Quant à Jean-Marc, il prépare ses
vacances estivales
Il hésite entre ces deux plages.
Celle-là :
Et celle-ci :
Quant à ma « petite-sœur »,
elle m’a déjà fait parvenir sa carte postale de souvenirs :
(Merci à elle et à « Zac »)
Pour le reste, Jean-Marc m’en a rapporté
de nouvelles.
C’est une fille qui va voir sa jumelle
et lui raconte qu’il n’y a plus de vie sexuelle entre elle et son mari et elle
lui dit :
« Il ne m’a pas fait l’amour depuis
3 mois ! ».
Sa sœur lui répond :
« C’est impossible. Je ne te crois
pas… 3 mois ! ».
La première lui propose de passer une
nuit dans son lit pour vérifier.
La nuit suivante la jumelle se
déshabille et se couche à la place de sa sœur jumelle.
Le mari arrive, journal à la main, et
se couche sans arrêter sa lecture.
Ce dernier commence à la caresser mais
sans lâcher son journal de l’autre main.
Le lendemain, elle va voir sa sœur et
celle-ci lui affirme d’un ton assuré :
« – Alors tu vois que j’avais raison
!
– Ben, il ne m’a pas fait l’amour mais
au moins il m’a caressée…
– Ha non ! Ça, c’est seulement pour
aider à tourner les pages de son journal. »
Quelques « revenues » ?
Le petit gars de Jean-Marc pousse
la porte de la maison en courant…
« – Maman, maman, j’ai vu le
coq s’accoupler 10 fois ce matin !
– Va donc dire ça à ton père, il va
comprendre…
– Papa, maman m’a dit de te dire que
j’ai vu le coq s’accoupler 10 fois ce matin !
– Est-ce que les 10 fois c’était avec
la même poule ?
– Non.
– Alors va le dire à ta mère, elle va
comprendre. »
C’est la petite fille de Jean-Marc qui
va donner son sang au centre de transfusion.
Elle entre et l’infirmière lui demande
:
« – Alors ma petite, tu es venue
donner ton sang ?
– Oui madame. »
L’infirmière lui fait la prise de sang
puis lui donne un petit sandwich au thon.
La petite, en mangeant son sandwich,
regarde dans la pièce à côté.
Elle y voit des hommes qui se bâfrent
au milieu d’innombrables plats de charcuterie, de canapés et de pâtisseries.
« – Madame pourquoi ils ont plein à
manger de l’autre côté et pas moi ?
– Tu vois ma petite, eux, ce sont des
donneurs de sperme et comme c’est pas facile d’en avoir, on essaye de les
attirer comme ça, tu comprends ?
– Oui madame. »
Deux semaines après la petite revient
au centre.
« – Alors ma petite, tu es revenue
donner ton sang ?
– Hum Hum » (dit la petite en
faisant NON de la tête et en fermant bien la bouche)
Jean-Marc rentre chez lui avec son
sac de golf, un peu dépité.
« Ça n’a pas été ? »
lui demande sa femme.
« – Ben je n’ai pas de mal à
frapper la balle, mais le problème c’est que je n’arrive pas à voir où elle
tombe, même avec mes lunettes…
– T’as qu’à emmener mon frère Jean-Marcel
!
– Mais il a 84 ans, Jean-Marcel. Et il
ne sait pas jouer au golf.
– Oui mais il voit très bien. Tu joues,
et lui te dit où la balle est tombée ! »
Le jour suivant, Jean-Marc emmène son
beau-frère au golf et il tire son premier swing.
« – T’as vu où elle est partie,
Jean-Marcel ?
– Ouais !
– Alors ? Elle est où ?
– Désolé, je ne me souviens plus. J’ai
déjà oublié… »
Jean-Marc fonce sur sa Harley sur
une route déserte quand il frappe un moineau.
Il arrête, ramasse le corps
inconscient, achète une petite cage et l’y installe, avec des graines et de
l’eau.
Quelques heures plus tard, le moineau
se réveille.
Il panique en voyant les barreaux de la
cage, et s’exclame :
« Bon Dieu ! J’ai tué le
gars sur sa moto ! Et maintenant je suis en prison… »
Dans un bar, Jean-Marc, complètement
ivre demande au barman où sont les toilettes…
« Au fond, à gauche puis à
droite. »
Il s’y rend, ouvre la porte et là,
stupéfaction, il voit des chiottes en or !
