Le « Conard-virus » circule
toujours
Alors un gars de la ville, qui plus est
sans travail et sans argent, va se réfugier à la campagne où il cherche refuge
et nourriture le temps que la dèche le lâche un peu.
En arrivant dans une ferme, où bien sûr
il demande abri et de quoi se remplir le ventre, un fermier l’accueille.
« – Je te loge et te nourris,
mais tu travailleras pour ta pitance.
Autre chose de très important, j’ai
deux filles, et si tu touches l’une d’entre elles, tu es mort !
– Entendu et merci infiniment pour
votre gentillesse. »
Repu, il va dormir à la grange.
À la première heure le fermier va le
chercher et l’amène aux champs.
Voyant les chaussures de notre citadin,
le fermier n’en revient pas.
« Tu ne pourras jamais
travailler avec ce genre de godasses ! Va donc dans la chambre des filles, dans
l’armoire tu trouveras des bottes. Mets-les et reviens vite. »
En arrivant dans la chambre, et voyant
les belles à demi vêtues et encore endormies, il ne peut résister et
entreprends de flatter la chair de la première des filles.
N’ayant reçu pour ainsi dire pas de
résistance avec la première, il ose entreprendre la deuxième.
Malheur, celle-ci se met à crier :
« – Tu ne peux pas faire cela
mon père va te tuer !
– Mais non, c’est lui qui m’envoie, tu
vas voir. »
Il va à la fenêtre, l’ouvre et crie :
« – Hé, le père, je les mets
toutes les deux ?
– Bien sûr, couillon ! »
Parole de philosophe :
« La personne qui peut dire que
tous ces problèmes sont derrière lui est sûrement chauffeur de bus scolaire ! »
À la clinique, le docteur examine la
jambe d’un malade qui a eu un accident de moto :
« – Ce n’est rien »,
déclare le médecin. « Dans une semaine vous pourrez danser le rock !
– Ça, c’est un miracle, docteur, parce
qu’avant mon accident, je ne savais pas du tout danser ! »
Deux filles au bar, après le bureau :
« – Sais-tu, je n’avais jamais
remarqué combien les vieux sont souvent malades. Non, mais c’est vraiment intolérable…
– Bah, c’est triste… mais d’un côté, ça
les occupe. Ils ne parlent que de leurs maladies. C’est probablement important.
– Ouachhhh. C’est déprimant. »
Jean-Marc, philosophe à son tour
devant une bière, en plein déconfinement, à l’adresse de Jean-Paul :
« Tu sais, l’immense avantage
d’être une femme, c’est qu’on n’est pas obligée d’en avoir une. »
La directrice d’une compagnie de taxis
reçoit un candidat :
« – Je veux bien vous prendre
comme chauffeur si vous avez de bonnes références.
– J’ai conduit plus de vingt-cinq ans
sans aucune réclamation des clients !
– Où étiez-vous employé ?
– Aux pompes funèbres, service des
corbillards ! »
Un prof de fac vient de terminer son
cours :
« – Avez-vous des questions ?
– Oui, si mon parachute ne s’ouvre pas
et que le parachute de réserve ne s’ouvre pas non plus, j’ai combien de temps
avant d’arriver au sol ?
– Très longtemps : Tout le reste de
votre vie ! »
Jean-Marc et Jean-Paul, déconfinant
devant une nouvelle bière :
« – Tu connais le comble de la
paresse ?
– Faire la sieste avant d’aller dormir ?
– Non !
– C’est quoi alors ?
– Une vieille femme qui ne fait pas son
âge ! »
De Jean-Paul (qui a de la réplique) à Jean-Marc :
« – Et sais-tu quel est
toujours le chemin le plus court du point A au point B ?
– Oh oui ! Ne pas y aller… »
Dans une boutique d’animaux, un
promeneur est en extase devant une cage où sont enfermés deux serins.
L’un, a un magnifique plumage et siffle
merveilleusement tandis que le second, terne et pelé se tient timidement dans
un coin.
