions « genrées » ou « racisées » pour être né kouillu et blanc de peau…), mais jusqu’à quand j’aurai le droit d’aller voter sans revêtir une combinaison « NBC » (Nucléaire, Biologique, Chimique), je ne sais pas trop !
 
Et voilà que j’ai eu vent du « Green Deal », un « truc » pondu par la Commission européenne alimentaire qu’elle a baptisé du joli nom de « Farm to Fork » (De la ferme à la fourchette).
Et ce qui me gêne, c’est que ce texte fait l’unanimité, tant à la Commission (qui ne bosse pas pour rien) que par les tenants de l’agenda 2030, voire par l’omniprésent Forum économique mondial de Klaus Schwab et sa fameuse « Grande Réinitialisation ».
En effet, on y parle d’agriculture « durable »…
Pour moâ, elle reste saisonnière, mais passons.
 
Il convient à ce sujet de rappeler que le « développement durable », tel que défini par l’ONU et le Forum économique mondial de Davos, signifie atteindre des émissions de carbone nulles d’ici 2050.
Moâ, je veux bien, même si ce n’est pas gagné.
Mais ça ne retirera pas ce qui est déjà balancé dans l’atmosphère qui, paraît-il, aggrave la situation climatique. Donc ça ne changera pas grand-chose à grand-chose : Ce qui est déjà fait depuis un bon siècle est irrémédiablement fait.
Disons que la « neutralité carbone » pourrait ne pas aggraver les évolutions en cours.
Si évolution il y a, personnellement, j’ai pu noter que des névés étaient toujours présents sur le Monte Cinto (« Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») jusqu’à la fin août, que je n’ai pas souffert de canicule durant l’été à part un bref épisode ou deux, alors que la Grèce, la « Ritalie », l’Hispanie et la Californie si, coincées sous une bulle d’air froid qui ne voulait pas descendre, et que quand la mer monte sur mes plages de Balagne, c’est que les « Ritaliens » se baignent en face.
Et m’envoient leurs méduses…
Elle redescend ensuite mais les méduses restaient.
 
Car, je suis désolé, mais il n’existe encore aucune étude scientifique prouvant de manière indépendante et déterminante que le CO2 met en danger notre planète en créant, par exemple, un réchauffement climatique : Pour l’heure, ce ne sont que des projections, des conjectures, n’en déplaisent aux bouffeurs de financements publics, bref des fadaises invérifiables, puisque ça ne reste que des hypothèses qui ont pour objet de « faire peur » aux gens crédules, à force de matraquages médiatiques, à leur pomper encore plus de fric en taxes diverses, à les culpabiliser de faire des gosses ou de manger trop carné.
Le prix de leur plein d’essence les angoisse beaucoup plus, j’en suis certain.
Et quand il s’agit de se chauffer, il ne leur reste plus que l’électricité nucléaire…
 
Si la planète chauffe, ce n’est pas les 4 parties pour chaque million de CO2 dans l’atmosphère, même pas un pet de lapin, qui sont forcément à l’origine d’un réchauffement soi-disant mesuré : Soyons un peu sérieux.
Si au moins on m’avait prétendu que c’est l’activité industrielle humaine et ses déplacements dont l’énergie se dégrade en chaleur, j’aurai accepté le principe d’un réchauffement global comme probable.
Mais le calcul n’a pas été fait parce que la progression aurait été linéaire et non pas exponentielle comme on insiste à nous le faire croire (dans les projections).
Si le CO2 peut être considéré comme d’une « signature » de cette activité, je note pour ma part que ce gaz est aussi essentiel à toute vie humaine, animale et même végétale !
Tant qu’il ne dépasse pas 20 % de la masse de l’air que nous respirons.
Soit 449 fois plus : Il y a comme de la marge.
Et qu’on ne nous fasse pas rire avec le « modèle » vénusien et ses 90 % de CO2 dans son atmosphère qui culmine avec des températures de 400° là où chez nous on mesure à peine un peu plus de 12° en moyenne (tout compris) : La distance d’avec notre étoile commune qui chauffe les deux masses d’air n’est évidemment pas la même…
 
