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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 12 octobre 2020

Moi, vous le savez,

J’aime bien « Facture Des-Portes »

Dit aussi Bill Gates…

 

Ce gars-là aura inventé, avec quelques copains, le premier « DOS » (MS pour les intimes) qui aura permis à de petits ordinateurs « personnels » tout neuf sortis d’abord de chez IBM (leur premier « portatif » tenait dans une valise de petite dimension, eux les rois du 36) équipés de Bios, de comprendre quelques instructions basiques sans lesquels ils ne pourraient même pas faire une addition.

J’avoue que c’est assez génial, puisqu’en fait, les additions (et leur contraire) ma première calculette savait déjà faire, avec quelques touches (au moins aussi bien que ma règle de calcul mais nettement plus rapidement), alors qu’il fallait pisser des lignes et des lignes sous Basic, Cobol ou Assembleur et qu’IBM inventait Unix pour faire la même chose avec des grosses machines à ventilateur… (quand ce n’était pas directement dans un réfrigérateur complet).

Naturellement, c’était à une époque que les plus jeunes ne peuvent pas connaître : La préhistoire de l’informatique.

 

Depuis, les « progiciels » ont drôlement évolué, la concurrence s’est développée, la technologie des « puces » a fait d’immenses progrès et on parle même d’intelligence artificielle et sans doute même plus de « progiciels », mais encore un peu « d’environnement » et de « téléchargement » qui passent désormais ailleurs que par des fils électriques et tiennent dans des boîtiers aussi gros, parfois plus petits, de ma première calculette « 4 opérations » (Je l’ai d’ailleurs retrouvée par hasard, une TI, et elle fonctionne toujours sans que je n’ai jamais eu à changer les 2 piles double A…) : Une relique !

Et la fortune de Bill est devenue colossale.

Pour l’avoir croisé sur le quai Landry au sortir de son yacht somptueux (amarré sur un mouillage situé un peu plus au large : il n’entrait pas dans le port de plaisance…),

je me suis rendu compte qu’un milliardaire, même aussi célèbre, vivait comme tout le monde (il pisse pareil sur ses pompes que comme moâ), sauf qu’il est ailleurs : Il a des préoccupations qui ne sont pas les miennes.

Lui, comme d’autres « milliardaires ricains », pense l’avenir de l’espèce humaine !

Moâ, j’avoue que c’est plutôt ma « fin de mois », parfois même le 5 du mois précédent…

J’ai mis du temps à anticiper, mais j’y arrive de plus en plus souvent.

 

Et l’avenir de l’espèce humaine est hélas traversé de catastrophes à venir.

En mars 2015, il avait donné une conférence « TED talk », vue, actuellement, par plus de trente millions de personnes sur YouTube s’intitulant « La prochaine épidémie ? Nous ne sommes pas prêts ». C’était dans la foulée de l’épidémie d’Ébola en Afrique de l’Ouest.

Il a ensuite conclu à cette date que la prochaine épidémie majeure ferait plus de victimes qu’Ébola : « Si quelque chose est capable de détruire plus de dix millions de personnes dans les décennies à venir, ce sera très probablement un virus particulièrement dangereux, pas une guerre.

Pas des fusées, mais des microbes ! »

Bien vu…

Le « Conard-virus » lui aura donné raison…

 

Pendant de nombreuses années, il a investi avec passion et obsession dans « l’humanitaire ». Devenu philanthrope, il a déjà décrit dans le passé les principaux problèmes auxquels l’humanité sera confrontée en 2020.

Pour lui, il est nécessaire de créer un système de santé solide dans les pays pauvres car ils seront les plus durement touchés par l’épidémie du virus tout en faisant intervenir l’armée : « Il est également nécessaire de créer une réserve de services médicaux dont les efforts seraient combinés avec les militaires, capables de répondre rapidement à une menace ».

Aïe, là, j’aime moins bien : Militaire et vie « en paix et en bonne santé » (le « Pace è salute » traditionnel des Corses pour les vœux de début d’année…), ce n’est pas vraiment fait du même bois…

Enfin, passons : Vu le nombre de « G-men » autour de sa personne sur les quais calvais d’il y a quelques années, il ne doit se sentir en sécurité nulle part…

Et puis le « Conard-virus » n’aura pas généré l’hécatombe prévue dans les pays sahéliens parmi les plus pôvres…

Tout faux !

 

Mais mieux en encore, il veut désormais des essais bactériologiques sur l’humain et vacciner à tour de bras (justement au Sahel) : « Il est nécessaire de mener des exercices bactériologiques pour identifier les vulnérabilités »…

Ou pour faire des essais sur du cheptel « à bas prix » ?

« En outre, des développements avancés dans le domaine de la vaccination et du diagnostic sont nécessaires ».

Bien sûr : De là à « pucer » tout le monde ?

« Je pense que nous devons nous concentrer sur cela en premier ».

Admettons, je suis un grand tolérant devant l’Éternel.

