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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 19 octobre 2020

Le « monde d’après » résulte finalement de la pandémie du « Conard-virus »

On ne sait pas encore tout de ce qui va se passer,

 

Mais déjà on analyse que nos quotidiens ne seront probablement plus jamais les mêmes qu’avant : La « grippette » est trop longue pour ne pas laisser de traces durables.

Trop longue, trop « anxiogène », trop mal gérée et trop contraignante pour ne faire que passer comme si de rien n’avait été.

Bien sûr, elle aura encore et durant plusieurs mois des conséquences économiques et sociales imprévues (l’intendance et l’hélicoptère-monétaire), mais il ne s’agit pas seulement de ça.

Déjà vous avez changé votre façon de travailler, de vous déplacer, de vous amuser, de vous distraire, de manger et boire, de faire la fête avec vos amis et connaissances, de vivre.

Et ça se voit.

 

C’est manifeste, votre « production de valeur ajoutée » change de nature : Vous n’êtes plus obligé d’être en permanence à votre poste de travail. Le « présentiel » va devenir tôt ou tard l’exception.

Déjà je participe à des réunions via des applications internet et j’enregistre mes cours en vidéo, au moins pour la partie « magistrale ». Notez que la Sorbonne n’est pas très loin de chez moâ, mais « ça monte » pour y aller, ce qui me fatigue.

Soit je prends le bus pour user des équipements mis à ma disposition sur place dans une des salles désertées, soit j’organise un « gros-Zoom » pour répondre aux interrogations des étudiants (qui restent actifs derrière de chez eux).

 

Ils en ont fait l’essai grandeur nature avec les profs d’ékole durant 55 jours.

Mais ça manque de chaleur. L’avantage c’est que je n’ai plus de buée sur les verres de mes binocles pour cause de masque…

Et c’est épuisant pour les générations habituées à se retrouver quotidiennement dans des locaux dédiés et « couper les ponts » passées les portes de leur établissement, sauf que les élèves avaient suivis leurs parents dans leur exil campagnard : À quoi serviront donc les bâtiments des ékoles municipales ?

À accueillir des SDF ? À s’assurer des bureaux de vote propres ou seulement à faire passer des examens non frauduleux ? Quoique… à quoi servent les examens et concours remplacés par des quizz et du contrôle continu ?

Pourquoi les placer là et pas ailleurs ? Pourquoi ne pas libérer les inscriptions d’un bout à l’autre du pays, que chacun ait le choix de son prof (ou gourou), là où « Jupiter » veut mettre les gamins de trois ans en classe ?

 

Et attention, ces nouvelles façons de « produire » vont se généraliser : À part le mek qui appuie sur le bouton « on » le matin (et « off » le soir), de plus en plus de tâches seront exécutées par des « robots » et/ou des algorithmes dans les années à venir !

On n’aura plus qu’à contrôler la qualité de leur travail, ce qui va finir par être « emmerdant », parce qu’un robot, ça ne se trompe jamais…

Même le ramassage des ordures ménagères, il ne faut pas rêver (faites donc un tour au moins à Barcelone : Il ne leur manque plus que de remplacer le chauffeur…) sera adapté !

Les métros automatiques existent déjà, demain les bus, autocars, trains, taxis, les avions et navires n’auront plus à leur bord qu’un « contrôleur » : Déjà les voitures modernes tournent toute seule le volant mais exigent que vous ayez les mains dessus pour le faire (le contrôle… exigé par le code de la route où le « contrôleur-conducteur » se fait contrôler par la machine…) !

Inutile de vous dire que, demain votre vie va s’appauvrir en surprises à gérer…

Vous serez moins talentueux. Mais l’avez-vous déjà été ?

 

Le « présentiel » sera réduit à la part congrue, jusque dans les hôpitaux, les salles de théâtre et de concert : On opère déjà les patients par télé-magie et le cinéma, avec toutes les possibilités de « mises en scénographie » de découpage qui n’existent pas ailleurs, qui a été inventé depuis bien longtemps, a déjà pris une place incontournable au « spectacle-vivant »…

Et puis c’est plus commode : On peut mettre sur « pause » pour aller en fumer une ou se verser un gorgeon de liqueur !

 

La chute de la consommation physique ajoutée à la montée en puissance du commerce électronique pendant le confinement et à la crise économique sans précédent provoquée par la pandémie font d’ailleurs craindre à certains observateurs un violent vent contraire sur l’immobilier commercial, mais également sur l’immobilier de résidence.

Donc demain, et par voie de conséquence, également sur les infrastructures dont certaines vont devenir obsolètes, surdimensionnées, alors que d’autres feront cruellement défaut, car vos déplacements ne seront plus les mêmes.

 

Pour aller plus loin, ne nous laissons pas tenter par les généralités sur cet immobilier « tertiaire » composé de nombreuses sous-classes d’actifs, évoluant chacune grâce des facteurs bien spécifiques.

