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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 4 octobre 2021

Pendant mes récentes « estives »,

Je ne suis pas seulement resté à contempler le ciel !
 
En réalité, j’ai beaucoup lu et plus la presse que d’habitude que des études par ailleurs fort intéressantes.
Je vous ai d’ailleurs préparé 17 posts qui résument les grandes lignes, surtout tournés vers l’actualité locale, il faut bien le dire, elle-même centrée sur le cluster de Balagne, puisque j’y étais plongé…
 
Néanmoins, à travers tous les soubresauts de l’actualité mondiale - c’était l’époque de la débâcle occidentale en Afghanistan, c’était aussi les préparatifs des « grandes manœuvres » autour d’alliances nouvelles en Asie-Pacifique que personne n’a vraiment vu venir pour en tirer les bonnes conséquences - mon unique-neurone aura été attiré par une publication du « Jerusalem Post ».
Mais si, je m’informe, moâ !
Même aux sources les plus improbables.
 
Parfois, la presse israélienne est particulièrement surprenante et surtout « honnête ».
On ne peut pas en dire autant de tous les médias, souvent caisse de résonance des agences de communication qui fournissent communiqués et articles de fond en vue de favoriser tel ou tel « acteurs » économique ou politique.
C’est d’ailleurs assez surprenant quand il s’agit de démolir, défoncer, les aspects d’une liberté de mouvement qu’on n’a jamais eu aussi étendue depuis des siècles.
C’est même excessif et conduit à prendre des décisions, pire, à les imposer, au détriment du plus grand nombre et au profit de quelques-uns qui restent « privilégiés ».
Mais c’est un autre sujet.
 
Voilà donc que le canard israélien nous apprend, tout de go, que l’empire américain se meurt, à l’inverse de tous nos médias et autres agents appointés pour célébrer sa survie.
Avouez que c’est assez extraordinaire, pour un journal « policé » dans un État dont la survie existentielle dépend pour une large part de l’allié « ricain » et des financements de la diaspora « ricaine » et… hébraïque.
Il n’y a plus grand-chose à en dire, peut-être seulement à en rire, puisque cet empire aura été remplacé par une redoutable pieuvre dont force est de reconnaître que nous commençons seulement à ressentir les effets anxiogènes.
Cette pieuvre se tourne effectivement avec Big Pharma contre les peuples occidentaux qui se croyaient jusque-là maîtres du monde libre.
Enfin, c’est ce qu’on nous en a dit depuis des décennies.
On se demande même si les sadiques n’ont pas désormais toute liberté de torturer leurs populations avec leurs sponsors !
Passons, c’est également un autre sujet autour duquel les « anti-vax », par exemple, font leur beurre avec plus ou moins de bonheur.
Mais il y en a plein d’autres qui s’insurgent contre tel ou tel diktat et ça ne fait toujours pas une Révolution.
Comme quoi, nos institutions restent assez solides…
 
Donc, dans un article publié le 27 août par le Jerusalem Post, Amotz Asa-El, journaliste et écrivain israélien, conclue que l’ère de l’impérialisme américain est révolue :
« L’Empire, l’ère la plus ambitieuse, la plus contradictoire et la plus coûteuse de l’histoire américaine, est sur le point de prendre fin.
Ce qui a commencé avec les conquêtes d’Hawaï et des Philippines il y a plus de 120 ans, et a produit plus tard l’empire le plus puissant de l’histoire, est maintenant devenu absurde en termes de taille, exorbitant en termes de coûts et sans rapport avec ses objectifs », écrit-il au début de son article.
Hein, ça valait la peine que j’y revienne, parce que c’est plus qu’un pétard !
 
Pour rappel de la stupidité dudit empire, finalement il ne fut à 90 % qu’une gabegie bureaucratique et militaire financée par un dollar imprimable à volonté :
« Compte tenu de l’histoire impériale, des circonstances internationales et du code génétique de la société américaine, le retrait mondial est en effet ce que l’Oncle Sam devrait faire maintenant. (…) »
« L’imperium américain a implanté 800 bases dans le monde, plus de 20 fois ce que les quatre autres superpuissances ont combiné.
Le nombre de militaires américains stationnés à l’étranger, 200.000, est égal à la taille de l’ensemble de l’armée permanente de la France.
Quelque 150 des 195 pays du monde accueillent des troupes américaines.
Les dépenses militaires annuelles de l’Amérique s’élèvent à plus de 770 milliards de dollars.
Eh bien, ils voulaient des choses différentes à des moments différents.
À la fin de la prochaine guerre mondiale, la position impériale de l’Amérique a été transformée : ce n’était plus une jeune nation en quête de la puissance, mais désormais animée par le souci de la survie dans ce monde ».
Impressionnant.
 
Sauf qu’heureusement, il n’y aura pas de « prochaine guerre mondiale ».
Juste une série de conflits régionaux qui permettent d’écouler les surproductions de munitions et matériels militaires obsolètes afin de financer les armes de la génération suivante.
Une fuite en avant qui n’a de cesse de s’accélérer.
Et les lobbies des industries du « canon » se fendent de communiqués alarmistes pour réclamer plus de programmes, plus de subventions, plus de commandes de matériel, etc.
Et c’est vrai qu’une arme, en principe, ça sert à s’en servir un jour ou l’autre… fatalement oserai-je dire sans mauvais jeu de mots.
 
L’auteur rappelle l’absurdité de tout cela et se pose la bonne question :
« Pourquoi alors entourer le globe de troupes, de bases et de porte-avions ?
Et pourquoi dépenser 770 milliards de dollars par an pour la défense, alors qu’il y a dans chaque métropole américaine des ghettos tentaculaires où des millions d’Américains sous-éduqués croupissent dans la pauvreté, l’indignité et le désespoir ? »
Et de conclure :
« L’imperium américain est devenu une absurdité qui néglige le bien-être des Américains et vide ses bourses afin de lutter pour une cause impossible contre des ennemis qui n’existent plus ».
 
