Encore un grand moment de « bravitude »
C’est un déplacement qui n’est pas passé inaperçu. Invité pour une
conférence publique, « l’humouriste », officiellement en tournée pour
la promotion de son bouquin, a tenu un discours sur le port d’Ajaccio devant environ
200 personnes, selon « TV-Transe3-Corsica ».
Cinq fois plus affirment ses partisans…
Mais avant même qu’il ne prenne la parole, des tensions, et même des
échauffourées avec échanges de coups, ont éclaté entre des soutiens et
plusieurs de ses opposants. Selon LCI, un camion diffusant une bande-son anti-Zézé-Amour
avait défilé sur le boulevard juste avant ces affrontements.
Que même les forces de l’ordre de la République ont dû intervenir en nombre pour séparer les deux camps.
La foule s’était rassemblée pour dire son opposition « au racisme, à la xénophobie et à l’homophobie » en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », selon les équipes de BFMTV présentes elles aussi présentent sur place.
Les images montraient de vives tensions, avec des débuts de bagarres, et les forces de l’ordre qui continuaient, ce samedi après-midi-là, de contrôler l’accès à la librairie où le polémiste devait dédicacer son livre.
Un rendez-vous avec des lecteurs qu’il devait d’ailleurs rejoindre à pied depuis le port pour une déambulation… qu’il a finalement faite en voiture.
C’est l’une des premières fois que des opposants - « des indépendantistes et des militants de gauche », selon « TF3 » - se manifestent lors de l’une de ses apparitions publiques.
Non, pas du tout : Il y a eu plus drôlatique que ça.
Dumè n’y était pas, mais il m’aura rapporté une conversation qu’il a eu au « Bar de la Poste » entre lui, son pote l’indépendantiste et le gérant dudit club de perdition…
« Non, mais tu te rends compte, Infri, celui-là veut que je change de nom ! »
Ah ?
« Bé oui, je suis né Corsu depuis une dizaine de génération et je suis baptisé Dumè Stratosphéry. Il faudrait que je m’appelle Dominique Atmosphère !
Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? »
Non, on ne peut pas dire ça comme ça, il est vrai.
Tête de bandit Corse, de berger Corse, de vigneron Corse, d’ancien élu autonomiste Corse ayant fait de la prison pour raison « politique », oui, mais d’atmosphère, pas vraiment. Ou alors il s’est passé quelque chose d’inhabituel qui toucherait au divin !
Et puis « Domino », ça lui irait mieux…
« Eh bien l’autre jour, j’étais au « Bar de la poste » avec Christos… »
Christo Acras, c’est un « collègue » à lui, ancien indépendantiste, ex-conseiller municipal de son « village » (le plus beau du monde à ses yeux à lui, naturellement) ex-pêcheur à Cargèse, « ex-prisonnier politique » lui aussi, orthodoxe grec de confession, reconverti dans la culture de l’olivier avec qui il veut faire de l’huile AOC, Corse lui aussi depuis des générations.
« Lui il faudrait qu’il s’appelle Christ Beignet de morue ! »
Là, je me marre, évidement…
« Et tu ne sais pas la meilleure… »
Pas encore.
« Mourad, le gérant, il devrait s’appeler Marc fils-de-la-Moule ! » pour Mourad Ben Mouloud !
Une insulte à sa mère pour lui qui est né à Bastia d’un père « pedi-neri » converti au « papisme », qui aura fini cantonnier toute sa vie et d’une mère autochtone-îlienne qui aura fait des ménages jusque dans la sous-préfecture d’alors…
« Alors, Fora ! »
Et moâ j’imagine même « Rachidada-Mimi » , « l’ex-garde-des-sots » de « Bling-bling qui voulait aligner les juges comme des petits-pois, devoir s’appeler « Arachide-la-datte » et sa fille, « Zaza », devenir « Zoé » comme la bagnole électrique…
C’est que le « Zézé-Amour », après avoir tenu son discours comme
si de rien n’était, aura réagi lors d’un point presse. « Je ne crée aucune
tension. Il y a des gens qui sont intolérants et sectaires. Tout cela est du
théâtre. La fête n’est pas gâchée, j’ai pu faire mon discours. Les
antifascistes de salon ne m’empêcheront pas de parler. Je ne suis ni raciste,
ni homophobe », s’est-il défendu.
