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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 28 avril 2020

Je fais un cauchemar récurrent…

Pendant que les « sachants » pensent mon avenir,
 
Je dors mal : Dans mes cauchemars, la lumière est belle (celle de l’été, probablement), mais on n’entend plus que le gazouillis des oiseaux, parfois un peu le vent dans les feuilles des arbres. Si la nature est belle, elle est inaccessible.
Pour sortir en profiter, il faut s’inscrire sur un site gouvernemental longtemps à l’avance, s’identifier, indiquer son trajet putatif et son motif (légitime) afin d’obtenir un code à introduire dans son bracelet électronique (une seconde montre qui vous « trace ») pour un unique créneau horaire par jour et à respecter impérativement sous peine de voir ses comptes bancaires bloqués pour une période indéterminée !
C’est le paradis, d’ailleurs : on n’a plus besoin d’argent, tout fonctionne avec une « carte d’échange monétaire » créditée de « rentes » fournies par l’autorité et vos biens non encore confisqués, débités automatiquement de la valeur de vos consommations, notamment les « obligées » (loyers, électricité, eau, gaz, soins également obligés en fonction de vos pathologies) et de vos « achats » à faire sur une liste « autorisée » de quelques 10 à 20.000 références contingentées (y compris en nourriture, médicament et boisson, s’il n’y a pas, il faut vous en passer) qui vous sont livrées par des gens (ou des robots) que vous ne croisez jamais.
Rien de plus.
 
Si vous devez vous déplacer autrement qu’à pied, si bien sûr vous en obtenez l’autorisation préalable, un véhicule autonome (parfois tout un bus ou un autocar entier pour vous tout seul) vient vous chercher et un autre viendra vous ramener.
Évidemment, pas question de vous « évader », d’aller au gré du vent et de l’inspiration, selon votre « bon plaisir », ni même d’aller à la rencontre de votre « nichée » ou de vos amis et connaissance : Les événements festifs se font uniquement devant votre téléviseur interactif posé au milieu de votre salon et même prendre des photos, de celles qui révèlent les rues désertes ou l’herbe qui pousse désormais jusque sur le macadam sont formellement interdites.
De toute façon, dans les rues, ceux que vous pourriez croiser ne vous parlent pas, ne savent plus sourire, ils sont derrière leur masque, leur casque et leurs lunettes de protection obligatoires et ne les approchez pas trop : Ils vous regardent comme d’un terroriste qui va les étriper, quelle que soit la couleur de votre peau !
Le délit de faciès généralisé, vous pourriez les tuer rien qu’en toussant ou reniflant légèrement pensez donc…
Et pas question de pisser le long d’un réverbère à l’improviste, ce serait criminel d’épandre vos contagions de la sorte !
 
Même se promener sans raison ou seulement marcher sur une plage sont interdits : Marcher pieds nus sur du sable est devenu un délit grave ! Faire la sieste sur du gazon ou un banc public à prendre le soleil est formellement interdit, ou alors ganté, habillé, protégé de l’air ambiant et des « bestioles » de la nature : Vous pourriez être infecté et peut-être que personne ne sera autorisé à vous soigner des piqûres d’insecte : C’est pour votre sécurité, naturellement !
De toute façon, si vous vous blessez à un endroit non autorisé, vous pouvez tranquillement vous vider de votre sang sans que quiconque (ou seulement un robot) ne soit autorisé à vous panser.
On n’est même pas revenu au XXème siècle, mais à celui précédent de ma Grand-mère, le XIXème d’avant-guerre (et années folles), où il fallait avoir le teint pâle et romantique… Elle prenait « les eaux » (bain de mer) habillée de pied-en-cape avec un chapeau à large bord sur la tête et un voile de mousseline devant le visage !
En général, je me réveille en sueur quand j’aperçois une silhouette au loin s’approchant de moâ, parce que je me mets à la fuir en courant : Qu’est-ce qu’elle me veut ?
 
Sera-ce là le « monde d’après » ?
En réalité, il est bien possible qu’il soit, mais en pire, comme le « monde d’avant ».
Les « sachants » en disent que ce monde-là est de toute façon sur une trajectoire qui intensifierait et consoliderait les tendances déjà existantes… « avant ».
En témoigneraient les réponses apportées pour tenter de juguler la pandémie qui, plutôt que d’annoncer un tournant dans la façon de voir le monde, reflètent en réalité les « caractéristiques dominantes du régime politique de chacun des États ». Il n’y a en effet qu’à voir la réponse de la Chine, « typiquement chinoise », qui a appliqué une « censure des informations sur la prévalence du virus » ou encore « un degré élevé de contrôle social ».
 
