« Kung-Fu-Panda » a causé !
Que je m’imaginais déjà que pour le pont de l’Ascension, je pourrai
emmener « ma nichée » pour un méchoui-festif sur la plage de Calvi
(où à l’ombre de quelques criques isolées connues des seuls autochtones), bé
j’en suis tout désenchanté, décontenancé : Il n’en sera rien !
Damned !
Et déjà ce « députacrouille-godillot » de la majorité d’en
dire : « Je trouve le discours adapté à la situation ».
Il ne sait pas, lui dans quelle crotte je suis !
Le président du groupe « LREM-même-pas-en-rêve » à l’Assemblée,
aura même salué le discours : « Notre groupe approuvera cette
déclaration avec la gravité et la détermination que ce défi implique de
partager avec vous »
Pouvait-il prévoir autre chose ?
Naturellement, le ton est différent chez « Mes-Luches », au PCF
voire même chez « Dupont-Gnan-gnan ». Peut-il en être
autrement ?
« Ordres et contre-ordres se sont enchaînés, tant et si bien que
la confiance s’est brisée. » Pourquoi, elle avait existé ?
« Il ne faut pas croire que la libre motivation des individus va
suffire pour remplir les conditions du déconfinement » ou « Franchement
ça ne donne pas vraiment confiance dans la préparation, car de fait elle a été
faite à l’envers parce qu’ils veulent relancer la machine à faire des profits ».
Notez que je ne suis pas contre le principe de faire des profits, parce que
quand on en fait pas, on s’appauvrit à la vitesse grand « V »…
« Cette date du 11 mai devrait être l’aboutissement d’un processus
et pas le point de départ d’un retro-planning. » Ce qui n’est pas totalement
faux.
Chez « Dupont-Gnan-gnan » on déplore « la décision
totalement contradictoire du gouvernement » d’ouvrir les écoles au
printemps. Il « nous dit qu’il faut être prudent, et deux minutes après
il aborde le rassemblement de millions d’enfants sans masques dans le primaire. »
Un plan « pas sérieux. Il y a deux plans en un : celui du Premier
ministre, qui est plutôt précautionneux, et l’ordre du président de rouvrir les
écoles. »
Chez les « Républicains-démocrates », on regrette « un
déconfinement low cost » avec « beaucoup de recommandations et
peu d’obligations ».
« Nous n’avons pas confiance » dans le plan de
déconfinement du gouvernement, « difficilement applicable »
faute de masques et de tests et en raison d’« injonctions
contradictoires », en particulier sur la réouverture des écoles.
« Sans masques et sans tests suffisants, vous serez pris dans l’impasse
d’un déconfinement impossible. (…) Comme plus de six Français sur dix,
nous n’avons pas confiance, nous n’avons plus confiance ».
Ah oui, l’ont-ils jamais eue, eux aussi ?
Chez « Olive-Fort », le président du « P.Soce » (ou de
ce qu’il en reste), affirme que dans cette crise, « le gouvernement a
raté son rendez-vous avec le pays. Comme depuis 3 ans, le président fait seul,
et nous fait prendre à tous le risque d’échouer. » Et si ça réussi,
partagera-t-il ?
Au PCF on se dit « très inquiet » des incitations de l’exécutif
à « faire reposer la réussite du déconfinement sur le civisme des
Français ».
Il a raison : ça fait des années que ce « civisme » ne vote
plus pour les staliniens, contre le cours historique de l’Histoire : C’est
dire !
« Il faut faire la différence entre tenir compte de la réalité du
terrain et tout faire reposer sur le terrain. » Et de regretter
« l’absence de doctrine sur les masques » en plus de demander
leur gratuité.
Les salauds : Aucun pour me soutenir à offrir un méchoui de
déconfinement à « ma Nichée » !
Finalement, le seul qui me semble se montrer plus clairvoyant (même si je
le regrette), c’est « Floflo-Riant-Philip-petit-pot », qui estime que
« Édouard Philippe a présenté une énorme usine à gaz mal ficelée »
et que « le gouvernement est perdu depuis le début, il l’est sans doute
encore davantage aujourd’hui ».