Sauf qu’aujourd’hui, la Commission européenne impose un programme radical au cœur de l’agriculture du deuxième producteur mondial de denrées alimentaires, dans le cadre de son projet mal conçu d’accord vert européen.
S’il est mis en œuvre, comme cela est probable, il entraînera une réduction drastique de la production agricole, une diminution importante des protéines de viande et, ce qui est peut-être le plus dangereux, un bouleversement de la législation européenne actuelle régissant les nouvelles cultures génétiquement modifiées, ou OGM.
Rappelons que moins de viande, c’est aussi moins de lactosérum pour nos bambinos, sauf à transformer nos charmantes épouses en « vaches à lait » perpétuelles pour assurer la croissance et « capital de calcium » osseux de nos descendants.
Car, en pleine pandémie, en mai 2020, la Commission européenne a publié sa stratégie « De la ferme à la fourchette ». La rhétorique officielle de Bruxelles donne l’impression qu’un nirvana alimentaire est à venir. Ils déclarent : « La stratégie « De la ferme à la fourchette » est au cœur du Green Deal européen, visant à rendre les systèmes alimentaires équitables, sains et respectueux de l’environnement ». Génial, n’est-ce pas ?
Sur le papier…
 
Vient ensuite le véritable programme : « Nous devons redessiner nos systèmes alimentaires qui, aujourd’hui, représentent près d’un tiers des émissions mondiales de GES (gaz à effet de serre), consomment de grandes quantités de ressources naturelles, entraînent une perte de biodiversité et des effets négatifs sur la santé… »
Manière habile de diaboliser les agriculteurs et notre production alimentaire comme des blasphémateurs de CO2.
Et moâ qui croyais que c’était d’abord de cramer du charbon et du gaz dans les centrales électriques, voire la combustion de mon « veau-diesel »…
Un tiers, c’est quand même beaucoup tel qu’il ne servirait à rien de clouer les avions au sol et de garder les bagnoles au garage.
Leur solution ? « Les nouvelles technologies et les découvertes scientifiques, associées à une sensibilisation accrue du public et à une demande d’alimentation durable, profiteront à toutes les parties prenantes ».
De quoi parlent-ils ?
On se demande même comment des bureaucrates non élus de Bruxelles prévoient de « redessiner nos systèmes alimentaires » pour éliminer un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici 2050 ?
Peut-être seulement en forçant les agriculteurs à faire faillite en exigeant de nouveaux intrants coûteux pour la production et des plantes brevetées issues de manipulations génétiques radicalement nouvelles dont la sécurité n’est pas plus et mieux prouvée que le reste, mais qui vont rapporter des sommes colossales à « Big-Pharma »…
Comme quoi, ceux-là, après avoir vendu par milliards des doses de vaccins qui ne servent à rien puisqu’il faut des doses supplémentaires, ils ne se s’en sont pas mis assez dans les poches !
 
La commission prévoit surtout, sans le dire, de lever l’interdiction de facto qui pèse actuellement sur la culture des plantes génétiquement modifiées. Pour ceux qui ne le savent pas encore, il s’agit de la même technologie utilisée dans les vaccins COVID-19 à ARNm modifiés par CRISPR de Pfizer et Moderna.
Heureusement, il y en a d’autres, comme le vaccin Valvena que notre « Jupiter » et son conseil scientifique auront écarté d’emblée.
Mais cette technologie de l’ARNm, ça fait dix ans que les labos travaillent dessus et jusque-là ça visait plutôt les maladies orphelines ou encore particulièrement létales comme les cancers, voire initialement le Sida.
Le tout aura été recyclé opportunément contre le « Conard-virus ».
 
Le commissaire européen à l’agriculture, Janusz Wojciechowski, déclare à propos du programme vert « De la ferme à la fourchette » : « Les agriculteurs devront transformer radicalement leurs méthodes de production et utiliser au mieux les solutions technologiques, numériques et spatiales pour inaugurer la nouvelle transition agricole ».
Il prévient donc une transformation RADICALE.
Le tout pour porter la part de l’agriculture biologique sans pesticides à seulement 25 % du total de l’UE tout en réduisant l’utilisation des pesticides chimiques de 30 % d’ici 2030.
C’est bien peu, trouve-je !
Mais les « béotiens » vont trouver cela absolument formidable, je n’en doute pas une seule seconde.
Drame cornélien à venir pour les « écolologistes » qui auront voté pour « Yoda » : Les OGM sont-ils, comme les affirmations de Monsanto et de l’industrie des OGM le prétendent, réducteur besoin en pesticides, alors qu’ils prétendent que c’est un mensonge !
Oui mais alors comment sauver la planète, dites-donc ?
L’UE s’en sert comme d’un appât pour introduire un changement radical dans les règles strictes actuelles de l’UE et ainsi pour permettre l’approbation des plantes et des animaux génétiquement modifiés dans l’agriculture.
 