Le plaisir est à son comble et il décide
d’y mettre le paquet.
Le lendemain, Jean-Marc rencontre Jean-Paul,
un de ces copains et lui raconte qu’il a pissé dans des chiottes en or.
Incrédule, Jean-Paul se rend quand même
au bar.
On ne sait jamais…
Une fois sur place, il s’adresse au
barman :
« Hé ! Où sont vos chiottes en
or ? »
Le barman, avant de répondre, se tourne
vers l’autre côté du bar…
« Eh Jean-Raymond, j’ai trouvé
celui qui a pissé dans ton saxophone ! »
(Pour les chiottes « en or »
et marbre rose, il faut aller au siège d’AXA avenue Matignon : Je sais, j’ai
fait une fois… pas un peu étonné de constater où vont mes cotisations d’assurances)
Deux corbillards, à la queue leu-leu,
montent l’allée centrale du cimetière de la Côte-des-neiges.
Derrière les deux limousines, une femme
seule, accompagnée de son chien.
Un pit-bull, semble-t-il.
Et, à une dizaine de mètres derrière la
femme, toute voilée de noir, un nombre imposant de femmes.
Quelques dizaines de femmes.
Toutes silencieuses.
Curieux, Jean-Marc s’avance vers
la femme, et lui présente mes sympathies.
« – Merci jeune-homme. Vous
êtes très gentil.
– Puis-je vous demander, madame,
pourquoi deux corbillards ? Comme vous devez souffrir !
– Merci.
– C’est l’enterrement de qui ?
– Dans le premier, c’est mon mari.
– Oh mon Dieu ! Pardonnez-moi, madame.
Que lui est-il arrivé ?
– C’est Moustache, mon chien, qui l’a
égorgé à mort.
– Ayoye. Quelle douleur !
– Et dans le deuxième corbillard ?
– C’est Alice, ma belle-mère, qui a
tenté de s’interposer.
– Madame… euh, comment dire, me
prêteriez-vous Moustache quelques jours ?
– Mettez-vous en ligne, derrière les autres. »
(Dans l’originale, c’était des hommes
qui faisaient la queue et dans les corbillards, une épouse et sa mère…)
Une Polonaise, qui a quitté son pays
pour venir habiter aux USA, devait absolument joindre sa mère restée en Pologne.
Elle se rendit donc au bureau de
télégramme, alla voir le caissier et lui dit :
« – Mon bon monsieur, comment ça
coûte pour envoyer un télégramme en Pologne ?
– Environ 250 $, madame.
– Oh non, c’est vraiment très cher ! Je
n’ai pas l’argent nécessaire mais je dois absolument parler à ma mère ! Je
ferai n’importe quoi !
– N’importe quoi ? Hum-hum ! »
Alors le caissier fit signe à la
Polonaise de le suivre dans l’arrière-boutique.
Il enleva son pantalon et dit à la
jeune fille :
« – Mettez-vous à genoux (elle
le fit) et faites ce que vous avez à faire ! »
La Polonaise s’approche, s’approche
encore, prit le « membre » dans ses mains, ouvrit la bouche et l’approcha…
« Maman ? Maman, tu m’entends ?
»
Jean-Charles demande au curé s’il peut
dire une messe gratuitement à la mémoire de sa femme.
« – J’aimerais bien, mais ce n’est
pas possible… Le toit fuit, il faut le réparer et on nous a même volé les
garnitures en cuivre.
On manque d’argent.
Tu n’as pas quelqu’un, dans ta famille,
ou tes amis qui pourrait t’aider ?
– Y’aurait bien ma vieille sœur, mais
elle a mal tourné…
– Mal tourné ? Comment ça ?
– Elle est religieuse.
– Elle est religieuse ? Mais c’est merveilleux,
ça ! Elle a épousé Notre Seigneur !
– Ben oui. Mais oui ! C’est ça. Dites
la messe et envoyez la facture à mon beau-frère. Il va s’en occuper. Il est
plein aux as. »
Contrepèteries de la semaine passée :
« Mettre le doigt entre deux fesses
pour boucher le trou du con… »
« L’amour fait passer le temps…
»
« Ici, vous trouverez de superbes membres
au choix ! »
Celles de la semaine :
« Dans ce clip, on découvre les
atouts de Sarlat ! »
« C’est un vrai gain de place… »
« Horace a présenté la toge à
Sabine… »
Bon week-end de confinement à toutes et
à tous !
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