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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 2 juillet 2021

Jean-Marc dans ses œuvres !

Encore une revenue, mais de très loin celle-là :
 
Jean-Marc rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges.
Son fils de 12 ans rentre avec 2 heures de retard de l’école.
« Où étais-tu tout ce temps ? » demande le père.
« J’étais à la bibliothèque pour préparer un devoir ! »
Le robot se dirige vers le fils et lui assène une claque.
Jean-Marc explique :
« – Ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux de dire la vérité.
– Ok… J’étais chez un copain et nous avons regardé un film. »
Et paf ! Le robot assène de nouveau une claque au fiston.
« – Aïe ! Bah oui ! En fait, c’était un film porno…
– J’ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents ! »
Et paf ! Le robot assène une baffe à Jean-Marc…
Germaine intervient alors :
« Décidément, c’est bien ton fils ! »
Et paf ! Une baffe à la mère.
 
Petite leçon d’érudition de Jean-Marc à Jean-Paul, avachi devant sa bière :
« – À ton avis, pourquoi la galanterie impose de laisser passer les dames en premier ?
– À cause des mines ?
– Quelle andouille !
Cela date du temps des Henri IV et autres.
En ce temps, les assassinats n’étaient pas si rares, et un des endroits préférés des assassins était le pas d’une porte.
La précaution du moment était donc de laisser ‘‘galamment’’ passer une femme en premier, pour qu’elle prenne le coup si un assassin était là…
– En somme, les hommes n’ont pas changé d’un pouce et je n’étais pas si loin, finalement ! »
 
Dieu se présenta à l’âne et lui dit : Tu es un âne. Tu vas durement travailler du matin au soir, en portant des choses très lourdes sur ton dos. Tu seras herbivore et pas intelligent.
Tu vivras 50 ans.
Après cela l’âne réfléchit et dit : 50 ans d’une vie pareille, c’est trop !
Beaucoup trop ! Ne me donne pas plus que 30 ans.
Ainsi soit-il… et il en fut fait.
Puis Dieu se présenta au chien et lui dit : Tu es un chien. Tu veilleras sur l’humanité, et pour cela tu seras le meilleur ami de l’homme. Tu ne mangeras que des restes et tu vivras 25 ans.
Le chien répondit : Seigneur, 25 ans d’une telle vie c’est trop.
SVP pas plus de 15 ans !
Ainsi soit-il… et il en fut fait.
Puis le Seigneur se présenta au singe : Tu es le singe. Tu vas sauter d’arbre en arbre et tu te comporteras comme un idiot. Tu devras être marrant, et comme ça tu vivras 20 ans.
Le singe lui dit. Seigneur, 20 ans à vivre comme le clown du monde, c’est trop. Ne me donne pas plus que 10 ans.
Ainsi soit-il… et il en fut fait.
À la fin, Dieu apparu à l’homme et lui dit : Tu es l’homme ! Le seul être rationnel, le monde t’appartiendra. Tu vas mettre au profit ton intelligence pour réaliser plein de choses captivantes. Tu vas dominer le monde et pour cela tu vivras 20 ans !
Sur cela l’homme répondit : Seigneur, être un homme seulement 20 ans ce n’est pas suffisant. S’il te plaît, donnes-moi en plus, les 30 ans de l’âne, les 15 du chien, ainsi que les 10 du singe.
Ainsi il en fut fait : Dieu se préoccupa pour que l’homme vive 20 ans comme un homme, puis se mariera et vivra 30 ans comme un âne, travaillera durement du matin au soir en portant de lourds poids sur ses épaules.
Puis il aura des enfants et vivra 15 ans comme un chien, il surveillera la maison et il mangera ce que la famille lui laissera.
Puis, une fois âgé, il vivra 10 ans comme un singe, se comportera comme un idiot et amusera ses petits-enfants.
Ainsi soit-il…
C’est une adaptation…
 
Jean-Marc va consulter son médecin :
« – Je suis très ennuyé, docteur, mon fils a couché avec une fille qui lui a transmis une vilaine maladie…
– Je vois… Et bien qu’il vienne me voir, nous essaierons de soigner cela.
– C’est que, il l’a à son tour refilé à la bonne.
– Oh, oh…
– Et la bonne me l’a transmise.
– Ah, la, la ! Bon, faites-moi voir ça.
– Mais ce n’est pas tout, docteur. Forcément, moi j’ai dû la refiler à ma femme… »
Alors le médecin se met à hurler :
« Mais alors, à cause de ce petit c…, nous voilà tous contaminés… »
 
Un automobiliste, ivre, se fait arrêter.
« – Alors, vous n’avez pas vu le feu rouge ?
– Bof, m’sieur l’agent, quand on en a vu un, on les a tous vus ! »
Il a passé la nuit au cachot.
 