Et tout cela finalement prête le flanc à de possibles objectifs qui pourraient ne pas être que philanthropiques.

 

Car il vient d’annoncer une nouvelle catastrophe mondiale.

Et elle sera « environnementale », avec des conséquences qui seraient pires que la pandémie du « Conard-virus ».

Ce n’est pas moâ qui le dit, mais lui dans son « piti-blog » (beaucoup plus notoirement connue que le mien, naturellement : Je ne suis toujours pas milliardaire.)

Selon lui, pour comprendre les conséquences réelles de la pollution de l’environnement, il est nécessaire « de regarder le Covid-19 et d’étendre l’impact négatif sur une période beaucoup plus longue ».

Attend, on est encore loin d’en être sorti…

 

Et demain, si on trouve un vaccin utile, que vous le vouliez ou non et malgré les probables effets indésirables, vous serez tous vaccinés de force.

Sans ça, pas de boulot, pas d’accès au crédit, pas de possibilité de voyager, vous pourriez même être interdit d’entrée dans un magasin, l’accès aux hôpitaux sera probablement restreint, et naturellement vous serez jetés des bus et métros, les taxis et autre Uber refusant de vous prendre en charge sans votre carnet de vaccination…

Parce que ça va durer encore très longtemps.

Et ça n’empêchera pas, de dans dix ans de ça, 2029/2030 (ça correspond à mes « cycles longs » de Kondratiev), de se choper une nouvelle pandémie avec un virus encore plus dégueulasse que celui de « la grippette » actuelle.

 

Mais ce n’est pas de ça qu’il parle : Pour éviter une telle catastrophe, il propose seulement de réduire radicalement la quantité d’émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère (vous savez ce CO2 plus lourd que l’air ambiant qui file tout droit dans la stratosphère).

Sinon, la détérioration de l’environnement, la mort de personnes et les problèmes économiques hanteront l’humanité plus longtemps que pendant l’actuelle pandémie.

Selon Bill Gates, le taux de mortalité par « Conard-virus » est d’environ 14 décès pour 100.000 personnes alors que le changement climatique avec la pollution de l’environnement entraînera une augmentation similaire de la mortalité.

À ce rythme, d’ici la fin du siècle, ce chiffre sera de 73 décès pour 100.000 habitants.

« En d’autres termes, d’ici 2060, le changement climatique sera aussi mortel que le Covid-19 et d’ici 2100, il pourrait être cinq fois plus meurtrier », a-t-il expliqué et de rajouter qu’« aussi terrible que soit la pandémie, le changement climatique pourrait être encore pire ».

Bien…

 

Sauf qu’il ne nous dit pas comment, ni par quel mécanisme socio-économique, quelle divagation de population, quel conflit armé…

On peut imaginer des catastrophes météorologiques comme par-ci-par-là avec la multiplication des tempêtes centenaires, des typhons et tsunamis, des désertifications accélérées…

Clairement, l’inversion des courants du pacifique (el Niño et el Niña), des flux d’air chaud dans l’océan Indien-sud provoquant des incendies majeurs dans le bush australien, le refroidissement du Golf-Stream à l’approche du continent européen en raison du dégel de la banquise arctique, peuvent effectivement perturber les productions agricoles sur quasiment tous les continents.

C’est déjà le cas depuis quelques siècles et encore récemment avec les émeutes de la faim, et ça va probablement s’accélérer.

Quoique, plus personne ne s’étonne des conséquences du « petit âge glaciaire » qui aura commencé en 536 après J.C et jusqu’en 660 : Pas d’été durant plusieurs années, des récoltes maigrichonnes, des déplacements de populations vindicatives fuyant la famine !

Un « âge-glaciaire » probablement dû à quelques éruptions volcaniques simultanées et successives…

Depuis, on ne vous parle que de « réchauffement climatique »…

Et heureusement qu’il a eu lieu, sans ça l’humanité aurait crevé de faim depuis belle lurette !

 

D’ailleurs, et ça va de pair, les éminences grises des chercheurs et de la politique mondiale, parfois Nobelisées de la Paix, ont déclaré qu’en raison de la pandémie, la quantité d’émissions dans l’environnement avait également diminué, reconnaît-il.

Cependant, à son avis, cela ne suffit pas pour empêcher une catastrophe car « ce qui est remarquable, ce n’est pas à quel point la quantité d’émissions a diminué en raison de la pandémie, mais à quel point ce nombre est négligeable ».

Par exemple, l’Agence internationale de l’énergie prétend réduire les émissions de 8 %, ce qui signifie en termes réels une réduction de 51 milliards de tonnes de carbone à 47 milliards. Or, selon Bill Gates, « cela était dû à une diminution du nombre de voitures sur les routes et à la fermeture de nombreuses entreprises, à la suite desquelles des dizaines de millions de personnes se sont retrouvées sans travail ».