Paumé, oui…
Plus une pique démagogique habituelle : « Il mettra donc des
frontières intérieures entre Français, alors qu’il refuse toujours de fermer
les frontières de la France. »
Facile et presque faux…
On n’est plus sérieux du côté syndical pour la Sgen-CFDT où « il
faut prendre le temps d’affiner encore les choses. Notre ligne directrice
depuis le début c’est pas trop vite, pas trop fort (…). Les choses
doivent être claires : si une école ne peut mettre en place le protocole, elle
ne rouvrira pas ».
Et de noter que « l’évolution majeure du décalage du calendrier du
lycée qui ouvrira au plus tôt, pour les lycées professionnels le 2 juin. Cela
pose la question de la légitimité de rouvrir des lycées pour seulement quelques
semaines ».
Eh ! Il faut bien qu’ils passent leurs épreuves du bac, non ?
Non : C’est déjà acquis !
Comment relancer l’économie tout en préservant la santé publique ? Après 43
jours de confinement, on se décide enfin à rendre leur liberté aux
« Gauloisiens-confits », sauf « si les indicateurs ne sont
pas au rendez-vous, il n’y aura pas de déconfinement le 11 mai. »
Chiens !
Le « Premier sinistre » a tout de même mis en garde contre « le
risque de l’écroulement » de l’économie si le déconfinement n’était
pas mis en œuvre « progressivement, prudemment ».
Dukono, elle est déjà à la ramasse !
Et d’« inciter (…) à la plus grande discipline »
d’ici au 11 mai, appelant « à lutter contre les risques de relâchement
que nous sentons monter dans le pays ».
Résultat, il est prévu qu’on pourra circuler sans attestation à partir du
11 mai, sauf « pour les déplacements à plus de 100 km du domicile, qui
ne seront possibles que pour un motif impérieux, familial ou professionnel ».
« Les rassemblements organisés sur la voie publique ou dans des
lieux privés seront limités à 10 personnes ».
Le méchoui, ce ne se fera pas à Calvi, mais chez moâ…
Il faut que je pense à faire les courses, acheter un agneau et creuser mon
plancher.
« D’une façon générale, il nous faut éviter les rassemblements qui
sont autant d’occasions de propagation du virus. (…) En attendant des
jours meilleurs, les mairies continueront à proposer, sauf urgence, le report
des mariages », a-t-il ajouté.
Se marier, franchement, après déconfinement, c’est un peu comme si on
sortait de son service militaire et qu’on prenait la première volontaire venue…
Les masques : Il est « préférable », dans « de
nombreuses circonstances », de « porter un masque »
comme le recommandent désormais les scientifiques (on s’en doutait : Je
vais m’inscrire à des cours du soir pour apprendre à le mettre…) et il a assuré
qu’il y aurait « assez de masques dans le pays pour faire face aux
besoins à partir du 11 mai ».
« Progressivement, nous parviendrons à une situation classique, où
les Français pourront sans risque de pénurie se procurer des masques grand
public dans tous les commerces », en invitant les entreprises « à
veiller à équiper leurs salariés » et les particuliers « à se
confectionner eux-mêmes des masques »…
Comme si on n’y avait pas déjà pensé…
« C’est une condition de la reprise ».
Et moâ qui pensait que la loi interdisait, depuis les affaires de tchador,
qu’on circule sur la voie publique le visage dissimulé…
La réouverture des écoles : 11 mai pour les crèches et le primaire
seulement. Mais avec des effectifs de 10 bambins en crèche (… manifestement, il
n’y connaît rien : à moins de 30/40 places, elles ne sont pas viables et à
10, ça s’appelle « micro-crèche » et non pas « crèche ») et
15 par classe dans le primaire.
Ça va être coton avec des effectifs surchargés de 30 à 35 par classe…
« Dans un deuxième temps, à compter du 18 mai, mais seulement dans
les départements où la circulation du virus est très faible, nous pourrons
envisager d’ouvrir les collèges, en commençant par la 6ème et la 5ème »,
a-t-il ajouté.