En effet « il est possible que chacun observe dans la débâcle du Covid-19 une confirmation de sa propre vision du monde ».
Par exemple, « ceux qui aspirent à davantage de gouvernance mondiale (et qui) affirmeront qu’un système de santé international plus solide aurait pu atténuer les coûts de la pandémie » se heurtent déjà aux partisans d’un « État-nation plus fort et pointeront du doigt les nombreux exemples dans lesquels l'OMS semble avoir mal organisé sa réponse à la crise ».
Autrement dit chacun voit selon son propre prisme, midi à sa porte.
Et alors que l’heure tourne, tout le monde semble pressé de retrouver l’ancien temps, celui de ma Grand-mère.
Aberrant…
 
C’est un scénario noir que dessine un article paru sur un site spécialisé dans les relations internationales Foreign Affairs, où il est expliqué que « les conséquences de l’épidémie risquent de conduire à une désintégration sociale ».
Ah oui ?
L’impact économique de cette pandémie, dont on ne connaît pas encore précisément l’ampleur pourrait inciter « ceux qui n’auront plus ni espoir, ni emploi, ni ressources, à se retourner contre ceux qui sont mieux lotis ».
On rappelle ainsi qu’« aux États-Unis, près de 30 % de la population ne possède rien ou seulement des dettes. »
Pour tous ceux-là, se faire livrer seulement « ce dont ils ont besoin », c’est déjà un paradis !
La phase supérieure du communisme, rêvée par Karl Marx…
 
Et de prévenir, si ces mêmes personnes tombent « dans le désespoir et la colère, alors il faudra peut-être s’habituer aux scènes de pillages observées après l’ouragan Katrina à la Nouvelle Orléans en 2005 ou à des évasions de prisonniers comme récemment en Italie ». Pis encore, si les gouvernements font appel à « l’armée ou à des forces paramilitaires pour contenir des émeutes ou des atteintes aux biens, il est possible que les sociétés commencent à se déliter ».
Déliter… c’est un minimum : Exploser, oui !
 
Si cette même crise venait à durer (ou seulement aller, partir, revenir), certains pensent qu’elle pourrait signer la fin de la mondialisation : « Plus la crise dure, plus les obstacles à la libre circulation des biens, des personnes et des capitaux s’installeront et plus la situation finira par sembler normale ». Dans le même mouvement, « la peur d’une nouvelle épidémie pourrait inciter les États à miser sur l’autosuffisance ».
Car « moins vous êtes dépendant des autres, plus vous êtes protégé ».
C’est ça : Ne dépendre de personne ou se soumettre !
La fameuse « grande soumission » promise…
 
D’ailleurs, ils s’activent à nous l’imposer : Après la blessure de la crise viendra le temps de la reconstruction en disent-ils. « Avec lui, nous aurons l’opportunité de repenser nos sociétés. Il nous faudra développer un modèle de prospérité nouveau, compatible avec nos besoins et nos priorités. »
Et le moment est particulièrement propice à de tels changements car « le coût de la transition (écolologique) s’est massivement réduit », notamment dans le domaine des énergies renouvelables en prétendent les plus dogmatiques, perchés sur leurs illusions de soumettre le monde : Chacun « midi à sa porte », n’est-ce pas.
Nous ne sommes plus en 2009, où « l’énergie éolienne coûtait trois fois plus cher qu’aujourd’hui, le solaire sept fois plus ».
Ah oui ? Ils nous avaient pourtant toujours dit que c’était nettement moins cher pour être archi-subventionné par… vos impôts !
« Le Covid-19 ne va pas chasser la crise climatique. Ces deux batailles, ne les opposons pas, mais gagnons-les ensemble. C’est cela qui nous rendra plus forts. »
C’est cela : De quoi me faire vivre mon cauchemar récurrent mais éveillé et les yeux grand-ouverts !
 
Comment renforcer nos systèmes de santé, afin de mieux appréhender les crises futures, puisque c’est un sujet d’actualité ?
Trois pistes paraît-il : L’une consiste à « renforcer la coordination entre les pays ». L’idée, ici, c’est « d’accélérer le développement de diagnostics, de traitements et de vaccins ». Maintenir l’effort de financement en matière de recherche et développement. Élaborer des « procédures accélérées », afin d’encourager une « mise sur le marché rapide » de nouveaux traitements et vaccins. Enfin, s’assurer que des engagements soient pris « pour garantir que ces produits soient disponibles à des prix abordables ».
On peut toujours rêver n’est-ce pas… Mais ce n’est pas tout.
 