Quinze minutes le discours, faisant référence aux « hommes d’exception » du pays, dont naturellement Napoléon Bonaparte : On est à Ajaccio, c’était une « obligation morale ».
Interrogé sur l’impact de tels événements quant à sa potentielle
candidature, le polémiste a rétorqué que « quand on veut me faire taire, je
parle encore plus ».
D’ailleurs, à l’instar de « Kung-Fu-Panda », il aura annoncé le lendemain qu’il va créer son parti, en vue des législatives de juin…
On y reviendra.
Notez que s’il parle plus, si c’est pour dire des konneries, un jour il finira dans les poubelles de l’Histoire.
Mais comme il est « en service commandé » par la « Jupitérie » et ses soutiens de l’ombre, il se taira quand il y entrera en campagne après avoir abattu « Marinella-tchi-tchi » dans les urnes, sa mission.
Je vous en causerai dans le roman en préparation « 2022 : Année électorale de Charlotte® ».
C’est ce que j’explique à Dumè.
« Tu devrais savoir ça, avec tes frangins maçons, puisque ce sont eux qui sont à la manœuvre ! »
Là, lui, il ne dit plus rien, atteint d’omerta-fulgurante : On a parlé de la pluie et du beau temps, de la cousine « Unetelle » dont le fils attend un gamin pour Noël, etc.
Il n’empêche, la veille lors du sommet « Gauloisie-Afrique », « Jupiter »
avait taclé le polémiste sans le nommer : Je vous avais dit que désormais
on peut le critiquer, même sur le plan des messages politiques ! « Quand
on peut se mettre à relativiser l’égalité femme-homme, y compris dans le débat
français, il faut combattre. La démocratie c’est un combat. Les forces de
régression sont toujours là. Il y a toujours des gens pour expliquer que la
haine de l’autre, c’est plus fort », aura-il lancé.
CQFD.
En attendant, « Zézé-Amour » aura déçu son public : Tout le
monde, sur place, attendait ce déplacement à Ajaccio pour qu’il annonce officiellement
sa candidature dans la cité Napoléonienne, comme d’un symbole, lui qui se
revendique bonapartiste.
Eh bien « nada »…
Il n’est toujours pas officiellement candidat à l’élection présidentielle : Il fait juste la promotion de son livre, et fait les bonnes affaires de Jeff-Bezos.
C’aurait pourtant pu être un symbole fort que d’annoncer sa candidature à l’élection présidentielle dans la ville de l’empereur l’année où l’on commémore le bicentenaire de sa mort !
Mais non, il est passé à côté.
C’est vous dire si les esprits étaient « chauds » autour du Port Tino Rossi…
D’ailleurs des altercations ont éclaté place Foch entre ses partisans et ses opposants comme je viens de le rapporter, nécessitant l’intervention des CRS qui se sont dégagés du « piège » à coup de grenades lacrymogènes.
Ils l’étaient tout autant la veille à Sartène, où l’on rapportait déjà « un petit incident ».
Un échange houleux entre deux Corses, indépendantistes et autonomistes, avec Paul-Félix Benedetti, leader de Core in Fronte, sous les yeux d’un « Zézé-Amour » protégé par sa sécurité, qui n’a pas été menacé mais n’en menait pas large.
Dumè et Christo étaient-ils sur place ?
Sur les quais du port Tino Rossi en revanche, un cordon de sécurité
entourait plusieurs centaines de personnes. Non loin de là, près de la place
Foch et sur le boulevard, le porte-voix d’un camion retentit : « Zemmour, on
ne veut pas de toi ici… ».
Il s’agissait de syndicalistes venus manifester leur désapprobation.
Et les paroles ont cédé leur place à des chants.
Les altercations suivront peu après l’arrivée de « l’écrivain-humouriste », entre partisans et opposants.
C’est dans ce climat tendu et quelque peu paradoxal que « Zézé-Amour » arrive sur le coup des 15 h 30 pour son un discours d’un quart d’heure.
