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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 30 octobre 2020

Après Conflans

Cas d’ékole « in vivo »
 
À l’académie internationale de police :
« Vous êtes policier.
Vous marchez dans une rue déserte avec votre femme et vos deux enfants.
Soudain, un « jeune » (c’est comme ça que les journalistes les appellent) se précipite sur vous avec un grand couteau.
Vous avez votre arme de service sur vous.
Vous avez quelques dixièmes de secondes pour réagir. »
 
LE POLICIER CHINOIS :
« Une balle en plein cœur le voyou est mort. »
 
LE POLICIER RUSSE
« Une balle entre les deux yeux, le voyou est mort. »
 
LE POLICIER AMÉRICAIN
« Pan, pan, pan, pan, pan, pan, clic, clic…
Changement de chargeur.
Pan, pan, pan, pan, pan, pan et le voyou est mort. »
 
LE POLICIER ARABE
« Dans la seconde le gars est égorgé, émasculé, énucléé et bouffé par les chiens, bref, mort. »
 
LE POLICIER FRANÇAIS
« Je garde mon sang-froid et j’analyse la situation…
Si je tire : Suis-je en état de légitime défense ?
A-t-il un permis pour le port de ce couteau ?
Ai-je bien vérifié que ce n’est pas un musulman ?
Les médias vont-ils en faire une victime ?
Est-ce un « jeune » de quartier incompris par la société ?
Est-ce que cela va être vu comme du racisme s’il fait partie de la « diversité », des « minorités », etc.
Est- ce que la ville va être ensuite mise à feu et à sang par les « jeunes » des quartiers ?
Est-ce que je vais être poursuivi, par la Halde, le MRAP, SOS racisme, touche-pas-à-mon-pote ?
Est-ce que ma famille sera traînée dans la boue, ma vie disséquée depuis la maternelle, mes enfants menacés ?
Est-ce qu’on va parler de « bavure » dans les médias et me condamner ?
Combien de dizaines de voitures vont brûler si je tire ?
L’État devra-t-il par ma faute négocier la paix sociale dans les « quartiers » ?
Le président sera-t-il obligé de faire soigner son état mental ?
Y’aura-t-il ou non une crise diplomatique ? »
(Aucun rapport avec une situation vécue actuellement, naturellement… C’est juste un cas d’ékole)
 
Jean-Marc et Germaine visitent un appartement tout neuf.
Son prix est vraiment intéressant.
L’agent immobilier pousse sur les portes, commente et décrit.
« Bien, bien », dit Germaine. « C’est beau, ce n’est pas cher, du moins ça nous semble abordable, mieux qu’ailleurs, mais est-ce bien insonorisé ? »
Et on entend alors une voix qui vient d’en dessous.
« Non, ce n’est pas une réussite ! »
 
Un black découvre une lampe, la frotte, il en sort un génie qui lui permet de réaliser trois vœux.
« Premièrement, je voudrais être blanc.
Deuxièmement, je voudrais ne jamais manquer d’eau.
Troisièmement, j’adore les belles fesses, alors je voudrais pouvoir en voir toute ma vie. »
Le génie s’exécute et ABRACADABRA, le voilà transformé en toilette…
 
Au pénitencier de Gordes, un nouvel arrivant interroge son partenaire de cellule qui occupe le lit du bas.
« – Ton nom ?
– Lapointure.
– T’es ici pourquoi ?
– Tu as sans doute entendu parler de l’attaque contre les fourgons à l’aéroport de d’Orly ?
– Ouais, ouais, c’est toi ça !
– Oui, et toi ?
– Moi, je suis le président de la compagnie des fourgons d’Orly… »
 
« Quand la foi soulève des montagnes, elle écrase des enfants. »
(Du Pape François ?)
 
« Les hommes aiment les gros seins et les gros compliments. »
(De Jean-Marc)
 
« Je trouve mes plus grands bonheurs dans les petits plaisirs. »
 (De Jean-Paul)
 
« La grandeur d’un destin se fait de ce qu’on refuse plus que de ce qu’on obtient. »
(De Jean-Gab)
 
« Si la mort n’est rien, le ‘‘mourir’’ est difficile. »
(De Françoise Chandernagor)
 
« – Votre mari, avant de mourir, était-il en pleine possession de ses moyens ?
– On va le savoir en ouvrant son testament… »
 
Jean-Marc écrit à son fils qui est en vacances :
 
« Mon cher petit,
 
J’espère que tu vas bien pour toi.
Je t’envoie les 300 € que tu m’as demandé pour t’aider.
 
PS - Fais attention quand tu écris, 300 € prend deux 0, pas trois.
PPS - Bonne fin de vacances.
 
