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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 16 octobre 2020

La tournée de la semaine

Le « Conard-virus » circule toujours

 

Alors un gars de la ville, qui plus est sans travail et sans argent, va se réfugier à la campagne où il cherche refuge et nourriture le temps que la dèche le lâche un peu.

En arrivant dans une ferme, où bien sûr il demande abri et de quoi se remplir le ventre, un fermier l’accueille.

« – Je te loge et te nourris, mais tu travailleras pour ta pitance.

Autre chose de très important, j’ai deux filles, et si tu touches l’une d’entre elles, tu es mort !

– Entendu et merci infiniment pour votre gentillesse. »

Repu, il va dormir à la grange.

À la première heure le fermier va le chercher et l’amène aux champs.

Voyant les chaussures de notre citadin, le fermier n’en revient pas.

« Tu ne pourras jamais travailler avec ce genre de godasses ! Va donc dans la chambre des filles, dans l’armoire tu trouveras des bottes. Mets-les et reviens vite. »

En arrivant dans la chambre, et voyant les belles à demi vêtues et encore endormies, il ne peut résister et entreprends de flatter la chair de la première des filles.

N’ayant reçu pour ainsi dire pas de résistance avec la première, il ose entreprendre la deuxième.

Malheur, celle-ci se met à crier :

« – Tu ne peux pas faire cela mon père va te tuer !

– Mais non, c’est lui qui m’envoie, tu vas voir. »

Il va à la fenêtre, l’ouvre et crie :

« – Hé, le père, je les mets toutes les deux ?

Bien sûr, couillon ! »

 

Parole de philosophe :

« La personne qui peut dire que tous ces problèmes sont derrière lui est sûrement chauffeur de bus scolaire ! »

 

À la clinique, le docteur examine la jambe d’un malade qui a eu un accident de moto :

« – Ce n’est rien », déclare le médecin. « Dans une semaine vous pourrez danser le rock !

– Ça, c’est un miracle, docteur, parce qu’avant mon accident, je ne savais pas du tout danser ! »

 

Deux filles au bar, après le bureau :

« – Sais-tu, je n’avais jamais remarqué combien les vieux sont souvent malades. Non, mais c’est vraiment intolérable…

– Bah, c’est triste… mais d’un côté, ça les occupe. Ils ne parlent que de leurs maladies. C’est probablement important.

– Ouachhhh. C’est déprimant. »

 

Jean-Marc, philosophe à son tour devant une bière, en plein déconfinement, à l’adresse de Jean-Paul :

« Tu sais, l’immense avantage d’être une femme, c’est qu’on n’est pas obligée d’en avoir une. »

 

La directrice d’une compagnie de taxis reçoit un candidat :

« – Je veux bien vous prendre comme chauffeur si vous avez de bonnes références.

– J’ai conduit plus de vingt-cinq ans sans aucune réclamation des clients !

– Où étiez-vous employé ?

– Aux pompes funèbres, service des corbillards ! »

 

Un prof de fac vient de terminer son cours :

« – Avez-vous des questions ?

– Oui, si mon parachute ne s’ouvre pas et que le parachute de réserve ne s’ouvre pas non plus, j’ai combien de temps avant d’arriver au sol ?

– Très longtemps : Tout le reste de votre vie ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul, déconfinant devant une nouvelle bière :

« – Tu connais le comble de la paresse ?

– Faire la sieste avant d’aller dormir ?

– Non !

– C’est quoi alors ?

– Une vieille femme qui ne fait pas son âge ! »

 

De Jean-Paul (qui a de la réplique) à Jean-Marc :

« – Et sais-tu quel est toujours le chemin le plus court du point A au point B ?

– Oh oui ! Ne pas y aller… »

 

Dans une boutique d’animaux, un promeneur est en extase devant une cage où sont enfermés deux serins.

L’un, a un magnifique plumage et siffle merveilleusement tandis que le second, terne et pelé se tient timidement dans un coin.