« Cependant, après la suppression de toutes les restrictions, la quantité d’émissions reviendra à ses valeurs d’origine et l’humanité ne soutiendra pas la dynamique actuelle ».

Et dans le même temps, le philanthrope de la « santé globale » et le donneur d’ordres pour le futur de l’humanité constate « qu’une telle réduction des émissions n’était possible qu’avec un grand nombre de restrictions ».

Vive vos libertés soumises à la « dictature sanitaire », ou quand les « docteurs prennent le pouvoir »…

 

Pour vraiment réduire la quantité d’émissions, les décideurs politiques du futur doivent donc proposer plusieurs solutions.

Selon lui, « il est nécessaire de créer de nouveaux outils pour lutter contre le changement climatique, en particulier, pour garantir zéro émission dans les centrales électriques, les industries et autres entreprises ».

Ah, là, je le retrouve bien…

Mais il est également nécessaire de fournir une assistance aux pauvres, qui ne sont pas prêts pour le changement climatique : « Commencez maintenant. Contrairement au nouveau coronavirus pour lequel je pense qu’il y aura un vaccin l’année prochaine, il n’y a pas de solution miracle au changement climatique. Il faudra des décennies pour développer et mettre en œuvre toutes les inventions nécessaires dans le domaine de l’énergie propre », aura-t-il conclu alors qu’il déclare également que « nous ne sommes (toujours) pas prêts pour la prochaine épidémie ».

 

À votre avis, c’est quoi le « zéro émission dans les centrales électriques » ?

« Le nucléaire est idéal pour lutter contre le changement climatique, car il s'agit de la seule source d’énergie pilotable, sans carbone et disponible 24h/24 » (Bill Gates, Lettre ouverte, 2018).

Or, il préside à l’heure actuelle la start-up « Terra Power » dont l’objectif consiste notamment à développer un réacteur nucléaire de 4ème génération à neutrons rapides refroidis au sodium, appelé « Travelling Wave Reactor » (TWR).

Jugeant le nucléaire incontournable et considérant que les Etats-Unis y ont perdu leur leadership, il plaide pour un réinvestissement encore plus important du gouvernement dans cette filière énergétique d’avenir.

Merci les « écololos-bobos » et leurs suggestions catastrophiques qui se retournent contre eux !

On n’est plus à un paradoxe près dans ce monde de cinglés…

 

Cet appel n’est d’ailleurs pas sans lien avec les dernières évolutions de la politique américaine, laquelle a restreint les échanges technologiques avec la Chine sur les sujets relatifs à l’énergie nucléaire. Or, le premier réacteur de TerraPower devait voir le jour en Chine, dans le cadre d’une joint-venture avec le géant nucléaire chinois CNNC.

Et ce projet sino-américain a été suspendu pour cause de « Trompisme-triomphant »

Ce flottement ne devrait pourtant être que de courte durée.

Mais conformément à la récente feuille de route volontariste du gouvernement fédéral américain en matière d’énergie nucléaire, le président américain a invité Bill Gates à poursuivre aux États-Unis la construction du TWR.

Un soutien confirmé officiellement par le secrétaire d’État adjoint à l’Energie, Dan Brouillette (un nom qui ne s’invente pas…).

 

Donc, finalement, tout est lié dans son discours : Le « Conard-virus » vous aura bien foutu la trouille et Bill surfe sur ses déclarations de 2015 pour soutenir son projet de « nucléaire propre ».

Et de conclure : « Ne paniquez pas. Il n’est pas nécessaire de faire le plein de pâtes et de se cacher au sous-sol, mais il est temps de se mettre au travail, car le temps presse ».

C’était en 2015 : On aura perdu 5 ans entre-temps.

 

Mais lui vise toujours de doubler la production électrique, en la décarbonant totalement, pour faire face aux consommations futures des « réseaux », notamment dans l’intelligence artificielle, particulièrement énergétivore…

Accessoirement, vous pourrez peut-être avoir le droit de rouler en voiture à hydrogène-vert pour aller vous faire vacciner.

C’est bien ce qui se prépare derrière l’agitation générale et quotidienne des « politiques » qui cherchent, sans le dire, la meilleure façon (acceptable par le plus grand nombre) de vous l’imposer.

Pourquoi pas ? Au moins, on sait où on va.

 

Et au passage, il serait souhaitable de dire « MERCI » !

Ils aiment ça, les « maîtres du monde » de la nouvelle « démocrature » de ce « monde d’après » qui s’impose au fil du temps.

Moâ, je lui ai déjà dit « merci (infiniment) » : Grâce à lui (et quelques autres), j’ai une machine qui lit, écrit et calcule à ma place mieux que moi-même, infiniment plus vite et sans se tromper (quoique j’ai réussi une fois à faire croire aux ingénieurs IBM que l’AS 400 de la boutique du moment en redressement ne savait pas compter : Il fallait voir leurs tronches !), puisque je n’ai pas appris à l’« ékole-pue-blique » de la « Res-Publique » !…

 

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