Seconde piste de réflexion : « Avoir des systèmes de santé adaptables ». « Le manque de toute capacité excédentaire peut rendre les pays vulnérables à une augmentation inattendue de la demande ».
On l’a vu.
Tout l’enjeu réside donc dans l’aptitude à mobiliser rapidement des « capacités de réserve », telles qu’une « armée de réserve de professionnels de la santé », des « équipements de protection individuelle », ou encore « le maintien de lits de soins qui pourraient être rapidement transformés en lits de soins aigus ».
Enfin une dernière piste : Le recours aux dossiers médicaux électroniques (DME), qui permettent « d’extraire des données de routine pour la surveillance des maladies en temps réel, les essais cliniques et la gestion du système de santé ».
Seulement voilà : Si certains pays, comme la Finlande, l'Estonie, Israël, le Danemark ou encore le Canada sont « bien préparés sur le plan technique et opérationnel à générer des informations à partir des DME », d’autres doivent encore travailler pour « lever les obstacles techniques et de gouvernance des données qui empêchent l'utilisation efficace de ces données » : Fin 2019, en « Gauloisie-soumise », seulement 8 millions de dossiers médicaux partagés (DMP) avaient été ouverts, représentant près de 12 % de la population.
Et l’objectif étant d’en compter 40 millions d’ici 2022.
Demain… tous fichés jusque dans vos petites-cellules (même les « grises ») !
 
C’est franchement merveilleux les grands « Y’aka-Faux-kons » de « sachants » : Ils savent tous après coup comment gagner la bataille passée !
 
Plus largement, d’autres se posent quand même la question de savoir quelles sont les industries d’hier qu’il faudrait avoir pour éviter la dépendance.
Car en important massivement depuis l’étranger, ils se rendent enfin compte que de nombreux pays ont constaté leur manque de préparation à l’épidémie (passée).
Des carences quasiment criminelles.
Par exemple, impensable de ne pas relocaliser une partie de la production des masques ou respirateurs. Les réflexions de l’après-crise allongeront probablement la liste des équipements nécessaires pour affronter la dernière crise sanitaire.
Au-delà des équipements, la question des médicaments a aussi été posée.
En effet, les Chinois sont devenus en quelques années les premiers producteurs au monde des différents principes actifs de base, intégrés dans les médicaments produits en Europe ou ailleurs.
Comme pour les produits high-tech, la Chine s’est imposée en proposant aux grands laboratoires des coûts de production les plus bas.
Le « Conard-virus » qui a d’abord frappé leur pays, en février dernier, laissait même craindre une pénurie de paracétamol, c’est dire !
Et l’eau de Javel du sieur « McDo-Trompe » ?
 
Le président de Sanofi a néanmoins tempéré ce sombre tableau : « Les nouveaux médicaments qui arrivent sont issus de la bio-production » (c’est-à-dire issus d’une source biologique comme une cellule et non par de la chimie de synthèse) expliquait-il. « Or, les médicaments plus anciens, qui sont issus de la chimie pharmaceutique, sont ceux qui ont été délocalisés. »
En clair, ce sont effectivement des médicaments « classiques » qui pourraient être de nouveau produits en Europe : Il est temps qu’on y songe…
Sanofi a d’ailleurs annoncé son intention de créer une nouvelle entité qui réunirait une partie des sites de fabrication de principes actifs du groupe en Europe.
Mais pas seulement…
 
Comme le souligne le syndicat national des entreprises de sous-traitance électronique (SNESE), 80 % de nos livraisons de circuits imprimés en « Gauloisie-électronique » viennent de Chine. Et ces dernières semaines les entreprises de l’électronique sont confrontées à d’importantes difficultés approvisionnement.
Ces éléments sont peut-être conçus en occident, mais ils sont fabriqués ailleurs…
On ne compte qu’une dizaine d’entreprises spécialisées qui fournissent, pour la plupart, des marchés de niche comme la défense ou l’aérospatial.
J’en connais au moins deux situées dans l’Essonne (des clients de dans une autre vie) : L’une n’avait que des centraliens à bord qui bidouillaient des puces et l’autre les imprimait à la chaîne sur la route d’Orléans (à côté d’une usine d’équarrissage : Je ne vous dis pas les odeurs fétides en été…)
Soit environ 0,5 % du marché mondial…
« Pruneau-le-Mère » a d’ailleurs reconnu que la continuité des activités de fabrication électronique est absolument essentielle.
Non ?
Si !
Un groupe interprofessionnel travaille d’ailleurs (enfin !) actuellement sur ce sujet. Mais cela impliquera aux clients d’accepter des prix forcément plus élevés que les produits venus d’Asie. Pourront-ils le payer ?
Ce qui n’est pas gagné sans quelques « subventions » interdites par l’UE à mettre dans les prix de vente…
 
