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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 octobre 2021

Revisitée par Jean-Marc

C’est une vieille « revenue » mais enrichie…
 
C’est l’histoire du jeune Roi Arthur qui, dans une bataille, se fait capturer par le monarque d’un royaume voisin.
« J’aurais pu te tuer, mais comme tu es jeune, je te propose un marché. Je te laisse la vie sauve si tu réussis à trouver la réponse à une question très difficile. »
Arthur aurait un an pour trouver la réponse. Si au bout d’un an, il revenait avec la réponse, alors il serait libre, sinon, le monarque le tuerait.
La question ?
Que veulent réellement les femmes ?
Une telle question rendrait perplexe n’importe quel homme d’expérience, mais pour le jeune roi, la réponse paraissait impossible à trouver.
Arthur accepte malgré tout la proposition et promet de revenir dans un an avec la réponse à cette difficile question.
Il retourne dans son royaume et interroge tous ses sujets : La princesse, les prostituées, les prêtres, les sages, les courtisans, les soldats.
Personne ne peut lui répondre.
On lui conseille de consulter une vieille sorcière qui, seule, pourrait connaître la réponse, mais le prix est élevé : La sorcière connaît sa valeur et exige beaucoup d’argent.
Le temps passe, Arthur n’a plus le choix et il consulte la sorcière.
Elle accepte de répondre à sa question, à la condition qu’il lui accorde d’épouser Gawain, le plus noble des chevaliers de la Table Ronde, et son ami le plus cher.
Arthur est horrifié : La sorcière est bossue et hideuse, elle n’a plus qu’une dent, sent l’eau croupie et émet des bruits obscènes.
C’est la créature la plus répugnante qu’il ait jamais rencontrée.
Il refuse d’imposer une telle ignominie à son ami.
Gawain, en apprenant le prix proposé par la sorcière, affirme à Arthur qu’aucun sacrifice n’est trop grand pour préserver la vie de son roi et l’existence de la Table Ronde.
La sorcière approche alors de l’oreille d’Arthur…
« Ce qu’une femme veut réellement, c’est de pouvoir être maîtresse de sa destinée. »
Tout le monde sut alors que la sorcière venait de dévoiler une profonde vérité et que la vie d’Arthur était sauve. Et ainsi en fut-il.
Le monarque voisin épargna la vie d’Arthur et lui redonna sa liberté.
Au mariage, Arthur est déchiré entre le soulagement et le désespoir.
Autant Gawain est parfait, gentil et courtois, autant la vieille sorcière est dégueulasse.
La nuit de noce approche : Gawain, prêt pour une nuit d’horreur entre dans la chambre.
Surprise ! Allongée sur le lit, c’est la plus belle femme du monde qui l’attend.
« – Qu’est-ce qui se passe ? Qui es-tu ?
– Comme tu as été gentil et généreux avec moi quand j’étais la vieille sorcière, je serai tantôt répugnante, tantôt créature de rêve. À toi de choisir comment tu me veux le jour et la nuit. »
Gawain réfléchit…
Durant le jour, une femme ravissante à montrer à ses amis mais la nuit, dans l’intimité de sa maison, l’enfer.
Ou bien l’inverse, un monstre le jour et un pétard la nuit.
Le noble Gawain répond alors qu’il lui laisse le choix.
À ces mots, elle lui annonce qu’elle sera toujours une ravissante jeune femme car il l’avait respectée et laissée prendre en main son propre destin.
Quelle est la morale de cette histoire ?
(L’enrichissement)
La morale de cette histoire ?
PEUT IMPORTE QUE VOTRE FEMME SOIT JOLIE OU LAIDE, À L’INTÉRIEUR, C’EST TOUJOURS UNE SORCIÈRE !
 
