Valérie Bacot : Une affaire en or !
C’est un tout petit gabarit, visage émacié, les yeux creusés. « Elle
disparaît presque entre ses proches ». Lorsqu’elle s’avance, seule, à
la barre, elle paraît minuscule face aux trois juges et aux six jurés missionnés
pour décider de son sort.
« D’une voix tremblante, quasi inaudible, elle annonce son intention de livrer à cette audience un ‘‘dernier combat’’ » contre Daniel Polette, son ancien beau-père devenu son mari, qu’elle reconnaît tout de même avoir tué le 13 mars 2016.
Une histoire sordide à souhait : La première fois qu’elle voit sa
future victime, alors gamine imberbe, ce dernier est au lit avec sa mère. Il s’installe
chez eux, et quelques mois plus tard, ses viols commencent.
« Il ne voulait pas que je ferme à clé la salle de bains. Il me mettait de la crème. Plus les jours passaient, plus ça allait loin. Il me disait ‘‘Laisse-toi faire, c’est pour toi, tu me remercieras quand tu seras grande’’. Il me pénétrait avec ses doigts », sanglote-t-elle.
D’autres pénétrations suivent. « Au départ, je ne me laissais pas faire. Après, j’ai compris qu'il valait mieux que je me laisse faire si je voulais que ça aille vite. »
Les deux sœurs de Daniel Polette préviennent les autorités. Dans un
premier temps, la jeune fille ne révèle rien. « J’avais peur de lui »,
explique-t-elle.
Mais un examen gynécologique confirme que Valérie a été violée à de nombreuses reprises, et l’adolescente se livre alors.
Condamné à quatre ans de prison, le chauffeur routier finit toutefois par « revenir à la maison », deux ans plus tard (ce qui pousse mes « cousines », ça plus une série d’autres défaillances, à déposer plainte contre l’État, probablement inutilement).
« Ma mère ne m’a jamais rien dit mais cela se voyait qu’elle m’en voulait énormément (du départ de Daniel Polette). Quand il est revenu, elle est redevenue heureuse », se remémore-t-elle.
Et le calvaire reprend. « Ça a recommencé ».
« Je ne comprenais pas vraiment, je faisais ce qu’il me disait. »
À 17 ans, elle tombe enceinte et s’installe avec Daniel Polette.
Quatre enfants naissent de cette union, marquée par les violences psychologiques et physiques infligées à Valérie par son conjoint.
Accusant sa femme de ne « rien rapporter à la maison », il va jusqu’à la contraindre à se prostituer.
Il crée des cartes de visite, aménage sa voiture et tatoue « Dany » sur le pubis de Valérie Bacot, « pour que les clients comprennent que j’étais à lui », raconte l’accusée.
Pendant les passes, Daniel Polette surveille la jeune femme de l’extérieur du véhicule et lui donne des instructions via une oreillette. « Après, je lui donnais l’argent et parfois c’était à son tour… »
L’horreur ritualisée…
Pendant ce temps, la fille de Daniel Polette et Valérie Bacot grandit. Le
samedi 12 mars 2016, alors qu’elle est âgée de 14 ans, son père lui demande « comment
elle est sexuellement, ses mensurations et ce qu’elle sait faire ».
Ces propos bouleversent Valérie et suscitent chez elle « une grosse peur que (Daniel Polette) prostitue (sa fille) ».
« Je ne savais pas quoi faire ».
Assez précis jusque-là, ses souvenirs deviennent flous.
Le dimanche 13 mars dans la matinée, du Stilnox est ajouté dans le café de Daniel Polette.
Par qui exactement ?
Pourquoi ?
« Pour qu’il ne se réveille pas » avait déclaré l’accusée lors de ses précédentes auditions. « Pour qu’il dorme et qu’on soit tranquilles l’après-midi », affirme-t-elle aujourd’hui.
