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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 13 avril 2020

On va rentrer dans le vif du sujet !

On vit une époque vraiment formidable…
 
Certes, nous vivons tous en « résidence-surveillée », bientôt tracés par nos téléphones et montres connectées et gare si on s’éloigne sans attestation… électronique.
Avec moâ, je ne sais pas comment ils vont faire : Je vais ressortir mon vieux « Doro » de dépannage (bon… les cartes SIM ne sont pas les mêmes, mais je vais me débrouiller) et ma montre Lip à remontoir mécanique d’un siècle dépassé (qu’il faudra que je mette à l’heure), pour aller faire quoi, M’ssieur l’agent ?
Bé acheter une cartouche d’encre pour mon imprimante, tiens donc, et imprimer mon attestation dérogatoire exceptionnelle (et faire le plein d’alcools forts…), bigre !
 
Ceci dit, le « confinement », ça n’a pas que des inconvénients : On va enfin savoir si les guignols qui savent tout mieux que quiconque de mon propre bonheur, avaient bien prévu dans leurs « Kriegsspiel » toutes les conséquences de leurs décisions.
Une époque formidable qui « teste les modélisations » en direct !
Après tout, ils mettent plus de 6 millions de personnes au chômage plusieurs semaines d’affilée, ils ferment usines, bars et chantiers mettant à genoux l’économie du pays à un niveau jamais atteint (et dire que je pensais qu’on avait tout vu entre « Mythe-errant » et « Tagada-à-la-fraise-des-bois » du temps où il faisait « Capitaine de pédalo » dans le civil…), et en plus ils sont imités à peu près partout autour de la planète : Plus de la moitié « d’actifs » mondiaux devenus « oisifs » en quelques semaines et ce n’est pas fini.
Quand les USA vont réellement s’arrêter, là, ça va faire du bruit…
Autrement dit, on teste « in vivo » les « crash-tests » les plus délirants !
Merveilleux…
Une époque vraiment formidable, vous dis-je.
 
Les premiers tests avaient été imposés aux banques : Elles résisteraient à n’importe quelle crise, même celle passées des « subprimes », nous avait-on assuré.
Elles vont résister à celle-là, parce que bon, la planche à billets tourne sans répit, que l’argent c’est devenu gratuit, qu’on va même pouvoir le distribuer les yeux fermés par hélicoptère !
Je vous avais prévenu il y a quelques mois qu’ils avaient enfin trouvé la recette magique et ultime : Formidable !
Et comme ce pognon va bien tomber quelle que part, les circuits ne s’arrêteront pas. Tout ce qu’ils risquent c’est qu’il y en ait trop qu’on va pouvoir tapisser nos murs avec des billets de banque.
Une époque formidable…
 
Peut-être iront-ils beaucoup trop loin. Mais comme ils n’avaient pas le choix face à l’épidémie, ils ont pris l’économie mondiale, l’ont mise dans une voiture et ils ont lancé cette voiture à toute vitesse contre un mur.
Maintenant nous allons sortir les mannequins de la voiture et voir à quoi ils ressemblent : Une expérience unique et en « live ».
Mieux que tous les scénarios les plus fous de la téléréalité !
Vous pourrez au moins dire que vous avez connu ça…
Au moins une fois dans votre vie !
 
Naturellement, il est bien trop tôt pour avoir les résultats de ce crash-test, évidemment, puisque nous ne savons même pas si l’expérience est tout à fait terminée. Ils nous assurent que l’économie mondiale devrait repartir et alors on va bientôt savoir ce qui va sortir de la voiture dont le capot est totalement plié…
Mais il y a déjà des réalités qui transparaissent.
Première constatation (intermédiaire…) : Sans l’État et son immense bienveillance, l’économie capitaliste ne fonctionnerait pas !
 
Aujourd’hui, quand une crise se produit, on s’attend à ce que l’État fasse un miracle pour compenser les effets négatifs de la crise. Pas pour l’amortir seulement, non, la compenser entièrement !
Si je perds 3 mois de chiffre d'affaires, l’État doit me donner un chèque équivalent : C’est devenu un droit !
Et il doit obliger la banque à me faire crédit. C’est devenu un droit !
Notez que ce n’est déjà plus du capitalisme, mais de l’économie « administrée » postmarxiste triomphante !
Inutile de vous dire tout le bénéfice que certains esprits ne manqueront d’utiliser pour se rebeller contre « le système » (ex-ante) sans se rendre compte qu’heureusement nos « sachants », bons petits-soldats dudit « système », ont su l’inventer.
 
Deuxième constat : Sans la BCE, donc sans l’Europe, la plupart des pays de la zone euro ne fonctionneraient pas. À commencer par la « Gauloisie-souveraine », nous serions tous en faillite.
Un vrai sujet pour les « souverainistes », « national-populiste-anti-européens ».
Ils vous diront que ceux de l’UE qui ne sont pas dans l’Eurozone, s’en sortent tout de même.
L’Euro oui, mais que ce soit les Polaks ou les Hongrois (et quelques autres), ils seront tous bien contents de trouver une oreille attentive à Bruxelles !
Notez aussi que nous sommes déjà en faillite depuis bien longtemps, mais ça ne se voit pas parce que le « Franc-Pinay-révisé » est noyé dans une devise (l’Euro) inattaquable par les spéculateurs internationaux qui n’ont pas les moyens contre la monnaie unique.
Manquerait plus que ceux-là s’enrichissent sur la pandémie qui vous confine !
 