(Encore une revenue, mais il y a bien longtemps de ça qu’elle est partie de ce blog…)
Jean-Marc et Jean-Paul sont partis à la chasse dans le bois lorsqu’une averse intense les surprend.
Ils courent jusqu’à leur voiture.
Une fois sur place, la pluie cesse.
Ils décident quand même de rentrer, de peur que l’averse ne reprenne.
Ils boivent de plus en plus de bière et Jean-Marc déchaine les chevaux sous le capot et ils roulent.
Soudain, le visage d’un vieux paysan apparaît dans la vitre de Jean-Paul.
Il cogne doucement.
Jean-Paul, côté passager pousse un cri !
« AAAhhh ! Regarde ma fenêtre ! Y a la face d’un paysan dans ma vitre ! »
Le vieux paysan continue à cogner.
Les deux gars roulent toujours plus vite telle que les secousses les font tressauter. Est-ce que ce serait un fantôme ?
« Baisse la vitre et demande-lui ce qu’il veut ! » crie Jean-Marc dans le vacarme.
« – Qu’est-ce que tu veux ?
– Vous n’auriez pas une cigarette ?
– Il veut une cigarette !
– Dépêche-toi ! Donne-lui-en une ! »
Jean-Paul fouille nerveusement dans le paquet, les mains tremblantes, sort une cigarette et la tend au paysan.
« – Vite ! Accélère ! » crie-t-il à l’adresse de Jean-Marc en remontant sa vitre en tremblant de peur.
Jean-Marc, terrorisé écrase le champignon.
Puis, la bière faisant son effet, les deux compères gars se calment et recommencent à rire.
« – Qu’est-ce que tu penses de ça ?
– Je n’en sais rien… Je ne comprends pas comment il pouvait être là, à côté de l’auto pendant qu’on roulait… en tout cas, il est loin derrière.
Allez ! On prend une autre bière. »
Soudain, encore une fois, ‘‘toc toc toc’’ contre la vitre…
Le vieux paysan est encore là, tout sourire.
« AAAAAAHHHHHH ! C’est encore lui ! » crie Jean-Paul.
« Demande-lui ce qu’il veut maintenant ! »
Jean-Paul baisse sa vitre, un peu, et demande au vieux paysan ce qu’il veut.
« Auriez-vous du feu ? »
Il fouille ses poches, sort son briquet et le donne au vieux.
« Allez ! ACCÉLÈRE ! »
Le moteur hurle, la boue vole de partout.
Et la bière coule encore.
On s’amuse mais il y a beaucoup de nervosité dans l’air.
De l’inquiétude même.
Soudain… ‘‘toc toc toc’’ dans la vitre !
« Oh mon Dieu ! IL EST REVENU ! C’EST ENCORE LUI ! » s’écrie Jean-Paul, livide.
« – Que voulez-vous ?
– Ben, peut-être que, je me disais, vous êtes tellement aimable, que je pourrais vous aider à sortir de ce trou de boue ? »
 
Ce jeune couple, très amoureux, se fait arrêter pour indécence sur le siége arrière de la voiture.
Le policier tend une contravention au jeune homme et lui dit qu’on ne fait pas ça dans une auto !
« Montre-moi la contravention » dit sa femme. Qu’a t’il écrit lui demande sa jeune amie ? »
Excès de vitesse : Fait du 69 dans une zone de 50…
 
C'est trois vieilles femmes qui bavardent sur un banc du parc de la maison de retraite.
La première dit : « Plus ça va et moins j’ai de mémoire. Ce matin, je me suis retrouvée en haut de l’escalier, et je ne savais même plus si je venais de monter ou si je m’apprêtais à descendre… »
La deuxième dit : « Ouais, c’est encore pire pour moi. L’autre jour, je me suis retrouvée assise sur mon lit sans arriver à savoir si je venais de me réveiller ou si j’allais me coucher… »
Alors la troisième les regarde avec un sourire ironique et dit : « Eh bien moi, j'ai la mémoire aussi bonne que quand j'étais jeune. Je touche du bois ! »
Sur ce, elle donne un petit coup de ses articulations sur le bois du banc (Toc Toc), et tout de suite après, l'air étonné elle dit : « Qui est là ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière, se posent des colles :
Q : Quelle est la différence entre une copine et une épouse ?
R : 45 livres.
Q : Différence entre un amant et un mari ?
R : 45 minutes !
Q : Qu’est-ce que ça donne quand un homme par le cochon à une femme ?
R : Harcèlement sexuel
Q : Qu’est-ce que ça donne quand une femme parle cochon à un homme ?
R : 20 euros la minute
Q : Pourquoi les hommes veulent marier des vierges ?
R : Ils ne supportent pas la critique.
Q: Pourquoi est-ce si dur pour les femmes de trouver un homme sensible, doux, attentionné et beau ?
R : Parce qu’ils ont déjà un amant.
Q : Pourquoi les femmes simulent-elles l’orgasme ?
R : Parce que les hommes sautent les préliminaires.
Q : Différence entre un nouveau mari et un nouveau chien ?
Q : Après un an, le chien est encore excité de vous voir…
Q : Le gars le plus populaire dans un camp de nudistes ?
R : C’est celui qui peut transporter une tasse de café dans chaque main et une douzaine de beignet en même temps.
Q : La fille la plus populaire dans ce camp de nudistes ?
R : Celle qui peut manger le dernier beignet !
Q : Une brune, une blonde et une rousse sont toutes en 6ème. Laquelle a les plus gros seins ?
R : La blonde, parce qu’elle a 18 ans dépassé !
Q : La sanction pour la bigamie ?
R : Deux belles-mères !
 
