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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 14 octobre 2021

Ça pousse comme des champignons !

Un week-end de générations spontanées…
 
Je veux parler des partis politiques « Gauloisiens », naturellement.
Outre « Zézé-Amour » qui envisage de créer le sien, un pas de plus vers sa candidature, histoire de dégager le terrain à « Jupiter » pour le second tour, il se prend à espérer quelques élus à l’Assemblée Nationale.
En fait, lui, je ne sais pas, mais ceux qui l’entourent et vont le rejoindre, oui, c’est certain…
Ils croient encore à leur destin national, eux…
 
De ce que j’en ai compris, ils en sont déjà à se répartir les circonscriptions entre eux avec une règle curieuse : Celle des trois-tiers propre aux « Intermarché ».
À savoir un tiers « prenable » pour les militants de la première heure et apporteurs de fonds, un tiers pour les parjures et retourneurs de veste qui sont légion, et un tiers pour la « société civile »… qui ira « faire masse » sur les circonscriptions « imprenables ».
Et une organisation elle-même en trois tiers : Un responsable par région, un autre par département et un troisième par circonscription…
Ils en pensent déjà que ça va marcher et attirer les ambitions.
Chez Intermarché, le mousquetaire devait un tiers à la centrale, un autre à son magasin et un troisième pour dormir…
« Jupiter » n’a plus qu’à trembler dans son château et le coup d’envoi sera donné à la fin du mois, le temps d’organiser tout ça et de préparer les affiches et les tracts : On en revient à de la politique « d’autrefois », tractages et carambouilles de félons.
J’adore…
 
D’un autre côté, « Kung-Fu-Panda » parle « d’avenirS » au Havre, pardon « à Le Havre ».
Ce qui énerverait les « Jupitéristes » parce qu’ils n’ont rien compris.
Il jette les bases de son parti qui se situera à droâte de la majorité présidentielle, le flanc gôche de la « Jupitérie », débauché chez les « Républicains-démocrates » de « Bling-bling ».
Dans le même mouvement, il faut dire que peu (ou pas du tout) identifié et quasiment inaudible dans le débat public, « Territoires de Progrès », le tout jeune parti créé au début de l’année 2020 par d’anciens « soces » passés chez « Jupiter », qui tenait son congrès à Bordeaux, est englué dans une fâcheuse affaire d’irrégularités de vote constatées dans le cadre d’une récente élection interne.
Des « pratiques politiques douteuses » où on redoute des soupçons de « fraudes ».
Pas sûr que cela réjouisse le « Sinistre des Comptes publics », « Olive-du-Sot », qui, au terme de ce raout bordelais, est intronisé délégué général de « TDP ».
« Tout ça était foireux. On n’a pas pu tout vérifier, bien sûr, mais on est tombé sur des fausses adresses, des fausses déclarations, des militants qui n’existent pas », soupire un cadre du mouvement. « Payer des cartes de copains pour truquer un vote : on reconnaît bien là des vieilles pratiques de parti » (Soce), ironise une autre huile de « TDP ».
Plus d’élus que d’électeurs ?
Là aussi, j’adore…
 
Bref, à « gôche » de la « Jupitérie », on essaye d’endiguer la fuite pour mieux se retrouver à servir le « maître des horloges », alors qu’à droâte des « Marcheurs-même-pas-en-rêve » on fait la même chose, en « toute loyauté » envers le locataire précaire de l’Élysée… mais en préparant déjà le coup d’après : 2027 !
D’où le pluriel au nom du nouveau parti : Il y a plusieurs objectifs à des horizons différents.
Certes 2027, mais également « peser » en 2022 au sein de l’Assemblée Nationale en complément des survivants des « Marcheurs-même-pas-en-rêve » et du « McDo-Modem » de « Bébé-Roux ».
Tout cela est cousu de fil blanc : Si ça fonctionne, « Bébé-Roux » sera le prochain « premier-sinistre » de « Jupiter », quelques mois : Son Bâton de maréchal à lui.
 
Côté « Kung-Fu-Panda », on aura réussi à garder le secret de ce nom jusqu’au bout.
Si la charte des valeurs de son parti politique, forte de vingt engagements résumés en 1.000 mots, avait fuité avant même d’être rendue publique, « l’ex-premier-sinistre » avait bien pris garde de ménager le suspense sur le nom de sa formation.
Devant plusieurs centaines de supporters ou d’observateurs intéressés, dont les trois patrons des groupes parlementaires de la majorité et de nombreux parlementaires soutenant « Jupiter », il a expliqué qu’« il faut, pour faire bien, voir loin ».
Un leitmotiv qu’il avait déjà mis en avant sur « Twister » le 4 octobre.
Il n’est pas encore bakélisé par la plateforme, lui…
Et allons-y dans les majorettes : « Avec Horizons, nous allons définir une stratégie pour la France, c’est une aventure collective », a-t-il lancé.
« Son positionnement, c’est devant », avec « une logique de partenariat, de rassemblement » autorisant la double appartenance, et « la ligne est de préférer la sérénité à la fébrilité », a-t-il ajouté : Roulements de tambours, svp…
« La deuxième ligne claire est le soutien au président de la République » pour que « les cinq années qui viennent soient des années utiles », a-t-il ajouté.
Car « très clairement, mon objectif en 2022 est que le président de la République Emmanuel Macron soit réélu », a-t-il lancé, alors que certains le soupçonnent de vouloir faire cavalier seul.
Sonnez trompettes…
 
Mais derrière, il y a cette idée que « cette réélection passera par un élargissement de sa base électorale » et « l’objectif est de créer un vrai parti, avec des statuts qui seront déposés lundi, une charte des valeurs », a-t-il affirmé, expliquant que les maires y auraient une place particulière avec une « assemblée » qui élira le vice-président.
Alors que la « Jupitérie » essaie de structurer une « maison commune », il a assuré que « si c’est une bannière, nous serons derrière ».
Une maison commune ou une auberge espagnole ?
On est loin du tsunami des « Marcheurs-même-pas-en-rêve » de 2017, n’est-ce pas !
C’est que la vague ce sera effondrée entre-temps.
 