« – Combien ce bel oiseau
chanteur ? » demande le monsieur.
« – Je vends les deux ensemble
pour 200 € », fait le marchand.
« – Mais », s’écrie le
client, « c’est uniquement le chanteur qui m’intéresse. Vous ne pouvez
pas me le vendre seul ?
– Impossible, monsieur », répond le
marchand. L’autre, là dans le coin, c’est le compositeur. »
Le fils de Jean-Marc annonce à
son père :
« – J’ai découvert que maman
est une fée !
– C’est bien gentil de ta part, ça. Et
pourquoi penses-tu que maman est une fée ?
– C’est pépé qui m’a dit qu’elle te
fait marcher à la baguette ! »
Un nouveau facteur hésite à pénétrer
dans le jardin d’un pavillon de banlieue défendu par un effrayant bulldog.
« – Ne craignez rien »,
lui lance Jean-Marc, le propriétaire de l’animal. « Je l’ai fait
couper.
– Mais… », fait le jeune
facteur, « la seule chose dont j’ai peur, c’est d’être mordu. »
Jean-Marc, déconfinant, à Jean-Paul :
« – Je me dresse, je couvre ma
maîtresse, puis je me replis et je pisse.
Qui suis-je ?
– Euh… ch’ais pas !
– Un parapluie, banane ! »
Comme quoi Jean-Marc ne vieillit
pas, il est simplement en train mûrir à la perfection !
Cendrillon, Quasimodo, Einstein et Don
Juan discutent à propos de la personne la plus remarquable de l’univers.
Cendrillon : « C’est moi, la
personne la plus remarquable de l’univers, car je suis la plus belle femme au monde.
»
Einstein : « Oui, mais moi, je suis
l’homme le plus intelligent du monde. »
Quasimodo : « Mais moi, je vous
surpasse, car je suis l’homme le plus vilain au monde. »
Don Juan : « Peut-être, mais moi, je
suis le plus grand niqueur de la planète. » La conversation dure, et chacun
reste sur ses positions.
Finalement, Einstein a une idée :
« Allons voir Merlin
l’enchanteur, et lui pourra nous dire qui est la personne la plus remarquable.
»
Arrivés chez Merlin, celui-ci leur dit
:
« Je vais vous recevoir chacun
son tour en tête à tête, puis je vous donnerai ma décision. » Cendrillon
entre donc la première et ressort 10 minutes plus tard. Tous :
« – Alors ? C’est toi la plus
belle ?
– Oui, il m’a confirmé que je suis bien
la plus belle femme au monde. »
Viens le tour d’Einstein. Il revient
après 10 minutes, souriant.
Tous : « – Alors ? C’est bien toi le
plus intelligent ?
– En effet, il m’a confirmé que je suis
bien l’homme le plus intelligent. »
Entre ensuite Quasimodo, qui lui aussi
revient au bout de 10 minutes.
« – Alors, tu es le plus vilain
?
– Merlin a été formel, je suis bel et
bien l’homme le plus laid, le plus vilain, au monde. »
Viens finalement le tour de Don Juan,
qui entre, mais qui tarde à revenir. 30 minutes passent, 45 minutes, 1 heure.
Au bout de deux heures, il revient
enfin, en pleurs. Tous :
« Alors ? C’est bien toi le
plus grand niqueur au monde ? »
Et Don Juan, de répondre, toujours en
pleurs :
« Vous connaissez, vous, un
gars qui s’appelle Jean-Marc ? »
Un ivrogne, tenant à peine sur ses
jambes, s’affale sur le comptoir d’un bar.
Le seul autre client, également en état
d’ébriété assez avancé, lui tape sur l’épaule…
« – Eh l’ami, de quelle ville
es-tu ?
– Je viens de Trifouillis-les oies… Et
à Trifouillis-les-oies, on sait boire !
– Pas vrai ? Sais-tu que moi aussi je
suis de Trifouillis-les-oies ? Et quel âge as-tu ?
– Je suis né le 15 mai 64 !
