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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 11 octobre 2020

Je suis certain que vous l’ignorassiez !

Non pas qu’il y ait des chercheurs qui trouvent

 

Mais que nos agriculteurs vont devenir « peintres en bestiaux » !

Figurez-vous que des « trouveurs » se sont demandés pourquoi les zèbres avaient des rayures naturelles sur le pelage.

Tout le monde sait en revanche que la fonction des rayures du zèbre a fait déjà l’objet de multiples spéculations scientifiques restées jusqu’ici indémontrées.

 

Certains ont mis en avant une technique de camouflage pour se dissimuler dans les hautes herbes ou perturber la vision des prédateurs.

D’autres affirment que ces rayures agissent comme d’un rôle de reconnaissance sociale, ou encore comme un moyen de dissiper la chaleur et de réguler leur température.

Mais l’hypothèse « tenant la corde » est celle de la protection contre les attaques d’insectes et de parasites.

 

Au moins trois études sont venues appuyer cette dernière théorie.

Et puis en février 2019 (avant confinement donc), une équipe menée par Tim Caro a montré que les rayures noires et blanches agissent comme une illusion d’optique chez les taons et les mouches tsé-tsé en modifiant la polarisation de la lumière !

Le chercheur a confirmé son postulat en peignant des chevaux en noir et blanc et constaté que ces derniers étaient moins piqués par les insectes.

 

Partant de ce principe, d’autres chercheurs japonais ont voulu savoir si « l’astuce » pouvait être appliquée aux vaches, particulièrement touchées par les piqûres de mouches.

Non seulement ces dernières peuvent transmettre des maladies, mais elles affectent le comportement des troupeaux, réduisant le temps de pâturage, d’alimentation et de couchage du bétail.

« Les mouches augmentent aussi la tendance du bétail à se regrouper, ce qui génère un stress dû à la chaleur et accroît le risque de blessure, car les animaux se bousculent pour trouver une meilleure position afin d’éviter les piqûres », rappellent les auteurs dans leur étude publiée dans la revue « Plos One ».

Finalement, la mouche engendre des bovins moins gros pour la boucherie et une baisse de production chez les vaches laitières.

Un drame pour la paysannerie d’élevage.

 

Pour leur expérience, les chercheurs ont comparé le comportement des mouches sur des vaches brunes : L’une avec un pelage normal, une deuxième avec des rayures noires, et la troisième avec des rayures noires et blanches comme celles d’un zèbre.

Les résultats sont allés au-delà de leurs espérances : La vache zébrée est en moyenne deux fois moins piquée que ses homologues uniformes !

De plus, les comportements anti-mouches des bovins (coups de queue, secouement de la tête…) sont 20 % moins fréquents chez la vache rayée bicolore.

CQFD…

 

La question qui vient à l’esprit est de savoir si les tâches noires & blanches de nos bovins normands et autres jersiaises, cotentines ou augeronnes, ont le même effet sur les mouches de la région.

Mais aucun nippon n’est venu en faire l’étude.

Et puis des rayures sur des tâches… c’est d’un mauvais goût absolu.

Les rayures quand elles sont verticales, c’est amincissant ; les tâches, c’est boudinant…

 

Pour ces « chercheurs-trouveurs », cette méthode pourrait constituer une alternative aux insecticides chimiques habituellement utilisés dans les élevages.

D’autant plus que les mouches deviennent rapidement résistantes à ces pesticides, notent-ils.

Et puis ce n’est pas très « écololo-bobo »…

D’un autre côté, évidemment, peindre une vache exige un peu de temps.

Mais tout de même moins que de peigner une girafe.

 

Pour leur expérience, cela a nécessité environ 5 minutes par vache, la peinture s’effaçant au bout de quelques jours.

Mais après tout, des marquages sont déjà utilisés dans certains troupeaux pour reconnaître les individus à distance (au lieu de les marquer au fer rouge).

On leur achète même des boucles d’oreille en plastique de couleur différente pour les rendre belle comme un arbre de Noël, coquettes qu’elles sont !

« Il faudrait développer des peintures persistant le temps de la saison des mouches, soit 3 à 4 mois », suggèrent alors nos « trouveurs ».

Et faire prendre des cours de peinture aux agriculteurs.

 

Conclusion : Peindre des rayures de zèbre sur les vaches les protège des mouches.

Personnellement, je m’inquiète plus des moustiques estivaux…

Ce n’est pas qu’ils me fassent maigrir pour cause d’assauts intempestifs (d’autant que j’ai un épiderme anti-moustique), mais je me vois bien peindre des rayures noires et blanches sur tout leur corps pour protéger « ma nichée »…

Parce que la badigeonner de citronnelle ou de vinaigre avant de l’envoyer se coucher, ça n’a jamais bien fonctionné.

Et les sprays anti-moustiques sont polluants et « agressifs » à vous coller parfois des « maux de cheveux » jusqu’à mâtines.

Alors que le « maquillage » zébré, ça a un côté festif qui rendrait la chose ludique…

 

Une bonne idée, non ?

Merci aux Nippons : Ce n’est pas chez nous qu’on aurait pu compter sur des « trouveurs » de cette qualité-là…

 

Bonne fin de week-end à tous et à toutes.

 

I3

 

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