On peut ne pas être d’accord.
D’ailleurs je ne le suis pas totalement.
1/ Vider les bourses de citoyens « ricains », c’est impossible tant que le monde paiera en US dollars qu’ils sont seuls à imprimer à volonté.
Plus que ça, ils imposent « leurs normes » sur la planète entière avec l’extra-territorialité du droit « ricains ».
À part quelques « poches » réfractaires qui sont donc désignés comme étant « l’ennemi ».
2/ En revanche la fabrication des « ghettos tentaculaires où des millions d’Américains sous-éduqués croupissent dans la pauvreté, l’indignité et le désespoir » est un véritable scandale, presqu’un crime contre l’humanité, là j’en suis d’accord.
C’est insoutenable et pourtant nous avons les mêmes sur nos trottoirs européens.
Et particulièrement ceux de « Paris-sur-la-Seine » que je connais le mieux.
Et ceux-là, partout autour du globe, survivent grâce à toutes sortes de trafics illégaux de misère, de larcins ou de mendicité.
Une plaie immonde, et qui a toujours existé.
3/ En revanche, il faut se rendre compte que les USA dépensent des milliers de milliards de leur monnaie depuis des décennies pour faire quelques 89.000 morts, loin devant les 19.000 décès recensés pour cause de terrorisme.
Pour quel résultat tangible ce « terrorisme d’État » ?
Quel bénéfice, même géostratégique ou simplement économique, voire politique ?
Rien n’a changé depuis Yalta, hors quelques frontières autour de l’ex-empire soviétique…
Donc ensemble vide, sauf à se dire que tout cela aurait servi à maintenir vaille que vague les accords de Yalta dans la naphtaline.
4/ Et puis les « alliés » de l’Otan ont re-découvert, mais c’est plus récent, avec l’affaire des sous-marins des « Kangourous », donc postérieurement à « mes lectures-estivales », que les « anglo-saxons » n’étaient pas très loyaux, voire absolument pas.
Et ça, ça va marquer les esprits pendant de nombreuses années : L’empire ne peut que les traiter en piètres « vassaux » qu’on peut humilier sans vergogne !
On en a déjà parlé, mais on y reviendra probablement…
 
5/ Car le problème pourrait ne pas être là.
Le rapport des prévisionnistes de la CIA sur l’état du monde dedans 10 ans est alarmant.
Il prend fait et cause d’un dérèglement climatique majeur.
Peu leur importe les causes… ils examinent les conséquences prévisibles.
Et quand « Mes-Luches » face à « Zézé-Amour » en fera mention lors de son débat, il n’a pas totalement tort de signaler que la Camargue, le marais poitevin, des villes côtières et jusqu’à Bordeaux seront submergés régulièrement puis définitivement.
« Mais pas les plages de Balagne » me suis-je dit, pour être déjà surélevées (et protégées par le TGV local - Train à Grandes Vibrations), ni Venise pour faire face désormais avec succès aux épisodes « d’Acqua Alta », ni Londres aux grandes marées ni les polders des « Bataves » déjà équipés.
En revanche, le delta du Rhône, la vallée de la Somme et même celle de la Seine pourrait voire leur physionomie être largement dégradée.
 
Et les effets sont aussi ailleurs. Des chercheurs ont travaillé sur la répartition de la végétation et sur le stress thermique et les conditions de croissance que rencontreront les principales plantes cultivées à ce jour dans le monde pour nourrir la planète.
Première mauvaise nouvelle, même si on pouvait s’en douter : Les zones adaptées à certaines cultures se réduisent et se déplacent vers les pôles. Certaines régions aujourd’hui connues pour la richesse de leur écosystème sont menacées de devenir stériles, dont le bassin amazonien, par exemple.
Et certaines régions de la planète deviennent même inhabitables tant la chaleur sera pesante.
Autrement dit, les lieux déjà désertiques et ceux déjà inondés deviendront proprement et durablement « inhabitables ».
Ce qui naturellement provoquera des exodes « climatiques » encore plus massifs que ne le sont les « migrations économiques » actuelles.
 
La surface de la Terre va changer d’une manière radicale. D’une manière qui mettra au défi notre capacité à maintenir de nombreux éléments essentiels à notre survie, « en particulier dans les cultures historiquement et géographiquement enracinées qui nous donnent sens et identité ».
Nous en sommes réduits à envisager que notre planète nous devienne totalement étrangère, inhospitalière… inhabitable !
Pas pour nous ni pour nos gamins, mais pour les gamins des gamins de nos gamins.
C’est comme ça et pas autrement…
 
Quoique pour la CIA, ces changements ne seront pas uniformes, loin de là. Si les pays tempérés, plus secs, voire plus arides, resteront globalement encore accueillants pour les espèces animales et végétales, les pays « froids » deviendront tempérés.
Quant aux autres… s’ils ne sont pas inondés, ils seront stériles, ni plus ni moins.
 
En conclusion, tant que les USA resteront obnubilés par des « ennemis » plus ou moins réels, ce qui alimente la méfiance de ceux-ci, l’humanité se trompera d’enjeu.
L’article du Jerusalem Post, un pays en guerre larvées contre ses propres voisins, qui dénient son existence faut-il rappeler, est donc un premier « caillou » (on ne peut pas parler de pierre…) dans la marre.
Combien y en aura-t-il d’autres et à quel rythme vont-ils apparaître de-ci de-là dans les prochains mois ?
C’est la question que je me posais entre deux siestes sous le soleil et le vent omniprésents durant « mes estives »…
Et je vous la pose.

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