Quant aux lycées la décision sera prise fin mai pour le lendemain.
Du coup les élèves passant un bac général, technologique et professionnel
seront évalués cette année uniquement via le contrôle continu, en raison de
l’épidémie de coronavirus.
Ça on savait déjà : Il y a même des lycées « d’élite » qui
n’ouvriront pas. Leurs élèves plafonnent déjà leurs notes…
Il aura également demandé « avec insistance » aux
entreprises de maintenir le télétravail « partout où c’est possible, au
moins dans les trois prochaines semaines ».
Terminé le « métro-boulot-dodo », on passe au régime
« dodo-boulot-pipi-kaka-dodo » !
« Personne n’en ignore les contraintes mais celui-ci doit se
poursuivre pour limiter le recours aux transports publics et pour limiter plus
globalement les contacts. »
Il n’y aura donc pas « un avant et un après 11 mai »,
a-t-il affirmé.
En revanche tous les commerces, sauf les cafés et restaurants, pourront
rouvrir à compter du 11 mai mais avec des mesures de protection sanitaire,
notamment le port du masque, recommandé pour le personnel et les clients si la
distanciation est impossible.
Les préfets pourront néanmoins maintenir fermés les centres commerciaux de
plus de 40.000 m².
Et le gouvernement ne prendra une décision sur les bars, cafés et
restaurants que fin mai, pour décider s’ils peuvent ouvrir après le 2 juin.
Tous les marchés de plein air et halles couvertes pourront rouvrir à
partir du 11 mai s’ils sont en mesure de faire respecter les distances de
sécurité entre les consommateurs.
« Les marchés, pour lesquels l’interdiction est aujourd’hui la
règle et l’autorisation l’exception, seront en général autorisés, sauf si les
maires ou les préfets estiment qu’ils ne peuvent faire respecter les gestes
barrières. »
Conséquemment, la capacité des transports publics va être drastiquement
réduite pendant au moins les trois semaines suivant la fin du confinement le 11
mai, afin de respecter la distanciation sociale.
Tout « cela veut dire, par exemple, que la capacité du métro
parisien sera (…) drastiquement réduite par rapport à sa capacité
normale. Qu’il faudra (…) condamner un siège sur deux, favoriser, par
des marquages au sol la bonne répartition sur les quais, se préparer à limiter
les flux en cas d’affluence. »
C’était déjà galère, mais alors là, fera-t-on aussi la queue sur les
trottoirs devant les bouches de métro ?
Comment font donc les taxis et autre VPC ?
Quant aux déplacements interdépartementaux ou interrégionaux, ils seront
réduits « aux seuls motifs professionnels ou familiaux impérieux, pour
des raisons évidentes de limitation de la circulation du virus ».
« Nous allons continuer à réduire l’offre, à exiger une
réservation obligatoire dans tous les trains – TGV ou non –, à décourager les
déplacements entre départements ».
Le port du masque sera obligatoire pour tous les passagers dans les
transports publics pendant les trois semaines suivant la fin du confinement le
11 mai.
Sur la question épineuse des tests, le gouvernement compte faire tester
massivement les personnes présentant des symptômes du « Conard-virus »
et même d’installer des « brigades » dans chaque département pour
identifier leurs contacts, pour inviter à s’isoler toutes les personnes
positive.
On avait déjà les flics, les CRS, les brigades mobiles, les « voltigeurs »
(et que sais-je encore), on va avoir des « brigades sanitaires »…
Objectif disposer de 700.000 tests par semaine à partir du 11 mai et les
personnes testées positives seront invitées à s’isoler soit chez elles, ce qui
entraînera le confinement de tout le foyer pendant 14 jours, ou dans un lieu
mis à disposition, notamment des hôtels réquisitionnés.
Sur le projet sensible du traçage des données mobiles « StopCovid »,
« le débat est prématuré » mais lorsque l’application « fonctionnera
et avant sa mise en œuvre, nous organiserons un débat spécifique, suivi d’un
vote spécifique ».