– Pas possible ? Moi aussi, 15 mai
64 !
Eh l’ami, à quelle école as-tu été
quand tu étais petit ?
– À l’école Sainte Gudule de Trifouillis-les-oies.
Ne me dis pas que toi aussi ?
– Eh ben si, figure-toi ! Sainte
Gudule à Trifouillis-les-oies aussi, » précise l’autre qui commande
une tournée générale en l’honneur de son nouveau copain.
À ce moment-là, Jean-Marc, un
habitué entre dans le bar et dit au barman :
« – Alors quoi de neuf patron ?
– Pas grand-chose. Les jumeaux sont
encore paquetés comme d’habitude. »
Un grand patron fait visiter une des
usines de la famille à son jeune fils âgé de 12 ans :
« Tu vois tout ça, fiston, un
jour ça appartiendra un jour à tes ex femmes ! »
Jean-Marc, gamin rentre à la
maison en traînant au bout d’une ligne, un minuscule requin qu’il a attrapé.
« – Maman, regarde ce que j’ai
pêché !
– Mais il est énorme » s’extasie la mère !
« – Beuh, ce n’est rien. Tu
aurais dû voir celui qui a bouffé Marie-Caroline.
– Qwaaaouuuuuu !!!!!????? »
Un élève très peu doué qui, en plus, ne
jouit pas d’un entourage familial solide, répond toujours grossièrement en
classe.
C’est une vraie peste, détestable !
Hier, irrité par une remarque
désobligeante et déplacée, le prof lui dit :
« – Dommage que je ne sois pas
ton père car…
– Ça peut s’arranger ! Tu sais, le
gros, ma mère vient de jeter son mec… »
Jean-Paul se présente chez son
pharmacien et demande :
« J’aimerais avoir du sexatif. »
Le pharmacien le regarde d’un œil interrogateur…
« – Vous voulez dire du laxatif
?
– Non, non, c’est bien du sexatif que
je veux. J’veux pas quelque chose pour ALLER, j’veux quelque chose pour VENIR. »
À force de vivre dans l’isolement d’un
monastère, ces deux moines éprouvent un certain penchant l’un pour l’autre.
Une nuit, leur supérieur les surprend
dans le même lit.
« – Mais, vous rendez-vous
compte de ce que vous faites ?
– Rien qui soit contraire au principe
de la charité chrétienne, mon frère, puisque chacun de nous deux ne fait à
l’autre que ce qu’il aime bien que l’autre lui fasse », répond l’un des
moines.
Mosché et Samuel demandent une audience
au pape.
Ils ont de très hautes relations, et
même s’ils sont de confession juive, le pape accepte de les rencontrer.
Une fois en présence du pape, les deux
hommes sortent d’un grand porte-documents en cuir, une gravure représentant un
groupe d’hommes entrain de festoyer autour d’une table.
« – Cela vous dit quelque chose
? » demande Mosché.
« – Mais oui. C’est la dernière
Cène, avec le Christ et ses apôtres, dont mon prédécesseur, Saint-Pierre.
– Ah bon ! Votre prédécesseur était de
la partie ?
– Oui, oui, je crois bien que c’est
lui, ici.
– Vous êtes bien certain ?
– Oui, oui, il était là !
– Ça tombe bien. Figurez-vous que nous
venons pour apporter l’addition, car votre prédécesseur et ses invités sont
partis sans payer ! »
« Certains croient que le génie
est héréditaire ; les autres n’ont pas d’enfants. »
(Marcel Achard)
Solutions des contrepèteries de la
semaine dernière :
« La verge du berger
est remarquable. »
« Nos bites raffolent
des petites fesses. »
« Tiens, encore
une pine de tâtée ! »
Celles proposées cette
semaine à votre sagacité :
« Il faut être
peu pour bien dîner. »
« Omar craint les
scorpions ! »
« Il a acheté… et
rue de la paix, apparemment ! »
Bon week-end à toutes et
à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon
« gardien » et « sa bibliothèque »
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