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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 21 octobre 2020

Charmante Elvire, les loups n’ont pas quitté le pays !

Les barbares assassinent même un hussard laïcard…

 

Qui ne faisait rien de moins que de faire son sacerdoce d’ouvrir aux Lumières vos « chères têtes blondes »…

Métier qui engouffre bien de vos impôts et taxes…

Mais métier nécessaire pour que vous puissiez vivre dans la dignité votre vie de citoyen…

 

Au moins un de ces barbares semble être ignorant de ce qu’est la dignité humaine.

Et il n’est pas tout seul à croire que son « Dieu » appelle au meurtre.

C’est tout simplement diabolique !

Même quand la chair de sa chair n’a pas une « tête blonde »…

L’attentat qui vient de se produire n’est hélas que la résultante de la mécanique du radicalisme islamiste.

Le ver est dans le fruit de l’islam.

Car des idéologues partisans d’un islam politique sortent du dire prophétique qui appartient à la sphère religieuse.

Et ils travaillent en permanence le tissu social pour créer un environnement mental favorable aux thèses les plus intégristes.

Dès lors, certains individus, les plus résolus, carencés, acéphales et violents, finissent forcément par basculer dans « l’action armée ».

Samuel Paty est la victime de cette logique mortifère, de cette volonté d’installer dans notre pays un régime totalitaire à prétexte religieux.

C’est le thème de « Soumission ».

Une version politique d’un dieu qui voudrait soumettre l’humanité à ses préceptes.

 

Les « croyants » sont-ils légitimes ? Leur dieu n’est-il pas assez omniscient pour faire lui-même la police dans la tête de tous les humains ?

Quel aveu de faiblesse… divine !

Car tu penses bien que si ça avait été le cas, il l’aurait fait depuis belle lurette et le monde vivrait en paix et dans sa divine harmonie.

Or, force est de constater que ce n’est pas le cas.

Ça n’existe même pas en vrai et encore moins en rêve : Il n’en est d’ailleurs même pas question dans les textes coraniques !

 

La stratégie conduite par les salafistes (ils seraient 231 déjà fichés) et par les Frères musulmans (près de 4.000 au pays), repose depuis toujours sur une stratégie de prise de contrôle progressif de territoires spécifiques par imprégnation progressive des esprits et des comportements.

Ce qui s’impose comme emblématique dans l’assassinat barbare de ce professeur d’histoire qui tentait simplement d’exercer son métier, c’est la lisibilité frappante de la solidarité entre le « soft power » islamiste et le djihadisme.

La République commence à être en danger lorsque ses serviteurs sont menacés de procédures, ou physiquement intimidés, parce qu’ils explorent et expliquent la liberté d’expression, fondement de notre régime laïque, j’allais dire religion-républicaine…

Disons seulement le pauvre précepte de neutralité qui se décline dans la libre opinion et sa libre expression, parfois choquante, mais justement, même choquante et caricaturale !

 

En réalité, que des parents veuillent faire céder les libertés individuelles devant une matrice de pensée « religieuse » nous apprend, dans le sang et la barbarie, la vérité du combat à mener par tous les adversaires du totalitarisme, qu’il soit islamiste, marxiste ou « trompien ».

 

Notons au passage que ce discours « religieux » se dissout dans une instrumentalisation politique.

Toute spiritualité qui se vit sereinement et épanouit l’âme, l’esprit et le corps apporte de la force à la « Gauloisie-républicaine ». Et justement, la laïcité lui permet d’exister, de cohabiter dans le respect de ceux qui ne trouvent pas leur espérance dans une transcendance, ou bien dans d’autre croyances, opinions ou religions.

Le fascisme, en revanche, est une plaie, un cancer qui revient de génération en génération au fil des époques.

À croire que nous n’en seront jamais guéris…

 

De surcroît, le contexte dans lequel nous vivons depuis mars 2020 rend encore plus cruel la dynamique du « deux poids/deux mesures ».

Alors que la population « gauloisienne » doit se plier à de multiples restrictions liées à la crise du « Conard-virus », certains territoires sont confrontés au retrait flagrant de l’État et de ses forces de sécurité.

Pour le dire encore plus clairement, le citoyen lambda se rend compte que les lois s’appliquent de façon très différenciée…

À cet égard, la notion même de couvre-feu pose un problème symbolique majeur.

C’est pourtant le fondement même du contrat social qui est bousculé : Comment les « Gauloisiens » pourraient-ils ne pas comparer les contraintes fortes pesant sur les libertés individuelles les plus fondamentales (depuis le confinement de mars) et la presque anarchie qui règne dans certaines zones, dites « sensibles », les « no-go-zones », où on peut attaquer des commissariats à coups de mortier et où des policiers sont blessés régulièrement ?

Pourquoi demande-t-on des efforts à la majorité (qui traumatisent le socle démocratique et libéral de notre société), tandis qu’une minorité de délinquants et/ou d’activistes idéologiques semble pouvoir tout se permettre ?

Est-ce acceptable ?

Ce déséquilibre de plus en plus prégnant revient à s’asseoir sur un volcan en activité en attendant l’éruption prochaine…

 

Nous sommes en réalité de plus en plus frappés, collectivement, par l'apparition extrêmement choquante, pour une République indivisible et jacobine comme la nôtre, d’une « Gauloisie-gruyère », ce que les experts voyaient se former lentement depuis plusieurs décennies.

Un peu partout dans l’Hexagone se déploient de véritables enclaves où les services publics reculent chaque jour davantage et où de nouvelles « régulations » se mettent en place : Celles du trafic de stupéfiants, du salafisme politique, de l’activisme de l’ultragauche, ou des communautarismes les plus variés.

