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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 29 avril 2020

Fragilité économique

Quelle que part, c’est terrifiant.
 
Tout d’abord, et ce n’est pas moâ qui le prétend mais « Lyne-Sait-tout de vous » qui l’affirme : D’un mois sur l’autre nous sommes en équivalent annuel à – 35 % d’activité !
Un chiffre supérieur à mes attentes (et prévisions/prédictions). Normal, on met la moitié du personnel en confinement sévère (soit plus de 10 millions de personnes) et au chômage technique (tous ces « gueux inutiles »), alors que quelques-uns persistent encore à télé-travailler pour se croire indispensable, irremplaçable, notamment dans les administrations (hospitalière, territoriale, nationale) au moins ceux qui sont sur le terrain et ceux dans les administrations centrales qui essayent, pour une fois, de bosser, même de loin (dans les ékoles notamment).  
Pour les hôtels et restaurants, en données corrigées de ceux qui font encore un peu de vente à emporter, nous en sommes à – 91 % !
Oui-oui, – 91… une pure folie économique.
Tout ça parce que personne n’avait su prévoir que les stocks de masques n’étaient pas à la hauteur…
 
Terrible, on s’était foutu de la tronche de « Bâche-l’eau-le-pompon-rose » avec ses doses de vaccins contre le H1N1 (la grippe du connard), mais « dans les Services », on savait depuis 2018 qu’on manquait à peu près de tout pour traiter un peu plus de monde que d’habitude si tout  le monde se bousculait aux urgences…
Que même la gêne était si pitoyablement patente qu’on vous a sorti que, de toute façon, ce n’était pas la peine de sortir les masques, puisque vous ne saviez pas les mettre, et que ça va devenir obligatoire d’ici la prochaine étape du déconfinement !
Pour un « foutage-de-gueule », il a atteint des sommets olympiques, celui-là…
Gouvernés par des « autistes », ni plus ni moins.
Qui, en parfaits « trisomiques », n’ont rien trouvé de mieux que d’arrêter le pays tout entier.
 
Petit résumé vu par les statisticiens de « Lyne-Sait » :
« Selon les informations disponibles au 23 avril 2020, l’activité économique française serait en baisse de 35 % par rapport à une situation normale. L’ordre de grandeur de la perte globale reste le même que celui estimé le 26 mars puis le 9 avril, avec néanmoins une perte un peu moindre dans l’industrie et la construction, probablement du fait de la réouverture de certaines usines et certains chantiers.
Depuis la publication du 9 avril, l’estimation a été enrichie de données administratives et de nouvelles remontées plus fines de fédérations ou d’entreprises. Enfin, la perte d’activité économique estimée est cohérente avec la répartition des salariés selon leurs conditions d’emploi mesurée par l’enquête Acemo-Covid de la Dares. »
Effectivement, ça ne fait environ que 42 % des meks qui déclarent bosser…
Cohérent.
Enfin presque.
 
« S’il était suivi d’un retour immédiat à la normale, un tel décrochement de l’activité économique se traduirait par une perte de l’ordre de 3 points de PIB annuel par mois de confinement. L’impact global du confinement sera certainement supérieur, car la reprise ne sera a priori pas immédiate et sera probablement d’autant plus lente que la durée du confinement aura été importante ».
Trois points, c’est donc le « minimum syndical ».
J’en compte entre 4 et presque 5 par mois.
 
En réalité, ça va être pire : 3 à 5 fois supérieur quand on sait que les transports publics (perpétuellement en déficit et qui ont coûté tant depuis la moitié de l’autre siècle, celui d’avant le dernier) ne rouleront pas à « plein tube » avant longtemps et que même « Air-Transe » n’imagine pas un retour « à la normale » avant 2 ans…
Bon, eux vendent du transport aérien (et du rêve) et c’est clair qu’on ne va pas vous faire rêver avant longtemps : Ce serait gâcher la période hyper-anxiogène du moment, pensez donc !
Quand je pense que même des gamins ne veulent plus sortir de chez eux tellement ils se sentent en « insécurité » à l’extérieur, c’est vous dire que ça marquera longtemps les esprits que cette inconséquence étatique !
Ne leur jetons pas non plus le pavé en travers de la tronche trop vite : Qu’aurions-nous décidé à leur place avec les éléments qu’ils avaient ?
Ceux qui disent qu’ils savent, ce sont naturellement des imbéciles-crades : C’est trop facile après-coup !
« Pas du jeu » comme en disent les gamins qui se font flouer.
 
Pour le reste, je ne sais pas si vous avez remarqué ce qui saute aux yeux.
Dans mes posts, je vous ai toujours dit qu’il n’y avait que deux activités possibles.
Les « vendeurs-assis » et les « vendeurs-debout » (même dans le « public »).
Le premier attend le chaland (son « public ») pour faire son office économico-social, le second va au-devant de son « client » pour lui fournir ce dont il a besoin.
Et qui donc se promène sans entrave dans les rues, boulevards, routes et chemins ?
Uniquement le « vendeur-debout » !
 
