La preuve par l’image :
Du coup, il m’a fait parvenir les « blagounettes »
de la semaine : Il est tellement en forme que ce sont souvent des « revenues ».
Désolé.
Un Texan en voyage dans la Beauce.
Il croise un fermier Beauceron qui lui
parle de son vaste domaine planté de blé.
Le Texan ne se laisse pas impressionner :
« – Yeah ! Moé, aussi mon terre
est assez grand, que quand je pars de la maison le matin avec ma pick-up,
j’arrive au bout de mon terre le soir au brunante.
– Ouais ! » lui répond le
Beauceron… « J’en avais un pick-up de même et je l’ai vendu. »
Jean-Marc et Jean-Paul, sur leurs
balcons mitoyens en plein confinement actif, assis devant une bière chacun :
« – Confidence pour confidence,
nous avons été, ma femme et moi, parfaitement heureux pendant onze ans.
– Et ensuite ?
– Ensuite ? Nous nous sommes
rencontrés… »
Germaine va chez le psy.
C’est la première consultation.
Elle a été « référée » par son
médecin généraliste.
Le psy lui pose une série de questions
pendant une vingtaine de minutes, puis il prend une tablette, et dessine un
cercle.
« – Qu’est-ce que vous voyez ?
– Un pénis. »
Il dessine un carré.
« – Qu’est-ce que vous voyez ?
– Un pénis. »
Il dessine un triangle.
« – Qu’est-ce que vous voyez ?
– Un pénis.
– Vous voyez beaucoup de pénis comme ça
?
– Minute, si je comprends bien vous me
traitez d’obsédée sexuelle.
Quand même, ce n’est pas moi qui
dessine des pénis ! »
« – Patron, j’ai deux
nouvelles : une bonne et une mauvaise
– Donnez-moi la bonne.
– Vous n’êtes pas stérile. »
Un petit gars très méchant, s’approche
d’un autre qui est très laid.
« – Tu sais ce qui va t’arriver
quand tu seras grand ?
– Non.
– Rien ! »
Encore une « revenue », mais
un peu enrichie :
C’est Léon le routier derrière son
volant qui chante pour passer le temps :
« Je m’appelle Léon, j’ai un beau
camion et je m’en vais à Lyon ! »
Notre Léon croise une bonne-sœur faisant
de l’auto-stop !
Homme charitable, Léon stoppe son 38
tonnes.
La sœur monte et les voilà repartis.
Quelques km plus loin, voilà la sœur qui
commence à faire de l’œil à notre Léon et puis soudain, la sœur demande :
« Et si l’on se trouvait un coin
tranquille ? »
Et le Léon interloqué :
« – Vous ma sœur ? Mais je croyais
que les religieuses faisaient vœu de chasteté. Et ne dit-on pas que les voies du
Seigneur sont impénétrables ?
– Par devant peut-être, mais pas par
derrière vous savez, mon fils ! »
Là-dessus, le Léon passablement
émoustillé par ce dialogue ne fait ni un ni deux et stoppe le 38 tonnes.
Et voilà Léon qui soulève la soutane de
la sœur, et hop, il lui fait son affaire par derrière.
Ils reprennent la route, le temps
passe, et une demi-heure plus tard Léon se remet à chanter :
« Je m’appelle Léon, j’ai un beau
camion et je m’en vais à Lyon »
Alors la sœur l’accompagne :
« Je m’appelle André, je suis gai et
je m’en vais au bal masqué. »
Un petit bonhomme fait un pari avec une
femme corpulente, comme quoi il est capable de la faire jouir vingt fois par
jour, à condition que ce soit dans le noir et que chaque demi-heure il sorte 2
minutes pour respirer.
La femme accepte, ils se couchent, et
vers la 15ème fois, la femme n’en peut plus et demande d’arrêter,
suite de quoi elle allume la lumière.
Ce faisant, elle voit un type bien
désagréable et mal rasé.
« – Qui êtes-vous ? »
demande la dame, affolée. « Où est le petit bonhomme avec des lunettes ?
– Celui qui vend les billets ? »
Jean-Marc et Jean-Paul, toujours
en confinement chacun sur son balcon devant une énième bière :
« – Hé ! Qu’est-ce qui ne va
pas. Tu as l’air malade ?
– Ouais. Je ne dors plus. Je suis
épuisé.
– À cause de quoi ? Tu as chopé le
conard de virus ?
– Non ! Je ronfle, et mes ronflements
me réveillent.
– Tu dois faire quelque chose. Tu as
l’air d’un zombie.
