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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 21 avril 2020

Vous avez compris ?


« Kungfu-Panda » a fait un cours de « Sup-de-Co »

 

C’est tout ce que j’ai compris : Au moins aussi « ch… » que les cours de « Babarbiturique » à Sciences-Pô avant qu’il ne devienne « Premier-Sinistre » du pays sous « Giskard-A-la-Barre ».

Mais lui, c’était alors le premier économiste national de « Gauloisie-en-crise » (douzième mondial, comme en disait mon « Papa-à-moâ » (celui qui me fait toujours « frémir » quand je l’évoque…)), celle du premier « choc pétrolier » : C’était le seul à disposer d’une « boule de cristal » où il voyait se profiler « le bout du tunnel ».

Fort le mek : on n’en est jamais sorti depuis qu’il a remplacé le « Chi » à Matignon.

« Édouard-Fil-Lippe » n’en a pas l’étoffe, et ça s’est vu : Je me suis tiré avant la fin pour me reverser un gorgeon.

J’avais la gorge sèche pour lui et j’apprends petit-à-petit le langage des signes…

 

On appelle ça un « road show », où le conférencier vient vendre sa soupe (et son entreprise) ou sa lessive lavant « plus blanc que le blanc », sa boîte étant la « plus-meilleure-que-mieux » : Tableaux, chiffres, statistiques et graphiques à l’appui, le tout habilement pigmenté de quelques anecdotes…

Une impression de déjà vu du mek qui pédale dans la semoule et compte que la mayonnaise prenne tout de même.

Pas un mot « gentil », pas un mot « humain ». Et toujours cette incertitude anxiogène, cette infantilisation et cette incohérence…

À la limite, « Jupiter » est meilleur dans le rôle du scolaire de 4ème déclamant son message sur l’estrade d’un théâtre.

De toute façon, l’essentiel c’était de dire qu’il présentera un plan à la fin du mois, pas avant : Causer pour ne rien dire, finalement !

 

Il a commencé par vous raconter que tout, absolument tout, a été mis en œuvre par le gouvernement et que tout, absolument tout, est sous contrôle pour finir par déclarer que rien n’est réglé, que rien n’est gagné, que le virus demeure inconnu, qu’aucun traitement n’est possible, qu’il n’est pas du tout sûr qu’un malade soit définitivement immunisé, etc.

Hallucinant !

« Encore un qui cause pour ne rien dire… »

(Bé oui, je viens de le dire !)

Sauf que les consignes sont de plus en plus liberticides : Celles et ceux qui seront testés positifs seront impitoyablement mis à l’isolement. Au « goulag » !

On va faire comment au juste ?

On ouvre les « sidatoriums » chers au « borgne de San-Cloud » ?

Et puis va-t-on pouvoir tester toute la population ? Et avec quoi ?

S’arrogera-t-on le droit de mettre à l’isolement tous les pestiférés ?

Les vieux ? Ils restent prudents et de préférence chez eux…

Et c’est quoi « un vieux » ? À partir de quel âge au juste ?

Et doit-on porter un écriteau dans le dos ou un « pastille » sur la veste pour préciser ?

Franchement, je me pose la question.

 

En attendant, le principe du déconfinement sera très progressif : La « vie d’avant » semble un lointain mirage.

Le retour à la normale n’aura pas lieu « avant longtemps » car pour l’instant n’existent ni médicament ni vaccin.

De plus, le 11 mai ne marquera pas un déconfinement mais seulement le début d’une « nouvelle phase » où nous devrons « apprendre à vivre avec le virus ».

En commençant par l’impossibilité de pouvoir, dès cet été, d’organiser des grands mariages (la vie leur offre une seconde chance, à ceux-là…) et de juger « pas raisonnable » d’imaginer voyager à l’étranger.

À propos, la « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », c’est l’étranger ou non ?

 

En bref, après le 11 mai, « il faut maintenir le télétravail » dès que possible, sans préciser s’il s’agit d’une obligation ou d'une recommandation et sans limite de durée.

C’est un appel à la responsabilisation des « Gauloisiens-confinés » et de leurs employeurs.

Je vous le disais il y a encore peu : Les équipements en « bureaux » sont décidément « surdimensionnés » tout comme les réseaux de transports.

Une réalité qui va compter.

 

La seule annonce sympathique et immédiate a été pour les visites des familles dans les Ehpad et les établissements accueillant des personnes handicapées qui peuvent reprendre dès hier, mais sans se toucher !

Je peux postillonner tout de même ?

Non, Dukonno, pas sur les vieux ni les grabataires !

On aura aussi appris que la contagion aura encore ralenti mais sans cesser : Le nombre de personnes que peut contaminer un malade a chuté à 0,6 contre plus de 3 avant le confinement !

Bravo, mais personne n’y est pour rien…

Toutefois, les hôpitaux voient encore arriver plusieurs centaines de nouveaux cas par jour mais le solde de patients en réanimation continue à diminuer très lentement.

En revanche il semble que seuls 2 à 6 millions, soit moins de 10 % de la population, ont été infectés et sont donc (provisoirement) immunisés, ce qui est bien trop peu pour revivre normalement.

Mais on ne sait toujours pas si on ne peut pas être « contaminé » une seconde fois…

Les « sachants » n’en savent rien, au moins autant que « moâ ».

 

Tests massifs et isolement des porteurs de virus doivent aussi devenir les deux piliers de la stratégie « Gauloisienne-confinée » pour le futur déconfinement. Le gouvernement veut dépister massivement tous ceux qui présentent des symptômes ainsi que tous ceux qui ont eu un contact « avéré » avec un malade. L’objectif est de 500.000 tests par semaine.

En cas de test positif, avec ou sans symptôme, les « porteurs du virus » seront invités à rester isolés, soit dans leur famille, mais sans sortir, ni que leurs proches ne sortent, ou dans un hôtel mis à disposition : Voilà une belle façon de relancer la RHF (restauration hors du foyer) et l’hôtellerie touristique…

Des équipes dédiées seront chargées de détecter les malades, ainsi que l’application de traçage numérique Stop Covid envisagée.

Mais là encore, pas de caractère obligatoire annoncé pour cette mesure.

 

En revanche on annonce une « probable » obligation du port du masque dans les transports publics après le 11 mai.

C’est d’ailleurs la seule mesure obligatoire évoquée dimanche dernier.

Justement, on les trouve où, ces masques ?

C’est un « complément », enfin reconnu comme d’un « gestes barrière ».

« Si-Bête-la-Diarrhée » va devoir prendre des cours du soir pour apprendre à mettre le sien !

Et de nous annoncer que bientôt 17 millions de masques « grand public » seront produits et distribués par semaine. Comment ?

C’est encore à préciser mais ils seront à terme disponibles dans le commerce.

Pour les soignants, le « pont aérien » d’importations chinoises a atteint 85 millions de masques cette semaine (soit deux semaines de consommation) ce qui reste trop peu en dit le « Sinistre-de-la-bonne-santé ».

Mais cela permettra de commencer à distribuer des masques aux professions paramédicales (sages-femmes, ambulanciers, etc.…).  

 

Par ailleurs, toutes les pistes restent à l’étude pour la délicate réouverture progressive des établissements scolaires où il a évoqué des réouvertures « par territoires » (plus rapides dans les territoires les moins touchés) ou encore « par moitiés de classe ».

Il y aura donc des classes « du matin » et des classes « du soir » !

Et pourquoi pas la nuit aussi ?

 

En revanche les cafés et restaurants resteront clos alors que les autres commerces pourront rouvrir, mais à condition de mettre en place gestes barrière et distanciation : Files d’attente avec plus d'un mètre entre chaque client sur le trottoir, gel hydroalcoolique à l’entrée ou juste avant la caisse.