Lucas, le petit-ami de la fille, le confident et complice de la mère, va d’abord dans le même sens que l’accusée. Mais lorsque la présidente lui fait remarquer qu’il n’a pas présenté cette version devant le tribunal pour enfants de Mâcon, le jeune homme admet : « Valérie et moi, on voulait qu’il ne se réveille pas pour qu’il ne continue pas à faire du mal ».
« Il est question de le tuer à ce moment-là ? », veut savoir la présidente.
« Oui ».
Avant de faire à nouveau volte-face et d’ajouter, après une question d’une des avocates de la défense, que Valérie Bacot ne lui a jamais dit explicitement quelle voulait ôter la vie à son époux. « Vous avez dit une chose et son contraire. Où est la vérité ? », s’agace alors la présidente.
Le soir du 13 mars, un rendez-vous est fixé avec un client que Valérie
Bacot craint particulièrement. « Je ne savais pas qu’ils avaient convenu de
quelque chose de particulier… », finit-elle par lâcher en sanglotant.
Elle refuse, « le client le fait de force » tandis que Daniel Polette lui « crie dessus » dans l’oreillette.
À la fin de la passe, elle saisit l’arme qu’elle a dissimulée dans le véhicule, la brandit entre l’appuie-tête et le fauteuil sur lequel est assis Daniel Polette et tire.
« Je me souviens juste d’avoir fermé les yeux, de cette odeur, de cette lumière. »
« Avez-vous voulu tuer votre mari ? », demande la présidente.
« Non », répond l’accusée.
« Que vouliez-vous faire ? »
« Je ne sais pas. Me protéger de lui. »
« Est-ce qu’avant ce soir-là, vous aviez pensé à tuer votre mari ? »
« Non. »
Après les faits, elle prévient Lucas, avec qui elle a, semble-t-il, une
relation « privilégiée » faite de complicité, « la seule personne
qui savait ce qu’(elle vivait) », puis ses trois aînés.
Ils enterrent la dépouille dans un bois.
Ils sont condamnés à six mois de prison avec sursis pour « recel de cadavre » en novembre 2019, et acquittés du chef de non-dénonciation de crime.
Entre enfant et parent, c’est une excuse absolutoire en matière pénale…
Au printemps 2016, la disparition de Daniel Polette n’inquiète d’ailleurs pas grand monde.
« Honnêtement (…) dans cette histoire, il n’y a rien qui va, du début à la fin. »
Les avocates de l’accusée (dont ma « cousine » cortenaise) avec
qui j’ai eu des mots à l’occasion de l’affaire Sauvage (cf. I-Cube
(l'exilé): La « légitime défense différée » (flibustier20260.blogspot.com)),
mais elle était là pour accompagner ma
« Môman à moâ » en sa dernière demeure et nous avons partagé le
« verre de l’amitié » retrouvée, se sont spécialisées dans la défense
des femmes battues depuis une dizaine d’années. Elle se sont fait connaître justement
lors de la très médiatique affaire Jacqueline Sauvage, du nom de cette femme
qui avait abattu son mari de trois coups de fusil dans le dos en 2012 dans le
Loiret.
Dans le dos, trois fois et on voulait nous faire avaler la notion de
légitime défense… « différée » : Du grand n’importe quoi juridique
!
Auparavant, elles avaient obtenu l’acquittement d’Alexandra Lange par la Cour
d’assises de Douai : En 2009, cette mère de famille tue son mari d’un coup
de couteau alors que celui-ci tentait de l’étrangler. Cela faisait douze ans qu’il
la frappait et l’humiliait.
Les deux avocates parviennent pour la première fois à faire reconnaitre la « notion d’emprise » par une juridiction.
Pourtant on sait tous de quoi il s’agit, jusqu’aux « psys » qui théorisent sur le « syndrome de Stockholm ».
Personnellement, j’ai aussi lu avec avidité « Consentement », écrit par une des victimes de ce féru de pédophilie encensé par le « monde culturel » de… « gôche-de-progrès » et néanmoins « soce ». « Mat-zézé-neff ».
Et je suis ravi : Ma « cousine » aura enfin compris comment
défendre les victimes-assassines de leur bourreau.
Mes leçons auront porté !
Dans l’affaire Valérie Bacot, les deux avocates espéraient seulement et une nouvelle fois démontrer le climat de terreur et d’emprise dans laquelle vivait leur cliente. Climat qui expliquerait le passage à l’acte par arme à feu.
C’est violent, une arme à feu…
« On est au-delà de tout ce qu’on a pu connaître puisque dans ce dossier nous avons de l’inceste, des viols sur mineurs, de la prostitution, de la maltraitance sur elle mais aussi sur ses enfants.
Cette femme n’a fait que se défendre d’une mort quasi
certaine. Cela aurait pu être elle qu’on retrouve sur une table d’autopsie ».
C’est possible, mais un proxénète ne tue pas sa « poule aux œufs
d’or ».
Valérie Bacot signale la disparition de son mari à la police. Le corps est
retrouvé le 3 octobre 2017 à La Clayette, en Saône-et-Loire, grâce à une
information donnée par la mère de Lucas (le petit-ami de la fille) à la police
et sur les indications de Valérie Bacot.
Mais Valérie Bacot, ce n’est pas que ça : Elle est originaire de Saône-et-Loire. Ses parents se séparent en 1992. Sa mère (Joëlle Aubagne), décrite comme alcoolique, autoritaire et violente, gérante d’un commerce dans le centre-ville de La Clayette, se met en couple avec Daniel Polette.
Cependant, à cette époque, sa mère dénie toute forme de viol et décrit la relation entre Valérie Bacot et Daniel Polette comme étant amoureuse.
Celle-ci réclamant le retour de son homme et écrivant dans une lettre adressée à sa mère « Je veux vivre MA VIE, ça ne te regarde pas. » (…) « Je veux rester avec mon homme. » Valérie est alors à peine majeure et elle quitte le domicile familial, sa mère assurant qu’elle ne l’a jamais chassée.
Elle s’installe alors avec Daniel Polette, son beau-père, dans la commune voisine de Baudemont et l’épouse : Ils restent mariés dix-huit ans et ont quatre enfants.
C’est long quatre grossesses… et éreintant.
Les enfants du couple auraient tenté par deux fois d’alerter la gendarmerie sur la situation familiale, ce que les gendarmes démentent lors du procès.
Reprenant la stratégie de défense de l’accusée, qui s’est entourée des
avocates de Jacqueline Sauvage après avoir été défendue par Maître Dominique
Mary, on ne peut pas plaider la légitime « défense-différée » :
Le « proc’ » de la République de Chalon-sur-Saône, sentant les choses
venir, aura coupé l’herbe sous les pieds de mes « cousines » soulignant
qu’il s’agit d’un assassinat dans un contexte de huis clos et qu’il n’y a pas de
trace de légitime défense dans ce dossier, même pas « différée ».
Et il y avait probablement « préméditation ».
Ce n’est pas certain mais quand on suit le trajet de l’arme du crime, tout de même, ça devient impératif…
Et puis, surprise, le ministère public requiert cinq ans de prison, dont
quatre avec sursis, ce qui lui permettrait de sortir libre puisqu’elle avait
déjà effectué un an d’emprisonnement, telle qu’elle est arrivée en la Cour
libre et sous simple contrôle judiciaire : Du gâteau pour la défense.
Finalement, elle est condamnée à quatre ans de prison dont trois avec sursis. Elle ressort libre mais détruite à vie.
C’est tout juste si elle n’a pas reçu les félicitations du jury.
En conclusion, c’est comme ça qu’il fallait aussi défendre Jacqueline
Sauvage : Plaider coupable (Valérie en disait qu’elle méritait bien une
peine pour ce qu’elle avait fait, avant son procès), mais plaider de
« très larges circonstances atténuantes », pour viser une
condamnation (indispensable à une bonne administration de la Justice), avec un
sursis lui aussi assez large pour éviter d’aller dormir sous les écrous de la
République…
Et on évite comme ça de soulever les foules ignorantes du droit et de devoir mobiliser la grâce présidentielle.
La leçon aura été comprise et, figurez-vous que… j’en suis ravi.
J’ai même félicité ma « cousine », parce que c’est aussi ma
« cousine » et que ça le valait bien.
Je ne pouvais pas faire autre chose avant de partir en estives. Peut-être aurons-nous l’occasion de vider une chopine ensemble en terrasse à Corti cet été.
« D’une voix tremblante, quasi inaudible, elle annonce son intention de livrer à cette audience un ‘‘dernier combat’’ » contre Daniel Polette, son ancien beau-père devenu son mari, qu’elle reconnaît tout de même avoir tué le 13 mars 2016.
« Il ne voulait pas que je ferme à clé la salle de bains. Il me mettait de la crème. Plus les jours passaient, plus ça allait loin. Il me disait ‘‘Laisse-toi faire, c’est pour toi, tu me remercieras quand tu seras grande’’. Il me pénétrait avec ses doigts », sanglote-t-elle.
D’autres pénétrations suivent. « Au départ, je ne me laissais pas faire. Après, j’ai compris qu'il valait mieux que je me laisse faire si je voulais que ça aille vite. »
Mais un examen gynécologique confirme que Valérie a été violée à de nombreuses reprises, et l’adolescente se livre alors.
Condamné à quatre ans de prison, le chauffeur routier finit toutefois par « revenir à la maison », deux ans plus tard (ce qui pousse mes « cousines », ça plus une série d’autres défaillances, à déposer plainte contre l’État, probablement inutilement).
« Ma mère ne m’a jamais rien dit mais cela se voyait qu’elle m’en voulait énormément (du départ de Daniel Polette). Quand il est revenu, elle est redevenue heureuse », se remémore-t-elle.
Et le calvaire reprend. « Ça a recommencé ».
« Je ne comprenais pas vraiment, je faisais ce qu’il me disait. »
Quatre enfants naissent de cette union, marquée par les violences psychologiques et physiques infligées à Valérie par son conjoint.
Accusant sa femme de ne « rien rapporter à la maison », il va jusqu’à la contraindre à se prostituer.
Il crée des cartes de visite, aménage sa voiture et tatoue « Dany » sur le pubis de Valérie Bacot, « pour que les clients comprennent que j’étais à lui », raconte l’accusée.
Pendant les passes, Daniel Polette surveille la jeune femme de l’extérieur du véhicule et lui donne des instructions via une oreillette. « Après, je lui donnais l’argent et parfois c’était à son tour… »
L’horreur ritualisée…
Ces propos bouleversent Valérie et suscitent chez elle « une grosse peur que (Daniel Polette) prostitue (sa fille) ».
« Je ne savais pas quoi faire ».
Assez précis jusque-là, ses souvenirs deviennent flous.
Le dimanche 13 mars dans la matinée, du Stilnox est ajouté dans le café de Daniel Polette.
Par qui exactement ?
Pourquoi ?
« Pour qu’il ne se réveille pas » avait déclaré l’accusée lors de ses précédentes auditions. « Pour qu’il dorme et qu’on soit tranquilles l’après-midi », affirme-t-elle aujourd’hui.
Lucas, le petit-ami de la fille, le confident et complice de la mère, va d’abord dans le même sens que l’accusée. Mais lorsque la présidente lui fait remarquer qu’il n’a pas présenté cette version devant le tribunal pour enfants de Mâcon, le jeune homme admet : « Valérie et moi, on voulait qu’il ne se réveille pas pour qu’il ne continue pas à faire du mal ».
« Il est question de le tuer à ce moment-là ? », veut savoir la présidente.
« Oui ».
Avant de faire à nouveau volte-face et d’ajouter, après une question d’une des avocates de la défense, que Valérie Bacot ne lui a jamais dit explicitement quelle voulait ôter la vie à son époux. « Vous avez dit une chose et son contraire. Où est la vérité ? », s’agace alors la présidente.
Elle refuse, « le client le fait de force » tandis que Daniel Polette lui « crie dessus » dans l’oreillette.
