Extraits de la « Gazette galactique ».
Je vous passe les nouvelles scientifiques et
technologiques qui y figurent.
Tenue par la civilisation Kameulf – qui ère à quelques
distances de la Terre – c’est en réalité une vieille édition : Il semble
que notre « planète bleue » soit actuellement en quarantaine dans le
cosmos proche pour cause de crise du « Conard-virus » !
Naturellement, les Ummos prétendent à quelques
contacts « humains » qu’il l’avait bien dit, à l’image de Bill Gates,
prévenu par ailleurs.
Mais ce n’est pas vérifié.
En revanche, la rubrique « humour » reste
toujours assez dense. Et naturellement pour les Kameulfs (et bon nombre de
civilisations aliènes), ce sont toujours les « Ummos » qui payent les pots cassés pour tout le monde…
Donc extraits :
Deux Ummos regardent l’une de leur Lune (un gros caillou désolé) et, intrigué, l’un demande :
« – Tu crois qu’il y a une vie là-haut ?
– Évidemment ! Il y a de la lumière. »
Deux Ummos dans leur soucoupe volante.
Un oiseau chie sur le pare-brise.
« – Va falloir l’essuyer.
– Hi, hi ! Trop tard. Il est déjà trop loin ! »
Un Ummos dans un rayon cosmétique interroge une
vendeuse (Kameulf) :
« – Je recherche un déodorant pour mâle.
– Un déodorant à boule ? »
demande la vendeuse
« Non, c’est pour les dessous des tentacules. »
Une Ummo rencontre une de ses copines Ummo.
« – Je viens de passer un test de grossesse.
– C’était dur les questions ? »
Un Ummo et un Kameulf marchent dans la rue, quand
tout à coup, le Kameulf s’écrie :
« – Regarde ! Un oiseau mort !
– Où ça ? » dit l’autre l’autre en regardant le ciel.
Un Ummo fait du tourisme sur Terre en Floride.
Il entre dans un magasin de chaussures car il veut à
tout prix s’acheter une paire de souliers en croco pour ses tentacules pendant
son séjour.
Le prix des souliers est si élevé qu’il essaie de
marchander avec le vendeur.
Ce dernier étant intransigeant alors il finit par
renoncer et dit :
« Laissez faire, je vais m’en chasser un
moi-même. »
Et il quitte le magasin.
À la fin de la journée, le vendeur, en rentrant chez
lui, passe devant un marécage et voit l’Ummo dans l’eau jusqu’à la taille, armée
d’un désintégrateur.
Sur le bord du marécage, cinq ou six crocodiles sont
morts, alignés sur la terre ferme.
À ce moment, il voit dans l’eau un énorme croco de 10
ou 12 mètres s’approcher de l’Ummo.
Splatch-Bang !
L’Ummo l’abat, le traîne sur la terre ferme, le retourne
sur le dos et dit :
« Et merde ! Celui-là non plus n’a pas de
chaussures. »
Un Ummo conduit sa soucoupe roulante comme un… Ummo.
L’enfer !
Il grille les feux rouges, dépasse dans les courbes,
ralentit sur l’autoroute, sans motif.
Un vrai danger public.
Puis il double une autre soucoupe roulante, fait une
queue de poisson et ralentit devant le chauffeur Kameulf.
Le mec pète les plombs.
Il le double, le force à s’immobiliser.
Il ouvre la porte, furieux.
« – Mon salaud descend immédiatement de ta sousoupe
roulante !
– Quoi ?
– Descend ! »
L’Ummo descend, sans comprendre ce qui se passe.
Alors le Kameulf dessine un cercle sur le sol avec une
craie.
« – Maintenant tu rentres dans ce cercle et tu
n’en sors pas. Tu ne bouges pas. Compris !
– Compris. Ça va. Ça va. »
Le Kameulf va chercher un marteau dans sa soucoupe-roulante,
et il commence à détruire celle de l’Ummo.
Il casse toutes les vitres. Une à une.
Puis les phares…
Pendant ce temps, l’Ummo sourit bêtement.
Le Kameulf, dégoûté, reprend son marteau, et démolit
les parebrises.
L’Umo rit toujours.
Que ça l’énerve sévère.
« – Ça te fait rire ! Tu trouves ça drôle que
je démolisse ton tas de boue ?
– Non, c’est pas ça, c’est parce qu’à chaque fois que
vous vous retournez, et ben, je sors du cercle… »
Un Ummo qui vient d’acheter une très belle soucoupe
roulante est en train de la pousser sur l’autoroute.
Après quelques minutes, un Kameulf voyant la scène
s’arrête pour porter assistance à l’Ummo.
« – Besoin d’aide ?
– Non. Merci. Ça va.
– Certain ?
– Oui, oui.
– T’as plus de carburant ?
– Non.
– Alors t’as oublié tes clefs de soucoupe ?
– Non.
– Panne de moteur ?
– Non !
– Une crevaison ?
– Non ! Tu n’y es pas…
– Alors pourquoi tu t’arrêtes !
– Quand j’ai acheté ma soucoupe, le vendeur m’a dit de
rouler doucement en ville, mais de ne pas hésiter à la pousser quand je suis
sur l’autoroute ! »
Au centre commercial, un Ummo remarque une grosse
bosse sur la portière de sa soucoupe roulante.
Découragé, il se demande ce qu’il devrait faire.
