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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 5 juillet 2021

Vous, je ne sais pas,

Mais moâ, ça y est, je décampe !
 
Terminé !
Première étape, l’épuisement de mes RTT mis en compte épargne-temps à récupérer en décalé, puis des congés-payés par l’assurance-chômage et enfin une mise en retraite « obligée » - avant que les règles ne changent à la rentrée.
Je pars, je suis déjà parti, et je ne sais pas quand je rentrerai : Une première depuis l’année du Bac !
Enfin, cette année-là, il y a longtemps, je faisais la rentrée à « Science-pô », mais j’aurai mieux fait de prolonger et faire les vendanges, tellement elles étaient moches.
Enfin, il faut que je sois là pour payer les charges et les impôts, tant que le courrier est renvoyé par les postes là où je suis sûr et certain de passer la fin de l’été : En Balagne (« Corsica-Bella-Tchi-Tchi »).
Et mon vaillant tas de « boue à roulettes » qui affiche déjà 130.000 km au compteur, révisé jusqu’à la dernière burette et clavette, va me promener à travers le pays dans la première partie de ma longue vadrouille, certificat de vaccination en poche : Je compte bien lui faire faire 10.000 km en deux mois à visiter des caves et des gargotes que je ne connais pas encore.
S’il casse avant d’aboutir, je rentre en taxi, ou en avion, histoire d’aggraver ma signature carbone personnelle.
Qu’il soit épuisé après cette longue course, je m’en contre-cogne le coquillard (et les roubignoles dans le même geste), puisqu’il sera « interdit de séjour » à « Paris-sur-la-plage » à la fin de l’année : Meurci « Sœur-Âne » !
Je l’adore, elle ne sait pas combien encore.
 
Parce que vous ne savez pas encore ce qui vous attend.
Pour garder son siège de Mairesse de la kapitale - et les « indemnités de fonction » qui vont avec et la voiture avec ses chauffeurs y attachés - elle aura été dans l’obligation de pactiser avec le « diable-écololo ».
Une habitude incontournable depuis « De-la-Nuée » qui lui aura ouvert la voie et refiler la recette, elle qui n’a jamais été élue dans son arrondissement (le XVème).
Bon, la faute à mon « cousin Jean » (Tiberi) qui aura refusé de faire campagne dans le XIIème à servir la soupe au « bâfreur de pizza » : On aurait dû la faire et on n’aurait pas perdu la Kapitale et les ayatollahs-verts n’auraient pas fait caguer tous les « parigots » !
Et eux votent pour ces « écololos » juste pour faire « étronner » leur voisin de palier, rien de plus, parce que les pigeons, ça fiente partout…
Quelle ânerie : Un beau gâchis et une dette de la ville devenue abyssale…
 
Car les « écololos » ont ça d’extraordinaire, c’est qu’ils sont « hors-sol ».
Rendez-vous compte : On signe un accord « COP 21 » qui reste une autre ânerie, mais planétaire celle-là, mais c’était pour faire plaisir à « Fafa-l’empoisonneur », et du coup ont met les « Gilets-jaunes » sur les ronds-points du pays (qu’il en reste un du côté « du » radar de Calvi, à proximité du camp du 2ème REP, un retraité des postes).
Devinez quoi ? Si les « Gilets-jaunes » râlent, c’est parce que « Jupiter » et « Kung-Fu-Panda » les poussaient à jeter leurs « veaux diesels qui puent la clope et les sans-dents ».
Eh bien rétropédalage, conférence générale d’un comité climat-citoyen qui accouche de quoi ?
De sornettes et d’à peu-près la même chose pour une loi « climat-énergie » qui les empêcheront de rouler avec leur « tas-de-boue-à-roulettes », justement !
J’admire le gag…
Et après on s’étonne que les cocus n’aillent pas voter !
 
