Et quelques autres
Un candidat policier passe son examen
d’entrée.
Chaque question correspond à un objet :
Képi, ceinturon et revolver
L’examinateur l’interroge.
« Quel personnage a perdu la
bataille à Waterloo ? »
Pas de réponse.
« Voyons… Je suis certain que
vous savez la réponse, son nom commence par la lettre N. »
Silence du candidat.
« – Ensuite, il y a la lettre
A.
– Na, Na … Navaro ?
– Mais non NA … NA… puis il y a un P…
– NAP, NAP … Napoléon ? »
– Oui, c’est bien cela. Vous avez droit
à votre képi.
– Nommez le terrible dictateur allemand
des années 40 ? »
Silence.
« – Allons, réfléchissez, son
nom commençait par HI
– E.T. ?
– Non, il avait une moustache comme ça ? » (et il met 2
doigts sous ses narines)
« – Hitler !
–
Bravo, vous avez droit à votre ceinturon. Qui a tué Jésus-Christ ?
– Ça, je n’en ai aucune idée.
– Écoutez », lui dit
l’examinateur, « rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes
fatigué, moi aussi. Revenez lundi et de préférence avec la réponse.
– Bien monsieur. »
Le candidat rentre chez lui, tout fier,
avec son képi tout neuf et son beau ceinturon.
Sa femme lui demande comment a été
l’examen.
« Super. J’a 2 bêtes questions,
les doigts dans le nez et on m’a déjà donné ma première enquête… »
Et après on s’étonne des violences
policières en marge des manifestations…
Jean-Marc et sa chère Germaine :
« – Chérie, nous sommes mariés
depuis 23 ans, et dès que j’ouvre la bouche, tu me corriges.
– Non ! 24 ans. »
« Tu sais, mieux vaut avoir la
maladie de Parkinson que celle D’Alzheimer, car il est finalement préférable de
renverser un peu sa bière plutôt que d’oublier de la boire !
– Même si on en renverse plein ?
»
« – Docteur, je suis
amnésique.
– Et depuis quand ?
– Depuis quand quoi ? »
« Combien compte-t-on
d’essences d’arbre dans un pénis ?
C’est un petit être qui tremble devant
vous, comme un charme, qui devient dur comme un chêne, droit comme un sapin,
puis il va pécher, quand il a fait son boulot il est un peu plié et finit en
saule pleureur !
En voyez-vous 9 ?
Hêtre, tremble, charme, chêne, sapin, pêcher,
bouleau, peuplier, saule pleureur… »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Tu sais, nous, les aînés,
nous avons beaucoup plus de valeur que tout autre groupe d’âge :
Nous avons de l’argent dans nos cheveux.
De l’or dans nos dents.
Des pierres dans notre foie.
Du plomb dans nos pieds.
Du fer dans les articulations.
Et nous sommes une source intarissable
de gaz naturel ! »
– Je ne croyais pas avoir autant de
valeur… »
Puis concluant :
« Des fois, j’ai hâte d’être un
vieux.
Ils sont bien, les Vieux, on est bon
pour eux, ils sont bien.
Ils n’ont personne qui les force à
travailler : On ne veut pas qu’ils se fatiguent.
Même que la plupart du temps, on ne les
laisse pas finir leur ouvrage.
On les stoppe, on les « interruptionne »,
on les met à la retraite.
On leur donne leur appréhension de
vieillesse et ils sont en vacances…
Ah, ils sont bien les Vieux !
Et puis, comme ils ont fini de grandir,
ils n’ont pas besoin de manger tant tellement beaucoup.
Ils n(ont personne qui les force à
manger.
Alors de temps en temps, ils se recroque
un petit biscuit ou bien ils se retartinent du pain avec du beurre de récupération,
ou bien ils regardent pousser leur rhubarbe dans leur soupe…
Ils sont bien…
Jamais ils ne sont pressés non plus.
Ils ont tout leur bon vieux temps.
Ils n’ont personne qui les force à
aller vite.
Ils peuvent mettre des heures et des
heures à tergiverser la rue…
Et plus ils sont vieux, plus on est bon
pour eux.
On les laisse même plus marcher… On les
roule…
Et puis d’ailleurs, ils n’auraient même
pas besoin de sortir du tout : Ils n’ont plus personne qui les attendent…
Et l’hiver … Ouille, l’hiver ! C’est là
qu’ils sont le mieux, les vieux : Ils n’ont pas besoin de douzaines de
quatorze soleils… Non ! On leur donne un foyer, un beau petit foyer modique qui
crépite, pour qu’ils se chauffent les mitaines…
Ouille, oui l’hiver, ils sont bien !
Ils sont drôlement bien isolés…
Ils n’ont personne qui les dérange.
Personne pour les empêcher de faire la
sieste…
Tranquillement, ils se remémorent leur
jeunesse… qu’ils oublient au fur et à mesure que le temps passe…
Ah ! Ils sont bien… !
Sur leur guéridon, par exemple, ils ont
une bouteille, petite, bleue. Et quand ils ont des maux, les vieux, des maux
qu’ils peuvent pas comprendre, des maux mystères, alors à la petite cuiller,
ils les « endorlotent » et les « amadouillent »…
Ils n’ont personne qui les garde malades.
Ils n’ont personne pour les assistés
soucieux…
Ils sont drôlement bien… !
