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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 avril 2020

À propos de pandémie…

L’humour noir de Jean-Marc
 
Un matin St-Pierre reçoit une lettre recommandée de Lucifer, on y lit :
« Le chemin conduisant de chez-vous à chez-nous commence à être pas mal détérioré, cela est dû au fait que vous nous envoyez beaucoup de personnes.
Nous avons consulté nos avocats et selon eux vous devez en assumer entièrement les réparations. »
Un mois plus tard Lucifer reçoit de St-Pierre la réponse suivante.
« Nous avons cherché ici au paradis, un avocat afin de le consulter sur le sujet et nous n’en avons pas trouvé un seul.
Nous avons donc décidé d’assumer les frais des réparations. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul (en confinement sur leurs balcons respectifs mitoyens, chacun devant une bière…)
« – Sais-tu ce que c’est que la chirurgie ?
– Bof… On ouvre un mec en essayant de ne pas le tuer ?
– Non, pas du tout : C’est du « tripes-tease » ! »
 
Les mêmes philosophent :
« Pour arriver à quelque chose, il faut mettre de l’eau dans son vin jusqu’à ce qu’il ne reste plus de vin. »
 
Plus tard, après quelques bières et une discussion passionnante sur les religions, l’un d’eux conclue :
« Si Dieu existe, après tout, c’est son problème à lui, finalement ! »
 
Lettre trouvée dans le grenier de la maison du grand-père de Jean-Marc.
St-Cucufa
20 déc. 1944.
 
« Mon cher fils,
 
Je prends ma plume pour t’écrire au crayon car le chat a renversé l’encrier.
Nous allions tous bien, mais depuis que le docteur est venu nous sommes tous malades.
Je te dirai que depuis que tu es parti on s’aperçoit de l’absence de ta présence.
Tâche de faire un bon soldat comme ton père qui a eu 4 blessures, une à Madagascar, l’autre à la fesse, une à l’improviste, puis la dernière à bout portant.
Je t’annonce le mariage de ton oncle avec cette dame qui nous a tant fait rire à l’enterrement de ta cousine.
Fais bien attention, les cochons crèvent tous en ce moment.
Ton cousin Émile y a passé avec.
Il y aura une fête au village et il y aura une course d’ânes.
Monsieur le maire regrette que tu ne sois pas là, tu aurais certainement gagné le prix.
Si tes chaussettes sont brisées, envoie-moi les trous que je les raccommode.
Je t’envoie des chemises neuves que j’ai faites dans les vieux pantalons de ton père, quand elles seront usées, renvoie-les-moi que je t’en fasse des neuves à ta sœur.
Le vétérinaire est venu soigner les maladies des bêtes à cornes (taureaux et vaches) et il en a profité pour soigner ton père.
À part cela, rien de nouveau si ce n’est que la vache a eu un veau, le petit va toujours à l’école.
Si tu n’as pas le temps de m’écrire, écris-moi pour me le dire.
Ne fais pas d’imprudence et si tu tombes malade, viens mourir ici, ça me fera bien plaisir de te voir mourir avec nous autres.
 
Ta mère qui pense à toi quand elle tire les vaches.
Jeanne-Pauline »
 
Le fermier a un fils de 20 ans et il n’a pas de blonde.
Son père et sa mère trouve ça bizarre.
Le père dit à sa femme :
« Je vais ouvrir l’œil, je me doute de quelque chose de louche ».
Effectivement quelques jours plus tard il surveille discrètement et il voit son fils faire l’amour à une vache.
Il informe sa femme de la situation elle dit :
« Il va falloir faire quelques chose… Un psychologue peut-être ? »
Le père lui répond :
« J’ai une meilleure idée. Je vais aller à la ville et ramener ici une fille de vie pour une quinzaine de jours ».
Le père revient de la ville avec la fille et demande à sa femme où est son fils pour lui présenter la demoiselle, la mère dit :
« Il est à l’étable comme d’habitude ! »
La fille ajoute : « Laisser faire je vais aller le voir ».
Elle surprend le gars debout dans une brouette derrière une vache et elle lui dit :
« – Jeune homme, je suis ici pour réaliser tous vos désirs.
– Ha ? Alors, prend les manchons de la brouette et porte moi à la vache du fond. »
 
Un policier arrête un prêtre pour excès de vitesse!
« – Vous sentez l’alcool. Avez-vous bu ?
Montrez-moi cette bouteille qui est à l’arrière… »
Le prêtre se tourne et lui tend la bouteille.
« – Qu’est-ce que c’est ?
– De l’eau bénite. »
Le policier décapsule la bouteille, et sent…
« – Mais c’est du vin blanc !
– Ô Seigneur ! Vous avez oublié de la changer », dit-il alors les mains jointes.
 