Quand les « Gauloisiens » vont se rendre compte que leur voiture est bonne pour la casse, le réveil risque d’être douloureux.
Tous victimes d’une « usine à gaz » qui consiste à interdire l’usage des véhicules polluants en ville qui tisse sa toile d’araignée sur le territoire.
Fabuleux.
Jusqu’à présent, il paraît qu’ils sont 60 % qui n’auraient pas la moindre idée de ce qu’est une ZFE (zone à faibles émissions). Quand on nait « kon-natif », en général on le reste longtemps.
Mais leur déploiement effectif à l’horizon 2025 à 52 agglomérations de plus de 150.000 habitants va faire prendre conscience à des millions d’usagers que leur bagnole est interdite de séjour dans ces villes.
Et pour commencer, car c’est le but de cette loi, qui ne concerne actuellement que le « Das Groβ-Paris », Lyon et Grenoble, ça se propage désormais à Aix-Marseille, Toulon, Nice, Toulouse, Montpellier, Strasbourg et Rouen, rien de moins.
 
D’une dizaine de zones à « air réglementé » en 2021 et donc à chasse aux émissions polluantes, on va ainsi passer à plus de 150 en 2025 et c’est l’ensemble du territoire qui sera, par strates successives, concerné !
Et dire que pendant le confinement de mars 2020, par trois fois les pics de pollution ont été relevés à « Paris-sur-la-Seine » alors que personne ne roulait dans la kapitale : Cherchez l’erreur…
Selon l’aveu même de votre gouvernement, un véhicule sur deux du parc actuel sera concerné par la mesure, 70 % selon les associations d’automobilistes.
Un vrai carnage !
Certes, les Sénateurs ont bien tenté de gagner du temps la semaine dernière en reportant la date d’application à 2030 : Une façon de rappeler, pour la vénérable assemblée qu’elle existe, mais cet amendement à la loi « Climat et Résilience » n’est qu’un coup d’épée dans l’eau. Il sera retoqué par l’AN et sa majorité « riquiqui » de « jupitériens ».
Les députés vont en effet s’empresser de retoquer l’initiative qui permettait aux véhicules classés Crit’air 3 et suivants de rouler jusqu’au 1er janvier 2030.
À l’Assemblée nationale, le calendrier est beaucoup plus strict et précipité, puisque les véhicules Crit’air 5 seront exclus des ZFE dès 2023, les Crit’air 4 en 2024 et les Crit’air 3 au plus tard en 2025.
Et faire le dos rond pour ignorer ces zones protégées ne servira à rien, car les entrées de villes seront toutes munies de caméras radar capables de lire la vignette Crit’Air apposée sur le pare-brise.
Et les PV dissuasifs vont pleuvoir, une façon détournée d’instaurer aussi un péage urbain : Le tiroir-caisse n’est jamais très loin de l’intention présentée comme louable, un fait qui avait justement suscité en partie la création des « Gilets jaunes » !
 
Ils n’ont pas encore compris que leur vieux Picasso ou la Twingo de papa seront interdits de séjour et ravalés à un territoire rural qui va se réduire comme peau de chagrin. Car, on l’a bien compris, les villes moyennes suivront un jour les grandes et seront contraintes d’adopter à leur tour toutes ces restrictions.
Et curieusement, aucun débat sur le sujet lors des dernières régionales, cette affaire des ZFE, si elle avait été mise en avant plus tôt, aurait sûrement motivé un peu plus les électeurs. Et notamment ceux des campagnes qui sentent peser chez eux des décisions toujours « prises à la ville ».
 
« Depuis le 1er juin dernier », dit la Ligue des conducteurs qui a rédigé un moratoire détaillé, « les Crit’Air 4 sont frappées d’interdiction de circulation dans la capitale et ses environs… La Métropole n’accorde aucune subvention aux ménages imposables qui possèdent un véhicule relativement vieux, même si celui-ci est frappé d’une interdiction de circulation ! On se retrouve avec, d’un côté, des ménages subventionnés mais qui n’ont, en grande majorité, pas les moyens d’assumer le coût total d’un véhicule neuf, et de l’autre les ménages qui pourraient théoriquement s’offrir un véhicule neuf, mais qui ne bénéficient d’aucune aide, ce qui n’est pas très encourageant, compte tenu de la somme à investir. »
On n’est pas au bout des paradoxes qui pourraient relever du calcul suivant, hélas, bien connu : « Promettez une subvention et prévoyez les modalités pour ne pas l’accorder. »
Un grand classique de la vie politique de ce pays qui est le mien (que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
Et puis rien pour les véhicules d’occasion puisque les entrepôts des industriels sont plein d’invendus.
Notez que je n’y crois pas trop : Ils se plaignent de ne pas avoir de composants électroniques ! Même qu’ils ferment des usines pour cette seule raison nous dit-on.
Ma première « deudeuche », elle n’avait rien d’électronique, sauf les phares, et se démarrait « à la manivelle »… Mais ça roulait bien !
 