D’ailleurs, et troisièmement, les banques commerciales ne sont plus des banques… commerciales : Elles sont devenues des distributeurs d’argent gratuit distribué par la Banque centrale européenne et garanti par la BPI.
La BPI c’est qui ?
Globalement, c’est vous, mais vous ne le savez pas.
Notez que pour ma part, j’ai « romancé » sur le sujet depuis 10 ans et les « milliards manquants » de la Division Daguet engagée dans la guerre du Koweït en 1990/1991.
Pour moâ, et les indices sont nombreux et concordants, ces sommes-là cachées à l’opinion publique ont été recyclées dans les trois PIA successifs lancés par les trois derniers Président de la République.
On va finir par tresser des lauriers à « Mythe-errant » d’avoir mis de côté cette « cagnotte » dans le dos de tout le monde…
 
Les banques sont, désormais et de fait, nationalisés et européanisés. Devenues des agences nationales de la BCE. Cela leur évitera de provoquer la prochaine crise.
Mais ne leur dites surtout pas qu’ils sont devenus fonctionnaires : Les « chefs » si, ils savent déjà puisqu’ils sont tous issus des meilleurs cénacles étatiques, mais pas les autres en « back et front-office » qui persistent à l’ignorer.
 
Naturellement, ne seront aidées par la BPI ou par le gouvernement, donc indirectement par la BCE, que les entreprises qui ont une chance de survivre !
Les autres, « non indispensables », on va s’en débarrasser.
Celles qui étaient déjà faibles avant cette crise du « Conard-virus » vont disparaître, demain ou dans quelques mois, ou quelques années : C’est normal, c’est la loi de la jungle, celle du plus fort.
Dans quelques années, il faudra « gérer » un énorme problème social et ça va commencer tout de suite après le « déconfinement » et le début des « déconfitures ».
Et les entreprises qui pensaient qu’être rentable était un concept du passé vont devoir courir après une nouvelle levée de fonds, la énième, qui ne viendra peut-être pas. Du coup, les plus forts vont être encore plus forts, beaucoup plus forts !
Celui qui a du cash sera le « roi du pétrole ».
Une époque formidable, vous rappelle-je…
 
Qui, j’espère, va remettre un peu de plomb dans le crâne de quelques « sachants » délirants.
Pensez, votre « Sinistre de l’économie et de la finance » en relit même ses bouquins d’Histoire : Au début, il nous parlait de 1929. Maintenant il nous parle de 1945. Demain il va nous faire la guerre du Yom-Kippour en passant par la case 1968, pour finir par 2008 et la crise de la dette…
C’est dire le « céciteux » !
Une époque formidable, je confirme.
 
Justement, à propos de pétrole, certains vont évidemment noter que la planète a mieux respiré quand on a appuyé sur l’interrupteur de la croissance économique !
En Europe, par exemple, on mesure 58 % des émissions de CO2 en moins depuis le début de la crise : Les « écolologistes » et les aspirants « écolologistes » ne vont pas oublier les effets « bénéfiques » de la « décroissance ».
Quitte à ce que la « décroissance » imposée (il va falloir s’habituer à ce mot) aura pour contrepartie la mort du tissu social : Ils vont pouvoir essayer d’en recréer un à la mesure de leurs utopies !
 
Ça va être saignant quand j’entends déjà les « sachants » tester de nouvelles idées, sur le « vivre à la campagne », le « télétravail », les « mobilités à réinventer », le « bien manger » etc.
Laissez-moi en rire : Mettre les villes à la campagne… déjà que quand les ruraux voient débarquer les citadins pour se confiner à la campagne ou à la montagne…
Ils appellent ça la « génération spontanée » !
Le « télétravail », c’est sympa, mais ça reste « dégradé ».
Les « mobilités », d’accord, on peut en rêver quand on est confiné, mais il faudrait déjà penser à recycler tout ce qui aurait été dépensé inutilement…
Et je ne parle pas des ronds-points à un million le bout que ça a bien pris, mais pas tant que ça, un peu partout en Europe : Il y avait tellement de budgets à dépenser…
Le « bien manger », c’est aussi assurer la logistique qui va avec et ça creuse les inégalités sociales…
Faut savoir ce qu’on veut finalement : Si c’est le beurre, l’argent du beurre et la crémière « en même temps », ça va faire du mal à la crémerie, figurez-vous !
 
J’ai même lu une de ces « utopies-bandantes » dans un « canard-très-bien-très-chic » du soir qui part du constat que depuis le début du mois de mars, un contre-choc pétrolier menace de déstabiliser l’économie mondiale : La chute de la demande pétrolière causée dans un premier temps par le ralentissement de l’activité en Chine, puis par la généralisation du confinement de plus de la moitié de l’humanité est en effet historique.
Une situation d’autant plus préoccupante qu’elle se double d’une violente guerre des prix menée par la Russie et l’Arabie saoudite pour contester le récent leadership des États-Unis dans la production de l’or noir.
Admettons.
Pour cet « éditorialiste » cette crise va laisser des traces.
Je veux bien le lui concéder comme d’un pléonasme qui s’ignore.
 
