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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 26 octobre 2021

Parmi les « fils rouges » de la semaine dernière…

Vous aurez noté au moins trois choses.
 
1 - D’abord, d’après le discours officiel, il n’y a pas d’inflation. Pas encore.
Mais « Casse-tête », le chef du gouvernement qui gouverne, aura tout de même inventé la « prime inflation » !
Elle n’est pas belle celle-là ?
100 euros pour les 38 millions de « Gauloisiens-appauvris » qui ne gagnent pas plus de 2.000 €/mois.
Minimum syndical, quoi : C’est du 5 % de mieux !
C’est vous dire le niveau de l’inflation pas encore attendu prochainement…
 
2 - Et puis le 4ème PAI (Plan d’investissement pour l’avenir) annoncé par « Jupiter » : 30 milliards… bien sur 5 ans (seulement 6 Md€/an pour un budget bien plus volumineux !)
C’est son second. Le premier ayant été initié par « Kung-Fu-Panda » rapidement après avoir été nommé « Premier sinistre ».
À l’époque, cela faisait 56,7 milliards d’euros de PIA cumulés avec celui de « Bling-bling » et celui de « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Souvenez-vous, je vous disais à l’époque que c’était du recyclage des « détournements » de « Mythe-errant » des années 90/91 à l’occasion de la guerre du golfe où il s’était servi plus que de raison.
(I-Cube (l'exilé): Ça devient agaçant, à la longue… (flibustier20260.blogspot.com)).
En effet, on n’avait pas vu les effets des « emprunts projetés » pour financer tout ça dans les prévisions de l’agence « Gauloisie-Trésor », chargée de lever les fonds pour le pays sur les marchés internationaux et de les confier à la BPI, la banque étatique qui « dépense »…
 
Eh bien là, confirmation : Les réserves sont à sec ! Le PIA-4 sera financé par le budget général. Il sera voté à hauteur d’un tout petit 2,8 milliards d’euros pour 2022…
Autrement dit, on commence « tout doucement ».
Et puis alors, très curieusement, on reprend exactement les mêmes dépenses d’investissements que les précédents PIA, axes présentés par le duo « RoroCard/Juppette » à l’époque où ils devaient superviser le premier PIA…
Sauf une « réallocation », un « arbitrage » vers les Small-réacteurs-nucléaires à sels fondus voulus par « Jupiter » dans sa récente présentation de l’horizon 2030…
Cette fois-ci, c’est l’impôt ou l’endettement général qui paye !
Alors que pour les précédents PIA, ce n’était personne…
 
3 - Et enfin, plus intéressant, l’éviction de quelques « journalistes » respectivement à la tête de Paris-Match et du JDD dès ce lundi aura été annoncé par le groupe « Lagarde-Air », un tandem qui succède à Hervé Gattegno qui n’aura pas démérité pour autant.
Quoique…
Il s’agit d’un retour pour ces deux journalistes qui ont tous deux bien connu les deux titres.
Des « papys journalistes » septuagénaires qui ont besoin d’être secondés l’un par Caroline Mangez et l’autre par Cyril Petit, promus respectivement directeurs de la rédaction de Paris-Match et du JDD.
 
On connaît Caroline qui était jusqu’ici directrice adjointe de la rédaction de Paris-Match depuis 2020.
La journaliste aura pour mission avec Patrick « de travailler (au) rayonnement de (Paris-Match) quels que soient les canaux et de conforter le titre à la place qu'il mérite dans le paysage médiatique français », déclare alors « Nono », le chef en titre de la bande.
Quant à Jérôme, « il pourra compter sur le professionnalisme et le talent de Cyril Petit, déjà très engagé dans les chantiers de transformation du JDD, notamment son déploiement numérique », exposent le même dirigeant.
En fait, ces nominations étaient attendues après l’annonce du départ d’Hervé Gattegno, directeur de la rédaction du JDD depuis 2016 et de celle de Paris-Match depuis 2019.
Naturellement, le groupe « Lagarde-Air », propriétaire de ces deux titres de presse emblématiques, est resté muet sur les raisons de cette éviction.
Mais beaucoup ont vu dans ce changement brutal l’influence en coulisses de « Vingt-cent-Beau-l’Orée », devenu premier actionnaire du groupe Lagardère via son groupe Vivendi, depuis peu.
 
On se souvient, car c’est encore récent, de la bataille homérique qui s’est déroulée pour le contrôle du groupe « Lagarde-Air » : Durant plusieurs mois, c’était un véritable bras de fer qui se jouait avec d’un côté « Nono », l’héritier de « Jean-Luc », soutenu par « Nanar-Art-No » et de l’autre, « Beau-l’Orée » et son allié Amber Capital.
« Nono » risquerait d’être mis en minorité, mais il aura réussi à se maintenir dans son fauteuil tout en renonçant à sa commandite.
 