Son premier dans cette configuration aux allures d’ouverture de campagne.
Faisant référence à Bonaparte, il citera la Corse comme « Une patrie de la Méditerranée découverte dans mon enfance. La Corse, c’était l’Empereur. L’Empereur, c’est la France et la France, c’est ma patrie. »
La patrie, un terme omniprésent tout au long de son allocution. Faisant
allusion à De Gaulle, et à la nation, « un concept né sous la Révolution
française et qui s’est répandu dans toute l’Europe », et il va, peu à peu,
glisser vers les fondamentaux de sa démarche argumentant notamment que « l’invasion
vient de la mer, la France est une famille. Ces idées de la Révolution vont
embraser l’Europe et le monde. Mais elles n’existent pas dans le monde
musulman. Paris est votre Jérusalem. C’est une fraternité et ceux qui la
refusent ne peuvent pas rester ici. »
Le mek, il se trompe totalement : Le concept de Nation, ça peut prendre à Marseille, mais en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », c’est Sampiero Corso, Pasqual Paoli, bien des générations avant la Révolution Gauloisienne…
Évoquant justement ensuite la Corse, il va présenter le nationalisme comme
« le symptôme d’un mal français et non une maladie. La lutte idéologique des
Corses, c’est la France qui aurait dû la mener. »
Ce à quoi Jean-Guy Talamoni, ancien président de l’Assemblée territoriale de Corse répliquera un peu plus tard par voie de presse : « Les propos de M. Zemmour sont représentatifs d’un mal français. Comment peut-il parler à la place de 70 % des électeurs corses qui ont voté pour l’une des listes nationalistes… »
Seul point positif pour la mouvance nationaliste, le polémiste s’est prononcé en faveur du rapprochement des prisonniers politiques.
Puis, lors d’un bref point-presse, il évoquera, en réponse à ses détracteurs que « la démocratie nécessite que l’on laisse les gens s’exprimer. Je suscite un enthousiasme qui n’existe pas ailleurs, vous l’aurez remarqué. C’est le vieux monde qui s’écroule. Les oppositions se rendent compte qu’ils n’ont plus de prise sur le pays et c’est cela qui les rend fous et intolérants. Qui veut m’empêcher de parler ? Quand on veut me faire taire, je parle encore plus. »
Le mek, il fait vraiment feu de tout bois : Le Roy des opportunistes !
« Je l’ai expliqué dans mon discours », argumente-t-il, « Les Corses sont déçus de la France et moi aussi, la France doit redevenir grande, renouer avec son histoire, protéger les Corses contre l’invasion migratoire et vous verrez que les Corses se sentiront de nouveau français…
Je n’ai jamais dit que l’histoire de Corse était une
légende. Je connais Paoli ses liens avec Rousseau et Bonaparte jeune. Je ne
méprise pas l’histoire de la Corse, toutes les régions de France peuvent dire
qu’elles ont été conquises par l’épée.
Depuis 1000 ans, la Corse est au cœur du vieux conflit entre la Chrétienté et l’Islam. »
Non mais n’importe quoi : Qui ramassent les clémentines Corses, au
juste ?
Pour ce qui est du rassemblement, il a, une manière de poser sa
candidature balayée d’éventuels rapprochements : « Je ne veux pas
rassembler au reniement de la France, les politiciens ont voulu rassembler au
prix de sa faiblesse.
On me traite de fasciste mais le « théâtre anti-fasciste » a
trouvé en ma personne, une nouvelle cible… »
Il a ensuite dédicacé son livre à la librairie Album. Mais en voiture,
s’il vous plait !
Et puis il a décampé sous escorte jusqu’à l’aéroport voisin.
Ni Mourad, ni Christos, ni Dumè ne l’auront croisé.
« Et il a bien fait, je lui aurai corrigé le portrait au sépharade ! »
« Ayo, Dumè : C’est un propos indigne de toi, l’ami… »
Il n’empêche…
« Qu’est-ce qu’il vient foutre le bordel sur la terre de mes ancêtres, l’immigré ? »
Le bel accueil que voilà : Un grand moment de « bravitude », vous ai-je dit…
Cinq fois plus affirment ses partisans…
Que même les forces de l’ordre de la République ont dû intervenir en nombre pour séparer les deux camps.