Soutenu par des tendances structurelles que la crise actuelle ne remettra pas en cause tout de suite le commerce de cœur de ville dans les métropoles et villes dynamiques, car il est et restera, porteur malgré un probable et large ralentissement temporaire : Les robots viendront vous livrer depuis votre commande passée derrière votre écran.

L’attractivité des murs de commerce de cœur de centre-ville est soutenue depuis plusieurs années par une série de catalyseurs, certains reposant sur des tendances structurelles.

D’autres contraintes, logistiques pour l’essentiel mais aussi les coûts et nuisances engendrées, les empêchent, comme toujours, de prospérer, cantonnés sur leur « niche géographique ».

 

Je vous le dis depuis des années : Demain, il n’y aura que trois types d’activité.

L’activité de proximité, dont la fonction publique ; les grosses boutiques régionales ou nationales qui assumeront l’effort industriel ; et quelques « perles » à haute valeur ajoutée.

Ces dernières peuvent décamper avec armes et bagages du jour au lendemain : Il faut les bichonner parce qu’elles font payer leur existence au reste du monde.

Les secondes supportent la quasi-intégralité du prix de la fonction publique à travers les coûts mis à sa charge mais aussi sur le dos de leurs « laborieux » et ont déjà délocalisé l’essentiel dès que possible.

La première pourrait être la seule – mais j’y crois moins – à supporter le coût de la fonction publique qui participe au lien social (ou ce qu’il en reste) : Elle subsistera.

 

Les flux démographiques vers les grandes villes, le vieillissement de la population mais également l’évolution rapide des territoires, avec, d’un côté, la dévitalisation de nombreuses villes moyennes, mais de l’autre, le renforcement des grandes métropoles, dirigent toujours plus de personnes, et donc de consommateurs, vers les cœurs de centre-ville des grandes villes dynamiques nationales et européennes.

Mais à cette tendance lourde s’ajoute un besoin croissant de « proximité ».

Le commerce, les services, l’artisanat, l’accès aux soins…

La ville « idéale » – c’est déjà à l’étude – c’est « tout à dix minutes à pied », du coiffeur au boulanger en passant par tous les services du quotidien. Ce sont de plus vastes logements, avec vue dégagée et balcon en plein-air pour les « happy-few ».

 

D’un autre côté, le renchérissement du coût du transport, les difficultés de circulation, de stationnement et le développement d’une « conscience écolologique » incitent de plus en plus de citadins à délaisser la voiture pour faire leurs courses.

Cette recherche de proximité est également alimentée par de nouvelles aspirations, notamment de la part des « Milléniaux » et des générations suivantes, pour une consommation plus locale, plus qualitative, plus saine et moins énergivore, voire « à énergie positive ».

Des objectifs parfois contradictoires.

 

Ces jeunes générations n’hésitent pas non plus à reporter une partie de leurs dépenses sur les loisirs, la restauration mais aussi les services et les soins à la personne.

Or, ces offres sont souvent non « délocalisables » et prospèrent dans les cœurs de centre-ville des grandes métropoles.

 

Alors que les citadins étaient déjà prêts, avant la pandémie, à payer plus chers des biens et services accessibles à quelques rues de leur domicile, la valeur « proximité » n’a été que renforcée par le confinement.

Strictement limités dans leurs déplacements durant 55 jours, avec la seule possibilité de réaliser des achats dits « essentiels » (picole, bouffe et tabac), la très grande majorité des citadins a systématiquement privilégié les commerces ouverts près de chez eux.

Lors des premières semaines d’un déconfinement très progressif, ce sont aussi les commerces de proximité qui ont été plébiscités pour solliciter des services auxquels la population n’avait plus accès.

Depuis, ce sont également les commerces de cœur de centre-ville, facilement accessibles, qui profitent le plus du redémarrage de la consommation.

 

D’autres facteurs participent bien entendu à l’attractivité des commerces de cœur de ville.

Le rôle du tourisme, traditionnel catalyseur de la consommation en « Gauloisie-prospère », ne doit pas non plus être occulté. Bien sûr, la pandémie actuelle a brutalement stoppé la venue des touristes étrangers avec des conséquences non négligeables pour les commerces des grandes villes touristiques : Il en a manqué plus de 30 millions.

D’un autre côté, les autochtones sont majoritairement restés dans l’Hexagone cet été et ont donc pu partiellement combler ce manque à gagner. Il en sera tout autant pour les vacances de la Toussaint et probablement de Noël.

Sauf à se dépayser totalement et « vivre comme avant » le plus loin possible tant que ce sera possible, au soleil et au bord de la mer, ou à l’air-pur des altitudes…

Partiellement seulement : Le secteur touristique est à l’agonie.

