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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 octobre 2021

Autres « perles » de Jean-Marc

Relevées pour vous !
 
Un autre soir, Jean-Marc et Jean-Paul sont chacun devant une bière en terrasse d’un café.
Tout d’un coup, Jean-Marc pose une colle à son ami :
« – Sais-tu pourquoi les hommes donnent-ils un nom à leur pénis ?
– Bé quelle idée ! Non, je ne sais pas.
– Parce qu’ils n’accepteraient pas qu’un étranger prenne 90 % de leurs décisions. »
 
Les annonces relevées :
 
– À vendre : Un lit vertical plus un recueil d’histoires à dormir debout.
 
– Homme ayant eu des hauts et des bas cherche place comme garçon d’ascenseur.
 
– Importante société pétrolière cherche représentant raffiné.
 
– Professeur bègue donnerait répétitions.
 
– Vétérinaire bisexuel cherche homme (pas trop chien…) ou femme (pas trop vache…)
 
– Besoin d’aide : « Depuis que mon mari est parti, je n’ai plus de cochons à la ferme. »
 
« – Croisant un chien tenu en laisse par son maître, je me suis fait mordre par ce dernier. »
 
– Homme calme (Il est sur le prosac ?) Un peu sugar daddy (Il est diabétique ?) Sans enfant (impuissant ?) Aimant les randonnées pédestres, (il va vous faire marcher !) cherche…
 
– Homme mi-sportif, mi intello… (donc à moitié en forme, à moitié intelligent…) Aimant les restos (Il ne sait pas faire à manger !) Et d’humeur égale (imbuvable !), cherche…
 
Et quelques histoires courtes :
 
À la gare d’Austerlitz, un train est parti avec beaucoup de retard.
Au cours du voyage, un contrôleur passe.
Un monsieur âgé lui tend son billet.
Le contrôleur s’écrie :
« – Mais, monsieur, c’est un billet avec réduction pour enfant que vous avez là !
 
– Ben oui. Ça vous donne une idée du temps que j’ai passé à l’attendre, votre train de malheur ! »
 
« – Dis-moi, Jean-Marc, il y avait deux gâteaux dans le frigo.
Tu peux me dire pourquoi il n’en reste qu’un ?
– Ben… Je n’avais pas vu le deuxième ! »
 
Jean-Charles fréquente une jeune fille depuis quelque temps, et ça a l’air de bien fonctionner.
Ce jour-là, après un bon repas au resto, il se sent audacieux, et il lui demande si elle veut bien coucher avec lui.
« – Mon cher, pour ça, il faudrait d’abord m’emmener à l’autel, dit-elle en rougissant.
– Bien sûr. On ne va quand même pas faire ça dans la rue… »
 
Jean-Paul, devant une autre bière, attablé avec Jean-Marc :
« – J’ai enfin réussi à habituer le chien à faire ses besoins sur le journal.
– Ah mais c’est bien ça…
– Oui, sauf que j’aimerai bien qu’il attende que j’aie fini de le lire… »
 
Un gars entre dans un sex-shop.
Une très belle femme lui demande ce qu’elle peut faire pour l’aider.
Il rougit.
« Voici, hum, heu… je veux séduire une femme mais elle ne semble pas voir mes avances. Auriez-vous un produit, un parfum, un aérosol qui me rendrait plus séduisant ? »
La vendeuse constate qu’il n’a vraiment pas été gâté par la nature.
« – Écoutez, nous avons plein de trucs mais je ne crois pas qu’ils feront l’affaire. Il s’agit d’un cas très particulier.
Par contre, si vous avez un bon budget, je sais ce qu’il vous faut.
– Ah oui…
– Ça marche dans 95 % des cas. Mais ça coûte cher.
– Combien ?
– Près de 100 000 €…
– Mais ça marche ?
– Oui, oui.
– Alors, c’est quoi ?
– Achetez-vous une Mercedes décapotable… »
 
Ça se passe à la direction d’une très grande entreprise…
« – Patron, j’ai deux grosses nouvelles pour vous.
Une mauvaise et une très mauvaise.
– Vite ! Commencez par la mauvaise.
– Bien votre femme a trouvé une photo qui vaut une fortune.
– Hein ? Alors vite, vite, la très mauvaise !
– Disons que… ben…m…
– Allez !
– C’est vous et la vice-présidente des ventes à quatre pattes dans la salle du conseil. »
 
Il était temps pour le vieux Père Jean-Joseph de prendre son bain du samedi soir et la jeune sœur, Sœur Marie-Nathalie, avait préparé l’eau du bain, les serviettes et tout le reste, suivant exactement les instructions données par la vieille sœur, Sœur Marie-Berthe. »
Sœur Marie-Berthe avait également recommandé à Sœur Marie-Nathalie de ne pas regarder la nudité du Père Jean-Joseph autant que possible, de faire tout ce qu’il lui demanderait et de prier.
Le matin suivant, Sœur Marie-Berthe demande à Sœur Marie-Nathalie comment le bain de la veille s’était déroulé.
« – Oh, ma Sœur ! » répond sœur Marie-Nathalie les yeux rêveurs, « j’ai été sauvée !
– Sauvée ? Et comment est-ce que ce beau miracle s’est produit ? » demande la vieille sœur incrédule qui savait que le vieux Père Jean-Joseph avait plus d’un tour dans son sac.
« – Bien, lorsque le Père Jean-Joseph était dans son bain, il m’a demandé de le laver, et pendant que je le lavais, il a guidé ma main entre ses jambes, à l’endroit où le Seigneur garde la Clé du Paradis.
C’est ce qu’il m’a dit.
– Ah bon ! Il a fait ça », répliqua la vieille sœur, le regard froid et direct.
Sœur Marie-Nathalie continua :
« – Oui, et le Père Jean-Joseph m’a dit que si la Clé du Paradis fonctionnait avec ma serrure, les portes des Cieux seraient ouvertes pour moi et je serais assurée d’être sauvée et j’aurais la paix éternelle.
Et ensuite le Père Joseph a guidé sa Clé du Paradis dans ma serrure.
– Ah oui… », dit la vieille sœur encore plus froidement.
« – Au début, c’était très douloureux, mais le Père Jean-Joseph a dit que le chemin de la rédemption était souvent rempli de douleur, mais que la Gloire de Dieu remplirait bientôt mon cœur avec extase. Et c’est arrivé !
C’était si bon d’être sauvée ! »
Sur ce, la vieille sœur s’offusqua.
« Le vieil escroc ! Il m’avait assuré que c’était la Trompette de l’Ange Gabriel et il m’a fait souffler dedans durant les 40 dernières années ! »
 
Une revenue…
Quatre mères catholiques discutent lors d’une réunion de bienfaisance.
Elles ont été à l’école ensemble mais elles ne se sont pas revues depuis 40 ans.
La première dit aux autres que son fils est prêtre et qu’elle en est très fière.
« – C’est merveilleux, quand il entre dans une pièce, tout le monde l’appelle « Mon père ».
– Le mien est évêque » dit la deuxième « et, quand il entre dans une pièce, tout le monde l’appelle « monseigneur ».
– Le mien est Cardinal, dit la troisième et, quand il entre dans une salle, tout le monde se lève et on l’appelle « éminence ». »
Les trois autres se tournent vers la quatrième…
« Ben… le mien mesure 1,88, il est extraordinairement beau et il travaille comme danseur nu.
Quand il entre dans la salle, toutes les femmes se pâment et disent : « Ô mon Dieu ! » »
 
« – Chéri, il faut que je te dise quelque chose.
– Quoi donc, mon bel amour ?
– Je n’ai pas tellement envie d’aller en lune de miel.
– Mais pourquoi ?
– Parce que le docteur m’a dit que je devais me mettre au régime ! »
 
Une « revenue » absolument magnifique quand on la visualise :
Une secrétaire se fait interpeller par son patron.
« Mademoiselle, je vous propose un pari.
Le principe est simple : Je jette 100 euros par terre et si vous les ramassez avant que j’aie fait quoi que ce soit, ils sont pour vous.
Et, en plus, on recommence toutes les semaines à venir.
Vous voyez le genre ? »
La jeune fille demande à réfléchir afin d’en parler à son mari.
Une fois chez elle, elle explique la situation à son mari qui lui dit :
« Essayons pour voir et, si ça marche, tu te feras du pognon en plus ! »
Alors il prend un billet de 20 euros, le jette par terre et, avant qu’il ait pu enlever sa ceinture, sa femme a ramassé le billet.
Il recommence et, cette fois-ci, il n’a même pas le temps d’ouvrir sa braguette.
Il lui dit :
« C’est bon, t’acceptes ce que ton patron te propose, et on aura du pognon ! »
Le soir, il revient prendre sa femme et là, horreur !
Elle est toute décoiffée et marche comme un cow-boy.
Affolé, le mari lui demande :
« – Ben qu’est-ce qui t’arrive ?
– Ben, mon patron, m’a appelé et il a jeté 100 euros par terre.
– Et t’as pas réussi comme hier ?
– J’aurais pu si ce n’était pas en pièces d’un euro ! »
 
