Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 1 octobre 2021

Collectées par Jean-Marc

Petite série…
 
Un jeune couple fait du camping.
C’est leur première expérience.
Hélas, les moustiques ne les lâchent pas.
L’enfer !
La jeune femme est à bout de nerf.
Elle a des centaines de piqures, et son visage est boursouflé.
Son mari tente de la consoler et de l’encourager, mais lui aussi est au bord de la crise.
La nuit tombe, ils se sont protégés sous les filets de leur tente, mais le poison des piqures continue à leur faire mal.
Ils ont l’impression d’être dévorés.
Mais quand le gars voit des lucioles, il craque :
« Oh non ! Les v’la maintenant qui nous attaquent avec des lampes de poche ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul discutent devant une bière.
Le second dit au premier
« – Je vois que ça va mieux avec ta femme !
– Qu’est-ce que tu dis là ?
– Je vous ai vu hier. Vous coupiez du bois ensemble pour la cheminée.
– Du bois ? On partageait les meubles. »
 
Deux gendarmes sont dépêchés sur un accident très grave de la circulation.
À leur arrivée ils ne peuvent que constater la mort de deux personnes qui se trouvaient à bord d’un véhicule seul en cause.
L’un des gendarmes dit à l’autre qui est son chef :
« Chef, chef ! C’est Monsieur et Madame DUPONT, les parents du jeune qui veut s’engager dans la légion étrangère ».
Et le gendarme ajoute : « Je le connais très bien, il est malade du cœur et n’a peu de chance d’être retenu aux tests de la Légion Étrangère.
Lorsqu’il va apprendre que ses parents sont décédés, il risque d’y rester ».
Le chef décide donc, de retour à la brigade, d’informer le Colonel qui commande le centre de recrutement de la Légion Étrangère.
« Mon colonel, les parents du jeune DUPONT Christian sont décédés ce soir dans un accident de la route, il faudrait l’informer mais, si vous le permettez, je vous recommande beaucoup de tact, car ce jeune est malade du cœur et risque de ne pas supporter la triste nouvelle. »
Le colonel, qui n’aime pas ce genre de situation répète la même chose à son adjudant, et insiste sur le tact à avoir auprès du jeune.
L’Adjudant, qui en a pourtant vu de toutes les couleurs, demande à son sergent d’informer DUPONT Christian du décès de ses parents.
Le sergent, salue en reposant le téléphone puis se rend au milieu de la cour de la caserne et hurle : « 8ème compagnie ! Tout le monde en bas immédiatement ! rassemblement et en vitesse !!! »
Une fois les hommes rassemblés, le sergent ordonne : « Les orphelins de père et de mère, à gauche, les autres restez sur place ! »
Quelques légionnaires se placent sur la gauche.
Le sergent se déplace pour se mettre juste devant DUPONT qui bien évidemment n’a pas bougé et pour lui dire d’un ton menaçant : « Alors … on fait la forte tête ? »
 
C’est un gars sur son lit de mort. Toute la famille est à son chevet : Sa femme et ses quatre enfants. Il y a 3 garçons beaux, grands, robustes, et le quatrième tout rachitique et moche comme un pou.
Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
« Chérie, avant que je meure, jure-moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir ! »
Sa femme lui pose l’index sur les lèvres et le rassure :
« Chut. Bien sûr mon chéri qu’il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère ! »
Et l’homme s’éteint, heureux…
Alors sa femme murmure entre ses dents :
« Heureusement qu’il ne m’a pas demandé s’il était le père des trois autres… »
 
Les avocats ne devraient jamais poser de questions dont ils ne connaissent pas les réponses.
Dans une affaire l’avocat appelle son premier témoin à la barre, une grand-mère très âgée.
Il s’approche d’elle et lui demande :
« – Mme Lemieux, me connaissez-vous ?
– Oh oui que je vous connais Me La Paquette. Je vous connais depuis votre enfance, et sincèrement vous me décevez beaucoup.
Vous êtes un grand menteur, vous trompez votre femme, vous manipulez les gens et vous êtes un médisant et un calomniateur.
Vous pensez être “un big shot” alors que vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez. Oh, oui je vous connais ! »
L’avocat surpris, ne sachant que faire, pointa le doigt sur le procureur et demande « – Mme Lemieux connaissez-vous cette personne…
– Mais oui que le connais. Je connais M LeRichard depuis qu’il est tout jeune. Il est paresseux, obèse et il est alcoolique.
Il ne peut avoir de relation normale avec quiconque.
Non seulement il a trompé sa femme avec 3 femmes différentes mais l’une d’entre elles est votre femme. Oh, oui que je le connais ! »
L’avocat de la défense était au bord de l’évanouissement.
Le juge demanda au procureur et à l’avocat d’approcher de la barre, et avec une voix très calme, il leur dit :
« Si l’un d’entre vous demande à cette vieille si elle me connaît je vous envoie tous les deux pourrir en prison pour outrage au tribunal et complot ! »
 
Deux « Ummos » à la chasse.
Ils voient passer un deltaplane.
Le premier épaule et tire :
« – Bah, tu l’as raté !
– Oui, mais il a lâché sa proie ! »
 
