Sirotent une bière en plein déconfinement…
Et Jean-Marc raconte l’histoire
de Saint-Pierre qui, après avoir reçu le mandat de faire un sondage sur la
Terre pour mieux connaître les comportements de l’homme, vient faire son
rapport à Dieu.
« – Dites-moi St-Pierre, ce que
vous avez remarqué.
– Je suis très déçu de devoir vous
apprendre de telles choses, Seigneur, mais les hommes se comportent en état de
péché.
Il y a la drogue, la boisson, les
meurtres, il y a de tout.
C’est tout comme Sodome et Gomorrhe.
Mais le pire de tout ça, c’est cette
obsession de faire l’amour oral !
Selon mon sondage, 88 % de la
population le pratique de façon régulière, même que quatre dentistes sur cinq le
recommande.
J’ai bien peur que s’en soit devenue
une épidémie.
– Hmmm, » dit Dieu songeur. « As-tu
des recommandations pour diminuer une telle perversion sexuelle ?
– Je crois que nous devrions envoyer
une missive à celui ou celle qui pratique l’amour oral.
Cette missive serait une mise en garde
de ce qui pourrait leur arriver lors du jugement dernier, s’ils ne cessent pas
ce genre d’activité sexuelle.
– C’est une excellente suggestion mais
plutôt que de punir ceux qui pratiquent cette activité, nous devrions
récompenser ceux qui ne la pratiquent pas.
Nous enverrons une missive signée de ma
propre main. »
« – Sais-tu ce que disait la
missive ?
– Non ?
– Hmmm…
Je crois que tu n’as pas reçu la
missive toi non plus… hein ? »
Puis ils persistent à philosopher :
« Tu sais, je crois que la
bisexualité double instantanément tes chances d’avoir un rendez-vous le samedi
soir. »
Et ils poursuivent :
« C’est l’histoire d’une
prostituée qui commence à prendre de l’âge à patrouiller le trottoir en
espérant un éventuel client.
Elle était nue sous son manteau
lorsqu’elle croisa un homme d’un certain âge, elle se dit, voilà ma chance.
Elle ouvre son manteau et lui demande »
:
« – Combien tu me donnes ?
– 60 ans… »
C’est l’histoire du petit chaperon
rouge va voir sa grand-mère quand, tout à coup, elle aperçoit le grand méchant
loup tapi derrière un buisson.
« Oh ! Comme vous avez de
grands yeux », lui dit-elle.
Et le loup s’enfuit sans demander son
reste…
Un peu plus loin sur son chemin, le
petit chaperon rouge voit le même loup caché derrière un arbre :
« Oh ! Comme vous avez de
grandes oreilles », lui dit-elle.
Et le loup de s’enfuit à nouveau.
Un peu intrigué par ce comportement, le
petit chaperon rouge poursuit néanmoins son chemin.
Au bout de 2 km, elle revoit le loup,
caché cette fois derrière une borne kilométrique.
« Oh ! Comme vous avez de
grandes dents », lui dit-elle.
Alors le loup se met à hurler :
« Mais tu vas me laisser chier
tranquille, oui ? »
Une religieuse meurt dans un accident.
Arrivée devant St-Pierre, ce dernier
lui dit : « Sœur Marie-Madeleine, c’est une erreur vous ne deviez pas
mourir tout de suite.
On vous renvoie sur terre, mais vous
devez me téléphoner chaque semaine pour me dire ce que vous faites. »
Marché conclu !
La première semaine la religieuse
téléphone à St-Pierre :
« Allo St-Pierre, c’est sœur Marie-Madeleine.
Je suis en Bavière, je bois de la bière
et j’en suis bien fière ».
La deuxième semaine :
« Allo Pierre ! C’est Marie-Madeleine.
Je suis en Italie, je mange du ravioli
et j’en suis ravie. »
La troisième semaine :
« Allo Pierrot ! C’est Marie-Mado
!
Je suis à Honolulu, j’ai goûté au cul,
tu me r’verras plus ! »
C’est l’histoire d’une femme qui accouche
d’un bébé métissé blanc.
Son mari, pas raciste pour un sou,
furieux, fonce automatiquement chez le curé, le seul blanc à 100 kilomètres à
la ronde…
« – Monsieur le curé, ma femme
a eu un bébé blanc, pouvez-vous me dire pourquoi ?
– T’énerves-toi pas et viens avec moi. »
Il le pousse à l’extérieur et lui dit :
« – Tu vois tous ces moutons
blancs là-bas dans le pâturage, regarde au fond là-bas, il y a un mouton noir,
toi, peux-tu me dire pourquoi ?
– Très bien, très bien monsieur le curé.
Vous ne dites rien pour le mouton noir et moi je ne dis rien pour le bébé blanc
! »
« – Papa, papa ! Quand tu
as fait ton voyage de noce, avec maman, j’étais où ?
– Bin… à l’aller, tu voyageais avec
moi, et au retour, tu voyageais avec ta mère. »
« – Quelle est la différence
entre le sexe dans le mariage et le sexe hors mariage ?
– Je ne sais pas trop…
– Le sexe dans le mariage, c’est comme
aller chez le dépanneur.
Il n’y a pas beaucoup de variété, mais
à trois heures du matin, on a l’assurance de trouver quelque chose. »
Un autobus de touristes, dans un pays
agité par une guérilla latente, se fait arrêter par un commando armé.
Le chef monte à bord, aligne le
chauffeur et hurle à ses hommes :
« Ligotez toutes les femmes et
violez les hommes ! Euh, non, non ! Ligotez les hommes et violez les femmes ! »
Et une petite voix masculine haut
perchée, du fond du bus :
« Ah ben non, alors ! Ce qui
est dit est dit ! »
Toujours Jean-Marc et Jean-Paul,
devant une nouvelle bière :
« – Sais-tu pourquoi on repêche
très peu de survivants dans les crashs d’avion en mer ?
– Non, aucune idée…
– À cause des quotas de pêche ! »
Une « revenue » :
Un biologiste fait des expériences sur
les mouches.
Il commence par lui enlever une patte,
puis il crie à la mouche :
« Vole ! »
Et la mouche s’envole.
Il lui enlève une deuxième patte et lui
crie :
« Vole ! »
Et la mouche s’envole.
Il lui enlève une troisième patte :
« Vole ! »
La mouche s’envole.
Il lui arrache les ailes :
« Vole ! »
La mouche reste là mais tourne en rond.
Le biologiste prend son carnet et note :
« Après avoir enlevé trois pattes
et les ailes de la mouche, celle-ci devient sourde et étourdie. »
Dans l’originale, il s’agissait d’un
polytechnicien faisant l’expérience avec une puce savante sauteuse : Sans
patte, elle devenait sourde…
L’animateur d’une émission radio très
sexy demande à une comédienne :
« – Est-ce vous fumez après
avoir fait l’amour ?
– Si je fume, c’est que mon partenaire
aura été trop vite ! »
Petit mot gentil de Germaine laissé sur
la table du salon à l’attention de Jean-Marc :
« Chéri,
Je rentrerai vers 19 heures et nous
ferons l’amour comme des enragés.
Si je prends un peu de retard, commence
sans moi. »
Entendu dans un orchestre symphonique,
à l’adresse d’une violoncelliste : « Mademoiselle,
Vous avez entre les jambes un
instrument qui peut donner du plaisir à des milliers de personnes.
Tout ce que vous avez à faire, c’est de
le gratter gentiment. »
Jean-Marc, Jean-Paul retrouvent
Jean-Pierre.
Bien entendu, après un temps, ils
parlent de leurs femmes.
Le premier…
« Ma femme a une taille de
guêpe et tous les soirs, je la pique. »
Le deuxième…
« Moi, ma femme a une taille de
sauterelle, et tous les soirs, je la saute. »
Le troisième…
« Eh bien moi, ma femme a une
taille d’éléphant, et tous les soirs, je la trompe… »
Un bambin voit dans la rue un chien en
train de saillir une chienne et demande à son père ce qu’ils font.
Le père, embarrassé, explique que la
chienne qui se trouve dessous ne veut pas rentrer à la niche, et que le chien
est en train de la pousser pour la ramener.
Le bambin lui répond :
« C’est comme maman hier,
heureusement qu’elle se tenait bien au lavabo, sans cela le facteur l’emmenait
à la poste. »
« – Jean-Paul, est-ce vrai que
ton père est mort ?
– J’espère bien pour lui, on l’a
enterré le mois dernier.
Tu te rends compte s’il n’était pas
mort… »
« – Connais-tu le comble de la
prudence ?
– Non, c’est quoi ?
– Garder sa ceinture de sécurité
bouclée au ciné-drive. »
Jean-Marc draguant une inconnue :
« – J’aimerais bien savoir
qu’elle sorte de femme vous êtes ?
– Désolée, je ne donne pas
d’échantillons… »
Jean-Marc fait une entrée
fracassante dans une discothèque branchée.
Non seulement il est très grand, mais
il est chaussé, en plus, de bottes à talons.
Il jette un long regard sur la salle,
avant de faire son choix sur une adorable brune, assise au bar.
Il s’approche…
« – Salut la p’tite. J’t’offre
un verre ?
– Si tu veux.
– Que veux-tu ?
– Peu importe.
– On se connaît, il me semble.
– Pas du tout. Enfin je ne crois pas.
Je ne me souviens pas de toi.
– Comment tu as oublié ?
– Ouais !
– Tu oublies que je fais 1,86 m et…
– Ça suffit ton baratin. Oublions ton
mètre quatre-vingts, si tu veux, et parlons plutôt de tes six centimètres… »
Devant une autre bière :
« – Sais-tu que parmi nos relations,
nous avons un homme de lettres.
– Ah oui ? Un auteur ?
– Non, un facteur ! »
Solutions des contrepèteries de la
semaine dernière :
« Inviter
à trousser, tout un programme… »
« Elle
s’est réveillée avec deux pouces dans le cul. »
« Oh
que voilà la belle bite ! »
Celles
proposées cette semaine à votre sagacité :
«
Le froid se glisse sous le dock et la jeune ouvrière gémit de froid … »
« L’amoral
a des qualités. »
« Je
te donne ma croûte à pâté ! »
Bon
week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon
« gardien » et « sa bibliothèque »
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