Exit donc le vote de la loi devant l’autoriser dès mardi soir…
Car les questions de libertés publiques « me paraissent fondées. Elles
doivent être posées. Elles doivent être débattues ».
Euh, jusque-là, on les piétinait allègrement sans aucun débat, juste
quelques ordonnances…
Le plus drôle, ça reste tout de même cette initiative quant à
« coloriser » les départements. En effet, le déconfinement sera
différencié le 11 mai entre les départements « vert-écololo-bobo »,
où il sera appliqué largement, et « rouge-coco », où il
prendra une forme plus stricte.
Orange-MoDem, « ils » ne connaissent pas…
Pour cela, trois critères seront étudiés le 7 mai pour déterminer dans
quel département « la circulation du virus reste active », « les
capacités hospitalières en réanimation restent tendues » et « le
système local de tests et de détection des cas contacts ne soit pas
suffisamment prêt ».
Ça va être le pataquès : Mettra-t-on des barrages routiers aux
frontières des départements ?
Est-ce qu’avec ma plaque « 2B » (Haute-Corse) je vais pouvoir
circuler à « Paris-sur-la-plage » ?
Et puis 100 km à « Paris-sur-la-Seine », c’est seulement trois
fois le tour du périphérique qui entoure la Kapitale et ses plages…
Naturellement, les grands musées, les salles de cinéma, de concert et les
théâtres resteront fermés après le 11 mai, contrairement aux médiathèques,
bibliothèques et « petits » musées qui pourront rouvrir leurs portes.
« Parce qu’ils peuvent fonctionner plus facilement en respectant
les règles sanitaires, les médiathèques, les bibliothèques et petits musées, si
importants pour la vie culturelle de nos territoires, pourront rouvrir leurs
portes dès le 11 mai. A contrario, les grands musées qui attirent
un grand nombre de visiteurs hors de leur bassin de vie, les cinémas, les
théâtres et les salles de concert, où l’on reste à la même place dans un milieu
fermé, ne pourront pas rouvrir. »
Les touristes iront se faire voir ailleurs.
De toute façon, ils ne sont pas vraiment invités…
Dans la même veine, tous « les évènements qui regroupent plus de
5.000 participants (ne) pourront (pas) se tenir avant le mois de
septembre » !
On respire : Les matchs de série pourront se tenir à guichet (et
portes) ouverts, au stade de « Calvi-Balagne »
Car cette mesure concerne « les grandes manifestations sportives,
culturelles, notamment les festivals, les grands salons professionnels, tous
les évènements qui regroupent plus de 5.000 participants et font à ce titre
l’objet d’une déclaration en préfecture et doivent être organisés longtemps à
l’avance ».
Vous êtes privés de festival des « Vieilles charrues » (la
rançon du succès), de « Gay Pride », de « Nuit Blanche »,
de « Fête de la musique » et de « Techno-Parade » (et tant
mieux), en revanche les « folles nuits du couvent d’Alzipratu » pourront
se tenir, tout comme le « Festival de l’amande » à Aregno, celui de
la noisette à Cervione, les journées de Calenzana auront bien lieu, mais pas le
feu d’artifice du 15 août à Calvi…
« La saison 2019-2020 de sports professionnels, notamment celle de
football, ne pourra pas reprendre », douchant ainsi les espoirs des
différents championnats interrompus depuis mi-mars en raison de la pandémie.
D’ailleurs, les cérémonies religieuses, on vient de le dire, comme les
baptêmes ou mariages, ne pourront se dérouler « avant le 2 juin » :
« Les lieux de culte pourront continuer à rester ouverts. Mais je crois
qu’il est légitime de leur demander de ne pas organiser de cérémonies avant le
2 juin. »
Une « seconde chance » prolongée… sauf à imposer des « gestes
barrières », suppose-je (pour les pécheurs/pécheresses qui confinaient
ardemment ensemble).
En revanche, « les cérémonies funéraires resteront évidemment
autorisées » après le 11 mai, mais « dans la limite de 20
personnes ».
« Les cimetières seront à nouveau ouverts au public dès le 11
mai »… comme n’importe quel « jardin-public » ?
Bé non, justement ceux-là « ne pourront ouvrir que dans les
départements où le virus ne circule pas de façon active », les futurs
« verts-écololos-bobos ».
Et les « vieilles & vieux » ? Le gouvernement va leur demander
de « continuer à se protéger » après le 11 mai, en limitant
leurs contacts et leurs sorties : « Il faut qu’ils respectent des
règles similaires à la période de confinement » leur demandant « de
la patience », devant l’Assemblée nationale.
« En vous protégeant, vous protégez le système hospitalier »,
a-t-il ajouté.
Oui, mais ce sont des populations qui n’ont plus beaucoup de temps devant
elles, alors la patience…
« Il n’y aura pas de contrôle, pas d’attestation de sortie pour
les plus âgés d’entre nous. »
Enfin le plus important, si on a bien compris qu’après une première phase
de déconfinement le 11 mai, une nouvelle étape s’ouvrira le 2 juin après trois
semaines, et de nouvelles mesures qui dépendront du niveau de l’épidémie :
« Je donne rendez-vous aux Français à la fin du mois de mai pour
évaluer les conditions dans lesquelles nous organiserons une nouvelle phase de
déconfinement, et prendrons en particulier des décisions sur l’organisation des
cafés, des restaurants, des vacances. »
D’habitude, chez moâ, la question de vacances se pose dès le mois de
février… Juin, c’est un gros « retard à l’allumage », quasiment
intolérable : Je ne vous dis pas l’humeur.
Eh bien les plages resteront fermées au moins jusqu’au 1er juin !
Et ensuite ?
« Le milieu marin sera un allié dans la lutte contre le Covid-19 »
précise déjà le Maire de Biarritz. Selon lui, l’activité physique, l’exposition
au soleil et l’eau de mer stimulent les défenses immunitaires.
Mais il ne s’agira pas de laisser les touristes s’installer sur leurs
serviettes pour la journée. Il plaide pour « des plages dynamiques ».
Une formule utilisée en Australie où les gens sont autorisés à se baigner, à
surfer, à marcher dans l’eau… mais pas à prendre un bain de soleil ou
construire des châteaux de sable : Ils doivent quitter les lieux après avoir
pratiquer leur activité physique.
En Géorgie (États-Unis), où les plages sont ouvertes depuis début avril,
des véhicules de police sillonnent les plages pour rappeler à la population
qu’il est indispensable de garder ses distances de sécurité et qu’il est
interdit de s’allonger sur le sable…
Charmant !
En Nouvelle-Aquitaine, les responsables s’inquiètent d’un relâchement massif
de la population et d’un effet « coupe du monde » sur les plages, les aires de
stationnement et dans les lieux de restauration. Le contrôle de l’accès restera
donc en vigueur dans les semaines qui viennent. Ensuite, des restrictions
devront permettre de faire respecter la distanciation sanitaire indispensable
pour éviter une flambée du nombre de contamination au coronavirus.
En Italie, alors que la sortie du confinement est prévue pour le 4 mai,
les plagistes s’activent pour organiser l’accueil des touristes. Les plages
privées sont donc aménagées afin que les vacanciers restent à distance les uns
des autres : En installant des cordelettes, les responsables de plages privées
s’efforcent de laisser 1,50 mètre entre chaque transat et des allées sont
délimitées pour se déplacer d’un transat à la mer…
Et parmi les pistes explorées en Belgique notamment, un « Pass Plage » !
Il s’agirait de diviser les plages en zones délimitées afin de réguler
l’afflux de vacanciers, qui devront réserver leur place sur la plage. À moins d’un
accès limité à la plage : une baignage par semaine et par habitant ?
Une fréquentation limitée à 30 mn par personne ?
Des fous, des fous, que j’en dis…
Ils ne savent décidément plus comment vous gâcher la vie (pourtant si
courte et si menacée) pour bien vous faire sentir le « poids de
l’autorité » et votre condition de « soumis » !
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