Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 10 avril 2020

Jean-Marc va bien

La preuve par l’image :
 
 
 
Du coup, il m’a fait parvenir les « blagounettes » de la semaine : Il est tellement en forme que ce sont souvent des « revenues ».
Désolé.
 
Un Texan en voyage dans la Beauce.
Il croise un fermier Beauceron qui lui parle de son vaste domaine planté de blé.
Le Texan ne se laisse pas impressionner :
« – Yeah ! Moé, aussi mon terre est assez grand, que quand je pars de la maison le matin avec ma pick-up, j’arrive au bout de mon terre le soir au brunante.
– Ouais ! » lui répond le Beauceron… « J’en avais un pick-up de même et je l’ai vendu. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, sur leurs balcons mitoyens en plein confinement actif, assis devant une bière chacun :
« – Confidence pour confidence, nous avons été, ma femme et moi, parfaitement heureux pendant onze ans.
– Et ensuite ?
– Ensuite ? Nous nous sommes rencontrés… »
 
Germaine va chez le psy.
C’est la première consultation.
Elle a été « référée » par son médecin généraliste.
Le psy lui pose une série de questions pendant une vingtaine de minutes, puis il prend une tablette, et dessine un cercle.
« – Qu’est-ce que vous voyez ?
– Un pénis. »
Il dessine un carré.
« – Qu’est-ce que vous voyez ?
– Un pénis. »
Il dessine un triangle.
« – Qu’est-ce que vous voyez ?
– Un pénis.
– Vous voyez beaucoup de pénis comme ça ?
– Minute, si je comprends bien vous me traitez d’obsédée sexuelle.
Quand même, ce n’est pas moi qui dessine des pénis ! »
 
« – Patron, j’ai deux nouvelles : une bonne et une mauvaise
– Donnez-moi la bonne.
– Vous n’êtes pas stérile. »
 
Un petit gars très méchant, s’approche d’un autre qui est très laid.
« – Tu sais ce qui va t’arriver quand tu seras grand ?
– Non.
– Rien ! »
 
Encore une « revenue », mais un peu enrichie :
C’est Léon le routier derrière son volant qui chante pour passer le temps :
« Je m’appelle Léon, j’ai un beau camion et je m’en vais à Lyon ! »
Notre Léon croise une bonne-sœur faisant de l’auto-stop !
Homme charitable, Léon stoppe son 38 tonnes.
La sœur monte et les voilà repartis.
Quelques km plus loin, voilà la sœur qui commence à faire de l’œil à notre Léon et puis soudain, la sœur demande :
« Et si l’on se trouvait un coin tranquille ? »
Et le Léon interloqué :
« – Vous ma sœur ? Mais je croyais que les religieuses faisaient vœu de chasteté. Et ne dit-on pas que les voies du Seigneur sont impénétrables ?
– Par devant peut-être, mais pas par derrière vous savez, mon fils ! »
Là-dessus, le Léon passablement émoustillé par ce dialogue ne fait ni un ni deux et stoppe le 38 tonnes.
Et voilà Léon qui soulève la soutane de la sœur, et hop, il lui fait son affaire par derrière.
Ils reprennent la route, le temps passe, et une demi-heure plus tard Léon se remet à chanter :
« Je m’appelle Léon, j’ai un beau camion et je m’en vais à Lyon »
Alors la sœur l’accompagne :
« Je m’appelle André, je suis gai et je m’en vais au bal masqué. »
 
Un petit bonhomme fait un pari avec une femme corpulente, comme quoi il est capable de la faire jouir vingt fois par jour, à condition que ce soit dans le noir et que chaque demi-heure il sorte 2 minutes pour respirer.
La femme accepte, ils se couchent, et vers la 15ème fois, la femme n’en peut plus et demande d’arrêter, suite de quoi elle allume la lumière.
Ce faisant, elle voit un type bien désagréable et mal rasé.
« – Qui êtes-vous ? » demande la dame, affolée. « Où est le petit bonhomme avec des lunettes ?
– Celui qui vend les billets ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, toujours en confinement chacun sur son balcon devant une énième bière :
« – Hé ! Qu’est-ce qui ne va pas. Tu as l’air malade ?
– Ouais. Je ne dors plus. Je suis épuisé.
– À cause de quoi ? Tu as chopé le conard de virus ?
– Non ! Je ronfle, et mes ronflements me réveillent.
– Tu dois faire quelque chose. Tu as l’air d’un zombie.
– Oui, tu as raison. À partir de cette nuit, je vais dormir dans la chambre d’à côté. »
 