« Nous voulons contribuer à la constitution d’une nouvelle offre politique fondée sur l’ouverture et sur le refus du sectarisme (…). Nous croyons au dépassement des clivages artificiels et au rassemblement de toutes les bonnes volontés au service du pays. Nous travaillerons avec toutes celles et tous ceux qui consacrent leurs forces et leurs idées à imaginer de nouveaux horizons pour la France. »
On dirait du « Juppette 2.0 », mais sans « Juppette ».
Il s’agit de construire « un État moins dispendieux et recentré sur ses missions essentielles ».
Alors là, c’est presque du « Chat-Ban-D’elle-masse-le-Gagneur » et sa « société nouvelle » : Bordeaux sur Le Havre !
Magnifique…
 
Les dix premiers points de cette charte sont comme une anaphore, en débutant par l’expression « nous défendons ». Les dix suivants avec « nous combattons ». « Nous défendons l’unité et la cohésion de la France ».
« Nous combattons l’illusion de l’argent public magique qui admet que l’État redistribue une richesse qu’il n’a pas, en faisant peser le poids de notre mode de vie d’aujourd’hui sur les générations futures », prévient-il.
Lui qui rappelle son attachement « à la liberté », « l’ordre », « l’ambition écologique », « la justice sociale », « le projet européen » et aussi que « l’éducation » doit être « l’objectif prioritaire de l’effort national ».
« Nous sommes persuadés que l’éducation constitue la mère des batailles », insiste-t-il à ce sujet.
Ça ressemble à du « Pompon-Pie-doux », finalement.
 
Sauf qu’il s’agit aussi de combattre « les extrêmes de tous bords qui dressent les Français les uns contre les autres en agitant les peurs et les mensonges ». Une allusion de celle et celui qu’il ne nomme pas, mais qu’il qualifie de « démagogues qui abaissent la controverse démocratique à un jeu d’invectives et bannissent la raison et la mesure du débat public ».
« Nous combattons les fossoyeurs de l’universalisme républicain qui enferment l’individu dans des identités réductrices et sèment les ferments de la division et de l’inégalité », enfonce-t-il, avant de conclure sur « les naïfs et les populistes de l’immigration, qui d’un côté estiment que la France est en situation d’accueillir toute la misère du monde ou, à l’inverse, font croire que le pays peut vivre en autarcie derrière des frontières étanches ».
C’est splendide : J’adore tout autant !
 
Reste à savoir ce qu’il en sera de ces belles déclarations…
Nous ne saurons jamais, en tout cas pas avant 2027, où les priorités auront changé, bien entendu.
Car le monde aura changé dans 5 ans.
 
En fait, et comme d’habitude, il y a ce qui est dit et ce qui n’est pas dit.
Ce qu’il dit, c’est que son parti va servir à « Jupiter » en 2022 et à être un laboratoire d’idées pour élaborer une vision de long terme du pays dans tous les domaines.
Ce qu’il ne dit pas, c’est qu’il y a de sa part une volonté de peser sur la réélection : Par ses idées, pour ce qui est de la ligne politique, et par la dimension du rassemblement qu’il aura réussi à créer, pour être la force principale de la future majorité, si « Jupiter » est réélu, ce qui n’est pas gagné, d’après lui.
Autrement dit, il tente une OPA sur le « centre-droât » qui achèverait la droâte déjà moribonde et obligerait « Jupiter ».
En 2017, déjà, il a été l’instrument de la recomposition qui était le plan de « Jupiter ». En 2022, il espère être ainsi l’artisan de la réélection de « Jupiter »… pour faire ses propres plans.
Il s’agit de se rendre incontournable.
Aujourd’hui, « Jupiter » est ravi que son parti soit une sorte de comité électoral sans consistance, car ça lui permet de tout diriger lui-même.
S’il est réélu l’an prochain, celui qui contrôlera, ou dominera la majorité aura un ascendant sur la succession, et aussi sur le contenu de la politique qui sera menée.
Une façon comme une autre de ne pas être un rival, sans devenir un vassal.
 
En bref, je trouve que le week-end dernier aura tout d’un coup donné de l’épaisseur au paysage politique de mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…).
Et curieusement, les « indicateurs prédictifs » ne changent rien à la bataille des présidentielles.
Comme si elle était déjà pliée, le match tué.
Quelle belle stratégie d’ensemble, finalement…
Mais on est à six mois : Si les « Pandora-Pampers » ont lancé un signal fort (cf. I-Cube (l'exilé): Faisceau de « fils rouges » ! (flibustier20260.blogspot.com)), il peut encore se passer plein de choses en 6 mois.
Même si tout semble sous contrôle depuis que les dispositifs législatifs ont été mis en place pour ça dans la bousculade de la crise du « Conard-virus », dans le sillage de celle des « Gilets-Jaunes » (bien enterrée) qui faisait suite à celle du terrorisme islamique.
Une horloge « bien réglée », finalement…
Par le « maître » de celles-ci ?

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