Pourtant, tous concernés par ces mesures insoutenables, habitants des zones urbaines en premier lieu, mais aussi des métropoles et des zones rurales, puisqu’aucun motif ne permettra de déroger à ces interdictions de circulation.
Que vous ayez besoin de votre voiture pour venir travailler en ville, pour des rendez-vous médicaux, pour rendre visite à un proche ou bien pour vos loisirs, c’est du pareil au même…
« Si vous n’avez pas les moyens d’acheter un nouveau véhicule neuf, très récent ou électrique, vous deviendrez persona non grata. » Mieux que le pass-sanitaire !
Mais là, on trouvait encore des personnes pour râler… bêtement.
Car, en dépit des aides gouvernementales pour la mise au rebut d’une voiture ancienne, le simple fait de jeter ce qui marche encore heurte le bon sens commun.
Et l’âme « écololo » luttant contre l’obsolescence, pour le recyclage et des soi-disant vertus de « l’économie circulaire »…
D’autant qu’il faudra gérer des montagnes de déchets supplémentaires !
Les associations d’usagers qui ont rapidement rebaptisé les ZFE en « zone à forte exclusion » lancent des pétitions pour faire entendre les voix d’en bas, mais c’est celles de Mme « Pompe-à-huile », « sinistre en charge de la Transition écologique et de l’Europe » qui s’imposent dans le débat.
Elle aura bien mérité sa Tesla celle-là.
Ou de garder sa Zoé de fonction…
 
Ce n’est qu’une des aberrations des « écololos », qui déjà veulent qu’on roule à l’électricité mais refusent qu’on ouvre des centrales de production non-polluantes (l’atome) : Ils préfèrent des forêts d’éolienne dont on ne sait même pas comment recycler les déchets !
Ils nous auront beaucoup fait rire : Depuis les dernières élections municipales, les nouveaux maires « écolologistes » accumulent ainsi les conneries parfois aussi hilarantes qu’inquiétantes.
Par exemple à « Lugdunum », là où des rodéos urbains se déroulent sous les fenêtres même de la mairie en plein couvre-feu, le nouveau maire « écololo » a préféré une stratégie tout à fait novatrice pour lutter contre l’insécurité dans les « quartiers difficiles » de la ville : Il a décidé d’accorder des subventions de 200.000 euros aux associations opérant dans ces quartiers.
Et parmi celles-ci, une subvention de 9.000 euros pour l’organisation d’ateliers théâtres entre jeunes des quartiers et policiers !
Les syndicats policiers ne savent même pas s’ils doivent « en rire ou en pleurer ».
Cette stratégie améliorera-t-elle la situation des forces de l’ordre, systématiquement agressées du fait de leur uniforme ?
 
C’est le même qui aura retiré la viande dans ses cantine scolaires…
C’est polluant une vache. Pire, un cochon (qui n’est pas Hallal). Et les fientes de poulet, ça schlingue.
Bien sûr, comme la mer est toute proche, le poisson y reste autorisé.
Continuant une longue série d’inepties toujours à Lyon, le maire aura accusé le « Tour de Gauloisie » d’être « machiste et polluant » à l’occasion de sa 14ème étape passant par sa ville.
Et il a doctement expliqué qu’il « n’était plus acceptable d’avoir des grandes manifestations sportives dont la première priorité n’est pas de se poser la question de leur empreinte (« écolologique ») ».
Puis il a fustigé – ne riez pas – « l’image machiste du sport » véhiculée par le Tour !
Il est bien connu que cette compétition sportive a une très grande influence sur les violences conjugales, et que son interdiction améliorerait fondamentalement la condition de nos femmes.
 