« – Papa, papa ! Dans mon devoir on me demande où est située la Croatie ?
– Bien… Euh… Apporte moi, la carte de France. »
Jean-Marc prend la carte et cherche… Paris, Lyon, Lille, Brest, Bordeaux, Marseille, Toulouse, Perpignan, Nice, Reims Grenoble, Saint-Étienne…
« Voyons, voyons ! Ça ne doit pas être si loin, il y a un Croate qui travaille avec moi et il me dit que ça lui prend 40 minutes pour venir au travail… »
 
C’est un couple de jeunes mariés juifs.
Il faut savoir qu’il y a une règle religieuse chez les feujs qui dit que les jeunes mariés ne peuvent pas faire l’amour pendant 21 jours après le mariage.
La première nuit, cependant, le mari demande à sa femme :
« – Tu peux me faire voir un peu ?
– Mais tu sais, c’est interdit par la religion ! » répond-elle.
L’homme dit :
« – Oui, mais regarder seulement, c’est pas un péché.
– Eh bien, soit ! Regarde pour cette fois ! » dit la femme et elle lui fait voir.
La nuit suivante il recommence :
« Est-ce que tu peux me faire toucher ? Toucher une fois et ce sera tout, je te promets. »
La jeune mariée, un peu contrariée et hésitante cède enfin aussi à cette deuxième demande.
Mais voilà la troisième nuit, le mari de nouveau :
« – Est-ce que tu pourrais me faire sentir ?
Ah non, maintenant tu commences à me tanner vraiment ! »
Mais le mari insiste :
« Je te promets que je veux seulement sentir et c’est tout. »
Son épouse, lasse, lui permet de le faire.
Mais quand le mari a senti, il dit à sa femme :
« Et avec cette odeur-là, t’es sûre que ça va se conserver après 20 jours ? »
 
« Écrivez sur une feuille, ce que vous feriez si vous gagnez un million à la loterie. »
Les élèves déposent leur travail sur le bureau du professeur avant de sortir de la classe.
Le lendemain, le professeur livre ses commentaires à la classe mais il demande à au fils de Jean-Marc pourquoi il lui a remis une feuille blanche ?
« C’est ça, je n’ai rien écris parce que je ne ferais rien. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, sur leur balcon devant une autre bière :
« – Tu sais combien faut-il de féministes pour changer une ampoule ?
– Bé non. Des blondes, peut-être, mais des féministes…
– Réfléchis un peu pour une fois…
– Ah oui : Aucune, elles le font faire par leur homme ! »
 
Jean-Marc roule à 180 km/h sur l’autoroute.
Il se fait bien sûr arrêter par un policier.
« Soyez gentil. J’arrive du golf. C’est mon anniversaire. Ma femme et mes enfants m’attendent pour le dîner. »
Le policier constate sur le permis de conduire que c’est bel et bien l’anniversaire de naissance de Jean-Marc.
« – Bon… OK… Je ne vais pas assombrir votre jour de fête.
– Merci. Merci. Vous êtes très gentil monsieur l’agent.
– Je vais dater la contravention d’hier. »
 
Deux femmes qui ne s’apprécient pas, se rencontrent dans un party.
« Décidément, Aline, tu ne changes pas : Toujours aussi vieille ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, toujours sur leur balcon devant une autre bière :
« – Qu’est-ce que les gens faisaient après l’amour, avant l’invention de la cigarette ?
– Ah bé je ne sais pas…
– Moi non plus…
– Alors, pourquoi tu te poses des questions sans réponse ?
– Bé, comme toi : Je ne sais pas… »
 
Contrepèteries de la semaine passée :
 
« Jean-Marc est à la fête de la trique ! »
« Jean-Marc a aussi une belle paire de couilles. »
« Qu’est-ce que j’en ai su dépuceler, s’exclame-t-il ! » 
 
Celles de la semaine :
 
« Laissez-moi le pain chaud ! »
« Ce voyou a tâté mon beurre… »
« Son âne regarde l’orgueil avec envie ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
 
 

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