Il arrive d’ailleurs trop souvent que l’on trouve certaines combinaisons des unes avec les autres.

 

Les citoyens souhaitent simplement que l’on applique la même loi partout.

Et ce n’est plus le cas depuis bien des années !

La barbarie de l’assassinat de Samuel Paty jette une lumière atroce sur ce phénomène de fragmentation territoriale et semble rendre manifeste une stratégie d’influence islamiste, un « soft power » totalitaire, celui de l’islam politique, qui ensemence le sol d’où jaillit la sauvagerie du djihadisme.

 

Une nouvelle étape vient d’être franchie, levant le voile sur la machinerie de manipulation salafiste qui mine l’ékole comme bien d’autres points névralgiques de l’espace social, politique et intellectuel.

Le projet de loi visant le séparatisme va devoir se montrer à la hauteur du danger d’étouffement de la République qui nous menace tous.

Le temps du sursaut est-il arrivé ? Souhaitons que oui, car le peuple pourrait à plus ou moins long terme se montrer moins docile avec ses dirigeants.

Je l’ai pressenti ce week-end place de la République.

Mais combien de temps cela va durer ?

Autant que « #JeSuisCharlie », ou le temps d’une manifestation monstre de République à Nation à l’occasion d’un « G80 » organisé à l’arrache par « Tagada-à-la-fraise-des-bois » ?

 

Or, comme seule réponse, « Jupiter » aura ouvert les ékoles de la République dès la sortie de la crèche.

C’est une bien mièvre réponse… puisque même les profs’ de collège s’autocensurent (quand ils ne sont pas sanctionnés par leur académie), en évitant d’aborder des questions qui pourraient fâcher les enfants « nés en Gauloisie-éternelle » – qu’elle reconnaît être les siens – alors qu’ils sont déjà sous influence de familles plus ou moins radicalisées.

 

J’entends déjà les bataillons clamer qu’il ne fallait pas autoriser ceci ou cela (naturalisation, regroupement familial, impatriation économique, etc.).

C’est faux : Le dignité humaine empêche de mettre tout le monde dans le même sac, bien évidemment !

Toutefois, il me paraît nécessaire que la réponse pénale soit la même pour tous, depuis le premier délit jusqu’aux crimes de sang.

Et peu importe la couleur de la peau, la religion, les opinions ou les origines ethniques : C’est marqué comme ça dans le texte depuis la Révolution !

Quitte à remplir les prisons, à en construire de nouvelles, à rouvrir le bagne : Il y a manifestement des personnes qui ne gagnent pas le droit de respirer le même air que moâ.

 

Les juges et le système judiciaire n’ont pas le droit ni la vocation à avoir le bras faible quand il s’agit d’appliquer la loi, toute la loi, rien que la loi.

Avec impartialité et équité, mais avec vigueur.

Sans ça il deviendra de « légitime défense » de le faire nous-mêmes, tôt ou tard, et ce sera un désastre pour nos institutions, notre pays, notre Nation, notre communauté.

Aussi la réponse doit désormais sortir de la niaiserie : Le « séparatisme » islamiste doit être condamné et poursuivi jusque dans les « caves à tournante ».

Sans exception.

On a assez de textes qui le permettent déjà.

 

Les préfets ont la possibilité, mais plus que ça, le devoir, de protéger l’ordre public et le pouvoir réglementaire sait y faire quand il s’agissait de la « manif’ pour tous », des « Gilets-jaunes » et de quelques autres de « haute mémoire », il l’a démontré.

Serait-il aveugle et insensible aux « Tchétchènes » ? Aux imams et mollahs radicaux ?

Au seul salafisme ?

N’est-il pas possible de bloquer des financements, de reconduire aux frontières des illégaux, ou de simples délinquants binationaux (tu violes les règles du pays d’accueil, tu dégages en passant d’abord par la case prison !), de confisquer des biens et même de pratiquer le « regroupement familial » à l’envers en jetant, frères et sœurs, enfants et conjoints dans le même mouvement de reflux des « séparatistes » hors du pays.

Ou alors notre police est si mal faite en plus que d’être suréquipée de moyens de rétorsion à n’en plus finir…

(Jusqu’à des « radars automatiques » pour soulager les effectifs…).

 

C’est quand même assez extraordinaire d’en arriver à s’attaquer à nos « Hussards de la troisième République » sans que même les syndicats d’enseignant, pourtant si puissants et parfois si nocifs, n’appellent pas à la grève générale des livres… et de l’enseignement.

Ou alors, ils se rendent compte tout d’un coup qu’à force d’avoir laissé se démolir l’ékole par petites touches au fil du temps, finalement, ils sont au moins coresponsables de leur faillite ?

Je ne sais pas…

 

J’attends la suite : Ce qui est sûr c’est qu’elle ne va pas plaire à tout le monde.

Il serait temps de sortir de l’angélisme anesthésiant, parce la prochaine fois, je ne sais pas qui en sera victime.

La rédaction d’un journal satirique, une salle de concert, des jeunes qui sirotent boulevard Voltaire (quel symbole !), d’autres qui assistent à un feu d’artifice, un curé, un supermarché, une fliquesse, un soldat, un colonel de gendarmerie, un couple de flic, et puis je ne sais plus qui encore, maintenant un « intello » de la tolérance républicaine, et à chaque fois des lois toujours plus liberticides.

Il serait vraiment temps de se ressaisir, me répète-je : Les loups vivent et prospèrent toujours au pays, parmi vous !

Merci pour eux… 

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