Après le coup d’arrêt de 2020 et un probable lent redressement l’année prochaine, les flux touristiques devraient reprendre, au moins en Europe, et l’attractivité touristique de la « Gauloisie-du-bien-vivre » ne pas se démentir, peut-on espérer.

Personnellement, je n’en suis pas certain : Il va falloir attendre de longs mois pour retrouver un étiage assurant la survie de ce secteur-là de l’économie.

 

Le commerce est en principe un secteur très dynamique et créatif.

Chaque année apparaissent, le plus souvent dans les cœurs de centre-ville, de nouvelles enseignes, de nouveaux concepts, de nouveaux formats qui démontrent une capacité de renouvellement permanent.

Mais dans les « mêmes murs »… qui sont par nature plutôt rares.

La période de confinement a également témoigné de cette créativité : De nombreux commerçants indépendants ont redoublé d’idées et d’énergie pour apporter des solutions à leurs clients et continuer à les servir. Livraisons, drive piéton, horaires adaptés, restauration à emporter ou livrée… autant de « nouveaux » services qui ont permis de limiter la chute des chiffres d’affaires.

Avec le « couvre-feu » instauré pour quelques 20 millions de « Gauloisiens-semi-confinés », on va en revenir au « tea-time » des brexiters : Leur « 5 à 7 » à eux avant de rentrer dormir sur le canapé devant la télé de 21 heures à 6 heures.

Dure révolution des mœurs à assumer, surtout si ça se prolonge en 2021…

 

Cette réactivité face à une situation inédite a bien sûr pu être déployée d’autant plus facilement que ces commerces disposaient déjà d’un site internet et d’outils digitaux.

La crise sanitaire a ainsi mis en lumière la complémentarité stratégique, qui ne fait que croître depuis plusieurs années, entre les commerces physique et digital ainsi que la nécessité d’une distribution multicanale.

La « cousine » Marie-Jo et son frère Jean-Ba, sur le boulevard Wilson à Calvi (Balagne – « Corsica-Bella-Tchi-Tchi »), n’ont jamais fait autant d’affaires que durant le confinement : Un téléphone et une petite camionnette, ils ont pu ravitailler des clients qui ne sortaient plus de chez eux…

Sur mon boulevard « parigot », l’agriculteur du Vexin donnait RDV sur le trottoir avec votre commande préparée la veille et son camion…

Il est intéressant, à ce titre, de souligner que pendant le confinement, le taux de croissance des ventes en ligne a été de 100 % pour les enseignes traditionnelles ayant pignon sur rue (un doublement), contre 15 % pour les « pure-players » de l’e-commerce…

 

Loin d’être un point de rupture, la crise actuelle devrait là encore renforcer une tendance déjà en place : Le développement dans les cœurs de ville des grandes métropoles de magasins connectés comme nouvelle vitrine des enseignes, y compris des « pure-players » internet qui cherchent désormais, quel paradoxe, des emplacements physiques comme relais de croissance.

Avec la montée en puissance des réseaux sociaux, de l’utilisation des smartphones et du recours à la géolocalisation, les commerces physiques de centre-ville s’emparent aussi des outils numériques de fidélisation, et ce à la lumière des nouvelles habitudes de consommation.

 

Si toutes ces tendances constituent de puissants facteurs de soutien pour les murs de commerce de cœur de ville, il n’en reste pas moins que l’attractivité de ces zones doit être garantie, voire renforcée, par des aménagements adaptés, sans ça les boutiques fermeront.

Accessibilité optimisée pour toutes les formes de mobilité et un confort d’usage, un réseau mobile efficace pour utiliser les outils digitaux, des espaces publics de qualité aménagés autour d’un paysage urbain harmonieux, un maillage de commerces offrant une densité et mixité d’offres adaptées à l’évolution des modes de vie et à l’émergence de nouveaux besoins… autant de critères à combiner pour promouvoir de véritables « parcours client », y compris expérientiels, et ainsi assurer la pérennité des murs commerciaux en cœur de centre-ville.

Retour aux « circuits-longs » de la distribution…

 

Ces tendances de fonds vont donc continuer à dessiner les villes de demain.

Achetés avec discipline et discernement, les murs de commerce situés dans les principales artères au cœur des métropoles dynamiques, sortiront renforcés de la crise actuelle et resteront porteurs au sein de la galaxie de l’immobilier commercial.

En revanche, les « mégastores » et centres commerciaux laissés en périphérie, pour lesquels les réseaux routiers ont été adaptés (la ville à la campagne, et non pas la campagne à la ville) vont devoir se réinventer pour éviter l’effondrement.

Moins de déplacements entraine moins de client.

Pour vendre, il ne suffira plus d’être « attractif » (par la taille et les prix), la profondeur de gamme étant assurée par l’Internet et les magasins « virtuels » : Il faudra livrer dans des conditions acceptables.