Dans son document de mai 2020, l’UE déclare que la Commission « réalise une étude qui examinera le potentiel des nouvelles techniques génomiques pour améliorer la durabilité tout au long de la chaîne d’approvisionnement alimentaire ».
Cela signifie l’édition de gènes, la modification génétique par CRISPR et leurs conséquences : On est rassuré…
Sauf que finalement et probablement l’UE s’en sert comme d’un appât pour introduire seulement un changement radical dans les règles strictes actuelles de l’UE et permettre l’approbation des plantes et des animaux génétiquement modifiés dans l’agriculture.
Magique !
 
En avril de cette année (2021), la Commission européenne a publié cette étude sur les nouvelles techniques génomiques (NGT).
Les NGT produisent des plantes et même des animaux génétiquement modifiés.
Le rapport affirme que les NGT, « des techniques permettant de modifier le génome d’un organisme, ont le potentiel de contribuer à un système alimentaire plus durable, dans le cadre des objectifs de l’accord vert européen et de la stratégie « De la ferme à la fourchette » ».
Voilà : Même pas un an de recherches « approfondies » !
Et que dans la foulée, ce rapport appelle à un « débat public » pour modifier la législation européenne stricte sur l’approbation des cultures OGM qui exige des tests approfondis et l’étiquetage des cultures OGM.
Le tour est joué…
 
Ceci dit, nos lois de 2001 auront réussi à restreindre l’utilisation des OGM dans toute l’UE, contrairement aux États-Unis où les OGM non réglementés sont dominants pour les principales cultures.
Depuis, on s’étonne encore qu’ils puissent voter pour le premier crétin venu, mais ça n’inquiète personne.
Rappelons qu’en 2018, la Cour européenne de Justice, a indiqué et décidé que les cultures génétiquement modifiées devaient être soumises aux mêmes réglementations strictes que les organismes génétiquement modifiés (OGM) de première génération.
Donc, la clé de l’agenda « De la ferme à la fourchette » de Davos et de l’UE est une réduction radicale des pesticides qui seront remplacés par des cultures génétiquement modifiées prétendument capables de remplacer les pesticides.
Ni plus ni moins…
Qu’il faudra bien, études scientifiques indépendantes à l’appui, financées par « Big Pharma », pour fouler aux pieds cette décision de la CEJ.
 
La Commission européenne, probablement pour complaire à Bayer-Monsanto et d’autres membres du lobby de l’agrobusiness des OGM, s’efforce donc de supprimer cette restriction judiciaire.
La commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, Stella Kyriakides, a d’ailleurs déclaré à propos de l’étude européenne d’avril : « L’étude que nous publions aujourd’hui conclut que les nouvelles techniques génomiques peuvent favoriser la durabilité de la production agricole, conformément aux objectifs de notre stratégie « de la ferme à la fourchette » ».
« Nouvelles techniques » génomiques c’est le nouvel euphémisme « politiquement correct » pour désigner les cultures génétiquement modifiées, je vous rassure !
 
