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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 avril 2020

Jean-Marc est très inquiet

Sa femme s’est mise au jardinage !
 
 
 
Merci à « Zac » !
 
Il se demande bien quelle plantation elle prépare en cette cinquième semaine de confinement ! 

 
« – Tu sais quoi ? » demande Jean-Marc à Jean-Paul, en plein confinement actif, assis chacun sur leurs balcons contigus, devant une chope de bière :
Non, quoi encore ?
– Le Président du Mexique vient de demander à son homologue américain d’accélérer la construction de son mur ! »
 
Le juge écoute l’accusation, et regarde l’accusé.
« – Mais je vous connais. Vous êtes passé devant moi, il y a deux ans pour le même vol. Vous avez volé un vélo de compétition.
– Oui, oui, c’est ça. Mais la technologie évolue tellement rapidement que je n’ai pas le choix si je veux rester à la mode. »
 
Un hippie monte dans un bus et va s’asseoir près d’une religieuse sur le siège situé juste derrière le chauffeur.
Le hippie la regarde et lui demande si elle aimerait faire l’amour avec lui.
La nonne est surprise (forcément), décline l’offre poliment et descend dès le premier arrêt.
Le bus redémarre et le chauffeur se tourne vers le hippie et lui dit :
« Si tu veux, je sais comment tu dois t’y prendre pour que cette nonne consente à faire l’amour avec toi. »
Le hippie ne demande pas mieux.
Alors le chauffeur lui explique que tous les mardis soirs, la nonne va au cimetière pour prier pour le repos de l’âme des défunts et il ajoute :
« Tu n’as qu’à t’y rendre vêtu d’une toge blanche, avec tes longs cheveux, tu pourras te faire passer pour Dieu et lui commander de faire l’amour avec toi. »
Le mardi soir arrive, le hippie déguisé attend la religieuse dans le cimetière.
Comme prévu, elle arrive.
Alors le hippie s’approche d’elle sans se faire voir et dans la demi-obscurité lui dit : « Je suis Dieu, j’ai entendu tes prières et je les exaucerai, mais d’abord il faudra que tu fasses l’amour avec moi. »
La religieuse est embêtée car elle veut garder sa virginité.
Alors elle propose à Dieu qu’il la prenne par derrière.
Le hippie est d’accord et va tout de suite s’affairer sur la nonne.
Une fois son affaire faite, le hippie dit à la religieuse :
« Hé, hé, je ne suis pas Dieu, je suis le gars qui s’est assis près de vous dans le bus ! »
Et la nonne répond en enlevant son costume :
« Hé, hé, moi je suis le chauffeur du bus ! »
C’était une « revenue » récente, celle de Léon le chauffeur de camion qui va à Lyon et embarque une religieuse en stop…
Mais améliorée !
 
Deux copines de bureau prennent un cappucino.
« – Tu sais, je suis persuadée que mon chef à une liaison avec sa secrétaire.
– Arrête ! Tu dis ça pour me rendre jalouse. »
 
Un jeune couple de la banlieue parisienne sont très malheureux parce qu’ils ne peuvent avoir d’enfant.
Le médecin qui les examine est formel, c’est le mari qui est stérile.
Le mari alors demande au médecin s’il peut leur suggérer une solution.
« Si j’étais vous, je partirais en vacances très loin, où personne ne vous connaît et (s’adressant au mari) j’organiserais ma femme avec un beau jeune homme, bien fait et en bonne santé, quand vous reviendriez elle serait enceinte et personne ne verrait la différence. »
Après mûres réflexions le couple décide de suivre la suggestion du médecin.
Ils vont donc à Ibiza dans un chic hôtel, s’assoient dans le bar et attendent l’occasion.
Tout à coup un bel hidalgo se présente dans le bar : 1,90 m, 95 kg de muscle et beau au regard ténébreux !
Un vrai modèle !
Le mari approche l’hispanique et n’a aucun problème à le convaincre de coucher avec sa très jolie femme.
Ils montent à la chambre et le mari s’assoit et sirote son scotch.
Il en sirote même deux, trois, quatre, même cinq.
Il lui semble que ça prend beaucoup de temps mais se dit que ça en vaut la peine.
Au bout de quatre heures, il voit revenir l’hidalgo les yeux brillants, la gueule fendue jusqu’aux oreilles et lui demande :
« – Comment ça été ?
– C’était merveilleux ! Quelle femme ! WOW ! Nous l’avons fait dans le lit, sur le plancher, sur la table, dans la chaise longue, par devant, par derrière et si je n’avais pas manqué de préservatif, j’y serais encore ! »
 
Un beauceron, millionnaire, rentre d’un séjour fabuleux d’une semaine à Acapulco.
Il téléphone à son ami Jean-Marc.
« – Hé ! J’ai rencontré une fille extraordinaire.
Elle a vingt-huit ans et elle est folle de moi.
Est-ce que je dois lui dire que j’ai 67 ans, ou bien je lui dis 57 ?
– Non, non, dis-lui que tu as 77, ça sera encore mieux. Crois-moi ! »
 
Jean-Marc joue souvent à nocturne au bowling et au squash.
Il rentre parfois très tard, puant de tous les pores de la peau et prend une douche avant de se coucher auprès de Germaine, son épouse.
Un samedi soir, sa femme décide pour lui qu’il devrait sortir car il est trop occupé à pratiquer ses sports durant la semaine.
Elle l’amène donc voir les danseuses nues.
En entrant dans le bar, le portier lui dit :
« Salut Jean-Marc ! »
Sa femme, intriguée, lui demande s’il vient souvent ici et Jean-Marc lui dit non et que c’est un gars avec qui, il fait parfois des parties de bowling.
Rendus dans le bar, la serveuse vient le voir et lui demande :
« Une grosse bleue comme d’habitude, mon Jean-Marc ? »
Germaine commence à avoir quelques doutes et elle lui dit qu’elle le soupçonne de venir souvent à cet endroit.
Jean-Marc lui répond que non, et c’est juste une fille qui jouait au squash avec lui. Deux minutes plus tard, une danseuse lui demande : 
« Une p’tite danse à dix, comme d’habitude, mon Jean-Marc ? »
Là, Germaine, furieuse le sort du bar par le collet, elle l’embarque dans un taxi et elle commence à l’engueuler comme du poisson pourri.
Le chauffeur du taxi se retourne alors et dit :
« Wouah… T’as gaulé une vraie folle-furieuse ce soir mon Jean-Marc ! »
C’est également une très, très, mais très-très vieille revenue !
Comme quoi, rien ne se perd jamais…
 
Deux religieuses se promènent à travers un bois.
Soudain, elles sont attaquées par deux voyous.
« – Seigneur », dit la plus jeune, « pardonnez-leur car ils ne savent ce qu’ils font.
– Non, non, » dit l’autre, « le mien se débrouille très bien ! Je le connais ! »
 
Une dernière, puisqu’actuellement, avec le confinement, Jean-Marc m’oublie !
C’est un homme d’affaires qui va au Japon.
Le soir, il s’embête tout seul dans son hôtel, alors il va … aux putes !
Il monte avec une belle petite japonaise.
Il commence à s’amuser un peu et passe rapidement aux choses sérieuses.
Il a un peu bu, pour oublier sa femme.
Lors des ébats la japonaise ne cesse de crier :
« それは間違った穴です, それは間違った穴です ! »
Mais notre homme ne comprend pas le japonais et ses exceptions culturelles, et sur le coup, il n’a pas envie de sortir son dictionnaire.
Comme elle crie très fort, il comprend qu’il assure un max !
De retour en France, il doit recevoir son homologue japonais pour conclure un contrat.
Il l’amène au golf et lors du parcours, le Japonais réussit un très beau coup.
Alors l’homme d’affaires se décide à l’encourager avec un petit mot japonais :
« それは間違った穴です !».
Le japonais se retourne alors et lui dit :
« Comment ça, le mauvais trou ? »
 
Nouveau règlement du chef :
 
Règle 1 : Le chef a toujours raison.
 
Règle 2 :  Dans le cas fort improbable où un subordonné aurait raison, l'idée du subordonné devient automatiquement l'idée du chef.
 
Règle 3 : Le chef ne dort pas au travail. Il médite.
 
Règle 4 : Le chef n’est jamais en retard. Il est retenu ailleurs.
 
Règle 5 : Le chef ne quitte jamais son travail avant l’heure. On a besoin de lui ailleurs.
 
Règle 6 : Le chef ne lit jamais son journal au travail. Il s’informe sur l’actualité économique et ses concurrents.
 
Règle 7 : Le chef ne prend jamais de liberté avec sa secrétaire. Il fait son éducation.
 
Règle 8 : Le chef est toujours le chef. Même en slip de bain.
 
Règle 9 : Quiconque entre dans le bureau du chef avec ses propres opinions doit en ressortir avec celles du chef.
 
Règle 10 : Si vous avez un doute, conformez-vous à la règle numéro 1.
 
Nouveau règlement intérieur :
 
1 – Quand tu mets longtemps pour accomplir une tache, tu es lent.
Quand ton patron met longtemps, il est méticuleux.
 
2 – Quand tu ne fais pas ton boulot, tu es paresseux.
Quand ton patron ne fait pas le sien, il est trop occupé.
 
3 – Quand tu commets une erreur, tu es un idiot.
Quand ton patron commet une erreur, il est seulement humain.
 
4 – Quand tu fais quelque chose sans qu’on te l’ait demandé, tu outrepasses ton autorité.
Quand ton patron le fait, il fait preuve d’initiative.
 
5 – Quand tu maintiens ta position, tu es entêté.
Quand ton patron le fait, il est ferme.
 
6 – Quand tu ne respectes pas le protocole, tu es grossier.
Quand ton patron le fait, il est original.
 
7 – Quand tu contentes ton patron, tu es lèche-cul.
Quand ton patron contente son patron, il est coopératif.
 
8 – Quand tu n’es pas dans ton bureau, tu glandes.
Quand ton patron n’est pas dans son bureau, il est en affaires.
 
9 – Quand tu es en congé maladie, tu es toujours malade.
Quand ton patron est en congé maladie, il doit être gravement malade.
 
10 – Quand tu envoies des blagues, c’est du courrier inutile.
Quand ton patron le fait, c’est de l’humour.
 
Contrepèteries de la semaine passée :
 
« Le rédacteur en chef boude les clitos. »
« Ah, le chat sur la braise ! »
« Vous l’ignorez, mais le chef de l’État raffole du porno ! »
 
Celles de la semaine :
Une classique :
« Mettre le doigt entre deux caisses pour boucher le trou du fond…»
« Le temps fait passer l’amour… »
« Ici, vous trouverez de superbes chambres au mois ! »
 
Bon week-end de confinement à toutes et à tous !
 
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