Rappelons également qu’un autre élu « écolologiste », celui du conseil municipal de Vincennes, a refusé de voter une subvention pour le Yacht Club Vincennois en avançant que ce sport était… polluant !
Pire que mieux que le tour de « Gauloisie-à-vélo », soyez-en sûr.
Ses collègues ont heureusement pris la peine de lui expliquer le principe d’un bateau à voile, qui utilise la force du vent pour se déplacer.
« C’est de la voile. Ça avance avec le vent, un bateau. D’accord ? ».
Ah, c’est éolien ?
Une polémique à mettre en perspective avec celle causée par le maire « écolologiste » de Poitiers qui a refusé de subventionner les clubs de sports mécaniques (automobiles, aviation) de la ville sous prétexte qu’ils émettraient des polluants…
 
Dans le même genre, le 14 juillet 2020, les Lyonnais ont été privés du survol de la « Patrouille de Gauloisie » ainsi que du traditionnel feu d’artifice : Ces interdictions ont soi-disant été prononcées non pas pour des motifs « écolologiques », mais sanitaires cette fois-ci : En effet, le maire voulait éviter de potentiels rassemblements qui propageraient le « Conard-virus ».
Sans doute faudrait-il rappeler à l’édile qu’une simple hausse des yeux vers le ciel, même sans rassemblement permet d’observer les Alpha-jets de la Patrouille acrobatique ou encore le feu d’artifice.
Monsieur le maire serait-il gêné par la présence des couleurs du pays dans le ciel de sa ville ?
Ces actions semblent confirmer la fameuse phrase du « borgne de San-Coud » « J’y-aime-la-peine » en 1989, devenue entre-temps prophétique : « Pour les gens qui ignorent ce qu’est le parti écologiste, j’ai amené ce légume qui comme eux est vert à l’extérieur, et rouge à l’intérieur. »
 
Quant aux Bordelais, souvenez-vous, ils ont été privés de sapin de Noël.
En effet, leur maire n’avait pas voulu faire venir « un arbre mort » pour « une petite fortune », voulant privilégier les « arbres vivants ». Pour remplacer le sapin, un pitoyable spectacle numérique intitulé « Chuchotis et brouhaha » a été organisé, coûtant environ le même prix nécessaire à la pose d’un sapin de Noël.
En réponse aux critiques, il a déclaré : « J’espère que l’on va passer rapidement à des sujets un peu plus sérieux que la suppression d’un arbre mort sur une place de Bordeaux à l’occasion des fêtes de Noël ».
Et il a raison, car il doit faire face à des sujets beaucoup plus sérieux : Depuis son élection, l’insécurité a explosé à Bordeaux. Au lieu de se préoccuper du sort d’un sapin, il devrait plutôt œuvrer pour la sécurité des Bordelais.
 
Strasbourg encore, ce 21 juin, les élus du conseil municipal de Strasbourg ont eu droit à une surprise digne d’un sketch des Inconnus.
Déjà, le contexte lui-même se prêtait à une délicieuse ironie : Après avoir interdit les festivités pour la fête de la musique, les élus du conseil municipal s’apprêtaient à voter des subventions aux artistes amateurs de la ville.
C’est à ce moment que la mairesse « écolologique » de la ville a fait monter au pupitre le chef de chœur des ensembles « Exosphère et Filigran », et a demandé au reste des élus… de chanter avec lui, en anglais, la chanson « La joie » !
Un flop musical qui fait de la compétition au flop électoral des régionales…
 
Franchement, ces « élus-là » sont-ils bien sérieux ?
Non contents de faire caguer leurs concitoyens depuis des années et encore pour des années, ils se couvrent de ridicule au fil du temps.
Je serai encore électeur « écolologiste » (je l’ai été du temps de René Dupont jusqu’à lui coller ses affiches présidentielles), j’aurai « la honte », le rouge au front !
Heureusement, j’ai évolué, j’ai grandi entre-temps : Mais pas eux.
Quelle tristesse : Ils en sont restés à l’âge de la « môme Gratte-la-tune-berg »…
 
Bref, au retour de mes estives, il faudra que j’envisage de casser ma tirelire pour racheter une voiture « Crit’air 1 ».
En attendant un réseau développé de distribution d’hydrogène le long de mes routes…

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