Avec toutefois une exception de taille : La bouffe et la picole (sans ça tout le monde crèverait de faim)…
C’est d’ailleurs ce qui sauve (du pillage) ce qui reste encore debout dans l’économie.
Que ce soit la « bouffe et la picole » ou les médocs, toute la chaîne logistique, depuis l’extraction de la matière première jusqu’à sa livraison en « officine » en passant par son conditionnement et la mise sur étagère, ça turbine sans heurts et force « autorisations dérogatoires ».
D’ailleurs, le secteur « agroalimentaire » (pas encore les pharmaciens et toubibs de ville), à défaut de RHF (Restauration hors du foyer, cantine, restaurant d’entreprise, drugstore, bar, brasserie, endroits festifs & gourmets et autres « McDo & Co »), un repas sur deux tout de même, s’est mis à la « vente debout » : Livraison à domicile, vente à la chine directement sur le trottoir avec « micro-rendez-vous », celui qui ne fait pas ça, il jette sa camelote.
Je vais vous dire, même le vendeur de matelas calvais, habituellement « vendeur-assis », s’y est mis… m’en dit « mon Gardien » !
Sa coiffeuse aussi…
 
Là, c’est une vaste révolution des habitudes : Je ne vois pas encore le « café du coin » venir te servir sa tasse de « Café-rhum » matinal dans mon salon. Ni même le « Picon-bière » méridien, mais ça va venir.
Même si la brasserie de dessous de chez ma Môman lui portait son plateau-repas jusque sur son balcon quand elle tenait encore sur ses jambes (assez pour se lever, s’habiller et aller ouvrir la porte…).
 
Et pourtant, c’est l’avenir, les « d’jeuns » : Uber et d’autres l’ont parfaitement compris et anticipé avant vous, comme mus par quelques « prédictions » devenues réalités !
Même « Interflora » et depuis des décennies…
Uber mais aussi les Moocs, le télé-enseignement, la formation professionnelle en vidéo, les Meetic et autres (plus de plan-drague en boîte de nuit : Finies les rencontres romantiques au clair de Lune, il n’y a plus que les propriétaires de canins qui peuvent faire) et même les toubibs de ville y sont venus !
Ce n’est pas pour rien que les majors du film et divertissements (y compris les joueurs en ligne) se sont reconvertis au téléchargement à outrance contre les courants de l’époque de leurs créations : Ils savaient ou disposaient d’une boule de cristal !
 
Livreur-ripeur est nécessairement un métier d’avenir. Alors que comédien, artiste, mannequin, pas certain, puisque « l’événementiel », les musées, les congrès, les festivals, les salles de concert, les théâtres, les cinémas, les manifestations (sociales et autres) seront soumises à de telles conditions coercitives que l’envisager, c’est presque criminel tant qu’on n’aura pas trouvé un remède efficace et/ou un vaccin…
De toute façon, un vaccin ou un médoc préventif nouveau vendu un bras tous les ans ou tous les mois, n’empêchera pas une autre saloperie de se répandre par ailleurs un jour ou l’autre : Il vous faudra vivre avec le risque permanent de se faire terrasser par plus petit que soi à l’improviste !
C’est vous dire si c’est bien « anxiogène » à souhait…
 
Une « révolution » culturelle qui en annonce une autre, industrielle et nouvelle : Vous n’êtes plus obligé de sortir de chez vous, d’ailleurs ce sera bientôt interdit au moindre prochain prétexte, le fournisseur vient chez vous, comme le plombier !
Le dentiste, lui, il va avoir des problèmes…
Tellement prévisible…
Quant à ceux qui n’ont pas de « chez eux », ils resteront exposés jusqu’à ce qu’il n’en reste plus…
Une façon comme une autre de lutter contre la « pôvreté » : Tu la fais crever, pardi !
 
C’est d’ailleurs en ce sens que l’opération « confinement » est une vaste répétition pour le jour prochain où les « Maître du monde » en auront décidé.
Il sert à détecter les « failles » pour remédier aux plus criardes : Il faut s’assurer que les « flux » monétaires sur lesquels ils font leur beurre ne sont pas totalement grippés.
Ils ont même revu les mesures de couvre-feu généralisé pour le grand soir « du lendemain »… c’est dire !
Que ça ne marche pas très bien dans les « no-go-zones » de banlieues ni même celles du XVIème arrondissement de « Paris-sur-la-plage »…
Les « zones », ce n’est pas très grave : Ils se reproduisent assez vite pour fournir de la main-d’œuvre peu coûteuse et totalement inculte encore pour quelques générations avant d’être remplacés par des robots, mais dans le « chicos » triangle « Neuilly-Auteuil-Passy », ça fait désordre…
D’ici à ce qu’on « invente » des robot-cops à reconnaissance faciale et une palanquée de sanctions invivables, il n’y a pas loin : On utilise bien des drones pour vous pourchasser, désormais…
 
La grande victime, c’est l’industrie du loisir.
Le tourisme c’est mort : Même s’ils sont autorisés à recevoir du public cet été, de toute façon, ils ne sont pas sûrs d’ouvrir s’il faut faire tourner seulement une table sur deux, dédoubler les ascenseurs dans les hôtels et résidences et prévoir des sorties « à tour de rôle » et des contrôles draconiens au retour !
Que je ne te vous raconte pas les campings à moitié vide non plus : Déjà que la saison sèche (et ensoleillée) est courte, il va falloir étaler la saison de Pâques à la fin des vendanges pour y arriver… et encore !
 