Mais pas seulement : Cobalt, gallium, nickel… les « terres rares » sont un point de faiblesse criard. Autant de composants qui prennent une importance industrielle vitale pour le pays.
Ces métaux et « terres rares » entrent dans la composition des batteries. Et ces métaux précieux, même s’ils sont présents en réalité un peu partout sur la planète, sont essentiellement extraits par la Chine.
Non seulement Pékin est devenu le premier producteur au monde de ces minerais mais il prend aussi soin d’acheter la production des autres pays, à commencer par les réserves Gauloisiennes de Nouvelle-Calédonie où le nickel extrait est directement envoyé en Chine sans autre forme de procès ni de contrôle.
Reste que leur exploitation est très nocive pour l’environnement et qu’il vaut mieux, au regard du « dogme-écololo-bobo », polluer ailleurs !
L’année dernière, le Conseil économique, social et environnemental a ainsi proposé de se concentrer plutôt sur le recyclage des batteries existantes…
Quand on les met « à la masse », il en sort des étincelles, n’est-ce pas !
Là encore, on s’inquiète pour la bataille passée (et perdue) mais pas pour la bataille de l’avenir et de l’hydrogène, de ses piles à combustible qui mettront au rancard les batteries…
 
Et notre alimentation, tiens donc ?
La déléguer « à d’autres est une folie » a lancé « Jupiter » le 12 mars dernier.
La « Gauloisie-hexagonale » reste une place forte du monde agricole. Elle est d’ailleurs leader en Europe concernant les productions végétales (18 % de la valeur des productions européennes) et les productions animales (15 %) selon un récent rapport sénatorial.
Pour autant, sa production stagne en volume face à celle de ses concurrents.
Alors que séjourne dans ses frontières plusieurs leaders mondiaux…
« La France fait partie des pays ayant perdu le plus de parts de marché au niveau mondial depuis 2000. Alors qu’elle était le troisième principal exportateur mondial en 2005, la France occupe désormais le sixième rang » constataient les sénateurs.
 
Si certains secteurs comme le blé (qu’on exporte un peu partout et qui va finir par vous manquer) ne présentent pas de soucis particuliers, on importe désormais près d’un fruit et légume sur deux contre un tiers seulement en 2000. De la même façon, les importations de volaille représentent 34 % de la consommation intérieure de volailles en 2017 alors qu’elle ne comptait que pour 13 % en 2000. « Cela est dû à une explosion des importations en provenance de Pologne, de Belgique et des Pays-Bas » souligne le même rapport.
Ce que je ne comprends pas : C’est de la viande fade, la volaille.
Mais la vachette est tellement chère, par ailleurs…
Pour autant, « relocaliser » reste complexe si l’on veut éviter une explosion des prix : Le coût de la main d’œuvre et les impératifs sanitaires, parmi les plus rigoureux du monde, pèsent sur la facture finale pour les consommateurs…
Je me disais aussi…
 
Autre secteur : Les données numériques sont souvent présentées comme l’or noir du XXIème siècle (ne rigolez pas…). Et c’est aussi un « enjeu de souveraineté » pour le pays. S’il y a du retard à l’allumage par rapport à nos voisins en matière de data centers, on commence à accélérer l’allure pour éviter d’être distancée.
D’abord, une entreprise réputée « Gauloisienne-pur-sucre », OVHcloud pour la citer, fait partie des meilleurs européens.
Sauf que j’ai plusieurs fois reçu des commandements à payer rédigés en « Teuton »…
Surtout, les entreprises du monde entier multiplient les parcs sur le territoire national, qui propose une électricité peu chère et un bon réseau télécoms.
Reste que le marché est largement dominé par 4 acteurs américains : Amazon, Microsoft, Google et IBM.
En Chine, Alibaba vient d’annoncer 26 milliards d’euros d’investissements dans le cloud.
Nous, on est plutôt dans les choux…
 
Personnellement, tout ça me fait bien rire (de peur) : « Ils » pensent l’avenir, mais pas aux 10,5 millions qui piaffent d’impatience de retourner au turbin (même casqué, emmailloté, lunetté, ganté), pendant que presqu’autant « télétravaillent »…
Les autres faisant encore la tournée des poubelles à défaut de faire celle des bars.
Dans quel monde nous font-ils vivre et dans quel monde vont-ils nous obliger à vivre ?
C’est vous dire que j’ai quelques raisons de faire des cauchemars, finalement…

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