Je suis d’accord pour affirmer que la baisse de la demande d’or-noir risque d’être durable, puisque les contraintes du confinement vont lourdement peser sur le transport mondial, bien au-delà de la levée progressive des mesures de restriction de déplacement.
D’ailleurs personne n’imagine à court terme un retour à la normale du trafic aérien, encore moins une explosion des échanges internationaux.
Si la pandémie peut être contenue, tant qu’un vaccin n’aura pas été mis au point, le virus risque de ressurgir périodiquement, ce qui pèsera sur le rythme des échanges et l’expérience forcée de la généralisation du télétravail devrait aussi contribuer à relativiser le caractère indispensable de bon nombre de déplacements.
Pas de soucis puisque la brutalité de la crise à venir va peser lourdement sur l’activité économique mondiale et diminuer mécaniquement la demande en pétrole.
 
En 2008, après la crise financière, cette baisse avait été temporaire. Mais les enjeux sont cette fois-ci différents. Les engagements pris par les États dans le cadre de l’accord de Paris sur le climat avaient engagé la réflexion sur une diminution de la consommation de pétrole : C’est toujours vrai.
Mais là où ça déraille, c’est quand il est affirmé que « cette crise doit inciter à passer enfin de la théorie à la pratique. »
Ça déraille parce que « la théorie », surtout en économie (et en sociologie), est toujours issue, ex-post, de la pratique.
Il faudrait tout de même que les « sachants » se rendent compte un jour que le monde n’a pas été organisé comme par miracle : « Bon demain, on applique quoi comme théorie économique ? Et si on essayait le capitalisme ? Non, moi je suis pour tenter une expérience de collectivisme avancé ? »
Ce n’est pas comme ça que ça fonctionne…
 
Ce que le gars redoute c’est que les prix bas du marché pétrolier deviennent un prétexte « pour abandonner les efforts engagés afin de limiter les effets du changement climatique ».
« Ils sont au contraire un leurre : Ils font croire à l’abondance de pétrole, alors que les découvertes sont au plus bas et que seul le pétrole non conventionnel, comme les sables bitumineux au Canada ou les pétroles de schiste américains, est en croissance, avec des coûts faramineux, qui ne sont désormais plus soutenables pour les producteurs. »
Dès lors, l’Europe peut (et doit), en réduisant fortement sa consommation de pétrole, en limitant drastiquement ses émissions de CO2, se libérer de sa dépendance vis-à-vis des États producteurs.
Un grand rêveur qui en dit que le « comportement brutal et égoïste des dirigeants des trois principaux producteurs, les États-Unis, la Russie et l’Arabie saoudite, pourrait alors se retourner contre eux ».
J’aime ben l’emploi du conditionnel : « Pourrait » seulement !
 
Et de conclure que « cette transition » est d’autant plus souhaitable que les pays européens ont les moyens industriels et politiques de la mettre en œuvre.
C’est vrai : on peut couvrir le pays de centrales nucléaires… voire d’en inventer des « plus petites » à multiplier partout, parce que ça fonctionne bien, plutôt que de faire des monstres ingérables.
Et de nous donner « SA » recette : « Pour cela, l’Union européenne doit être plus offensive afin de rebâtir sa souveraineté dans les énergies renouvelables et développer les modes de transport et les infrastructures pour accompagner ce mouvement. Ce projet devra être au cœur du gigantesque plan de relance qui sera nécessaire afin de sortir de cette crise. C’est une occasion historique pour mettre fin à notre addiction au pétrole. »
« Historique », pas moins !
Quand je vous dis que c’est une époque formidable…
 
Encore un qui ne s’est pas encore rendu compte que l’urgence, ce n’est pas de refaire des infrastructures onéreuses pour remplacer ce qui existe déjà, mais de parvenir à s’immuniser tous d’une façon ou d’une autre contre le « Conard-virus ».
C’est magnifique les effets de l’autisme associé à la trisomie, je n’en démords pas !
Comme « crash-test », le résultat est à la hauteur de ce qu’on savait déjà…
 
En réalité, on n’a globalement qu’une petite décennie pour se préparer à la prochaine pandémie venue d’Asie. Et ce n’est pas en érigeant partout des éoliennes qu’on l’arrêtera !
Parce qu’il y en aura d’autres, des épidémies, comme tous les ans, avec une sur dix qui devient vraiment gravissime pour l’espèce humaine.
C’est comme ça.
J’en suis bien à ma septième pandémie (mondiale) depuis que ma première goulée d’air frais inspirée, en comptant celle du SIDA, le MERS et le SRAS …
Alors les konneries du torchon qui publie ce genre d’ânerie, franchement (en plus ça noircit les doigts), ça s’appelle de la m… (étron) !
Et ça salit les fesses !

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