Amazon l’a bien anticipé là où la VPC s’est fait doubler faute de logistique adaptée.

Une erreur de stratégie de la Poste que j’avais déjà identifiée il y a bien deux décennies de ça… avec pourtant des solutions « clé en main »…

Ils avaient les moyens, humains, technologiques et fonciers, mais ils préféraient alors « faire banquier »… C’était plus flatteur pour leurs « énârques » de dirigeants.

 

Le plus difficile, ça restera l’immobilier de bureau. Les « méga-sièges » (et les réseaux routiers qui vont avec), avec le télétravail les téléréunions et les nouveaux débits offerts par la 5G et la téléphonie mobile en générale, vont probablement transformer en friche bien des tours qui affrontent en plus leur remises aux normes du moment.

Par exemple, la Tour Montparnasse va devoir être vidée pour achever son désamiantage. C’est autant de salariés qui ne sillonneront plus les lieux de restauration alentours, les commerces du centre commercial adjoint, la gare du même nom et les 4 stations de métros.

Retiendra-t-on encore longtemps les nombreuses lignes du bus qui tournent autour ?

Car la plupart des entreprises qui y logeaient ne reviendront pas.

 

De toute façon, et jusque dans les quartiers d’affaires de périphérie ou de centre-ville, la chasse au mètre-carré devenu inutile a déjà commencé…

Vous rendez-vous compte de ce que ça représente comme trajets quotidiens qui au mieux devront se déplacer vers d’autres destinations, au pire qui vont disparaître ?

Avec un ricochet direct sur les commerces de proximité alentour et l’exode à prévoir de salariés contraints de suivre leur employeur.

Sauf à accepter d’être déclassé au rayon « chômage & rebut »…

 

Ce qui veut dire à termes des classes fermées, des ékoles à reconvertir, une génération de professeurs et instituteurs emportée par le mouvement, des facultés aux bâtiments surdimensionnés pour une fréquentation « en présentiel » réduite à sa plus simple expression (un écran et un clavier suffiront), hors les jours d’examen écrits (et oraux).

Les Moocs ont de l’avenir, mais acquérir le « tour de main » devant une machine, un tour, un pont levant ou un four, ça va finir par manquer dans bien des métiers.

Parce que pour livrer, s’il faudra encore des « chauffeurs-livreurs-ripeurs », des pompistes et les camions resteront indispensables. Or, ça mérite d’être entretenu et réparé…

 

En matière immobilière, l’avenir est donc aux plateformes (une façon de reconvertir les centres commerciaux désertés) et aux habitations sommaires type HLM amélioré (avec balcon et vue dégagée), construites aux nouvelles normes de mobilité et de commodité (« écolologique »), à proximité des lieux de labeur « matériel » restés inconciliables avec le télétravail.

Il n’y en a pas beaucoup, ni « à la campagne » et encore moins en centre-ville.

 

Finalement vous vous déplacerez forcément moins et plus rarement. Les activités culturelles « de masse », ludiques et touristiques vont en souffrir durablement puisque vous vous contenterez d’y participer par l’intermédiaire de vos écrans…

Vos stades, parfois gigantesques et flambants neufs, resteront donc vides.

Au moins autant que les églises ou les synagogues.

Vos piscines, patinoires devenues inutiles parce que contingentées, finiront par abriter des SDF aux mauvais jours et les sinistrés des catastrophes naturelles qui progressent.

Ça soulagera les salles de fêtes municipales et les casernes de pompier désaffectées !

 

En bref, soyons clairs, le « Conard-virus », qu’il y ait un jour ou l’autre un vaccin ou non, aura durablement changé votre vie : Elle ne sera plus jamais « comme avant » !

C’est le triomphe du « monde d’après », même si on ne l’avait pas vu comme ça…

Ou alors seulement comme de pâles répliques.

De toute façon, si vous n’avez pas compris cet avenir-là, ne vous en faites pas, on vous collera bien une autre bactérie nouvelle très vilaine, ou un autre virus bien dégueulasse.

Figurez-vous que, pour votre bonheur, c’est dans l’agenda des « maîtres du monde » que de vous confiner au strict minimum tellement vous dégueulassiez la belle planète-bleue sans retenue, jusque-là.

Le « Conard-virus » aura été un « coup d’essai inespéré » qui a démontré que c’était possible partout sur la planète, à condition d’avoir un pouvoir politique assez fort pour vous y contraindre !

 

C’était finalement la leçon qu’aura tenté de vous faire passer « Jupiter » la semaine dernière en « descendant dans l’arène », tout en « sauvant les apparences » d’une démocratie active et… démocratique.

Il aura parfaitement réussi cette étape qui cache une « fine-impréparation » (à la « seconde-vague ») ciselée au « petits-oignons ».

C’est splendide, finalement : Ils sont vraiment très forts ! 

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