Pendant ce temps de l’émotion…

Nos « seniors » dépriment !
 
Mais personne n’en parle plus : Le « Conard-virus » poursuit ses contaminations, l’Irlande et le Pays de Galles se reconfinent et on oublierait presque qu’il y a des centaines et des centaines de décès par jour dus à la Covid-19 (plus d’un million dans le monde), puisque nous sommes désormais tous « masqués » (avant que d’être bâillonnés) et maintenus sous « couvre-feu » durant toute la nuit : C’est moins cher, paraît-il !
 
Il faut dire qu’il y a plus « choquant » tel que le martyr de Paty nous secoue tous et on y reviendra, parce qu’il y a aussi des choses absolument terribles qui devraient faire scandale…
Car j’ai aussi du mal à supporter que l’ignorance l’emporte sur l’Intelligence et les Lumières. Mais comme pour l’heure, la « foudre étatique » s’abat sur une ribambelle de responsables islamistes, sans retomber encore sur l’ignorance des « scienteux » quand il s’agit de nous museler, je vais laisser retomber la poussière de ces « agitations » médiatiques avant d’y revenir.
 
C’est comme ça, et j’ose espérer que ça va changer et pas seulement avec des mots et des discours ronflants et tonitruants…
Aujourd’hui, je voudrais relayer Denise, 88 ans…
Qui aura écrit à « Jupiter ».
 
« Bonjour Monsieur le Président,
 
Je m’appelle Denise, j’ai 88 ans.
Ce n’est pas moi qui tape cette lettre, je ne sais pas trop comment faire.
C’est donc mon arrière-petite-fille de 19 ans, qui écrit sous ma dictée.
 
Je vous écris aujourd’hui pour vous dire toute ma colère contre vous, vos ministres, et vos conseillers « scientifiques ».
Qui êtes-vous, jeune godelureau, pour penser et décider à ma place, de ce qu’est ma vie, de ce que sera ma mort ?
J’ai 88 ans, j’ai eu une belle vie, avec ses hauts et ses bas, ses joies et ses blessures, comme tout le monde, je présume.
 
Dans les hauts, j'ai eu 5 enfants, tous mariés, qui ont eu à eux tous, 15 petits-enfants. La plupart de mes petits-enfants (12) sont aussi mariés, et ont maintenant à eux tous, 27 enfants. J’ai donc 27 arrière-petits-enfants.
Si vous savez compter, ma famille, issue de mon mariage avec mon regretté Robert, se monte à 54 personnes.
Sans parler de la famille de mes frères et sœurs, que je vois encore régulièrement. À nous tous, nous sommes plus de 250, qui nous réunissons tous les 15 août… enfin, sauf en 2020, grâce à vous.
Et encore, 2 de mes arrière-petites-filles viennent de se marier. SANS MOI !!!
 
Grâce à vous et vos sbires, elles ont toutes les deux été privées de leur famille au complet, et amis, car vous avez interdit les rassemblements familiaux de plus de 30 personnes pour ME PROTEGER, MOI !
Et accessoirement, mes enfants, qui ont 60 ans et plus.
Mais je ne vous ai rien demandé !
QUI ÊTES-VOUS POUR DÉCIDER DE MA VIE ET DE MA MORT ?
 
Moi, je veux VIVRE auprès des miens, les voir, les embrasser, rire et pleurer avec eux, SANS RESTRICTION.
Et si j’en meurs, et bien, c’est que ce sera mon heure. Je mourrais heureuse d’avoir profité de leur présence, de leur joie et de leur amour jusqu’à la fin de ma vie.
 
Je refuse que vous m’obligiez à vivre seule, loin de toutes et tous, sans aucun contact physique, sans câlins de mes amours, sans leur rire devant mes gâteaux…
Et encore, j’ai la chance de vivre chez moi.
Mais je pense à mes amis, qui vivent en Ephad, emprisonnés dans leur chambre, sans voir personne, qui ont dû supporter la chaleur cet été, car on leur a interdit le ventilateur dans leur chambre.
Ils sont en train d’en mourir !
De tristesse et de solitude.
Vous êtes en train de les tuer bien plus sûrement que le covid.
 
Et en plus, vous les priverez de la présence de leur famille lors des obsèques, limitées elles aussi en nombre de personnes présentes.
Pourtant, vous, vous vivez bien avec une femme de plus de 65 ans.
Elle n’est pas à risques ? Pourquoi ne pas l’isoler de tous contacts, elle aussi ?
En fait, selon les critères que vous nous appliquez, vous la mettez en danger, elle aussi…
Encore une incohérence de votre part (d’autant qu’elle y est désormais, isolée elle-même comme une pestiférée).
 
Ma petite-fille n’a pas pu se marier avec ses amis, mais ses frères et sœurs sont venus en trains bondés, avec parfois plus de 5 heures de trajet…
Logique, selon vous ?
Vous autorisez 700 personnes à se réunir sous un chapiteau, mais vous interdisez 100 personnes sous une tente de mariage ?
 
Vous nous interdisez de vivre car vous avez sabré les lits d’hôpitaux, sous Hollande, puis vous, directement.
Vous parlez de saturation, car 1.500 personnes sont en réanimation.
1.500 personnes sur 66 millions de français ?
De qui vous moquez-vous ? D’autant que toutes ne le sont pas pour des raisons de covid.
 
Il y a environ 50 morts par jour, ATTRIBUÉS au Covid. Est-ce une raison pour moi, mes amis, nous les « vieux », de nous priver de vivre ?
Sans compter tous les français, condamnés à la peur, au désespoir et au chômage à cause de vous…
Vous ne voulez pas que nous, les vieux, nous mourrions, mais vous vous servez de nous pour faire mourir toute la France !
 
Monsieur le Président, laissez les français tranquilles,
LIBRES DE DÉCIDER DE LEUR VIE ET DE LEUR MORT !
Sachez qu’à partir d’aujourd’hui, 12 octobre 2020, je vais vivre comme je l’entends, en recevant qui je veux, et j’embrasserai tous ceux qui viendront me voir.
Votre avis, comme disait mon cher Robert, « je m’en tamponne le coquillard ».
 
Bien à vous,
 
Denise H. »
 
Merci grand-mère pour ce coup de gueule !
Toutefois, prends soin de toi et respecte les « gestes barrière ».
Tu me fais penser à ma « Môman », bouffée par son crabe et la chimio qui va avec.
Ça ne l’empêchait pas d’aller picoler un pastis sur le chemin de la mairie pour récupérer sa toute neuve carte d’identité.
Même si elle avait besoin de mon bras pour ne pas trébucher.
Ou encore de vouloir aller en plein cagna (lors de la dernière canicule) à son rendez-vous sans la clim de mon « tas de boue-à-roulettes »…
Démente, parfois, ma « Môman-à-moâ-même ».
 
Que serait-elle devenue à l’occasion du confinement ?
Je me serai probablement incrusté chez elle à son corps défendant.
Elle est partie avant et toutes ses « vieilles amies » (du collège) étaient présentes pour lui rendre un dernier hommage à ses obsèques.
Quelle triste journée…
 
« Jupiter » n’est jamais qu’un homme de pouvoir pris en otage… par le pouvoir.
Il ne peut pas en décider autrement qu’entouré d’ignorants de ce qu’est le « Conard-virus » oubliant que ce sont eux qui ont conduit durant des décennies et des décennies des « politiques-comptables » qui fermaient les lits et réduisaient les effectifs hospitaliers !
Ce sont ces carences (et irresponsabilités diluées dans la « collégialité ») que nous payons tous maintenant.
« Les courbes se croisent » et comme d’habitude, ce sont les « sans nom », la piétaille qui « pue la clope et le diesel », qui en portent toute la terrible facture !
 
Denise, tu as le droit, le devoir même, de décider de mourir dans la dignité.
Ceux qui t’en empêchent, ce sont ceux-là les indignes, sans même s’en rendre compte ou seulement l’imaginer : Des « autistes ».
Il faut comprendre : Ils se prétendent « trop intelligents » pour être compris !
Ils sont nés pour ton bonheur (avec ton pognon) et ne racontent que des konneries, comme toujours (petit rappel des masques qui ne servaient à rien contre l’épidémie qui sont désormais obligatoires même chez soi quand tu reçois…)
Méritent-ils vraiment notre confiance ?
Absolument pas !
 
J’en reviens, comme pour illustrer ce propos, aux carences de l’ékole-publik face aux défis de l’ignorance salafiste et de son « non-projet » d’imposer l’islam à la Terre entière. Ils n’ont probablement jamais lu le Coran : Ils ne savent pas lire faute d’avoir pu ou voulu apprendre !
Et ils s’imposent dans nos vies par la terreur et la violence s’il le faut, au moment où Daesh est réduit à peau-de-chagrin et « recycle » ses « combattants » dans le Haut-Karabakh, alors que l’islam ce n’est pas ça du tout.
Mais ils sont si peu nombreux à l’affirmer et les contredire qu’ils sont inaudibles, aussi légers que la fumée d’une cigarette.
Quel dommage, quel bras d’honneur, quand, au même moment le « pape des papistes » parle justement de fraternité universelle !
 
Eh bien non, « François 1^er », la fraternité est bien loin puisqu’on nous fait vivre sciemment dans la peur de « l’autre », celui qui porte potentiellement le virus-tueur, celui qui est prêt à vous hacher-menu à coups de hache jusqu’à vous décapiter pour un crime imaginaire de « libre-penseur » (la dignité d’être né humain), tous ceux qui polluent et saccagent la planète pour leur plus grands profits, ceux qui vont jusqu’à exploiter des gamins (qui resteront à jamais dans l’ignorance faute d’ékole et à qui on fait croire des balivernes d’un monde meilleur dans l’au-delà) pour avoir une voiture électrique ou un aïe-phone…
 
On vit dans un monde qui marche sur la tête : Tu t’en aies peut-être rendu compte depuis le temps que tu les vois tous s’ébrouer en une multitude de contradictions.
Personnellement, ça me fâche profondément.
Mais, Denise, je suis ravi de relayer ton message et ta décision de faire comme tu le souhaites : Tu as déjà gagné mon estime et je t’envie !