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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 23 janvier 2020

« Gratte-la-thune-berg » est malade…

Rien de grave : Elle suspend seulement ses activités
 
Il faut dire qu’elle n’a pas été ménagée par les trains « teutons » à voyager vautrée dans les couloirs et les courants-d’air…
Même en Suède – pays du paradis « social » – on a parfois du mal à se soigner d’un simple rhume… comme partout.
Elle a d’ailleurs dû annuler sa participation à une sorte de colloque de « scienteux » qu’elle comptait soutenir et sa présence est malgré tout attendue à Davos où elle a réalisé sa prestation habituelle.
Comme celle de « McDo-Trompe » et quelques « friqués » abonnés au forum mondial, qui lui aura répondu sans jamais la citer et par avance : Un beau plaidoyer !
Cette année, je n’y suis pas. Comme l’année dernière (et quelques autres) : « On » m’a oublié et de toute façon je n’ai plus les moyens de financer mon « ticket d’entrée » et les « faux-frais » que cela engendre…
 
En revanche, elle y était l’année dernière.
Cette année, on aura appris que le thème tourne autour du « risque climatique », là où encore l’année dernière, pour une large majorité des participants le risque majeur restait « les inégalités », ce qui ne les empêchent pas de bouder les trains, préférant les jet-privés.
Un item des inégalités qui a disparu dans l’esprit des congressistes sondés…
Pourtant, de leur aveu, « Le risque climatique est devenu un risque financier ».
Clairement !
Non pas que le fait que deux îlots aient définitivement disparu sous la mer à Sumatra il y a encore peu soit en soi un « signe » de submersion généralisée due à la montée des eaux, mais parce que la doxa mondiale commence à prendre en compte les diktats du GIEC qui modifient le cadre légal de l’activité économique par petites touches.
 
Ce qui a des conséquences « obligées » : Il faut « verdir » l’économie mondiale pour survivre dans un monde toujours plus compétitif.
C’est ça ou rien et ça fait bien longtemps qu’on sait tout le poids des « autorités publiques » sur les vies de tout le monde : On veut que vous rouliez à 80 km/h, sans plus d’urgence que ça (pourquoi pas 60 km/h ?) et vous obéissez…
Quant aux risques « climatiques », là encore ça fait longtemps que les assureurs savent le quantifier.
Et quand ils se trompent, c’est l’occasion d’une « solidarité » supplémentaire qui se retrouve dans une « cotisation » supplémentaire obligatoire : Pas compliqué.
 
Une cinquantaine de chefs d’État et de gouvernement se rendent donc depuis mardi à Davos pour la cinquantième édition du World Economic Forum.
Deux vedettes se sont croisées pour cet événement qui rassemblera plus de 2.800 dirigeants du monde entier: Le président américain « McDo-Trompe », dont ce sera la seconde venue depuis son élection, l’année où il sollicitera un deuxième mandatet justement « Gratte-la-Thune-Berg » pour qui ce sera également son second Davos.
Pour y dénoncer « l’inaction » des adultes au pouvoir face au réchauffement climatique.
C’est son seul thème, qui touche à l’idée fixe, avec parfois des « mots nouveaux »…
Mais c’est rare : Elle n’a qu’un registre et une seule partition…
 
Inaction, vraiment ?
La prise de conscience à laquelle a appelé l’égérie planétaire suédoise devant l’ONU, venue à New York en voilier de compétition, est pourtant bien là : Dans sa traditionnelle enquête sur les risques mondiaux vus par les dirigeants, le Forum économique mondial révèle que les cinq premières préoccupations des 750 chefs d’entreprise interrogés (et qui ont répondu) sont toutes liées à l’environnement.
Ils ajoutent même que, à moins que les parties prenantes ne s’adaptent à « l’évolution du pouvoir politique de notre époque » et aux turbulences géopolitiques qui y sont liées – tout en se préparant pour l’avenir –, il sera bientôt trop tard pour relever certains des défis économiques, environnementaux et technologiques les plus pressants.
« Gratte-là » ne dirait pas mieux.
 
Une autre vedette américaine, de la finance celle-là, fera comme chaque année le voyage dans la station chic des Alpes suisses, à savoir Laurence Fink, le patron du fonds Blackrock qui vient de faire parler de lui en « Gauloisie-époumonée » à propos de la réforme des retraites, mais dont les détracteurs feraient bien mieux de lire la prose.
Dans sa lettre annuelle à ses clients, « Larry » fait lui aussi du « Gratte-là », mais avec des arguments sonnants et trébuchants : « Le risque climatique est devenu un risque financier. »
Prophétique, le mek…
Sera-ce suffisant pour faire changer d’avis le « climato-sceptique » « McDo-Trompe » sur l’urgence de revenir dans les clous de l’accord de Paris de 2015 sur le climat?
Pas certain : Ce n’est pas son thème de campagne présidentielle pour un second mandat.
Et puis entre la pantalonnade de « son procès » devant le Sénat « ricain », ses coups de « Twist » contre les uns et les autres, ses 16.000 mensonges depuis son élection jeté en pâture à la presse et ses « coups de drone », il a d’autres chattes à fouetter…
 
En tout cas, le monde de la finance, dans lequel Blackrock pèse près de 7.500 milliards de dollars d’actifs investis, on ne fait plus l’autruche.
« Les entreprises, les investisseurs et les gouvernements doivent se préparer à une réallocation significative des capitaux dans un avenir proche, plus proche que la plupart des gens ne l’anticipent », prédit Larry Fink.
Des changements radicaux sont en germe : Dès lors que l’investissement durable devient le principal levier d’action pour allouer ses actifs financiers, BlackRock s’engage à « liquider les investissements affichant un risque élevé en matière de durabilité », à commencer par le charbon thermique.
D’ailleurs il note que les outils permettant d’évaluer les risques en matière d’ESG (environnement, social et de gouvernance) sont de plus en plus élaborés et convaincants et commencent à apporter une transparence aux épargnants et aux investisseurs.
L’oracle d’Omaha – Warren Buffet « petite-bite » avec seulement une valorisation de seulement 530 milliards – ne dit pas autre chose depuis sa création.
Et il n’avait pas alors les mêmes outils, à l’époque…
 
Notez que « La-Riz-Funk » s’est notamment associé avec le gestionnaire de fonds « Gauloisien » Sycomore AM et « La Tribune » a décidé de participer à ce grand mouvement de plaques tectoniques qui secoue déjà la finance, en publiant son baromètre des entreprises les mieux ou les moins bien préparées à l’objectif de limiter le réchauffement à + 2°C.
« Ils » avancent…
Depuis, on est capable désormais de mesurer le chemin qui reste à parcourir par certains secteurs ou entreprises pour respecter les futurs critères d’investissement de la « finance neutre en carbone ».
Soyons clairs : Il ne s’agit pas ici de mettre en cause les efforts, parfois réels, des entreprises pour contribuer à sauver la planète, mais de souligner le risque, tout aussi réel, pour ces entreprises de disparaître, en perdant leurs financements, si elles s’en tiennent aux bonnes intentions ou au « greenwashing » (« écoblanchiment », en francilien-natif).
Et on se rappelle de l’engagement récent du « M » des GAFAM « d’effacer » dans la décennie sa « signature-carbone » depuis sa création !
 
Conséquence, « Gratte-là » doit faire le déplacement à Davos : Car sa meilleure copine, c’est la finance!
Surtout quand elle est internationale et qu’elle pompe le suc de « la vie des gens » partout sur la planète.
Mais je ne suis pas bien certain qu’elle en ait conscience.
En revanche, clairement, le monde de Davos « récupère » l’égérie de « écololo-boboïsme » ambiant.
À votre avis, pour quelle raison ?
Tout simplement parce que ça va une nouvelle fois créer un « gap-concurrentiel » bienvenu à travers la mise en place de nouvelles normes (qui se cherchent encore aujourd’hui). Et puis il y aura ceux qui pourront suivre et ceux qui resteront sur le bord du chemin à dépérir lamentablement, comme d’habitude.
Ne vous en faites pas, vous faites partie de la seconde catégorie…
 
Les normes « se cherchent » : On vient enfin de se rendre compte que, par exemple, la « norme Crit’Air » est une absurdité. Non contente d’immoler l’usage du septane (le diesel) pour glorifier l’octane (l’essence), on mesure désormais que la pollution atmosphérique par les gaz d’échappement de vos « tas-de-boue-à-roulettes » augmente vertigineusement…
Forcément, la mécanique diesel a un meilleur rapport énergétique, parce que « ça comprime » plus fortement à l’allumage (puisqu’elle s’en passe pour « autoallumer »).
Même moâ, je sais ça. Pourtant je ne suis pas un « scienteux » avec mon « bac-littéraire-poubelle »…
Qu’également, tout d’un coup, on se rend compte que le dispositif (européen) favorise les « gros-cubes » : Un coup des « Teutons », qui savent s’y prendre, eux…
Pourtant, tout le monde aurait dû se rendre compte qu’un « gros-kul » ça pète plus fort qu’un « petit-kul ».
C’est ça l’autisme-appliqué des « sachants-trisomiques »…
 
Ceci dit, « Gratte-là », comme c’est elle-même une autiste (c’est elle qui l’affirme… pour en tirer « sa force » de… de conviction va-t-on dire), normalement, ils devraient se comprendre.
Sauf que c’est vous qui payez : Ce qu’ont bien compris les participants de Davos puisque ça leur tombe dans la poche d’une façon ou d’une autre.
 
Quel sont les principes qui les animent ?
Maximiser leurs profits en maximisant leur mainmise sur vos vies.
Et ils n’ont pas 36 façons de faire :
 
– Soit ils sont « disruptifs » et proposent des technologies nouvelles qui s’imposent toutes seules : Par exemple, si on vous gave d’IA en ce moment, c’est parce qu’ils jouent gros là-dessus.
D’ailleurs les appels à « subventions » est constant dans le domaine (cf. la réunion préliminaire de Versailles et de « ces accords »).
Et une subvention, c’est de l’impôt recyclé, souvenez-vous
 
– Soit ils programment l’obsolescence de leur production et plus « ça tourne vite », plus ils sont gagnants.
On vous a bassiné avec les lave-linges étudiés pour tomber en panne tous les deux ou trois ans.
Mais que fait-on pour un moteur diesel « increvable » alors que ceux à essence dépassent difficilement les 100.000 km ?
Alors on change la norme : Aussi simple que ça !
 
– Soit ils font pression, parfois après l’avoir financé, sur le pouvoir politique et manipulent les opinions.
Après tout, c’est le pouvoir politique qui distribue les impôts à travers les subventions et les commandes publiques, c’est lui qui édicte justement les « normes », quitte à ce que, quand elles sont mal élaborées, en changer de façon unilatérale « sous la pression »… de l’opinion, naturellement !
 
Et qui fait « l’opinion » ? Le fric, la presse et de temps à autre un « Mulet » (référence faite clairement à Asimov et ses « Fondations »).
« Gratte-la-Thune-Berg » joue parfaitement ce rôle : Elle en a presque le physique, d’ailleurs (et c’est une fille, ce à quoi Asimov n’avait pas pensé…)
Et si vous êtes allés au bout de la série, vous savez comment la troisième fondation récupère « le Mulet »…
Un type génial, Asimov et ne doutez pas une seule seconde que les personnages de Davos l’ont lu, ainsi que la série « Robots » et quelques autres auteurs : Passionnant.
Lui a imaginé « son univers » à lui et eux le lui font.
Et tant que c’est avec votre pognon, ça ne leur coute rien…

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