Les autres établissements de santé devraient eux aussi rouvrir progressivement.

C’est qu’on est inquiet pour les « carabins-diplômés » : Les consultations médicales ont chuté de 40 % à 60 %, ainsi que le dépistage des cancers et la vaccination des enfants.

Le « sinistre » concerné a lancé un appel à retourner consulter pour éviter l’apparition de cas graves qu’on peut éviter et sortir de la mouise financière ses collègues (qui ne sont pas « sinistre »).

Envie d’aller vous contaminer ? Allez donc chez votre toubib !

Au total, beaucoup d’inconnues, autant sur les plans scientifiques que sanitaires.

L’immunité est-elle acquise ? Mystère…

Le virus va-t-il disparaître à l’été ? Mystère : « On ne sait pas, au risque de décevoir ceux qui aimeraient avoir des certitudes ».

Ce n’est manifestement pas a tasse de thé, les « certitudes »…

 

Et puis la bataille pour sauver l’économie.

La crise a été qualifiée de « brutale ».

« La production s’est presque arrêtée, la consommation aussi ».

« Jamais dans l’histoire du monde un tel arrêt aussi massif, aussi général, n’a été vécu ».

Il devrait dire le « monde moderne », parce que épidémies de peste et de grippe Espagnole avait également fait des dégâts, désertifiant jusque les campagnes…

Aussi, le mot d’ordre est de « sauvegarder ce qui peut l’être aujourd’hui pour permettre de relancer demain ce qui doit l’être ».

Les autres, joyeusement à la trappe !

Et le « Premier sinistre » de citer, à titre d’exemple, le fonds de solidarité de 7 milliards d’euros pour soutenir les entreprises pendant la crise sanitaire.

D’autres mesures d’urgence ont été mises en place : Le chômage partiel pour 9 millions de salariés (budget de 24 milliards d’euros) et des prêts garantis par l’État à hauteur de 300 milliards d'euros (18 milliards garantis à ce jour à quelque 130.000 entreprises).

Ce qui ne fait pas beaucoup : À peine 11,5 K€/mois par « boutique »…

À terme, « nous devons penser à un plan de relance, national, européen, sans doute, de façon à faire repartir la machine : ce qui sera indispensable à côté de ces mesures d’urgence économique ».

 

Depuis le début du confinement et la fermeture forcée des établissements accueillant du public non essentiels, l’activité économique générale a diminué de 36 %, l’activité industrielle de 43 %, la construction de 88 % et le secteur de l’hébergement et de la restauration a été touché à hauteur de 90 % !

Et le tout n’est estimé, pour « la plus forte récession connue en France depuis 1945 », qu’à 8 points seulement de croissance perdus pour l’année 2020.

On ne doit pas disposer de la même « calculette-Windows »…

Personnellement, quand on m’annonce qu’il n’y a plus qu’un « laborieux » sur quatre qui bosse normalement, je compte 18,75 points de moins par trimestre…

Seulement si « ça redémarre » avec les beau-jours estivaux comme avant.

Or, comme le « comme avant » n’est pas pour demain (ni après-demain)… c’est encore jouer du bignou devant une jambe de bois en espérant qu’elle se mette à danser une furieuse polka !

 

Et puis dans la soirée, on en aura rajouté une couche : Le « Conard-virus » a été détecté dans l’eau !

Pas encore la potable (on apprend ainsi qu’on arrose nos trottoirs avec de l’eau dégueulasse, qu’il y a donc un « double réseau » comme si un seul n’est pas suffisant alors qu’il n’y a toujours pas de pipeline de pinard au pied de mon immeuble…) qui reste « saine ».

Sont-ce donc tous les « postillons » des très nombreux « cracheurs » qui sont ainsi drainés ?

Ou seulement que le « Conard-virus » est « dans l’air » comme l’affirme ma « petite-sœur » et que de temps en temps il retombe au sol ?