Jean-Marc :
« – Avec combien d’homme as-tu dormi ?
– Un seul. Toi.
Avec les autres je ne dormais pas… »
 
Confidence de Jean-Marc :
« Il paraît que chaque verre de bière ou de vin raccourcit la vie de 6 minutes.
J’ai calculé que je suis mort en 1794… »
 
Jean-Marc avec Germaine :
« – Il fait très froid.
– Et si on se faisait une petite gâterie pour se réchauffer ?
– Tu n’y penses pas : Il fait trop froid !
– Dis plutôt que tu as peur que ta zigounette soit trop petite avec ce froid.
– Non, j’ai peur que tu claques des dents ! »
 
C’est un gars qui va se faire opérer.
Il insiste pour que ce soit son gendre qui l’opère
Au moment d’entrer en salle d’opération il lui dit :
« Détends-toi. Ça va bien se passer.
Souviens-toi seulement que s’il m’arrivait quelque chose, c’est chez toi que viendra habiter ta belle-mère. »
 
Un jour où il fait un temps de chien, une poule dit au canard :
« – Il fait un froid de canard.
– Oui, j’en ai la chair de poule. »
 
Un Ummo chez le médecin…
« Pourquoi vous me parlez de Cancer, docteur, alors que je suis Taureau ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière :
« La preuve irréfutable qu’il existe de l’intelligence sur les autres planètes, c’est qu’ils n’ont JAMAIS cherché à entrer en contact avec nous ! »
 
Plus tard :
« Ne frappe jamais quelqu’un avec des lunettes.
Frappe-le avec une batte de baseball. »
 
Encore plus tard :
« Ne bois pas au volant…
Bois à la bouteille ! »
 
Devant une nouvelle bière :
« Tiens, tiens, c’est tout de même curieux que Jean-Claude se moque de la science-fiction alors qu’il passe son temps à écouter les météorologues et les économistes. »
 
« – Sais-tu pourquoi la nuit est noire ?
– Oui ! C’est pour ne pas nous perturber dans nos cauchemars. »
 
Au sujet de l’ivresse…
« Si les gens se mettaient à faire ce qu’ils disent quand ils sont saouls, ils abandonneraient rapidement la boisson. »
 
« – Sais-tu comment on empêche un homme de devenir bigame ?
– Il suffit de lui rappeler qu’il aura deux belles-mères ! »
 
Beaucoup plus tard :
« – Pourquoi les éléphants sont gris ?
– Pour les différencier des canaris, non ? »
 
« – Comment savoir s’il y a un éléphant dans la discothèque ?
– Sa bicyclette est à la porte, voyons ! »
 
« – Comment savoir si tu as un éléphant sous ton lit ?
– Bé tu as le nez collé au plafond. »
 
« – Qu’arriverait-il si tu croisais un éléphant avec un kangourou ?
– Il y aurait des trous immenses partout en Australie. »
 
« – Que donne-t-on à un éléphant qui a le mal de mer ?
– De l’espace ! Beaucoup d’espace… »
 
« – Quelle est la différence entre un alcoolique et un drogué…
– La température.
Le premier est chaud et l’autre est gelé. »
 
On demande à un joueur de tennis :
« – Vous préférez l’herbe ou le synthétique ?
– Je ne sais pas, je n’ai jamais fumé de synthétique… »
 
Petite collection de perles :
 
« Après l’autopsie du cadavre de Jean M… on reste un peu sur sa faim ».
(France-Soir)
 
« Le rapport de la gendarmerie révèle que Alain P… se serait suicidé lui-même. »
(Nord Éclair)
 
« Le grand inventeur Louis Lumière s’est éteint. »
(L’Aurore)
 
« Le mystère de la femme coupée en morceaux reste entier. »
(Est-Éclair)
 
« Quand Honoré Gall s’est-il suicidé ? S’est-il donné la mort avant de se jeter à l’eau ? »
(Le Progrès)
 
« Très gravement brûlée, elle s’est éteinte pendant son transport à l’hôpital. »
(Dauphiné Actualité)
 
Et encore :
 
« Il lui bottait le derrière à tour de bras. »
 
« Il abusait de la puissance de son sexe pour frapper son ex-épouse. »
 
« C’est avant votre crime qu’il fallait éprouver des remords. »
 
« À la lumière du doute qui obscurcit cette affaire, nous trancherons. »
 
« C’est l’immobilisme qui conduit notre région au gouffre. »
 
« Un tas de briques avait amorti sa chute… »
 
« Des trous dans sa culotte laissaient entrevoir une famille pauvre. »
 
« En raison de la chaleur, les musiciens ne porteront que la casquette de l’uniforme. »
 
« L’individu n’était pas à prendre avec du pain sec. »
 
« Les pieds de Damoclès… »
 
« Son érection est confiée à la plus grosse grue du département. »
 
Solutions des contre-pets de la semaine dernière :
 
« Il est défendu de sCHier dans ce SENntier ! »
« Ah les Matins de Paris ! »
« Il n’y a pas de DOIGT, ma sœur, pour un si petit Con… »
 
Propositions de la semaine :
 
« Ah, ces bouchées à la reine ! »
« Le tout était trop confus pour laisser une possibilité d’ouverture… »
« Trompez, sonnettes mal embouchées ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire