Pas par les développements de la pandémie.
Ceux-là étaient parfaitement prévisibles depuis la simulation en « yoyo »
de quelques « matheux » d’Oxford au début de l’été : Nous allons
en avoir pour des mois et des mois !
Et les cours de bourse, ce baromètre, avec les sondages du « climat
des affaires » et quelques « indicateurs avancés », (tels la
vente de trottoirs, de cartonnages et les flux maritimes) vont étayer le
mouvement erratique.
Du coup l’économie mondiale également, mais en désordre.
Pas plus que les mesures anti-contamination : D’abord, ce ne sont que
des contaminations, pas des morts. Mais ça permet de « casser » la
dynamique de reprise éventuelle de telle ou telle région et de réinitier un
climat anxiogène.
Là, je suis surpris qu’on puisse « confiner » les restaurants,
bars, brasseries et tant d’autres, mais pas les villes elles-mêmes : Si tu
peux encore voyager à ta guise en TGV, en avion ou en voiture, ce n’est pas du
confinement sanitaire. Au mieux, c’est de l’infantilisation, au pire c’est de
la rétorsion punitive.
Alors je vous laisse aux commentaires des médias sur ce sujet : De
toute façon ils ne disent que ce qu’on veut leur faire dire, ensuite, comme
tout le monde navigue en plein brouillard, tous ne disent que n’importe quoi !
Pas très intéressant pour le moment.
Ce qui l’est en revanche, c’est cette histoire de tentative d’empoisonnement
d’Alexeï Navalny le 20 août à l’aéroport de Tomsk.
D’abord il a été empoisonné en buvant un peu d’eau d’une bouteille mise à
sa disposition dans son hôtel. À moins que ce soit le thé noir servi avant d’embarquer.
Et ce n’est que plus tard, dans l’avion, qu’il a été pris de malaise.
Pour quel motif ?
Et pourquoi ce procédé de « bonne-femme » qui implique forcément
une capacité technologique étatique, même si en 20 ans une dizaine de personne
ont succombé, ou non, sur le sol russe et ailleurs (jusqu’en Ukraine et dans
l’UE) avec ce procédé cher à Agatha Kristie ?
Était-il si gênant pour le Kremlin ou ses affidés, alors qu’il ne pèse quasiment
rien au plan politique et électoral, juste un peu plus que Skripal…
Et alors, pourquoi autoriser le transfert de la victime dans un hôpital Teuton
?
Voilà un épais mystère qui me taraude depuis la fin du mois d’août…
Parce que reconnaissons que les médecins russes qui l’ont soigné et lui
ont sauvé la vie selon toute vraisemblance, ont indiqué que les tests auxquels
ils avaient procédé pour déterminer s’il y avait eu empoisonnement étaient
négatifs.
Alors que l’hôpital de la Charité à Berlin, où Navalny a été traité,
assure au contraire qu’une variante du Novichok est à l’origine de
l'empoisonnement.
Et cela est confirmé par un laboratoire Gauloisien et un autre suédois.
Mais quand les russes réclament les échantillons ou des preuves, ils
reçoivent un refus même pas poli…
Naturellement, le ton est monté entre Moscou et Berlin. D’une manière
inhabituelle, la Chancelière « teutonne » a immédiatement (et avec
empressement) exigé des explications du Kremlin. Et elle a évoqué des sanctions
et même la suspension du projet de pipeline gazier « NordStream2 »,
alors qu’elle avait jusqu’ici résisté à toutes les demandes américaines en ce
sens.
Dans la foulée, les autorités « gauloisiennes » ont reporté
certaines des échéances du dialogue stratégique « Gallo-russe ». L’Union
européenne a été appelée à se prononcer et jusqu'ici, Moscou s’enferme dans une
posture de déni, alors que la Russie a beaucoup à perdre à une détérioration de
sa relation avec la « Teutonnie ».
Il y a plusieurs explications : J’en vois trois.
La première est que depuis quelques années, « Poux-Tine » a
perdu beaucoup en popularité. Plusieurs mouvements et événements importants y
ont contribué :
– Une absence de croissance des revenus : même avant la crise de 2020, les
revenus réels stagnaient à près de 10 % en-dessous du niveau de 2013 ;
– Une désillusion croissante après la reconduction par « Poux-Tine »
en 2018 du gouvernement « Medve-Vedev », très impopulaire, remplacé
par un « joueur de flûte », et la mise en place d’une « réforme
des retraites » confiscatoire en 2018 ;
– L’amplification du nombre de manifestations pour la protection de
l’environnement, particulièrement dans la région d’Arkhangelsk ;
– Le succès médiatique grandissant de Navalny : Ses émissions
hebdomadaires sur YouTube sont regardées par des millions de personnes, tandis
que sa chaîne YouTube compte désormais 4 millions d’abonnés ;
– Le succès de la tactique du « vote intelligent » de Navalny en
2019 – le gouvernement n’ayant pas enregistré de réels candidats d’opposition,
il s’agissait de voter pour le plus prometteur des candidats, quel que soit son
parti tant qu’il n’était pas déjà au pouvoir, afin de témoigner de l’intensité
de la méfiance vis-à-vis du pouvoir actuel.
– La crise du « Conard-virus » qui se cache derrière des statistiques
truquées et un vaccin que même les cosmonautes russes en partance pour l’ISS
refusent. Sans compter le « flop » du cavalier seul du Russe quant à
sa position à l’égard de l’OPEP quand il a s’agit de réduire la production pour
soutenir les cours…
– « Poux-tine » se montre par ailleurs plus généreux envers ses
amis que ses concitoyens : Alors que la Russie dispose toujours d’un fonds
souverain à 10 % du PIB, ses mesures économiques « anti-Conard-virus »
ne représentaient que 3 % du PIB, et il s’agit majoritairement de reports
d'impôts.
– Les subventions et les aides destinées aux entreprises publiques et aux
petites entreprises étaient inférieures à 1 % du PIB.
– Par ailleurs, la réforme constitutionnelle a été assez mal accueillie. Le
Président russe a d’ailleurs programmé le vote au beau milieu de l’épidémie,
car près de la moitié de la population russe ne souhaite pas qu’il siège au
Kremlin jusqu’en 2036.
Ainsi, de nombreux électeurs de l’opposition ne se sont pas présentés aux
urnes, et on a constaté lors de ces élections le plus fort taux de fraude de l’histoire
russe (selon diverses estimations, le « bourrage d’urnes »
représenterait entre 20 et 25 points de pourcentage du résultat final).
– Ajoutons à cela la vague actuelle de manifestations de masse en
Biélorussie et à Khabarovsk, ainsi que les élections régionales de septembre
2020 dans 40 régions, pour lesquelles Alexeï Navalny a une nouvelle fois
encouragé le recours au « vote intelligent ».
Tous ces éléments semblent avoir incité les autorités à adapter leur
réponse au « problème Navalny ».
Sauf que ce n’est pas vraiment un problème…
Il y a plus urgent, notamment du côté de Minsk et « l’entrisme »
du « Polak » appuyé par Berlin.
De plus, normalement, de telles opérations requièrent la coordination de
plusieurs services. Elles doivent être validées par les plus hauts
responsables, et demandent donc des mois de planification et de préparation. Il
est probable que les responsables russes aient commencé à œuvrer sur ce projet
dès le début de l’année et que l’approbation finale ne soit venue qu’en
juillet, après le vote sur les amendements constitutionnels.
En réalité, pour les spécialistes, tout laisse à penser qu’il y a eu une erreur
de calcul de la part de Moscou : Ils avancent l’hypothèse que le plan était de
supprimer Navalny et de l’enterrer ensuite à Moscou, puis de refuser le
transfert des tests biologiques à l’étranger tout en niant l’empoisonnement.
« Cela aurait certes suscité de puissants soupçons, mais aurait
évité au régime de se faire prendre en flagrant délit. »
Et s’agissant de l’accord donné au transfert de l’opposant à Berlin,
plusieurs explications sont possibles : On peut penser que les autorités
ont attendu que le poison ait cessé de laisser des traces dans le corps de
Navalny avant de le laisser partir. Ils ont dû estimer que deux jours suffiraient
à en effacer toute trace.
Or, cela n’a finalement pas été le cas.
Par ailleurs, refuser son transfert en « Teutonnie » aurait constitué
un signe de complicité évidente sur cette tentative d’assassinat.
Et de noter que selon les rapports « teutons », Navalny aurait
été empoisonné par un nouveau type de Novichok, ce qui est probablement à
l’origine du manque de données exactes sur la durée de vie de ce poison dans le
corps.
« Enfin, les autorités russes ont sans doute sous-estimé la
précision du matériel médical allemand. Si les services secrets russes sont
souvent impitoyables, ils ne sont pas omniscients et commettent des erreurs »
comme le laisse supposer l’affaire « Skripal ».
Naturellement, cette version « officielle » ne tient pas la
route : Comment imaginer que les « services » se soient
fourvoyés de la sorte ? Ce ne sont pas des nains au FSB (et autres).
D’abord officiellement, toutes les armes biologiques ont été détruites en
Russie comme partout ailleurs et ne sont plus produites. Mais quelques nations
entretiennent des laboratoires militaires qui travaillent sur ces sujets en
violation des conventions internationales, mais sous contrôle international…
Utiliser un « nouveau » Novichok serait un aveu ! Un vieux
stock, encore…
Skripal et sa fille auraient dû mourir instantanément, tout comme Navalny.
Or, ce n’est pas le cas.
C’est qu’il ne s’agit pas du redoutable poison, mais d’une formule « allégée ».
Quelques lecteurs assidus se souviennent que dans le roman « Alex
cherche Charlotte » (des « Enquêtes
de Charlotte »), j’émets l’hypothèse que les autorités britanniques
ont été mises au courant de la tentative d’assassinat de Salisbury en amont et
qu’« un service » aura profiter de l’aubaine pour mettre en
difficulté la diplomatie Moscovite avec un dérivé du Novichok non létal.
Là, je vois mal les Services de sa très gracieuse Majesté fournir le dit « poison
allégé », mais après tout…
Tout ça ne tient pas debout.
Il y a une seconde hypothèse : Au début du mois d’août, tout le monde
se préparait aux élections en Biélorussie, dans le pays lui-même, ainsi qu’en
Russie et dans les pays de l’UE. C’était un jeu passionnant dans lequel chacun
pariait sur son propre candidat.
Moscou et Minsk étaient en train de casser la vaisselle de manière
démonstrative, en se criant dessus et en se tirant par les cheveux, créant
l’illusion d’une rupture totale des relations.
C’était l’intention !
L’Europe, contente et détendue, se frottait les mains et voyait déjà
comment elle allait très bientôt chasser « le dernier dictateur d’Europe » et s’emparer
de cette délicieuse pièce de l’échiquier local d’Europe de l’Est.
Les élections ont eu lieu. Tout le monde s’est figé. Sans se soucier d’attendre
les résultats des élections, sur ordre du média provocateur polonais Nexta, l’opposition
biélorusse blanc-rouge-blanc s’est mise en ordre de bataille.
Au début, tout se passait comme prévu. Des foules excitées inondèrent les
rues et commencèrent à menacer la police, les fonctionnaires et les
journalistes, déclenchant des escarmouches et des grèves. Les ambassadeurs
slovaques et espagnols en Biélorussie se sont prononcés en faveur des
manifestants et « se sont rangés du côté du peuple ».
Cela se passait comme prévu : Il semblait que Loukachenko était à
deux doigts de tomber.
Ensuite, Moscou est entré dans le jeu. Elle a reconnu le résultat des
élections gagnées par Loukachenko avec un score de dictateur et a commencé à le
soutenir sur le plan organisationnel, informationnel et financier.
Alors, l’Europe devait augmenter la pression. Mais comment ?
Intervient alors l’empoisonnement de Navalny.
Des agents du ministère « Teuton » des Affaires internationales,
qui ont sympathisé avec le SPD de Schröder, ont pris contact avec Yulia Navalny
(sa femme) et lui ont proposé de l’hospitaliser dans une clinique en Allemagne.
Yulia a accepté et a fait appel à « Poux-Tine ».
Si Moscou tente de l’empêcher, il s’agira de provoquer un scandale
retentissant. Et Moscou, en bon joueur d’échacs, ne s’est pas opposé au
transfert de Navalny.
Après l’arrivée Navalny en « Teutonnie », « Mère-Qu’elle »
a appelé Moscou et a exigé que la Russie cesse de soutenir Loukachenko, sinon
elle annoncera que Navalny a été empoisonné avec du « Novichok ».
Moscou a refusé et a augmenté son soutien à Loukachenko, déclarant qu’elle
avait organisé une réserve de forces spéciales prête à être envoyée en
Biélorussie pour en prendre le contrôle, juste au cas où quelqu’un ferait un
geste soudain.
Des troupes ont été déployées à ce moment-là.
Le lendemain, Berlin a annoncé que les résultats d’analyses montraient un
empoisonnement avec un inhibiteur du cholinestérase.
C’aurait été son dernier coup de semonce. Puis il y a eu un autre appel
téléphonique, pour prévenir que la prochaine fois du « Novichok » sera trouvé.
Moscou a refusé, et a promis à Minsk un milliard de dollars le jour même.
À ce moment-là Navalny est immédiatement transféré dans un hôpital
militaire, où l’on « découvre » sans délai qu’il avait été empoisonné avec du «
Novichok ».
Or, il n’a pas été possible de trouver le « Novichok » pendant qu’il était
à la Charité, car les journalistes et les fonctionnaires pouvaient exiger de
voir les résultats des tests, alors que dans un hôpital militaire, de telles
demandes seraient refusées : l’information est secret-défense.
Mais même le « Novichok » n’a pas pu forcer Moscou à cesser de soutenir
Minsk. Le premier ministre russe Mikhaïl Michoustine a été dépêché à Minsk avec
une mallette remplie de papiers à signer.
Il s’ensuit une tentative de Fritz Merz, l’adjoint de « Mère-Quelle »
à la CDU, de faire pression pour fermer NordStream2, mais il se fait rapidement
tirer les oreilles par le lobby des entreprises « Teutonnes » qui ont
investi dans ce gazoduc.
Puis Loukachenko présente une interception, avec un profil amateur
intentionnel, des communications diplomatiques secrètes entre les « Polaks »
et les « Teutons » dans laquelle ils discutaient de leurs plans
d’empoisonnement de Navalny.
Le résultat intermédiaire est donc le suivant : Navalny est bien vivant,
tranquillement installé dans un hôpital militaire « Teuton » et se
demandant périodiquement quand il sera autorisé à rentrer chez lui.
Maintenant, à l’approche des élections, alors que la campagne électorale
parlementaire commence en « Teutonnie », la coalition CDU/CSU de « Mère-Quelle »
n’a plus beaucoup de soutien populaire.
Cette histoire de « Navichok » devient toxique pour Berlin :
Si « Mère-Quelle » annonce que c’est le crime du siècle où une grande
figure de l’opposition russe a été diaboliquement empoisonnée avec du «
Novichok », alors elle sera obligée de rompre toute relation avec le régime
sanguinaire et de présenter des preuves.
Qu’elle n’a probablement pas. Et personne ne lui permettra de geler
l’achèvement du gazoduc. Sinon, les entreprises locales, qui ont investi dans
NordStream2, prendront d’assaut le Bundestag.
Mais si elle fait marche arrière, présente des excuses et renvoie Navalny
en Russie, en prétendant que ce qui s’est passé était une malheureuse série
d’erreurs, et punit tous ceux qui l’ont mise dans cette situation dans toute la
mesure du droit germanique, cela ne sauvera pas la situation non plus. Les
électeurs « Teutons » ne pardonneront pas à la chancelière la perte
de l’autorité internationale du pays, la perte d’influence en Europe,
l’incompétence totale dans sa gestion des affaires étrangères et la puniront
quand même dans les urnes.
Par conséquent, son seul choix est d’attendre son heure, blâmant la Russie
pour le déploiement du « Novichok » et soutenant simultanément l’achèvement de
NordStream2.
Gerhard Schröder, en tant que président du conseil d’administration de la
société NordStream2 et ancien chef du SPD, peut envisager l’avenir avec
confiance et optimisme.
Dans tous les cas, la coalition CDU/CSU sera dégonflée et le SPD
renforcera sa position au Bundestag et, soit indépendamment, soit en coalition
avec d’autres partis, installera son propre leader en tant que Chancelier. Le
NordStream2, qui a été dans les limbes politiques pendant quelques années, sera
achevé et entrera en service à pleine capacité très rapidement.
L’hypothèse retient que finalement « NordStream2 » est au cœur de
cette affaire-là : Les « Ricains » n’en veulent pas. Ils
auraient pu œuvrer pour obliger la chancelière à y renoncer alors que les « Popovs »
et les « Teutons » en ont tous besoin.
Une hypothèse un peu trop alambiquée à mon goût : Je ne vois pas un « Service action »
impliquant la CIA, ou d’autres anglo-saxons, monter sous couverture un truc
aussi complexe et aux résultats aussi aléatoires.
« NordStream2 » se fera, quoiqu’il advienne.
Alors j’ai bien une troisième hypothèse qui germe. Puisque c’est
finalement « complexe » à souhait à détricoter, pourquoi ne pas
revenir aux fondamentaux ?
« NordSream2 » est tellement avancé et a surmonté tellement d’obstacles
qu’il ne peut plus reculer. Même si la signature carbone du gaz importé n’est
pas très encourageante, même pour le CDU (et les « Grünen »).
C’est un écueil collatéral : Navalny n’a rien à voir avec cette
affaire-là.
Les « services » anglo-saxons non plus : Navalny est bien
plus intéressant vivant pour risquer son décès, même si c’est pour accuser « Poux-Tine »
par la bande.
« Poux-Tine » est inébranlable.
Le jour où il disparaîtra du paysage politique de son pays, c’est que sa
sécurité n’aura pas été assurée correctement…
Ne reste plus qu’un « Service » russe. Pas le GRU (l’armée) :
Ils ont déjà donné avec Skripal où ils se sont fait piéger.
Le FSB ou une de ses administrations policières alors ?
Pour tout vous dire, j’hésite encore à reprendre cette hypothèse dans
le prochain roman, parce que c’est bien trop risqué pour Moscou d’user de ces
leviers-là, même sur son territoire : Trop voyant.
C’est que ce roman devient lui aussi complexe puisqu’il doit mêler le « Conard-virus »,
la Corée du Nord et maintenant ce « coup à multi-bandes » dans la
mesure où des troupes russes sont aussi engagées en Syrie, présentes en Bélarusse,
sous faux-drapeau en Libye, en Ukraine et encore ailleurs en Afrique à suivre
un « calendrier » décidé par le Kremlin et où les Chinois gesticulent
et pas seulement aux abords de leurs côtes…
On y verra un peu plus clair après les élections américaines. Mais là
encore, ça va être compliqué si « McDo-Trompe » les perd, malgré ou à
cause des « trolls » russes (et chinois) sur Internet et autres
réseaux sociaux.
Et pour l’heure je penche justement pour quelques « affreux »
qui « croient bien faire ».
À suivre, donc…
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