Bref, laisser donc vos pompes sur le paillasson…

« Aucune inquiétude à avoir » pour l’eau du robinet en disent les autorités municipales parigotes !

Passez donc au pinard ou mieux « aux alcools forts » : C’est l’équivalent du gel « hydroalcoolique », mais à « usage interne », c’est comestible et biodégradable par métabolisation…

 

Notez qu’une autre information « orpheline » m’inquiète beaucoup plus : On se questionne, dans les cercles de « chercheurs », sur la nocivité du « Conard-virus » sur l’état mental des « sachants » (et de quelques autres).

C’est que certains malades, souffrant du coronavirus ressentent des symptômes neurologiques !

Sérieux ?

Oui ! Les médecins de New-York traitant des patients atteints de Covid-19 observent de plus en plus fréquemment qu’avec la fièvre, la toux et l’essoufflement, un autre symptôme apparait : Certains éprouvent de la confusion, au point de ne pas savoir où ils sont, ni en quelle année nous sommes.

Notez, c’est normal car il faut dire que ça change tout le temps !

 

Cette perte de repères est parfois liée au manque d’oxygène dans le sang, mais chez certains malades, le niveau de confusion semble être hors de proportion par rapport au niveau d’affection de leurs poumons.

Pour une neurologue à l’hôpital universitaire Langone à Brooklyn, la question se pose de l’impact du nouveau coronavirus sur le cerveau et le système nerveux.

Rien de moins…

Dans la revue de l’Association de médecine américaine (Jama), des médecins ont rapporté que 36 % de 214 patients chinois avaient eu des symptômes neurologiques, allant de la perte d’odorat à des douleurs nerveuses, et jusqu’à des crises convulsives et des accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Dans le New England Journal of Medicine, la revue médicale américaine la plus cotée, des médecins « Gauloisiens » de Strasbourg ont décrit que plus de la moitié de 58 patients en réanimation étaient confus ou agités.

Et des scanners des cerveaux ont révélé de possibles inflammations.

 

Les virologues ne sont pas totalement surpris que le nouveau « Conard-virus » puisse affecter le cerveau et le système nerveux, car ce lien a été observé avec d’autres virus, notamment celui du sida, le VIH.

Les virus peuvent en effet affecter le cerveau de deux façons principales, explique-t-on dans le Minnesota.

La première est par le déclenchement d’une réponse immunitaire anormale appelé « orage de cytokine » (dont je vous avais déjà parlé), qui provoque une inflammation du cerveau : Cela s’appelle une encéphalite auto-immune.

La seconde est par une infection directe du cerveau : Cela s'appelle une encéphalite virale (je ne vous en avais pas parlé).

Le cerveau est protégé par ce qu’on appelle la barrière hémato-encéphalique : Son rôle est de bloquer les substances intruses. Mais elle peut être percée.

 

Certains émettent même l’hypothèse que le nez pourrait être la voie d’accès au cerveau, puisque la perte d’odorat est commune à de nombreux malades du « Conard-virus ». Mais ce n’est pas vérifié, et beaucoup de patients perdant l’odorat n’ont pas forcément de problèmes neurologiques sérieux.

La piste principale est en fait celle de la réponse immunitaire en surchauffe. Pour en avoir le cœur net, il faudrait détecter le virus dans le liquide cérébrospinal. Cela a été fait une fois, chez un Japonais de 24 ans, dont le cas a été décrit dans l’International Journal of Infectious Disease : Il a souffert de confusion et de convulsions, et l’imagerie de son cerveau montrait des inflammations.

Mais le test n'est pas encore validé et les scientifiques restent prudents.

 

Ce serait vraiment le plus dévastateur : Le « Conard-virus » tue en s’attaquant à vos fragiles alvéoles-pulmonaires, mais en plus, il vous rend dingue !

Même plus besoin de confiner la populace deux mois durant pour en arriver là…

Voilà pourquoi je n’ai rien compris dimanche dernier : Je suis atteint du neurone !

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