L’inventeur de la motoneige, J.A.Bombardier, décède et s’en va au ciel.
St Pierre le reçoit…
« Vu que vous avez été un homme bon et que vos motos-neiges ont changé le monde, votre récompense sera de rencontrer Dieu directement. »
Dieu reconnaît J.A. et commente :
« – Ainsi, vous êtes l’inventeur de la motoneige !
Vraiment, y’a pas de quoi se vanter.
Il s’agit d’une machine instable, bruyante, polluante et qui ne peut même pas rouler sur la route.
– Excusez-moi, » répond J.A. Bombardier, vexé : « Mais n’êtes-vous pas l’inventeur de la femme ?
– Oui !
– Eh bien, de professionnel à professionnel, vous avez de graves défauts de conception dans votre invention.
– Ah ?
– Oh oui : Il n’y a pas de constance dans le design du parechoc avant.
Ça claque et ça caquette constamment à haute vitesse.
L’arrière est trop mou et branle trop.
Enfin, l’entrée est trop près de la sortie.
Et finalement, les coûts d’entretien sont élevés…
– Hummmm, vous avez de bons points-là ! » réplique Dieu. « Mais attendez… »
Dieu s’en va sur son ordinateur céleste et commande une analyse de la situation, qu’il imprime.
« C’est vrai qu’il y a des défauts dans mon invention, mais selon l’analyse, il y a plus d’hommes qui enfourchent mon invention que la vôtre ! »
 
Des Ummos sont réunis en congrès pour comprendre pourquoi les Kameulfs (et une bonne partie de la galaxie se moquent Ummos.
Un Kameulf demande au représentant des Ummos de monter sur la scène pour le rejoindre.
« Vous tous ici présent, nous allons vous montrer, une fois pour toutes, pourquoi nous vous moquons de Ummos. »
Le Kameulf appuie sa main sur un poteau de bois et demande à l’Ummo de frapper sa main.
L’Ummo hésite.
Après plusieurs demandes, finalement il se décide, prend un recul et frappe de toutes ses forces vers la main du Kameulf.
À la toute dernière seconde, ce dernier retire sa main et le Ummo frappe le poteau de bois de plein fouet, s’abimant les délicates tentacules de la main.
Le Kameulf regarde la foule des congressistes et dit :
« Vous voyez maintenant pourquoi on se moque de vous dans toute la galaxie ! »
De retour sur sa planète austère, l’Ummo fait un rapport aux autres Ummos des résultats de ce congrès.
Celui qui s’est fait mal à la main demande à un autre Ummo de le rejoindre au milieu de la salle.
Ne trouvant pas de poteau prêt de lui, il met sa main devant son propre visage et dit :
« Donne un coup de poing ! »
 
« Maman, maman, Jacques-Henri mange le journal ! »
La mère du petit Jacques-Henri lève la tête…
« Hum, ne t’en fais pas, c’est celui d’hier. »
 
Une petite « revenue » ?
Une vieille dame se présente à la Bundesbank avec un gros sac d’argent.
Elle insiste pour parler au président afin d’ouvrir un compte d’épargne parce que, dit-elle, elle a beaucoup d’argent.
Le caissier l’amène au bureau du président, le client ayant toujours raison à la Bundesbank.
Le président de la Banque lui demande combien elle aimerait déposer.
Elle lui répond : 16.500.000 !
Le président, piqué par la curiosité, lui demande comment elle a réussi à économiser autant d’argent.
La vieille dame lui répond qu’elle fait des paris licites.
« – Quel genre de paris ?
– Dans le genre je vous parie 2.500.000 que vos testicules sont carrés. »
Le président éclate de rire tout en lui faisant remarquer que ce genre de pari est impossible à gagner…
« – Aimeriez-vous le relever ?
– Certainement », répondit le président. « Je vous parie 2.500.000 que mes testicules ne sont pas carrés !
– Soit ! Toutefois, étant donné l’importance de la somme impliquée, je vais revenir avec mon avocat demain à 10 heures, comme témoin, si vous n’y voyez pas d’inconvénient.
– Aucun problème », lui répond le président tout confiant.
Ce soir-là tout de même, le président devient très nerveux et passe un long moment devant son miroir à examiner ses testicules, les retournant de tout bord tous côtés.
Aucun coin nul part.
Il est pleinement confiant de gagner son pari.
Le lendemain matin, à 10 heures précises, la vieille dame se présente avec son avocat dans le bureau du président et confirme le montant du pari de 2.500.000 fait la veille.
« Veuillez donc, s’il vous plaît, laisser tomber votre pantalon. »
Le président s’exécute avec complaisance.
La vieille dame s’approche pour voir ses testicules de plus près et lui demande si elle peut les toucher.
« Certainement ».
Nu depuis la ceinture, le président constate alors que l’avocat se frappe la tête sur le mur et demande à la vieille dame la raison d’une telle agitation, surprenante pour un homme de loi.
« C’est probablement dû au fait que j’ai parié avec lui 10.000.000 qu’aux alentours de dix heures ce matin, je tiendrais les couilles du président de Bundesbank dans mes mains ! »
 
Contrepèteries de la semaine passée :
 
« Léchez-moi le pinceau ! »
« Ce voyeur a tâté mon bout… »
« Son œil regarde l’organe avec envie ! »
 
Celles de la semaine :
 
« Le rédacteur en chef boucle l’édito. »
« Ah, le bras sur la chaise ! »
« Vous l’ignorez, mais le chef de l’ENA raffole du porto ! »
 
Bon week-end de confinement à toutes et à tous !
 
I3
 
 

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