– Oui, tu as raison. À partir de cette
nuit, je vais dormir dans la chambre d’à côté. »
« – Papa, papa ! Dans mon
devoir on me demande où est située la Croatie ?
– Bien… Euh… Apporte moi, la carte de France. »
Jean-Marc prend la carte et
cherche… Paris, Lyon, Lille, Brest, Bordeaux, Marseille, Toulouse, Perpignan,
Nice, Reims Grenoble, Saint-Étienne…
« Voyons, voyons ! Ça ne doit
pas être si loin, il y a un Croate qui travaille avec moi et il me dit que ça
lui prend 40 minutes pour venir au travail… »
C’est un couple de jeunes mariés juifs.
Il faut savoir qu’il y a une règle
religieuse chez les feujs qui dit que les jeunes mariés ne peuvent pas faire
l’amour pendant 21 jours après le mariage.
La première nuit, cependant, le mari
demande à sa femme :
« – Tu peux me faire voir un
peu ?
– Mais tu sais, c’est interdit par la
religion ! » répond-elle.
L’homme dit :
« – Oui, mais regarder seulement,
c’est pas un péché.
– Eh bien, soit ! Regarde pour cette
fois ! » dit la femme et elle lui fait voir.
La nuit suivante il recommence :
« Est-ce que tu peux me faire
toucher ? Toucher une fois et ce sera tout, je te promets. »
La jeune mariée, un peu contrariée et
hésitante cède enfin aussi à cette deuxième demande.
Mais voilà la troisième nuit, le mari
de nouveau :
« – Est-ce que tu pourrais me faire
sentir ?
– Ah non, maintenant tu commences à
me tanner vraiment ! »
Mais le mari insiste :
« Je te promets que je veux seulement
sentir et c’est tout. »
Son épouse, lasse, lui permet de le
faire.
Mais quand le mari a senti, il dit à sa
femme :
« Et avec cette odeur-là, t’es sûre
que ça va se conserver après 20 jours ? »
« Écrivez sur une feuille, ce
que vous feriez si vous gagnez un million à la loterie. »
Les élèves déposent leur travail sur le
bureau du professeur avant de sortir de la classe.
Le lendemain, le professeur livre ses commentaires
à la classe mais il demande à au fils de Jean-Marc pourquoi il lui a
remis une feuille blanche ?
« C’est ça, je n’ai rien écris
parce que je ne ferais rien. »
Jean-Marc et Jean-Paul, sur leur
balcon devant une autre bière :
« – Tu sais combien faut-il de
féministes pour changer une ampoule ?
– Bé non. Des blondes, peut-être, mais
des féministes…
– Réfléchis un peu pour une fois…
– Ah oui : Aucune, elles le font
faire par leur homme ! »
Jean-Marc roule à 180 km/h sur
l’autoroute.
Il se fait bien sûr arrêter par un
policier.
« Soyez gentil. J’arrive du
golf. C’est mon anniversaire. Ma femme et mes enfants m’attendent pour le
dîner. »
Le policier constate sur le permis de
conduire que c’est bel et bien l’anniversaire de naissance de Jean-Marc.
« – Bon… OK… Je ne vais pas
assombrir votre jour de fête.
– Merci. Merci. Vous êtes très gentil
monsieur l’agent.
– Je vais dater la contravention
d’hier. »
Deux femmes qui ne s’apprécient pas, se
rencontrent dans un party.
« Décidément, Aline, tu ne changes
pas : Toujours aussi vieille ! »
Jean-Marc et Jean-Paul, toujours sur
leur balcon devant une autre bière :
« – Qu’est-ce que les gens
faisaient après l’amour, avant l’invention de la cigarette ?
– Ah bé je ne sais pas…
– Moi non plus…
– Alors, pourquoi tu te poses des
questions sans réponse ?
– Bé, comme toi : Je ne sais pas… »
Contrepèteries de la semaine passée :
« Jean-Marc est à la fête
de la trique ! »
« Jean-Marc a aussi
une belle paire de couilles. »
« Qu’est-ce que j’en ai su dépuceler,
s’exclame-t-il ! »
Celles de la semaine :
« Laissez-moi le pain chaud ! »
« Ce voyou a tâté mon beurre… »
« Son âne regarde l’orgueil
avec envie ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
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PS : N’oubliez pas mon « gardien »
et « sa bibliothèque »
A propos, merci à "Zac", le lillois, pour le cliché de Jean-Marc !
RépondreSupprimerI-Cube