En face, « Beau-l’Orée » convié en avril pour soutenir la direction, a désormais acquis le contrôle de 27 % des parts, et 20 % des droits de vote : Une position qu’il affectionne particulièrement, juste au seuil du déclenchement automatique d’une offre publique sur le groupe d’édition (Hachette) et de distribution dans les gares et aéroports (Relay), sans oublier les médias (le JDD, Paris Match et Europe 1). Vivendi bénéficie d’un droit de première offre sur la participation de 20 % détenue par Amber Capital.
Le fonds souverain du Qatar (13 % des parts et 20 % des droits de vote) était alors appelé à les départager.
Or, ce soutien historique de « Nono » est sorti de sa réserve fin septembre pour qualifier publiquement la demande de Vivendi et Amber de « légitime ».
« Nono » avait longtemps exclu de céder sa commandite, mais il a été contraint cette année de tenter de la monnayer.
Dans l’accord conclu avec « Art-No » à qui il a cédé 27 % de sa holding personnelle pour éponger une partie de ses dettes personnelles, il évoque l’échange de son statut privilégié contre des parts de son groupe, qui a souffert de la crise sanitaire mais dont le cours en Bourse a bénéficié de ce combat entre milliardaires.
 
Et puis les deux hommes se sont rencontrés seul à seul, en voisin dans le quartier cossu de la Villa Montmorency à « Paris-sur-la-plage ». « Bien évidemment, je ne ‘‘décommanditerai’’ pas avec des actionnaires qui rêvent d’avoir mon scalp et qui veulent découper mon entreprise, comme Amber Capital. Mais si j’arrive à avoir en face de moi des gens qui veulent le faire de manière intelligente et apaisée, pourquoi pas », avait-il déclaré l’année dernière, affirmant également que « Vincent Bolloré n’est pas (son) ennemi ».
Les choses étaient donc « pliées » dès cette époque.
Résultat, il perd le contrôle opérationnel de son groupe et donc celui des lignes éditoriales.
 
Car « Beau-l’Orée », sortira vainqueur par K.-O. En rachetant des parts, Vivendi se retrouve à la tête de 45 % du groupe, et donc dans l’obligation de lancer une offre publique d’achat (obligatoire quand on passe le seuil des 30 %). « Nanar-Art-No », pédégé de LVMH et actionnaire de 10 % du capital, semble en avoir pris acte et serait vendeur des 10 % qu’il détient dans « Lagarde-Air », selon des informations du Monde.
« L’opération sera réalisée d’ici au 15 décembre 2022 (après les présidentielles), après qu’auront été obtenues les autorisations auprès (…) de la Commission européenne et du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) », indique Vivendi dans un communiqué.
Si elle aboutit, elle permettra à « Vingt-cent » d’élargir encore un peu plus son empire dans les médias, déjà constitué de Canal+, CNews, Prisma Média (Capital, Gala, Voici, Télé Loisirs…), et dans l’édition (Éditis).
 
Depuis qu’il a été contraint de renoncer à la commandite, disposition qui le rendait indéboulonnable, « Lagarde-Air » est devenu un patron (presque) comme les autres, à savoir à la merci d’actionnaires qui peuvent le débarquer à tout moment. Or, on l’a vu à Europe 1, où durant des mois, le milliardaire breton y fait la pluie et le beau temps sans que l’héritier n’ait son mot à dire.
« La part de marché conjuguée d’Hachette et d’Éditis atteint 71 % dans le parascolaire, 63 % dans le dictionnaire ou 54 % dans le Livre de Poche ».
Les dirigeants de la quarantaine de maisons d’édition du groupe Hachette en « Gauloisie-éditoriale » bénéficient cependant d’une grande latitude à la tête de leur entreprise. « Chacune des marques est développée par un talent libre. Nous sommes une constellation de PME avec une culture de non-interventionnisme. » L’ancien pédégé, évincé en mars dernier pour s’être publiquement opposé à un rapprochement avec Éditis, voyait même dans cette indépendance une des principales clés du succès d’Hachette.
 