Par ailleurs aller claquer du pognon pour aller skier sur de la neige artificielle, à part l’air pur et les beaux paysages, avec le réchauffement climatique ce n’est pas la joie à cause des mottes de terre affleurant, mais alors aller à la campagne, ça reste limité, quant à la « grande-bleue », ça va devenir infernal de fréquenter les microbes d’autrui ou de se baigner avec son masque FFP2…
Un maillot de bain autour de la foufounette et des fesses et un autre sur la tête et les oreilles, non mais…
Vivement le Burkini, finalement !
Aller au cinéma se confiner avec d’autres dont on ne sait même pas s’ils ont été testés récemment, franchement, je préfère pour vous que pour moâ.
En revanche, le prochain James-Bond, s’il est disponible, je te me le fais dans mon salon, un verre avec ses glaçons mouillés à l’alcool fort en main.
Certain.
 
Et puis, les « Parigots-bobos » (et partout ailleurs en province) vont être réticents à fréquenter les transports publics, masqués, gantés enrubannés, ou devoir se tamponner des heures et des heures les embouteillages citadins pour aller trimer le 11 mai.
Choix cornélien.
Et ce n’est pas les « mobilités alternatives », le vélo et autres « machins qui ne tiennent pas debout tout seul » qui les y encourageront car c’est aussi multiplier les risques de choper les vapeurs de crottes microbiennes : Sûr et certain qu’ils vont y aller à reculons et la « boule au ventre ».
Les arrêts-maladies vont pleuvoir !
 
D’autant qu’ils auront pris le pli de glander au chaud devant un écran à domicile : C’est tellement plus confortable et « cosy ».
Petit l’écran, mais suffisant pour « télé-travailler » un peu, histoire de toucher son chèque en fin de mois (il n’y aura plus de chèque : Il faut aller le déposer à la banque !).
Le parfait « salarié-kleenex » : On ne sait même pas qu’il existe (sauf à lire les lignes de la DADS annuelle), c’est tout juste si on sait ce qu’il fait et à quelle heure de la semaine.
Celui-là, on peut le jeter (comme d’un kleenex après usage) et sous-traiter (pas en Chine… mais au Sri Lanka) les tâches qu’on lui confiait, puisque c’est « normé » la plupart du temps.
Qu’on finira bien par le remplacer par « une machine » qui ne se trompera pas, elle !
Les métiers du « background » en ressortiront encore plus à l’agonie qu’ils n’y étaient déjà…
 
Reste quoi ?
Bé comme toujours, la fonction publique d’une façon générale, y compris les services de sécurité (pompiers, flics, « militareux », les juges, les ambulanciers, infirmières mais aussi les « privés » des services à la personne et les paramédicaux) de celle qui fonctionne toute seule et tente de rendre des services au public.
Les TPE « indispensables » de proximité vivotant sur leur « micromarché » (en vendant avec un mixte « assis-debout ») et les entreprises de « créatifs » qu’on retrouve en général dans le secteur du luxe (et de l’ingénierie).
Mes « trois tiers » originels (dans mes classifications d’un autre millénaire).
 
Forcément, si vous ne partez plus en vacances, vous aurez des budgets supplémentaires pour vous faire plaisir à « paraître » plus beau que vous n’êtes avec le dernier carré Hermès, que ça va même en boucher un coin à votre poisson-rouge (parce que la voisine, de toute façon, elle est confinée chez elle et elle ne vous croise plus dans l’escalier, des fois que vous soyez contagieux…)
Et les « chauffeurs-ripeurs », ceux qui font les livraisons… y compris les taxis et VPC.
Le prophétique docteur « @talus », le gourou ex-post « Mythe-errandien », il n’avait pas prévu tout ça…
Le kon, c’était pourtant déjà dans les gènes du « monde d’avant » !
 
Et pourtant, on est bien dans « l’après ».
Que tout le monde vous prédit que ce ne sera plus jamais comme « avant ».
Pour une fois, ce sera vrai.
Mais ce n’est pas le monde que je rêvais pour « ma nichée ».
Toute une vie de convictions profondes balayée à son crépuscule par un « Conard-virus » et quelques « sachants-trisomiques-autistes »…
Terrifiant !

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