Ton Papa qui t’embrasse. »
 
À propos d’argent, quel saint est le plus serviable et rend le monde heureux ?
Saint-Dollart (Cinq)
 
La grosse auto rouge traverse le village à une vitesse folle.
Le chauffard évite de justesse deux p’tits vieux qui traversaient la rue.
Heureusement, à la sortie du village, il y a une voiture de la police routière qui est en patrouille.
Le policier se lance à sa poursuite, et le chauffard s’immobilise.
Le policier l’a chronométré à 210 km/h.
« – Écoutez monsieur l’agent » dit Jean-Marc en sortant ses papiers, « je n’avais pas l’impression de rouler si vite…
 – En fait, vous ne rouliez pas très vite, vous voliez seulement trop bas. »
 
Une très jolie femme entre dans une boutique de haute couture et demande à voir la plus belle robe de mariée.
« – Avez-vous une couleur préférée ?
– Blanche. Je suis encore vierge.
– Pourtant… il me semble vous avoir déjà vu ici ? Non ?
– Effectivement, c’est mon quatrième mariage.
– Et vous êtes encore vierge ?
– Oui. Mon premier mari était psychologue et il ne faisait qu’en parler.
Mon deuxième mari était gynécologue et il ne faisait que la regarder.
Mon troisième était collectionneur de timbre haaa celui-là, il me manque. »
(C’est une revenue. Dans l’originale, les maris étaient « politiciens », députés, ministres, etc.)
 
« – Docteur, je dois être honnête, et vous dire que vous êtes le troisième que je consulte.
– Ah bon, et que vous ont dit mes confrères ?
– Le premier, le docteur Laflamme, m’a conseillé de faire de l’exercice et de la marche.
– Hum. Je vois. Et le deuxième ?
– Le docteur Legault, m’a dit de faire un pèlerinage à Lourdes car la foi peut tout guérir. Et vous, qu’est-ce que vous en pensez ?
– Moi ? Bon… Bien… Je vous suggère de vous rendre à pied à Lourdes. »
 
Jean-Marc, gérant d’une PME consulte une voyante :
« – Monsieur, compte tenu de la situation économique, vous serez malheureux pour les trois prochaines années.
– Et après ?
– Vous y serez habitué. »
 
« – Donnez-moi le temps utilisé dans les phrases qui suivent :
Ma copine chérie était enceinte…
– L’imparfait bien sûr !
– Ma copine chérie est enceinte…
– Le présent.
– Ma copine chérie sera enceinte…
– C’est l’imparfait du préservatif ! »
 
Dans une thérapie de groupe, le psy met en garde les participants contre les dangers de la haine et de la rancune.
Il demande :
« Que ceux et celles qui ont vaincu la haine et la rancune lèvent le bras. »
Seule Irène, une célibataire endurcie, lève le bras.
« – Bon, Irène est la seule à se manifester. Donc tu ne hais personne.
Dis-nous comment tu es arrivée à ce résultat ?
– Ce n’est pas compliqué. Tous les salauds, les ordures, les pourris qui m’ont joué de sales tours sont morts ou très malades.
Tous vaincus ! »
 
Un avocat pénaliste bien connu, célèbre aussi pour ses nombreuses conquêtes féminines, ses frasques et sa vie somptuaire, visite ce matin-là, un criminel extrêmement dangereux, membre d’un groupe de motards.
« – On a un problème, Smoking Gun. Vous avez abattu trois gars, de sang-froid, et il y a des témoins.
Comment voulez-vous que je vous trouve des circonstances atténuantes.
– Ben, j’aurais pu en tirer 4 ou 5.
Je me suis limité à trois.
Ce n’est pas si mal. »
 
À la descente de l’avion, à Cancun :
« – Porteur ! Porteur ! » demande Marie-Chantal, « tous mes bagages sont bien dans le coffre de l’autobus ?
– Oui madame.
– Vous êtes sûr que je n’ai rien laissé ?
– Rien madame, même pas un pourboire ! »
 
Juste avant de recevoir quelques amis pour dîner, Germaine se plaint à son mari :
« – C’est pas possible, Jean-Marc. Regarde les vieux vêtements que je suis obligée de porter. Je n’ai plus rien à me mettre !
– Ce n’est pas si mal.
– Pas si mal ? Tu vas voir, tes amis vont me prendre pour la cuisinière de la maison !
– Peut-être, mais ils changeront d’avis après le repas. »
 
Jean-Marc entre dans un restaurant chic, s’attable et se fait servir.
Soudain, il appelle le garçon :
« J’aurais besoin de sel. »
Le garçon fouille dans la petite poche droite de sa chemise, et lui donne une pincée de sel.
« Mais j’aurais aussi besoin de poivre ! »
Le garçon fouille dans la petite poche gauche de sa chemise, en sort une pincée de poivre qu’il lui donne.
Jean-Marc dit alors au serveur :
« Dites donc, si je vous demandais de la mayonnaise, où la prendriez-vous ? »
 
Solutions des contrepèteries proposées il y a 15 jours :
 
« Il faut être deux pour bien piner. »
« Oscar craint les morpions. »
« Il a acheté… et pue de la raie, apparemment ! »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Ah, les présentes élections… »
« Elle cuvait quand on l’a emballée ! »
« Et la petite maison dans la prairie ? »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »

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