La foule s’était rassemblée pour dire son opposition « au racisme, à la xénophobie et à l’homophobie » en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », selon les équipes de BFMTV présentes elles aussi présentent sur place.
Les images montraient de vives tensions, avec des débuts de bagarres, et les forces de l’ordre qui continuaient, ce samedi après-midi-là, de contrôler l’accès à la librairie où le polémiste devait dédicacer son livre.
Un rendez-vous avec des lecteurs qu’il devait d’ailleurs rejoindre à pied depuis le port pour une déambulation… qu’il a finalement faite en voiture.
C’est l’une des premières fois que des opposants - « des indépendantistes et des militants de gauche », selon « TF3 » - se manifestent lors de l’une de ses apparitions publiques.
Dumè n’y était pas, mais il m’aura rapporté une conversation qu’il a eu au « Bar de la Poste » entre lui, son pote l’indépendantiste et le gérant dudit club de perdition…
« Non, mais tu te rends compte, Infri, celui-là veut que je change de nom ! »
Ah ?
« Bé oui, je suis né Corsu depuis une dizaine de génération et je suis baptisé Dumè Stratosphéry. Il faudrait que je m’appelle Dominique Atmosphère !
Tête de bandit Corse, de berger Corse, de vigneron Corse, d’ancien élu autonomiste Corse ayant fait de la prison pour raison « politique », oui, mais d’atmosphère, pas vraiment. Ou alors il s’est passé quelque chose d’inhabituel qui toucherait au divin !
Et puis « Domino », ça lui irait mieux…
« Eh bien l’autre jour, j’étais au « Bar de la poste » avec Christos… »
Christo Acras, c’est un « collègue » à lui, ancien indépendantiste, ex-conseiller municipal de son « village » (le plus beau du monde à ses yeux à lui, naturellement) ex-pêcheur à Cargèse, « ex-prisonnier politique » lui aussi, orthodoxe grec de confession, reconverti dans la culture de l’olivier avec qui il veut faire de l’huile AOC, Corse lui aussi depuis des générations.
« Lui il faudrait qu’il s’appelle Christ Beignet de morue ! »
Là, je me marre, évidement…
« Et tu ne sais pas la meilleure… »
Pas encore.
« Mourad, le gérant, il devrait s’appeler Marc fils-de-la-Moule ! » pour Mourad Ben Mouloud !
Une insulte à sa mère pour lui qui est né à Bastia d’un père « pedi-neri » converti au « papisme », qui aura fini cantonnier toute sa vie et d’une mère autochtone-îlienne qui aura fait des ménages jusque dans la sous-préfecture d’alors…
« Alors, Fora ! »
Et moâ j’imagine même « Rachidada-Mimi » , « l’ex-garde-des-sots » de « Bling-bling qui voulait aligner les juges comme des petits-pois, devoir s’appeler « Arachide-la-datte » et sa fille, « Zaza », devenir « Zoé » comme la bagnole électrique…
Quinze minutes le discours, faisant référence aux « hommes d’exception » du pays, dont naturellement Napoléon Bonaparte : On est à Ajaccio, c’était une « obligation morale ».
D’ailleurs, à l’instar de « Kung-Fu-Panda », il aura annoncé le lendemain qu’il va créer son parti, en vue des législatives de juin…
On y reviendra.
Notez que s’il parle plus, si c’est pour dire des konneries, un jour il finira dans les poubelles de l’Histoire.
Mais comme il est « en service commandé » par la « Jupitérie » et ses soutiens de l’ombre, il se taira quand il y entrera en campagne après avoir abattu « Marinella-tchi-tchi » dans les urnes, sa mission.
Je vous en causerai dans le roman en préparation « 2022 : Année électorale de Charlotte® ».
C’est ce que j’explique à Dumè.
« Tu devrais savoir ça, avec tes frangins maçons, puisque ce sont eux qui sont à la manœuvre ! »
Là, lui, il ne dit plus rien, atteint d’omerta-fulgurante : On a parlé de la pluie et du beau temps, de la cousine « Unetelle » dont le fils attend un gamin pour Noël, etc.