De son côté, le vice-président de l’UE chargé du « Green Deal », Franz Timmermans, a ouvertement admis l’attrait de la promesse de réductions considérables des pesticides, laissant entendre qu’elle découlerait de l’abolition des restrictions sur l’édition de gènes.
Lors d’une récente conférence de la « Semaine verte » de l’UE, il a déclaré que l’UE visait à donner aux agriculteurs les outils nécessaires pour adopter une agriculture de précision et à tirer parti des découvertes scientifiques pour optimiser les semences : « C’est ainsi que nous limiterons notre dépendance aux pesticides ». « L’agriculture de précision » et les « découvertes scientifiques pour optimiser les semences » est bien le double langage de Bruxelles pour l’introduction massive de l’édition de gènes non réglementée.
Car il poursuit : « Passer à l’agriculture écologique ne signifie pas que nous devons tous croquer de l’herbe et vivre dans des grottes, nous devons utiliser les dernières technologies pour y parvenir ».
Cela signifie l’édition de gènes par CRISPR.
Traduit en langage clair, le cœur de « De la ferme à la fourchette » est l’annulation prévue de la décision de justice de 2018 de la Cour de Justice de la Commission européenne qui traite les plantes ou les animaux génétiquement modifiés par CRISPR selon les mêmes règles strictes du « principe de précaution » pour les OGM.
Sans aucune restriction, les entreprises d’édition de gènes comme Bayer-Monsanto seront libres d’introduire des plantes et des animaux génétiquement modifiés expérimentaux dans notre alimentation, sans étiquetage, mais sous leurs brevets…
 
Un tel régime existe déjà aux États-Unis, où le Département de l’Agriculture et les autorités de réglementation autorisent l’huile de soja génétiquement modifiée par CRISPR, les champignons qui ne brunissent pas, le blé avec plus de fibres, les tomates plus productives, le colza tolérant aux herbicides et le riz qui n’absorbe pas la pollution du sol pendant sa croissance, etc.
Les projets américains d’édition de gènes sur les poissons et les animaux comprennent également des projets douteux tels que des vaches qui n’ont que des veaux mâles, grâce à la technique CRISPR, des porcs qui n’ont pas besoin d’être castrés, des vaches laitières sans cornes et des poissons-chats à croissance améliorée pour développer des poissons-chats avec plus de cellules musculaires. Intéressant, n’est-ce pas ?
 
Naturellement la principale campagne de lobbying visant à supprimer la réglementation européenne sur les cultures ou les animaux génétiquement modifiés est le fait de Bayer-Monsanto Syngenta, BASF et Corteva de DowDupont, les autres géants de l’agro-industrie des OGM.
En novembre 2020, Liam Condon, président de la division scientifique des cultures de Bayer-Monsanto, a déclaré lors d’une conférence de Bayer sur l’avenir de l’agriculture que Bayer exerçait une pression « très forte » pour modifier la réglementation européenne sur les OGM afin d’exempter l’édition de gènes : « Nous insistons fortement sur le fait que les réglementations doivent rattraper la technologie et permettre l’utilisation de cette technologie, non seulement dans l’intérêt des Européens, mais aussi dans celui des autres pays du monde qui se tournent vers l’Europe pour ses réglementations ».
Et Condon a qualifié l’édition de gènes et la technologie CRISPR de « percée étonnante » qui permettrait à l’agriculture d’être plus durable.
Ce qu’il a omis de dire, comme son patronyme le laisse supposer, c’est que la déréglementation des cultures génétiquement modifiées permettra à Bayer-Monsanto et à d’autres grandes entreprises d’OGM de faire payer les agriculteurs pour leurs semences « durables » brevetées !
Il nous prend pour ce que nous sommes : Des vaches à traire !
 
Car l’édition de gènes de plantes ou d’animaux n’est pas du tout sans risque comme on le prétend. La technologie n’est pas du tout précise ou contrôlée et produit souvent des résultats inattendus, tels que des modifications génétiques involontaires, voire l’ajout par inadvertance d’ADN étranger provenant d’autres espèces, voire de gènes étrangers entiers, dans le génome des organismes génétiquement modifiés.
Le « Conard-virus » en est un exemple presque caricatural…
 