De ce point de vue, l’arrivée de « Beau-l’Orée » est peu rassurante, car l’homme était réputé pour son interventionnisme, comme il l’a encore montré récemment à Europe 1. Si personne, chez Hachette, ne s’avoue surpris du rachat du groupe « Lagarde-Air » par le milliardaire breton, beaucoup craignent la perte de cette culture maison.
D’ailleurs, on se demandait bien ce qu’il attendait, lui « l’hyper-interventionniste » où, à la tête de son empire il décide de tout seul, sans se laisser aucunement influencer par la pression des réseaux sociaux ou des médias.
C’est le sens de sa reprise en main musclée d’I-Télé, devenue CNews, accueillant sur son antenne des éditorialistes de la droite conservatrice et suscitant des cris d’orfraie.
« Beau-l’Orée » s’en moque : La concurrence est rude dans le monde des chaînes info, et l’audience est remontée en flèche. « BFMTV a une position maîtresse, il fallait trouver des relais de croissance, reconnaît un proche du magnat breton.
Cela implique la recherche d’émissions au ton assez tranché.
Idéologiquement, il y a chez Bolloré et Vivendi un certain goût pour être hors du consensus.
N’oublions pas qu’en France il y a au moins un électeur sur quatre aux frontières du Rassemblement national. »
Ça aura été le créneau utilisé par « Zézé-Amour » pour avancer sous couvert dans l’opinion publique.
 
Et jusque-là, il n’aime pas trop « Jupiter » et ça date d’une visite d’une usine de batteries (celles des « auto-lb’ ») du ministre d’alors.
C’est la raison pour laquelle il protège alors « Zézé-Amour ».
En octobre 2019, la rumeur bruissait qu’un dirigeant de Canal cherchait à se séparer de l’auteur du « Suicide français » après sa participation controversée à la Convention de la droite.
Inquiet, le polémiste rend visite à l’industriel au cinquième étage de l’immeuble haussmannien de Vivendi. « C’est vrai que votre bras droit veut me virer ? », s’émeut alors l’éditorialiste. « Je n’ai pas de bras droit », rétorque « Beau-l’Orée », placide.
 
Ceci dit si « Nono » a lâché ses hommes en rase campagne, c’est probablement qu’ils ont déplu à « Beau-l’Orée ».
En effet le 23 septembre, « Match » publie une enquête sur Sarah Knafo, bras droit « Zézé-Amour ».
Le papier est cinglant. Les « Gauloisiens » découvrent le polémiste se baignant torse nu et enlaçant la jeune femme, une relation « hors mariage » légitime.
Hervé Gattegno se serait ainsi mis tout le monde à dos : Les soutiens de « Zézé-Amour », dont « Vingt-cent » qui l’a embauché dans le groupe Canal+, mais aussi ses détracteurs qui reprochent à « Match » de rendre « Zézé-Amour » glamour.
Sa feuille de route.
 
Et puis par ailleurs, Hervé Gattegno a, en novembre dernier, entraîné « Match » dans une affaire compliquée en recueillant, au Liban, le témoignage de Ziad Takieddine. Ce témoignage est celui d’un intermédiaire qui dédouane finalement « Bling-bling » des soupçons de financement libyen dans la campagne de 2007.
Or, l’article et la façon dont il a été « dealé » se sont retrouvés au cœur d’une information judiciaire.
Le soupçon est d’autant plus pesant que « Bling-bling » siège en personne au conseil d’administration du groupe « Lagarde-Air » qui possède « Match ».
La société des journalistes du magazine a même exprimé son « profond malaise » face à cet imbroglio.
Bref, une reprise en main par « Beau-l’Orée » pour la bataille des présidentielles qui va suivre !
Cette décision suscite la controverse, plusieurs cadres de Vivendi y voyant une tentative de sa part de « démacroniser » le journal afin de mieux le faire correspondre à son agenda politique.
Souvenez-vous qu’il était resté un soutien de « Bling-bling »…
Qui lui-même avait été essoré par « Match » qui avait fait une couverture sur les infidélités de « Chéchilia » en plein campagne électorale de 2007…
Ce qui a valu une sortie fracassante de son directeur hors de son fauteuil de patron du journal.
 
« Beau-l’Orée » roule donc pour « Zézé-Amour », contre « Jupiter ».
La question que je me pose, c’est pour encore combien de temps ?
Le patron est breton et un breton, c’est têtu, bien plus qu’un âne Corsu.
Et je connais un peu la famille (par les « soubrettes » qui ont fait « classe de droit » à la fac avec moâ) : Des « cathos-prout-prout », « papistes » pur jus, versus « traditionnaliste », l’aïeule « gaulliste et résistante de la première heure », et lui ami de « Bling-bling », son « voisin » de la Villa Montmorency dans le très chic « XVIème privé ».
« Vingt-cent » va se confesser deux fois par semaine et a prévu de prendre sa retraite le 17 février prochain, jour du bicentenaire de l’entreprise familiale, ce qui ne l’empêche pas d’avoir divorcé d’avec la mère de ses gamins et d’avoir vécu « à la colle » avec une « troisième main d’occasion » pendant un temps.
Il a beaucoup à se faire pardonner par l’Éternel et pour ça reste « en mission » : « Zézé-Amour » devrait aller loin avec un « parrain » pareil !

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