« – Combien ce bel oiseau chanteur ? » demande le monsieur.

« – Je vends les deux ensemble pour 200 € », fait le marchand.

« – Mais », s’écrie le client, « c’est uniquement le chanteur qui m’intéresse. Vous ne pouvez pas me le vendre seul ?

– Impossible, monsieur », répond le marchand. L’autre, là dans le coin, c’est le compositeur. »

 

Le fils de Jean-Marc annonce à son père :

« – J’ai découvert que maman est une fée !

– C’est bien gentil de ta part, ça. Et pourquoi penses-tu que maman est une fée ?

– C’est pépé qui m’a dit qu’elle te fait marcher à la baguette ! »

 

Un nouveau facteur hésite à pénétrer dans le jardin d’un pavillon de banlieue défendu par un effrayant bulldog.

« – Ne craignez rien », lui lance Jean-Marc, le propriétaire de l’animal. « Je l’ai fait couper.

– Mais… », fait le jeune facteur, « la seule chose dont j’ai peur, c’est d’être mordu. »

 

Jean-Marc, déconfinant, à Jean-Paul :

« – Je me dresse, je couvre ma maîtresse, puis je me replis et je pisse.

Qui suis-je ?

– Euh… ch’ais pas !

– Un parapluie, banane ! »

 

Comme quoi Jean-Marc ne vieillit pas, il est simplement en train mûrir à la perfection !

 

Cendrillon, Quasimodo, Einstein et Don Juan discutent à propos de la personne la plus remarquable de l’univers.

Cendrillon : « C’est moi, la personne la plus remarquable de l’univers, car je suis la plus belle femme au monde. »

Einstein : « Oui, mais moi, je suis l’homme le plus intelligent du monde. »

Quasimodo : « Mais moi, je vous surpasse, car je suis l’homme le plus vilain au monde. »

Don Juan : « Peut-être, mais moi, je suis le plus grand niqueur de la planète. » La conversation dure, et chacun reste sur ses positions.

Finalement, Einstein a une idée :

« Allons voir Merlin l’enchanteur, et lui pourra nous dire qui est la personne la plus remarquable. »

Arrivés chez Merlin, celui-ci leur dit :

« Je vais vous recevoir chacun son tour en tête à tête, puis je vous donnerai ma décision. » Cendrillon entre donc la première et ressort 10 minutes plus tard. Tous :

« – Alors ? C’est toi la plus belle ?

– Oui, il m’a confirmé que je suis bien la plus belle femme au monde. »

Viens le tour d’Einstein. Il revient après 10 minutes, souriant.

Tous : « – Alors ? C’est bien toi le plus intelligent ?

– En effet, il m’a confirmé que je suis bien l’homme le plus intelligent. »

Entre ensuite Quasimodo, qui lui aussi revient au bout de 10 minutes.

« – Alors, tu es le plus vilain ?

– Merlin a été formel, je suis bel et bien l’homme le plus laid, le plus vilain, au monde. »

Viens finalement le tour de Don Juan, qui entre, mais qui tarde à revenir. 30 minutes passent, 45 minutes, 1 heure.

Au bout de deux heures, il revient enfin, en pleurs. Tous :

« Alors ? C’est bien toi le plus grand niqueur au monde ? »

Et Don Juan, de répondre, toujours en pleurs :

« Vous connaissez, vous, un gars qui s’appelle Jean-Marc ? »

 

Un ivrogne, tenant à peine sur ses jambes, s’affale sur le comptoir d’un bar.

Le seul autre client, également en état d’ébriété assez avancé, lui tape sur l’épaule…

« – Eh l’ami, de quelle ville es-tu ?

– Je viens de Trifouillis-les oies… Et à Trifouillis-les-oies, on sait boire !

– Pas vrai ? Sais-tu que moi aussi je suis de Trifouillis-les-oies ? Et quel âge as-tu ?

– Je suis né le 15 mai 64 !

– Pas possible ? Moi aussi, 15 mai 64 !

Eh l’ami, à quelle école as-tu été quand tu étais petit ?

– À l’école Sainte Gudule de Trifouillis-les-oies. Ne me dis pas que toi aussi ?

– Eh ben si, figure-toi ! Sainte Gudule à Trifouillis-les-oies aussi, » précise l’autre qui commande une tournée générale en l’honneur de son nouveau copain.

À ce moment-là, Jean-Marc, un habitué entre dans le bar et dit au barman :

« – Alors quoi de neuf patron ?

– Pas grand-chose. Les jumeaux sont encore paquetés comme d’habitude. »

 

Un grand patron fait visiter une des usines de la famille à son jeune fils âgé de 12 ans :

« Tu vois tout ça, fiston, un jour ça appartiendra un jour à tes ex femmes ! »

 

Jean-Marc, gamin rentre à la maison en traînant au bout d’une ligne, un minuscule requin qu’il a attrapé.

« – Maman, regarde ce que j’ai pêché !

– Mais il est énorme » s’extasie la mère !

« – Beuh, ce n’est rien. Tu aurais dû voir celui qui a bouffé Marie-Caroline.

– Qwaaaouuuuuu !!!!!????? »

 

Un élève très peu doué qui, en plus, ne jouit pas d’un entourage familial solide, répond toujours grossièrement en classe.

C’est une vraie peste, détestable !

Hier, irrité par une remarque désobligeante et déplacée, le prof lui dit :

« – Dommage que je ne sois pas ton père car…

– Ça peut s’arranger ! Tu sais, le gros, ma mère vient de jeter son mec… »

 

Jean-Paul se présente chez son pharmacien et demande :

« J’aimerais avoir du sexatif. »

Le pharmacien le regarde d’un œil interrogateur…

« – Vous voulez dire du laxatif ?

– Non, non, c’est bien du sexatif que je veux. J’veux pas quelque chose pour ALLER, j’veux quelque chose pour VENIR. »

 

À force de vivre dans l’isolement d’un monastère, ces deux moines éprouvent un certain penchant l’un pour l’autre.

Une nuit, leur supérieur les surprend dans le même lit.

« – Mais, vous rendez-vous compte de ce que vous faites ?

– Rien qui soit contraire au principe de la charité chrétienne, mon frère, puisque chacun de nous deux ne fait à l’autre que ce qu’il aime bien que l’autre lui fasse », répond l’un des moines.

 

Mosché et Samuel demandent une audience au pape.

Ils ont de très hautes relations, et même s’ils sont de confession juive, le pape accepte de les rencontrer.

Une fois en présence du pape, les deux hommes sortent d’un grand porte-documents en cuir, une gravure représentant un groupe d’hommes entrain de festoyer autour d’une table.

« – Cela vous dit quelque chose ? » demande Mosché.

« – Mais oui. C’est la dernière Cène, avec le Christ et ses apôtres, dont mon prédécesseur, Saint-Pierre.

– Ah bon ! Votre prédécesseur était de la partie ?

– Oui, oui, je crois bien que c’est lui, ici.

– Vous êtes bien certain ?

– Oui, oui, il était là !

– Ça tombe bien. Figurez-vous que nous venons pour apporter l’addition, car votre prédécesseur et ses invités sont partis sans payer ! »

 

« Certains croient que le génie est héréditaire ; les autres n’ont pas d’enfants. »

(Marcel Achard)

 

Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :

 

« La verge du berger est remarquable. »

« Nos bites raffolent des petites fesses. »

« Tiens, encore une pine de tâtée ! »

 

Celles proposées cette semaine à votre sagacité :

 

« Il faut être peu pour bien dîner. »

« Omar craint les scorpions ! »

« Il a acheté… et rue de la paix, apparemment ! »

 

Bon week-end à toutes et à tous !

 

I3

 

PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »

 

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