Ils n’ont même pas besoin d’horloge non
plus, pour entendre les aiguilles tricoter les secondes…
Ils n’ont personne qui les empêche
d’avoir l’oreillette en dedans, pour écouter leur cœur, pour écouter leur corps
se débattre tout seul…
Ils n’ont personne qui…
Ils n’ont personne…
Personne… »
« – Ah oui, à propos, Jean-Marc,
sais-tu pourquoi les vieux encombrent les supermarché le samedi matin alors
qu’ils ont toute la semaine pour faire leurs courses ?
– Non, raconte…
– Parce qu’ils partent de chez eux le
jeudi… »
Un vendeur de bagels installe son stand
au bord de la route avec une pancarte annonçant « 0,50 € le croissant. »
Chaque matin, un joggeur passe en
courant, et dépose deux pièces de 25 centimes sur le comptoir, sans jamais
prendre de croissant.
Un beau jour, le vendeur se lance à la
poursuite du joggeur.
Ce dernier éclate de rire.
« – Laissez-moi deviner ! Vous
voulez savoir pourquoi je dépose toujours de l’argent sans jamais prendre de croissant
?
– Non ! Je veux vous dire que le prix
est maintenant de 75 centimes. »
Jean-Marc dit à son ami Jean-Paul…
« – Tu as l’air bien triste
aujourd’hui ?
– Oui, normal. J’ai perdu mon chat.
– Pourquoi ne passes-tu pas une annonce
dans le journal ?
– Bah. Mon chat ne sait pas lire. »
« – Garçon ! Ça fait une heure
que j’attends après ma soupe !
– Ah monsieur ! La vie serait tellement
belle si tout le monde avait votre patience ! »
Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Sais-tu ce qu’on trouve
dans le manuel d’utilisation d’une Lada ?
– Bé non, je n’ai pas les moyens de m’offrir
une Lada…
– L’horaire des bus… »
Les mêmes philosophant devant une bière :
« – La vie est comme un rouleau
de papier de toilette : Plus on arrive vers la fin, plus ça va vite !
– Peut-être… Mais ça va si vite que tu
sais que tu vis en l’an 2020 quand :
Par accident, tu tapes ton mot de passe
sur le micro-ondes.
Ça fait des années que t’as pas joué au
solitaire avec des vraies cartes.
T’as une liste de 15 numéros de
téléphone pour joindre une famille composée de 3 personnes.
T’envoies un mail à ton collègue de
bureau juste à côté du tien.
T’as perdu le contact avec tes amis ou
ta famille, parce qu’ils n’ont pas d’adresse courriel.
T’arrives chez toi après une longue
journée de travail et tu réponds au téléphone comme si tu étais encore au
bureau.
Tu fais le zéro sur ton téléphone du
domicile pour prendre la ligne.
T’es à ton poste de travail depuis 4
ans mais t’as travaillé pour 3 entreprises différentes.
Toutes les pubs télé ont une adresse
web en bas de l’écran.
Tu paniques si tu sors de chez toi sans
portable et tu fais demi-tour pour le prendre.
Tu te lèves le matin et la première
chose que tu fais c’est de te connecter à Internet avant même de prendre ton
café.
– Oui, c’est vrai… »
Un journaliste rencontre un
entrepreneur qui est devenu immensément riche…
« – Quel est le secret de votre
réussite ? De votre richesse ?
– Simple. Il faut avoir la conviction
que l’argent n’a pas d’importance et que le travail acharné est la source du
succès. Le travail, c’est la seule chose qui compte.
– C’est comme ça que vous êtes devenu
riche.
– Oui. Quand j’ai réussi à mettre ça dans
la tête de mon personnel. »
C’est l’histoire du bègue, il rencontre
un copain et lui dit :
« – Sa-sa-lut, co-co-co-ment
vas vas-tu ?
– Moi ça va mais toi, ça ne s’arrange
pas, tu devrais aller voir le docteur Steinenberg, il parait qu’il a une
méthode révolutionnaire pour guérir les bègues. Il appelle ça la méthode du
réapprentissage de l’alphabet.
– Ha-Ha bon ? Je je-te-te-te remercie-cie
je vais-vais y-y-y al-ler. »
Et il se rend chez le docteur Steinenberg.
Celui-ci lui dit :
« Je vois votre problème, nous
allons commencer la rééducation, passez dans la salle d’examen, déshabillez le
bas, installez-vous à quatre pattes sur la table, j’arrive. »
Le bègue se demande pourquoi il doit
faire tout ça et il s’exécute sans trop comprendre.
Le médecin revient… Le bègue crie
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Le médecin lui dit : « C’est
bien, rhabillez-vous, revenez demain pour le B. »
Ça vaut celle du gamin qui apprend à
parler à son poisson-rouge qui fait des bulles dans son bocal : « Très
bien pour les « O ». Demain on apprend les « A »…
Jean-Marc et Jean-Paul parlent de
sexe devant une bière :
« – Qu’est-ce que tu préfères :
Avant, pendant ou après ?
– J’aime mieux avant, parce qu’après,
c’est pendant… »
Les solutions de la semaine dernière :
« La buvette est pleine de couillons »
« Viens, on va à l’apéro ! »
« Germaine se tordait les seins
devant le ministre »
Les contrepèteries de la semaine :
« C’est long comme lacune… »
« Un mot vache ? »
« L’important quand on dîne, c’est
la purée ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire