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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 7 octobre 2020

Les mortelles randonnées à vélo…

Quand tu frôles un cycliste, lui frôle la mort !

 

Bé oui, c’est une évidence ! Le code de la route te dit de passer à plus d’un mètre qu’un cycliste. Et chacun sait que le danger vient toujours de derrière quand tu roules. Toi, tu as trois rétroviseurs au volant de ton « tas-de-boue-à-roulettes », lui n’a que ses oreilles pour te détecter à son approche…

Et bien entendu, les accidents de vélo s’envolent dans les grandes villes, notamment à « Paris-sur-la-plage » malgré les excessifs et fort nombreux couloirs « provisoires » qui sont réservés à ce type de « déplacement doux » des « mobilités… douces ».

J’ai vu, quelle que part, le chiffre de 136 décès, mais je ne sais pas à quoi ça correspond… ni sur combien de temps.

Comme quoi il n’y a pas que la vitesse qui tue.

 

Et puis cette affiche collée sur les flancs des autobus qui m’a interpelé : Mais ils roulent trop vite (et j’ai la vue qui baisse – probablement les effets de l’âge avancé…), que je ne vous retrace pour que ce que j’en ai compris.

Personnellement, je trouve nos « pubeux » magnifiques pour soutenir nos déments « technocrates » qui se muent en « dictateurs-écololos » au fil du temps en tentant, une fois de plus, de vous donner une mauvaise conscience absolue de vivre sur cette planète !

 

Bé oui, la voiture, c’est devenu l’objet à abattre, quitte à foutre au chômage toute la filière des industries mécaniques déjà malmenées alors que l’industrie aéronautique, ça cousine, est assommée par les normes et le « Conard-virus ».

Et on claque des milliards (que vous n’avez pas et n’aurez jamais) en votre nom pour soutenir ces « prémourants-là ».

Inutile de vous dire que franchement, plus schizophrène, je ne sais pas si on peut faire dans la « haute-technostructure » qui vous en impose par son « pointillisme-appliquée » quasi-quotidien la « normalité » de ce « monde d’après » qui se dessine malgré vous…

 

Bon restez calmes : On ne va pas vous interdire les voitures du jour au lendemain non plus, mais on va vous tout simplement écœurer d’en avoir une !

Avec une hypocrisie formidable, il n’est pas question de vous dire pas que vous n’avez pas le droit d’avoir une voiture. On vous dégoute seulement d’en avoir une.

Je n’invente rien : Amende et répression de la sécurité routière d’un côté, et fiscalité punitive de l’autre, sans oublier au milieu de tout cela, quelques maires qui font de leur ville un enfer pour tous ceux qui ont besoin de s’y rendre en voiture.

On supprime des places de parking, on supprime des voies entières en piétonisant ou en les offrants aux vélos : La voiture est vraiment mise « hors les murs » au fil du temps pour votre plus grand bonheur…

 

Toujours schizophrène, Bercy a apposé son veto au futur « malus » sur le poids des véhicules réclamé par le ministère de la Transition écolologique. Dès lors, elle ne figure pas dans le projet de loi de Finances 2021, mais, cette future taxe devrait faire partie d’une future loi, englobant d’autres mesures alourdissant la fiscalité automobile.

La raison ? « Dans le contexte économique actuel, je ne veux aucune augmentation d’impôts et je veux protéger les emplois industriels, les usines et le pouvoir d’achat des Français », aura déclaré « Pruneau-le-Mère ».

Dont acte…

Mais il ne restera pas non plus éternellement « Sinistre de la République » !

 

Pour autant, face au veto de Bercy, « Barbarella-Pompe-à-huile », « sinistre de l’Écolologie », ne désarme pas : « Les négociations sont encore en cours », a-t-elle déclaré vendredi 25 septembre au matin sur le plateau de RMC et BFMTV, justifiant ainsi qu’il était « normal que ça ne soit pas dans le budget ».

Elle compte sur un projet de loi qui pourrait être présenté « mi-décembre » en « Conseil des Sinistres » et arriver à l’Assemblée « après le premier trimestre » 2021.

Ce sont les effets de la « Convention citoyenne pour le climat » (CCC) des « Gilets-jaunes », qui prévoyait un « malus » dont la création avait été annoncée le 11 septembre par les services du ministère de l’Écolologie aux représentants du secteur automobile, ainsi que bien d’autres mesures fiscales destinées à décourager les « Gauloisiens » d’acheter certains véhicules.

Ils vont être contents, les « Gilets-jaune », devenus vert de rage avec la fiscalité confiscatoire sur les carburants il y a un peu plus d’un an de ça…

 

Si par un heureux hasard la « sinistre-suce-nommée » avait déjà défendu cette mesure à travers un amendement au PLF l’an passé, elle l’assure : « Ma mission est de faire en sorte que ce qu’a voulu faire la Convention citoyenne trouve des résultats dans le concret ».

En somme, les automobilistes pourraient bien avoir à faire face à une volée de nouvelles taxes s’ajoutant à la hausse de celles déjà existantes. En effet, créer un « malus » sur les véhicules suivant leur poids (proposition SD-C1.2) n’est que l’une des nombreuses mesures préconisées par la fameuse Convention citoyenne pour le climat, adoptée en juin 2020, comme interdire les vols d’avions en-deçà de trois heures : Je ne sais même plus si je pourrais retourner en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » un jour. C’est une île et il n’y a pas de piste cyclable jusqu’à Bastia.

Après ça va, on roule sur les larges « bas-côtés »… mais ça « monte » tout le temps hors quelques trop courtes descentes.

 

Ainsi, afin de « faire évoluer au plus vite le parc automobile français », dans l’optique d’atteindre les objectifs tant nationaux qu’européens en matière de réduction des émissions de CO2, ce panel de 150 membres « tirés au sort, représentatifs de la diversité de la société française », dans son immense sagesse populaire, avait également suggéré de surtaxer les contrats d’assurance de ces mêmes véhicules lourds (proposition SD-C1.4), parce que ces véhicules émettent notamment « plus de particules fines lors du freinage » et « occupent davantage d’espace public » au détriment d’autres moyens de transports moins polluants, soulignaient-ils dans leur rapport.

Franchement, ils auraient dû venir faire un tour sur les boulevards parigots pour découvrir exactement l’inverse, si on admet que les autobus ne sont pas « polluants » du tout…

Parce que même « hybride », un bus, c’est deux moteurs (un thermique et un électrique pour les quelques mètres de démarrage), une grosse batterie qui alourdit l’engin et que forcément tout cela est plus massif qu’un simple vélo… frôlé !

 

J’ai ainsi découvert la rue Vaugirard équipée de pistes cyclables à double sens où même les flics sont parqués au milieu de la chaussée du côté de la rue du Général Beuret pour laisser rouler les quelques vélos qui s’aventurent sur le bitume : Magnifique en somme.

Et j’en passe, naturellement comme « réformer » le régime des indemnités kilométriques, afin que « d’ici 2030, la voiture individuelle ne soit plus le mode de transport privilégié pour les trajets domicile-travail », et ce même en milieu rural, « renforcer très fortement le malus » existant sur les émissions de CO2, en déplafonnant l’excitant, etc.

Comme par ailleurs, une nouvelle norme, WLTP (Worldwide harmonized light vehicules test procedures) entrera en vigueur au 1er mars prochain, et « augmente les valeurs des émissions de CO2 de 25 % en moyenne » par rapport à la norme NEDC (New European Driving Cycle) pour une même automobile, les pénalités continueront d’être régulièrement revues à la hausse… alors que leurs seuils de déclenchement seront revus à la baisse, vous serez donc rançonné comme au coin d’un bois à posséder (ou louer) une automobile, sachez-le.

Au rythme de 10 € facturé par kilo au-delà des 1,4 tonne, ça va faire mal au portefeuille : On va en fermer, des usines !

 

Pourtant « Kung-Fu-Panda » parlait en son temps « d’exaspération fiscale », une des quatre « exigences » retenues par son gouvernement à l’issue d’un autre exercice de démocratie participative : Le Grand débat national !

Sur ce plan, grâce à l’élargissement au poids du malus existant sur les seules émissions de CO2, Bercy s’attendait à 4,5 milliards d’euros de rentrées fiscales supplémentaire l’année prochaine, bien loin des 500 millions d’euros collectés en 2018, soit un montant « en hausse de 800 % ! », un « nonaplement »

(Ils auraient pu aller jusqu’au décuplement, un mot qui existe en francilien-natif, pas comme le précédent…)

 

Et puis il y a eu le « Conard-virus » et le délirant confinement, sauf pour les chauffeurs livreurs de denrées alimentaires et de tabac, les pilotes de bus et les facteurs…

Le confinement aura en effet été l’occasion de graver les bonnes habitudes dans le marbre : Beaucoup de mairies de grandes villes ont profité de l’occasion pour accroître massivement le nombre de pistes cyclables, et la disparition notoire d’une grosse partie des automobilistes a laissé croire que les choses allaient durablement changer en faveur des cyclistes !

Depuis, le constat ne fait plus guère de doute : Plus on met de vélos sur les routes, plus il s’en gamelle.

Mais n’oublions pas la brillante idée initiale : Nos villes ne doivent plus devenir des autoroutes à ciel ouvert, et tout devra donc être fait pour, d’une part, rendre la vie des automobilistes impossible et d’autre part, y faire le maximum de place pour les petits pédaleurs.

 

Reconnaissons au moins aux pouvoirs publics un certain succès dans cette première mission puisque circuler en voiture dans les grandes villes « Gauloisiennes » est maintenant devenu un véritable calvaire qui expliquera certainement, dans les décennies à venir, nombre de dépressions, suicides, épuisements et altercations violentes sur les trottoirs et destruction de commerces.

(On arrive au 15 octobre : Les procédures collectives vont redevenir « à guichet ouvert » et on va pouvoir compter les morts et plans-sociaux…)

Gageons même que lorsque des économistes étudieront avec attention la perte de richesse que cette idée aura entraîné, leurs conclusions seront soigneusement cachées devant la hauteur de l’outrage au bon sens et toute la misère engendrée…

D’autant qu’à force d’ajouter des vélos sur des vélos, les bouchons d’automobiles ont petit à petit fait place aux bouchons pédaliers dans lesquels il devient difficile, voire dangereux, de se déplacer : Victime de son succès, le vélo encombre maintenant une infrastructure citadine qui, malgré les ajouts assez souvent malheureux et pas trop bien conçus, reste sous-dimensionnée pour l’afflux soudain de bicycles…

 

Cyclistes dont, au passage, on mesurera assez précisément leur conversion à la religion écolologiste lorsque les jours pluie, de verglas, de neige et de froidure seront de retour cet hiver : On ira probablement « télétravailler » deuxième vague de « Conard-virus » aidant…

Il n’est même pas invraisemblable d’imaginer que la mauvaise saison arrivée, les grandes villes se dépeupleront un peu de leurs petits pédaleurs qui tenteront alors de retourner aux modes de déplacement plus traditionnels…

Pour retrouver des routes largement réduites et donc ultra-encombrées, des rames de métro collées-serrées et des RER aux performances plus que jamais aléatoires, car saturés : Bonjour la deuxième (ou troisième vague) de virulence !

 

Et dans le sillage de cette « révolution » des déplacements obligés, c’est aussi toute une gamme de nouvelles activités qui a vu le jour, à commencer par une recrudescence des vols en bande organisée, comme a récemment pu le découvrir une équipe de journalistes qui ont pisté une bécane volée attendant son départ pour Alger…

Notez que si, d’un côté, on se rassure en se disant que ces vols permettent à toute une économie parallèle de se mettre en place et à un nombre important de personnes d’en vivre, sans parler de ceux qui, à l’autre bout de la Méditerranée profiteront de l’aubaine que constitue un solide vélo Décathlon, ce sera tant mieux pour les échanges Nord-Sud !

D’un autre côté, on ne pourra s’empêcher de noter que notre équipe de journalistes a réalisé en quelques heures un travail que la police, pourtant rémunérée pour à cet effet, semble absolument incapable de réaliser.

Passons : Si les uns et les autres devaient faire correctement leur travail, comment voudriez-vous que mon pays soit ce bordel désorganisé et coûteux qui attire tant le monde entier (qui nous admire et nous envie) ?

 

On le comprend : Le vélo a envahi les rues des villes de « Gauloisie-de-la-pédale », pour le plus grand bonheur des écololos, des amoureux de la petite reine et des contempteurs de l’automobile.

Mais on notera également que ce changement profond montre de façon flagrante le décalage de plus en plus pervers entre une petite partie de la population, qui a les moyens de ses ambitions décroissantes et limitatives, qui peut se permettre de pédaler sans être trop chargé pour aller d’un endroit à un autre exclusivement en ville, pas trop éloigné, et une population qui n’a aucun de ces « luxes », et doit absolument composer à la fois avec la taxation, les restrictions et les vexations ci-avant esquissées en constante augmentation sur les véhicules motorisés et sur l’impact négatif et grandissant de la première population, pourtant largement minoritaire, sur sa qualité de vie.

Comme, de façon intéressante, la première de ces deux populations vit essentiellement du travail, de la disponibilité et du pouvoir d’achat de la seconde, on comprend, très vite et intuitivement, que ce mouvement général ne pourra pas continuer éternellement, ou en tout cas pas dans ces termes.

 

À un moment donné, à force de taxes, de bouchons et d’emmerdes invraisemblables, on va arriver à l’épuisement complet des seconds au détriment des premiers.

Au paroxysme, nous aurons tout plein de cyclistes, mais ils seront tous chômeurs.

C’est parti pour ce délire prévisible.

Ça plus l’interdiction des arbres morts, il n’est pas étonnant que les « écololos » vont se prendre des claques aux prochaines échéances électorales, les dernières sénatoriales n’étant que le miroir des dernières municipales qui aura été comme un « feu de paille ».

En tout cas, c’est ce qu’annonce les récents sondages d’opinion.

Notez, comme ils se trompent tout le temps, probablement sciemment, ce n’est pas bien grave…

 

Mais, de mon point de vue, c’est tout de même dommage que la « gôche-écololo » ne sache pas, n’ait pas pu depuis tant d’années, devenir intelligente, mais ait pu se transformer en mouvement « d’emmerdeurs-patentés » alors qu’il paraît que l’urgence est à nos portes…

Pour ma part, je n’en démords pas, l’urgence est ailleurs : Si nous en sommes là à scier l’avenir de la planète, c’est que nous avons laissé faire d’autres potentats silencieux qui se régalent à avoir déstructuré nos vies dans un laisser-faire « pseudo-libertaire » qui conduit lentement mais sûrement à la réduction de nos Libertés.

Et les uns et les autres s’épaulent mutuellement dans le même mouvement, peut-être sans le savoir, pour générer toutes ces destructions affligeantes.

Là, je n’en démords pas tellement ça devient criant !

 

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