À la fin de la passe, elle saisit l’arme qu’elle a dissimulée dans le véhicule, la brandit entre l’appuie-tête et le fauteuil sur lequel est assis Daniel Polette et tire.
« Je me souviens juste d’avoir fermé les yeux, de cette odeur, de cette lumière. »
« Avez-vous voulu tuer votre mari ? », demande la présidente.
« Non », répond l’accusée.
« Que vouliez-vous faire ? »
« Je ne sais pas. Me protéger de lui. »
« Est-ce qu’avant ce soir-là, vous aviez pensé à tuer votre mari ? »
« Non. »
Ils enterrent la dépouille dans un bois.
Ils sont condamnés à six mois de prison avec sursis pour « recel de cadavre » en novembre 2019, et acquittés du chef de non-dénonciation de crime.
Entre enfant et parent, c’est une excuse absolutoire en matière pénale…
Au printemps 2016, la disparition de Daniel Polette n’inquiète d’ailleurs pas grand monde.
« Honnêtement (…) dans cette histoire, il n’y a rien qui va, du début à la fin. »
Les deux avocates parviennent pour la première fois à faire reconnaitre la « notion d’emprise » par une juridiction.
Pourtant on sait tous de quoi il s’agit, jusqu’aux « psys » qui théorisent sur le « syndrome de Stockholm ».
Personnellement, j’ai aussi lu avec avidité « Consentement », écrit par une des victimes de ce féru de pédophilie encensé par le « monde culturel » de… « gôche-de-progrès » et néanmoins « soce ». « Mat-zézé-neff ».
Mes leçons auront porté !
Dans l’affaire Valérie Bacot, les deux avocates espéraient seulement et une nouvelle fois démontrer le climat de terreur et d’emprise dans laquelle vivait leur cliente. Climat qui expliquerait le passage à l’acte par arme à feu.
C’est violent, une arme à feu…
« On est au-delà de tout ce qu’on a pu connaître puisque dans ce dossier nous avons de l’inceste, des viols sur mineurs, de la prostitution, de la maltraitance sur elle mais aussi sur ses enfants.
Mais Valérie Bacot, ce n’est pas que ça : Elle est originaire de Saône-et-Loire. Ses parents se séparent en 1992. Sa mère (Joëlle Aubagne), décrite comme alcoolique, autoritaire et violente, gérante d’un commerce dans le centre-ville de La Clayette, se met en couple avec Daniel Polette.
Cependant, à cette époque, sa mère dénie toute forme de viol et décrit la relation entre Valérie Bacot et Daniel Polette comme étant amoureuse.
Celle-ci réclamant le retour de son homme et écrivant dans une lettre adressée à sa mère « Je veux vivre MA VIE, ça ne te regarde pas. » (…) « Je veux rester avec mon homme. » Valérie est alors à peine majeure et elle quitte le domicile familial, sa mère assurant qu’elle ne l’a jamais chassée.
Elle s’installe alors avec Daniel Polette, son beau-père, dans la commune voisine de Baudemont et l’épouse : Ils restent mariés dix-huit ans et ont quatre enfants.
C’est long quatre grossesses… et éreintant.
Les enfants du couple auraient tenté par deux fois d’alerter la gendarmerie sur la situation familiale, ce que les gendarmes démentent lors du procès.
Et il y avait probablement « préméditation ».
Ce n’est pas certain mais quand on suit le trajet de l’arme du crime, tout de même, ça devient impératif…
Finalement, elle est condamnée à quatre ans de prison dont trois avec sursis. Elle ressort libre mais détruite à vie.
C’est tout juste si elle n’a pas reçu les félicitations du jury.
Et on évite comme ça de soulever les foules ignorantes du droit et de devoir mobiliser la grâce présidentielle.
La leçon aura été comprise et, figurez-vous que… j’en suis ravi.
Je ne pouvais pas faire autre chose avant de partir en estives. Peut-être aurons-nous l’occasion de vider une chopine ensemble en terrasse à Corti cet été.
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