L’homme rencontre un gars qu’il n’a pas vu depuis très longtemps…
« – Tiens, Jean-Paul, je te croyais mort !
– Hé ! Non ! Comme tu vois.
– Bon, ça sera pour une autre fois ! »
 
Trois hommes en se noient.
Un Chinois, un Japonais et un Pakistanais.
Ils arrivent au ciel, et le gardien leur demande :
« Que vous est-il arrivé ? »
Le Chinois répond : « Chi noyé. »
« – Et toi, tu n’as pas pu le sauver ?
– Non, Japonais à nager.
– Et toi gros, grand gaillard, tu aurais pu les sauver, non ?
– Non, paquistanais après moi. »
 
« – Maman, maman, aujourd’hui j’ai été le seul à répondre à une question du professeur !
– Ah bravo ! Et quelle était cette question ?
– Qui a brisé la vitre pendant la récréation ? »
 
Deux fous…
« – Comment font les bonnes-sœurs pour se reproduire?
– En ‘‘couvent’’. »
 
Jacob rend visite à son ami Lévy qui est malade, terrassé par une grosse grippe.
« – Alors », demande-t-il, « ça va mieux ?
– Non », répond Lévy, « j’ai une fièvre de cheval…
– Tu devrais aller voir un docteur !
-Aïe ! Et le prix de la consultation, Jacob, tu y penses ? Tu veux me faire mourir, ou quoi ?
– Écoute, Lévy, va voir mon docteur, il fait un tarif dégressif : La première fois, ce n’est pas trop cher, mais quand on revient le voir, c’est moitié prix ! »
Le lendemain, Lévy va voir le docteur de son ami Jacob, et lance en entrant :
 
« Bonjour, docteur, c’est encore moi ! »
 
Un fou frappe férocement sur le sol avec un morceau de pain.
« – Eh ! Tu fais quoi ?
– Je casse la croûte… »
 
Une très ravissant jeune-femme vient réclamer un délai pour le paiement de ses impôts.
Le percepteur, qui louche abondamment sur ses jambes, lui dit :
« Avant tout, chère petite madame, sachez bien que, contrairement à ce que l’on croit, au ministère des impôts, il n’y a pas que des incorruptibles… »
 
Le metteur en scène s’extasie :
« – Mais vous êtes une tragédienne née ! Comment avez-vous appris à pleurer ainsi, en bouleversant les spectateurs par vos cris ?
– Eh bien, j’ai été longtemps mariée à un petit commerçant. Et j’ai appris en l’écoutant parler avec les fonctionnaires du ministère des impôts. »
 
Jean-Paul et Jean-Marc, devant une autre bière.
« – Pourquoi la majorité des femmes se déclarent-elles insatisfaites sexuellement ?
– Parce que je ne peux pas être partout en même temps, hé banane ! »
 
Oui, bon, je le reconnais : Pas terrible finalement.
Devra faire mieux la prochaine fois !
 
Solutions des contre-pets de la semaine dernière :
 
« Les TÊtons dans les mains et les fleurs sur les FESSes ! »
« Éloigne-moi de ce SAle Con ! »
« Ces vieux bouGREs ne plaisent pas aux CAtins de la ville. »
 
Propositions de la semaine :
« Les biologistes se livrent à la prospection de beaucoup de germes. »
« Ce marin tripote les cordages de façon incessante. »
« Ce Breton a perdu son calmar en arrivant vers l’aber. »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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