Une femme décide de se faire faire un tatouage des portraits de Garou et Roch Voisine sur les seins.
Le tatoueur lui explique qu’elle serait mieux de les faire tatouer sur les fesses puisque les seins vont tomber avec l’âge et lui explique qu’elle ne doit pas porter de culottes sur les tatouages pour une paire de journée.
Le lendemain elle commence donc son jardinage avec une petite robe.
Le petit voisin la voit, rentre à la maison et dit à sa mère :
« Maman ! La voisine s’est fait faire des tatouages sur les fesses. »
La mère lui dit : « Voyons donc tu dois sûrement te tromper ! »
« Non ! Non ! Je les ai vus et il y a Garou et Roch Voisine sur chaque fesse et, au centre, je pense que c’est celui que tu écoutes, le Doc Génico ! »
 
Il y avait un savant à Wuhan qui fabriquait un poison dans son labo chez lui mais il était tête-en-l'air : Il oublia ses gants et s’imprégna le poison sur les mains.
Sa femme l’appela pour le déjeuner.
Il se précipita à la cuisine, se lava les mains au robinet et passa à table.
Quand il hurla et s’écroula, il était mort.
L’autopsie révéla qu’il avait été empoisonné ; plus précisément par le poison qu'il avait mis au point.
Comment a-t-il été empoisonné ?
Indice : Sa femme ne l’a pas tué.
Réponse :
La poignée du robinet : Quand il l’a ouvert, le poison a touché la poignée.
Pour le refermer il a touché la poignée, donc il s’est à nouveau imprégné du poison.
 
Un couple fait l’amour.
« – Tu es certaine que Jean-Marc ne rentre pas bientôt.
– T’inquiètes pas, on a une grosse heure encore devant nous. »
Le téléphone sonne et Germaine répond :
« Oui bonjour mon chéri, bien mon chéri, d’accord mon chéri, à tout à l’heure mon chéri. »
Et elle raccroche :
« C’était Jean-Marc, il aura du retard. Il joue au billard avec toi. »
 
Un monsieur, un peu bizarre, entre dans un magasin de chaussures.
Il s’adresse à Ginette, la vendeuse.
Le monsieur est un peu bizarre et lui dit :
« – Bonjour, mademoiselle. Je voudrais des chaussures.
– Oui, quel genre ? Chaussures de ville ? Chaussures de sport ?
– Ben, des chaussures de ville normales. Mais il y a un truc. Je chausse du 44 et je voudrais du 40.
– Du 40 Mais vous n’allez pas pouvoir rentrer dedans !
– Si, si, je forcerai un peu. On va se débrouiller.
– Comme vous voudrez, mais je vous aurai prévenu ! »
Effectivement, le mec a bien du mal à enfiler ses chaussures…
Il force autant qu’il peut…
Bref, quand il arrive à mettre ses chaussures, il se lève pour payer et se met à boiter horriblement.
Alors Ginette lui dit :
« – Mais ce n’est pas possible ! Vous n’allez pas pouvoir marcher ! Pourquoi vous faites ça ?
– Écoutez, les impôts me réclament de l’argent, je viens d’apprendre que mon fils est homosexuel, que ma fille se drogue, et que ma femme m’a laissé tomber.
Alors maintenant, quand je rentre chez moi, le soir, je n’ai plus qu’un plaisir : C’est d’enlever mes chaussures et de me détendre… »
 
Séquelles de confinement :
 
« Le chef de gare n’était pas entrain, car son épouse ‘‘déraillait ” visiblement. »
 
« Le coiffeur se faisait des cheveux. »
 
« La couturière tenait des propos décousus. »
 
« Le fermier trouvait que son taureau avait un air vache. »
 
« Le restaurateur n’était pas dans son assiette. »
 
« L’égoutier n’avait pas eu un bon tuyau pour le tiercé. »
 
« Le marchand de bois avait pris une bûche dans son escalier. »
 
« L’éleveur de volaille avait la chair de poule. »
 
« Le boulanger était dans le pétrin. »
 
« Le marchand de chaussures était nettement à côté de ses pompes. »
 
« Le libraire avait une mine de papier mâché. »
 
« Le sacristain s’était fait sonner les cloches par le curé. »
 
« Le torchon brûlait chez la repasseuse. »
 
« La bonne à tout faire n’était bonne à rien. »
 
« Les joueurs de pétanque avaient perdu la boule. »
 
« Le marchand de sucreries avait reçu une note salée. »
 
« La moutarde était montée au nez de l’épicier. »
 
« Le teinturier se détachait de tout. »
 
« Le cireur de chaussures était dans le cirage. »
 
« Le charcutier faisait sa tête de cochon. »
 
« Le guide du château avait un regard égaré. »
 
« L’électricien avait plein d’ampoules au pied. »
 
« L’imprimeur manquait encore plus de caractère que d’habitude et se faisait un sang d’encre. »
 
« Le fourreur était de mauvais poil. »
 
« Le comptable avait le moral à zéro. »
 
« La fleuriste avait été envoyée sur les roses. »
 
« Le marchand de vaisselle en avait ras le bol. »
 
« Le loueur de bateaux avait mis les voiles avec l’argent de la caisse. »
 
« L’explorateur en retraite avait perdu le nord. »
 
« Le centenaire, orgueil du village était retombé en enfance… »
 
Il était temps que le confinement cesse !
 
Solutions des contrepèteries de la semaine passée :
 
« C’est toute l’élégance de la partie noble du cul. »
« Il n’est pas mauvais de lire avant l’érection. »
« Voilà une dame fessue. »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« J’aime, au sortir du camp, une longue pêche sous-marine. »
« Ah les sceaux qui scintillent… »
« Dupleix à saisir ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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