Il ne s’agit encore que d’une nouvelle technologie expérimentale. Ses défenseurs, comme Bayer-Monsanto, affirment que l’édition génétique des plantes est précise. Pourtant, les enquêtes montrent que c’est loin d’être prouvé.
Le Dr Allison K Wilson, du Bioscience Resource Project, affirme que : « Les méthodes d’édition de gènes de plantes sont également susceptibles d’introduire des UT (Traits inattendus ou dommages génétiques)… de nouvelles preuves, tant chez les animaux que chez les plantes, indiquent que l’édition de gènes elle-même peut entraîner des mutations involontaires sur le site cible ou à proximité. Il s’agit notamment de l’insertion de vecteurs, de bactéries et d’autres ADN superflus, et de l’introduction involontaire de grandes délétions et réarrangements de l’ADN ».
Et il ne s’agit pas de défauts mineurs que l’on peut ignorer.
Wilson conclut que « les résultats de l’édition génétique des plantes sont imprécis et imprévisibles, et que, selon la combinaison des techniques utilisées, l’édition génétique peut être hautement mutagène. Si, en théorie, il pourrait un jour être possible de créer une culture génétiquement modifiée qui réponde aux exigences générales de l’agriculture durable, dans la pratique, il semble très improbable que cela se produise un jour ».
 
Pour en rajouter et selon une analyse de la stratégie « De la ferme à la fourchette » de l’UE réalisée par Global Ag Media : « L’effet de ces stratégies sera une réduction sans précédent de la capacité de production de l’UE et des revenus de ses agriculteurs. Tous les secteurs affichent des baisses de production de 5 à 15 %, les secteurs de l’élevage étant les plus touchés… Pendant ce temps, quel que soit le scénario, les prix à la production affichent une augmentation nette d’environ 10 % avec un impact négatif pour les revenus de la plupart des agriculteurs (…).
Le syndicat des agriculteurs de l’UE, Copa-Cogeca, prévient que cette politique entraînera une réduction sans précédent de la capacité agricole. Mais c’est là le véritable objectif de l’« agriculture durable » ».
Quoique, affamer l’humanité, peut-être que Davos s’en contre-cogne le coquillard !
 
Les apprentis-sorciers de l’agenda vert radical « De la ferme à la fourchette » de l’UE trouve son écho dans le Forum économique mondial de Davos qui, déjà en 2014, avait promu ce qu’il a appelé « Faciliter le commerce : De la ferme à la fourchette ». Un rapport du WEF de janvier 2018 indiquait déjà que : « Les technologies d’édition de gènes telles que CRISPR-Cas pourraient fournir un moyen d’obtenir des améliorations multi-traits, produisant un changement d’étape dans la productivité tout en améliorant la résistance à la sécheresse et le contenu nutritionnel des aliments ».
Une étude a été réalisée en collaboration avec McKinsey & Co dans le cadre des initiatives du WEF en matière de sécurité alimentaire et d’agriculture et de leur « Grande Réinitialisation ».
Les partenaires du Forum du WEF comprennent Bayer, Syngenta et BASF. Selon le site web du WEF : « Le Forum économique mondial, lors de sa réunion annuelle à Davos en janvier 2020, a réuni des leaders de l’industrie et des entreprises avec le vice-président exécutif Frans Timmermans pour explorer comment catalyser le Green Deal européen ».
Liam Condon, de Bayer, était également présent, tout comme les dirigeants de Syngenta et de BASF.
 
Si le secteur agricole de l’UE est soumis au régime des OGM génétiquement modifiés et que sa production s’en trouve radicalement réduite, cela entraînera des pénuries alimentaires toujours plus importantes dans le monde. C’est le plan de Davos, ainsi que leur programme eugénique de « Conard-virus » de la « Grande Réinitialisation ».
L’appeler « De la ferme à la fourchette » donne l’impression qu’il est inoffensif : Il apparait qu’il ne l’est pas tant que ça.
Et pour ma part, je reste étonné qu’on ne donne pas la parole aux premiers acteurs de « la grande bouffe » que sont nos agriculteurs et éleveurs, déjà ensevelis par un nombre considérable de réglementations et contraintes diverses.
 
Après tout, un technocrate ne sait pas comment on fait pousser des radis ou des tomates : Il n’a jamais fait en se cassant le dos.
Alors que j’ai déjà fait… surtout les patates de mon grand-père.
Mais il n’a même pas l’humilité d’écouter ce que d’autres ont à en dire : Il ne sait qu’interdire, sanctionner et se laisse en plus guider vers la famine mondiale.
Hors le vin, c’est tout juste si la « Gauloisie-bouseuse » sera autosuffisante à la fin de la décennie.
Alors que c’était une de ses forces « régaliennes », de « souveraineté »…
À peine croyable, finalement ! 

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