C’est alors qu’un jeune Kameulf, qui passait par là,
lui conseille pour plaisanter de souffler dans le tuyau d’échappement afin de
faire une poussée d’air et faire sortir la bosse !
Or, l’Ummo ne saisit pas que c’est une blague
et se met à souffler dans le tuyau d’échappement…
Pendant qu’il souffle dans le tuyau, un autre Ummo
s’approche et dit :
« – Que fais-tu ?
– J’essaye de débosseler la portière de la voiture ! »
Alors l’autre Ummo se met à rire et dit :
« – T’es stupide ! Ça ne marchera jamais !
– Ah non ? Comment ça ?
– Parce que tes fenêtres sont ouvertes ! »
Deux Ummos se rencontrent sur une artère de leur ville
et l’un porte sur le dos sac.
Il y a quelque chose à l’intérieur puisque ça bouge.
L’autre lui demande :
« – Qu’est-ce que tu as dans la poche ?
– Des poules !
– Combien en as-tu ?
– Si tu le devines je te les donne toutes les deux !
– Hummm, Cinq ! »
« – Pourquoi les Ummos ne mangent que des
biscuits carrés ?
– Pour ne pas les avaler tout rond ! »
L’Ummo en vacances en Écosse visite un vieux manoir
historique situé sur une pointe rocheuse et venteuse.
Il avoue au guide qu’il a un peu peur !
« – Peur de quoi ?
– De voir un fantôme !
– Je n’en ai jamais vu depuis le temps que je suis ici »,
dit-il d’un ton rassurant !
« – Et vous êtes ici depuis combien de temps ?
– Depuis 400 ans… »
Un Ummo vient de s’acheter des bottes de ski.
Il a cassé 4 paires de lacets à essayer de les faire
démarrer…
Un Ummo dans un bar, flirtait une jolie Ummo assise à
une table pas loin de lui, son compagnon lui dit :
« – Ne perd pas ton temps, c’est une
lesbienne.
– Tu dis ça parce que t’es jaloux. »
Il continue son approche et décide de lui envoyer une
consommation qu’elle accepte.
Elle l’invite à sa table et la conversation s’engage
soudain le Ummo lui demande :
« Pardon mademoiselle, de qu’elle partie de la
LESBIE venez-vous ? »
Deux Ummos.
Le premier creuse les trous et l’autre le suit et les
remplis.
Le contremaître passe et demande :
« – Allez-vous faire ça toute la journée ?
– C’est pas de notre faute, le gars qui plante les
arbres n’est pas au travail. »
Un Ummo rentre chez lui après le travail et entend des
sons étranges venant de la chambre à coucher.
Il monte l’escalier à toute hâte et découvre son
épouse qui se lamente, nue sur le lit toute en sueur.
« – Qu’est-ce qui se passe ?
– J’ai une crise cardiaque ! »
Il descend l’escalier à grand pas, prend le téléphone
pour appeler un médecin lorsque son fils de 4 ans arrive et dit :
« Papa, Papa, oncle George est nu et caché
dans la grande armoire de ta chambre ! »
L’Ummo accroche le téléphone monte dans la chambre,
ouvre la porte de l’armoire et aperçoit son frère entièrement nu et l’air un
peu piteux.
« Idiot ! Uyuyaya fait une crise cardiaque et
tout ce que tu trouves à faire c’est de promener tout nu et de faire peur aux
enfants ! »
« – Pourquoi l’Ummo s’est fait virer de son
sous-marin ?
– Parce qu’il insistait pour dormir la fenêtre ouverte
! »
Deux Ummos pêchent en canot.
L’un d’eux plonge dans l’eau et revient dans le canot,
alors l’autre demande :
« – Qu’est-ce que tu es allé faire ?
– Je suis allé changer mon appât. »
Un Ummo écrit à la femelle de ses rêves :
« Chère Ayyatutu,
Je t’aime, et je veux t’épouser.
Si tu es d’accord, réponds-moi par retour de courrier.
Sinon, ne prends même pas la peine d’ouvrir cette
lettre. »
Un Ummo reçoit une lettre à son bureau.
Il l’ouvre.
Une seule feuille blanche, et pas un mot. Rien.
Il lance la feuille sur son bureau en criant : « Encore
elle ! »
« Qu’est-ce qu’il y a ? »
demande une collègue.
« – C’est ma femme. Encore ma femme qui
m’écrit.
– Mais il n’y a rien d’écrit sur cette feuille !
– Exact, ça fait trois semaines qu’on ne se parle pas. »
Deux Ummos à la plage.
« – Tu sais qu’il faut attendre une heure
après avoir mangé avant de se baigner ?
– Oui, mais pas si tu as mangé du poisson. »
Rue du Faubourg Saint-Denis, une péripatéticienne lance une invitation à un Ummo qui fait du tourisme incognito à Paris :
« – Alors, tu viens te coucher avec moi mon
chéri ?
– À 10 heures du matin ? Hé ! Mais c’est trop tôt ! Je
ne m’endors pas… »
Désolé, pas de contrepèterie cette semaine : Les Ummos
ne savent pas les décoder.
Bon week-end à toutes et
à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon
« gardien » et « sa bibliothèque »
Il y a notamment un
recueil de blagues
Kameulf sur les Ummos.
Il faudrait d’ailleurs que je l’enrichisse avec cette série inédite…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire