Et les médias « officiels » se taisent…
Il n’y a probablement pas de lien entre la pandémie généralisée
et mondiale du « Conard-virus » (quoique…), mais on vient d’annoncer
que il n’y aura probablement plus de neige au pôle-nord en 2050 mais que le « Bilan Massique de Surface » (SMB), c’est-à-dire la différence
entre l’accumulation et l’ablation (par sublimation et par fonte) de la calotte
glaciaire du Groenland (la grande île de l’Atlantique nord que « McDo-Trompe »
voulait racheter au Danemark), un critère essentiel à la survie d’un glacier,
vient d’augmenter subrepticement.
Et pas qu’un peu…
Les changements du bilan de masse contrôlent en fait le
comportement à long terme d’un glacier et sont des « indicateurs
climatiques » parmi les plus sensibles.
Non mais rappelez-vous, il y a encore peu, « on
vous faisait pleurer » à chaudes larmes en vous matraquant d’images
de « pôvres-ours-polaires » désemparés sur un glaçon fondant à
vitesse grand « V » sur la grande bleue, pour attirer votre attention
sur le supposé l’évident « réchauffement global » (c’est scientifique
et vos dons sont les bienvenus…) ; on vous rendez anxieux en vous énonçant
les catastrophes à venir quant à l’élévation du niveau des mers (et tous ces futurs
îlots engloutis même à marée basse), la disparition prochaine de la Grande Barrière
de Corail, jusqu’au massacre « extinctif » de la biodiversité…
globale et jusqu’à vous annoncer que le trou d’ozone avait pris ses quartiers
au pôle-nord !
Et comme ça ne suffit pas, on te vous dit que vos
plastiques d’emballage sont ingérés par les tortues marines et même le plancton.
En fait, pas du tout…
C’est vous dire si j’en rigole encore !
D’abord, la « science en marche » a trouvé
la façon de recycler les PET avec un enzyme glouton qui s’en repait (on en
parlera une prochaine fois)
Ensuite, en dépit de décennies de prophéties
pessimistes, la calotte glaciaire du Groenland est actuellement en train de
gagner une quantité monstrueuse de « masse », 27 gigatonnes au cours des 5
derniers jours seulement (14 – 18 avril 2020) !
27 milliards de tonne de flotte congelée qui n’iront
pas irriguer vos plaines fertiles, coincée au Groenland, les ours-polaires sont
sauvés, alors qu’on persiste à vous affirmer l’inverse par ailleurs (mais pas dans les même réseaux de médias) !
Dommage, hein : C’était si beau de se croire en
été perpétuel dans le siècle à venir…
Sur le plan scientifique, grâce à ces gains
substantiels en termes de bilan massique au cours des dernières années, la
calotte glaciaire du Groenland semble devoir poursuivre cette tendance en
2019-2020.
Donc, du 14 au 18 avril 2020, la plus grande île du
monde a ajouté un monstre de plus de 27 gigatonnes à sa calotte glaciaire et selon
les « réchauffistes », cela ne devrait tout simplement pas se
produire dans un monde en réchauffement !
Rien de moins…
Quand même curieux cette nature qui dit « m… »
(étron) aux prévisionnistes avec solennité imprévisible !
D’ailleurs, il vaut mieux ignorer ce que vous hurle « dame
nature », c’est moins stressant pour les « stresseurs-anxiogènes »
subventionnés (par vos impôts) !
En fait, cela pourrait aussi bien ne pas se produire
car des développements comme ceux-ci ne reçoivent JAMAIS l’attention des
médias, ce qui signifie que les alarmistes ne sont JAMAIS au courant de la
situation complète et si peu alarmante…
C’est vous dire que le « Conard-virus »
attaque bien le neurone !
Même celui des « super-sachants » les plus
affûtés…
En réalité, on ne vous le dit pas, mais depuis
septembre 2019 – début officiel de la saison – les pics de SMB au-dessus de la
moyenne journalière de 2/2,5 gigatonnes se produisent régulièrement.
À la mi-novembre, la plaque avait gagné la somme
impressionnante de 10 gigatonnes en une seule journée.
Dans la foulée, les deux premiers jours de décembre
ont enregistré un nouveau gain de 14 gigatonnes.
Un gain de 7 gigatonnes a été enregistré le 6 février.
Puis un autre de 6 gigatonnes le 28 mars.
Toute ces apports ont eu pour résultat que le « SMB »
de cette saison se situe confortablement dans la moyenne 1981-2010, et dépasse
les gains de l’année dernière d’après l’Institut météorologique danois.
De toute façon, ces gains les dépassent maintenant de
loin la fonte des « glaçons à ours-polaire » : « Ils »
vont avoir du mal à faire de nouvelles clichés d’ours pêchant à la dérive.
On va probablement vous ressortir les mêmes, tiens
donc : C’est si bon de vous angoisser un maximum !
(Même qu’ils sont servis avec le « Conard-virus »,
pour une fois : Tous planqués de frousse dans vos chez vous respectifs…)
En outre, la masse totale de neige pour l’hémisphère
nord continue de dépasser la moyenne, le dernier point de données (6 avril)
indiquant que la neige est supérieure de plus de 500 gigatonnes à la norme (une
autre vérité du monde réel dont on nous a dit qu’elle serait impossible à
l’heure actuelle : GIEC 2001 : « Des températures hivernales plus douces
diminueront les fortes tempêtes de neige… »)
De plus, l’étendue de la couverture neigeuse en
Amérique du Nord approche également des niveaux sans précédent pour cette
période de l’année.
Même là-dessus, « McDo-Trompe » peut dire qu’il
avait raison…
C’est ainsi que se forment les glaciers.
C’est aussi comme cela que les périodes glaciaires
commencent.
Et elles peuvent commencer incroyablement vite, aussi
– prenez simplement comme exemple les chutes de neige de l’automne 2019 à Great
Falls, MT et regardez donc la vitesse incroyable à laquelle la neige s’est
accumulée dans cette ville du nord des États-Unis…
Tout le monde s’en souvient encore.
Dans les faits, les basses latitudes regèlent en
fonction d’une activité solaire historiquement faible, de rayons cosmiques qui
nucléent les nuages et d’un courant jet méridional tellement puissant que le
record de la traversée de l’Atlantique a été battu il y a quelques mois avec un
jumbo-jet commercial.
Que ça en a surpris plus d’un, y compris les pilotes
qui n’auront pas touché la prime des vols de plus de 6 heures !
Depuis, ils sont consignés au sol… mais pour d’autres
raisons.
Même la NASA est d’accord, en partie du moins, avec
ses prévisions pour le prochain cycle solaire qui révèlent qu’il sera « le
plus faible des 200 dernières années », l’agence établissant une
corrélation entre les périodes de baisse d’activité solaire précédentes et les
périodes prolongées de refroidissement global.
En bref, le « réchauffement global » est en
train de faire « Pschitt » comme en aurait dit « le Chi ».
Moâ, ça m’inquiète.
J’entends que je serai bien heureux de revoir
apparaître les « neiges éternelles » sur le « Monte-Cinto »
que je mirais en été au village quand j’étais jeune.
Notez que je ne vais plus au village, mais depuis
Calvi, on pouvait voir qu’elles étaient réapparues l’été dernier.
Il faut absolument que je vois si elles ont progressé
cet été…
Mais je reste tout de même dubitatif sur la pousse de
mes tomates et sur la qualité (et teneur en alcool) des raisins des vignes
voisines.
Et pour tout vous dire, je m’imaginais bien, pour mes
vieux jours, de planter une bananeraie sur les terrains restés en friche maquisarde :
Tu penses, de la banane Corsa, on n’avait pas encore vu ça…
Bé je sens que ce sera pour une autre vie (si je
reviens, parce que bon, là, je ne suis pas sûr d’en avoir vraiment envie…)
Mais il n’y a pas que ça : Si une mini ère
glaciaire se profile, c’est l’agriculture qui va être malmenée. Or, environ 30 %
de la population mondiale vit désormais dans des régions climatiques sujettes à
des canicules meurtrières au moins 20 jours par an nous affirmait-on.
Les fortes pluies et les inondations qui en découlent
créent des conditions favorables à l’apparition de diverses épidémies, dont de
choléra.
Dans les pays où cette maladie est endémique, il est
estimé qu’1,3 milliard de personnes sont ainsi menacées, selon l’ONU.
Si on échappe à ce désastre humanitaire prévu,
anticipé, modélisé, calculé par les « réchauffistes », c’est autant
de bouches à nourrir en plus…
Je sais, c’est cynique de ma part.
Mais si le climat refroidit, ce sont les productions
agricoles qui ne vont pas pouvoir suivre…
Dit autrement, les « courbes se croiseront » !
Et tout ça à cause de quoi ?
Mais de cette jambonnette chinoise de « Conard-virus »
dont on ne se débarrasse pas, tiens donc !
Tu réfléchis deux secondes : Tout roule
jusque-là, on pollue toujours plus, on salope notre belle planète-bleue et hop,
tu balances un virus nouveau dans la nature et il se met à proliférer avec
succès !
Et là, tout s’arrête brutalement, plus personne ne
veut de pétrole extrait des sables saoudiens (et d’ailleurs), la pollution
recule et re-hop, le pôle-nord se refroidit sévère…
Et ma « bananeraie-Corsa » restera dans ses
cartons : Le drame !
On n’est même plus capable de ramasser les récoltes faute
de bras (qu’il faut faire appel à la « réserve-sanitaire » et demain
à l’armée) et déterrer les patates bretonnes.
Même le muguet annuel finira en compost !
Et moâ, je m’inquiète (c’est anxiogène à souhait, même
pour mon foie) pour les vendanges 2020 !
Conclusions apocalyptiques : Que tu chauffes ou
que tu refroidisses, de toute façon ce sont toujours les mêmes dont il est
prévu qu’ils trinquent pour tous les autres.
Conclusion de la conclusion : On se fout donc de
ta tronche dans les grandes largeurs (longueurs et profondeurs) !
Du moment que tu payes (ou tes gamins), c’est la
continuité du « monde d’avant » qui esclavagise (par le fric et la
trouille) toutes les générations qui passent depuis une éternité.
Bonne fin de week-end à toutes et à tous tout de même !
I3
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