CQFD.
Eh bien « nada »…
Il n’est toujours pas officiellement candidat à l’élection présidentielle : Il fait juste la promotion de son livre, et fait les bonnes affaires de Jeff-Bezos.
C’aurait pourtant pu être un symbole fort que d’annoncer sa candidature à l’élection présidentielle dans la ville de l’empereur l’année où l’on commémore le bicentenaire de sa mort !
Mais non, il est passé à côté.
C’est vous dire si les esprits étaient « chauds » autour du Port Tino Rossi…
D’ailleurs des altercations ont éclaté place Foch entre ses partisans et ses opposants comme je viens de le rapporter, nécessitant l’intervention des CRS qui se sont dégagés du « piège » à coup de grenades lacrymogènes.
Ils l’étaient tout autant la veille à Sartène, où l’on rapportait déjà « un petit incident ».
Un échange houleux entre deux Corses, indépendantistes et autonomistes, avec Paul-Félix Benedetti, leader de Core in Fronte, sous les yeux d’un « Zézé-Amour » protégé par sa sécurité, qui n’a pas été menacé mais n’en menait pas large.
Dumè et Christo étaient-ils sur place ?
Il s’agissait de syndicalistes venus manifester leur désapprobation.
Et les paroles ont cédé leur place à des chants.
Les altercations suivront peu après l’arrivée de « l’écrivain-humouriste », entre partisans et opposants.
C’est dans ce climat tendu et quelque peu paradoxal que « Zézé-Amour » arrive sur le coup des 15 h 30 pour son un discours d’un quart d’heure.
Son premier dans cette configuration aux allures d’ouverture de campagne.
Faisant référence à Bonaparte, il citera la Corse comme « Une patrie de la Méditerranée découverte dans mon enfance. La Corse, c’était l’Empereur. L’Empereur, c’est la France et la France, c’est ma patrie. »
Le mek, il se trompe totalement : Le concept de Nation, ça peut prendre à Marseille, mais en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », c’est Sampiero Corso, Pasqual Paoli, bien des générations avant la Révolution Gauloisienne…
Ce à quoi Jean-Guy Talamoni, ancien président de l’Assemblée territoriale de Corse répliquera un peu plus tard par voie de presse : « Les propos de M. Zemmour sont représentatifs d’un mal français. Comment peut-il parler à la place de 70 % des électeurs corses qui ont voté pour l’une des listes nationalistes… »
Seul point positif pour la mouvance nationaliste, le polémiste s’est prononcé en faveur du rapprochement des prisonniers politiques.
Puis, lors d’un bref point-presse, il évoquera, en réponse à ses détracteurs que « la démocratie nécessite que l’on laisse les gens s’exprimer. Je suscite un enthousiasme qui n’existe pas ailleurs, vous l’aurez remarqué. C’est le vieux monde qui s’écroule. Les oppositions se rendent compte qu’ils n’ont plus de prise sur le pays et c’est cela qui les rend fous et intolérants. Qui veut m’empêcher de parler ? Quand on veut me faire taire, je parle encore plus. »
Le mek, il fait vraiment feu de tout bois : Le Roy des opportunistes !
« Je l’ai expliqué dans mon discours », argumente-t-il, « Les Corses sont déçus de la France et moi aussi, la France doit redevenir grande, renouer avec son histoire, protéger les Corses contre l’invasion migratoire et vous verrez que les Corses se sentiront de nouveau français…
Depuis 1000 ans, la Corse est au cœur du vieux conflit entre la Chrétienté et l’Islam. »
Et puis il a décampé sous escorte jusqu’à l’aéroport voisin.
« Et il a bien fait, je lui aurai corrigé le portrait au sépharade ! »
« Ayo, Dumè : C’est un propos indigne de toi, l’ami… »
Il n’empêche…
« Qu’est-ce qu’il vient foutre le bordel sur la terre de mes ancêtres, l’immigré ? »
Le bel accueil que voilà : Un grand moment de « bravitude », vous ai-je dit…
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