Question devant une autre bière :
 
« Pourquoi faut-il que les noces ne durent qu’un jour, et le mariage toute la vie ? »
 
« Tu sais, les hommes naissent libres et égaux en droit.
Seulement, voilà, après, il y en a qui se marient. »
 
Ce jour-là, Jean-Paul demande à Jean-Marc
« – Que faisais-tu avant de te marier, toi ?
– Avant ? Je faisais tout ce que je voulais. »
 
Une vieille :
Un cow-boy voit à New-York une machine à sous qui donne des renseignements sur un papier.
Il met une pièce, monte sur la machine et lit sur le papier :
Vous vous appelez John Bill, vous mesurez 1,85 m, vous pesez 105 kg, vous avez 43 ans et vous devez prendre le train de 8 h 47.
Étonné, il s’exclame : « Tout est juste ! Incroyable… »
Un jeune Indien se présente à son tour et monte sur la machine, qui lui indique : Vous êtes un Cherokee, vous mesurez 1,65 m, vous pesez 60 kg et vous devez prendre le bus de 10 h 20.
Surpris, les deux hommes échangent chapeaux, blousons, bottes et mocassins, avant d’essayer de nouveau.
 
John Bill remet une pièce et lit sur le papier :
Vous vous appelez toujours John Bill, vous mesurez toujours 1,85 m, vous pesez toujours 105 kg et vous avez toujours 43 ans. Mais si vous continuez à faire l’imbécile, vous allez rater le train de 8 h 47 !
 
« – À quoi devez-vous votre statut de millionnaire monsieur ?
– À ma femme.
– Comment ça ? Un héritage ?
– J’étais milliardaire quand je l’ai mariée. »
 
« – Depuis six mois », raconte Jean-Gabriel, « je mange du poisson pour fortifier ma mémoire.
– Et ça marche ?
– Formidable !
– Tu en manges combien par jour ?
– Heu… quatre… ou non… deux… ou peut-être trois, je ne m’en souviens plus. »
 
Une « adaptée » :
Un jeune homme monte dans un train pour Strasbourg.
Dans le compartiment où il s’installe, il n’y a qu’une personne.
Une très jeune et jolie religieuse en train de lire la Bible.
Le jeune homme s’assied juste à côté de la religieuse, qui ne semble pas du tout s’intéresser à lui.
Au bout d’un temps qui lui semble interminable, le gars essaie d’entamer la conversation.
Mais, ne sachant ni par quoi ni par où commencer, il place sa main sur le genou de la vestale de Dieu.
La nonne rougit et se tourne vers l’impudent :
« – Jeune homme, croyez-vous en Dieu ?
– Mais oui.
– Avez-vous déjà lu la Bible ?
– Euh… oui
– Pour qualifier le geste que vous venez de faire, je vous conseille, lorsque vous rentrerez chez vous, de lire le verset 14 du Chapitre 6. »
Le gars rougit et retire sa main.
Et il reste immobile jusqu’à la fin du voyage.
À la maison, il dépoussière une vieille bible et consulte le chapitre 6, verset 14, il lit :
« Le Paradis est un peu plus haut. »
Dans « l’originale », il s’agissait d’un curé qui prend en stop une none…
 
La petite famille pique-nique au sommet du Monte Cinto.
Chemin faisant, le père s’approche du précipice au bord du sentier.
Réaction du fils…
« Attention papa ! N’avance plus ou donne-moi les sandwichs ! »
 
« – Docteur, je suis très inquiet car votre diagnostic est différent de celui de votre confrère, le docteur Martin.
– Je sais, je sais, c’est triste, mais l’autopsie prouvera que j’avais raison. »
 
Deux jeunes courtiers se rencontrent…
« – Hé ! Comment ça va ?
– J’ai du psoriasis.
– À combien ? J’en prendrais peut-être pour un groupe d’investisseurs… »
 
Solutions des contre-pets de la semaine dernière :
 
« Ah, ces bouRRées à la CHaîne ! »
« Le CON était trop TOUFfu pour laisser une possibilité d’ouverture… »
« SONNez, TROMPettes mal embouchées ! »
 
Propositions de la semaine :
 
« Les festons dans les mains et les fleurs sur les têtes ! »
« Éloigne-moi de ce caleçon ! »
« Ces vieux boucs ne plaisent pas au gratin de la ville. »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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