Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 janvier 2020

Les « revenues » de la semaine

Et quelques autres
 
Un candidat policier passe son examen d’entrée.
Chaque question correspond à un objet : Képi, ceinturon et revolver
L’examinateur l’interroge.
« Quel personnage a perdu la bataille à Waterloo ? »
Pas de réponse.
« Voyons… Je suis certain que vous savez la réponse, son nom commence par la lettre N. »
Silence du candidat.
« – Ensuite, il y a la lettre A.
– Na, Na … Navaro ?
– Mais non NA … NA… puis il y a un P…
– NAP, NAP … Napoléon ? »
– Oui, c’est bien cela. Vous avez droit à votre képi.
– Nommez le terrible dictateur allemand des années 40 ? »
 Silence.
« – Allons, réfléchissez, son nom commençait par HI
– E.T. ?
– Non, il avait une moustache comme ça ? » (et il met 2 doigts sous ses narines)
« – Hitler !
 – Bravo, vous avez droit à votre ceinturon. Qui a tué Jésus-Christ ?
– Ça, je n’en ai aucune idée.
– Écoutez », lui dit l’examinateur, « rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes fatigué, moi aussi. Revenez lundi et de préférence avec la réponse.
– Bien monsieur. »
Le candidat rentre chez lui, tout fier, avec son képi tout neuf et son beau ceinturon.
Sa femme lui demande comment a été l’examen.
« Super. J’a 2 bêtes questions, les doigts dans le nez et on m’a déjà donné ma première enquête… »
Et après on s’étonne des violences policières en marge des manifestations…
 
Jean-Marc et sa chère Germaine :
« – Chérie, nous sommes mariés depuis 23 ans, et dès que j’ouvre la bouche, tu me corriges.
– Non ! 24 ans. »
 
« Tu sais, mieux vaut avoir la maladie de Parkinson que celle D’Alzheimer, car il est finalement préférable de renverser un peu sa bière plutôt que d’oublier de la boire !
 Même si on en renverse plein ? »
 
« – Docteur, je suis amnésique.
– Et depuis quand ?
– Depuis quand quoi ? »
 
« Combien compte-t-on d’essences d’arbre dans un pénis ?
C’est un petit être qui tremble devant vous, comme un charme, qui devient dur comme un chêne, droit comme un sapin, puis il va pécher, quand il a fait son boulot il est un peu plié et finit en saule pleureur !
En voyez-vous 9 ?
Hêtre, tremble, charme, chêne, sapin, pêcher, bouleau, peuplier, saule pleureur… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Tu sais, nous, les aînés, nous avons beaucoup plus de valeur que tout autre groupe d’âge :
Nous avons de l’argent dans nos cheveux.
De l’or dans nos dents.
Des pierres dans notre foie.
Du plomb dans nos pieds.
Du fer dans les articulations.
Et nous sommes une source intarissable de gaz naturel ! »
– Je ne croyais pas avoir autant de valeur… »
 
Puis concluant :
« Des fois, j’ai hâte d’être un vieux.
Ils sont bien, les Vieux, on est bon pour eux, ils sont bien.
Ils n’ont personne qui les force à travailler : On ne veut pas qu’ils se fatiguent.
Même que la plupart du temps, on ne les laisse pas finir leur ouvrage.
On les stoppe, on les « interruptionne », on les met à la retraite.
On leur donne leur appréhension de vieillesse et ils sont en vacances…
Ah, ils sont bien les Vieux !
Et puis, comme ils ont fini de grandir, ils n’ont pas besoin de manger tant tellement beaucoup.
Ils n(ont personne qui les force à manger.
Alors de temps en temps, ils se recroque un petit biscuit ou bien ils se retartinent du pain avec du beurre de récupération, ou bien ils regardent pousser leur rhubarbe dans leur soupe…
Ils sont bien…
Jamais ils ne sont pressés non plus.
Ils ont tout leur bon vieux temps.
Ils n’ont personne qui les force à aller vite.
Ils peuvent mettre des heures et des heures à tergiverser la rue…
Et plus ils sont vieux, plus on est bon pour eux.
On les laisse même plus marcher… On les roule…
Et puis d’ailleurs, ils n’auraient même pas besoin de sortir du tout : Ils n’ont plus personne qui les attendent…
Et l’hiver … Ouille, l’hiver ! C’est là qu’ils sont le mieux, les vieux : Ils n’ont pas besoin de douzaines de quatorze soleils… Non ! On leur donne un foyer, un beau petit foyer modique qui crépite, pour qu’ils se chauffent les mitaines…
Ouille, oui l’hiver, ils sont bien !
Ils sont drôlement bien isolés…
Ils n’ont personne qui les dérange.
Personne pour les empêcher de faire la sieste…
Tranquillement, ils se remémorent leur jeunesse… qu’ils oublient au fur et à mesure que le temps passe…
Ah ! Ils sont bien… !
Sur leur guéridon, par exemple, ils ont une bouteille, petite, bleue. Et quand ils ont des maux, les vieux, des maux qu’ils peuvent pas comprendre, des maux mystères, alors à la petite cuiller, ils les « endorlotent » et les « amadouillent »…
Ils n’ont personne qui les garde malades.
Ils n’ont personne pour les assistés soucieux…
Ils sont drôlement bien… !
Ils n’ont même pas besoin d’horloge non plus, pour entendre les aiguilles tricoter les secondes…
Ils n’ont personne qui les empêche d’avoir l’oreillette en dedans, pour écouter leur cœur, pour écouter leur corps se débattre tout seul…
Ils n’ont personne qui…
Ils n’ont personne…
Personne… »
 
« – Ah oui, à propos, Jean-Marc, sais-tu pourquoi les vieux encombrent les supermarché le samedi matin alors qu’ils ont toute la semaine pour faire leurs courses ?
– Non, raconte…
– Parce qu’ils partent de chez eux le jeudi… »
 
Un vendeur de bagels installe son stand au bord de la route avec une pancarte annonçant « 0,50 € le croissant. »
Chaque matin, un joggeur passe en courant, et dépose deux pièces de 25 centimes sur le comptoir, sans jamais prendre de croissant.
Un beau jour, le vendeur se lance à la poursuite du joggeur.
Ce dernier éclate de rire.
« – Laissez-moi deviner ! Vous voulez savoir pourquoi je dépose toujours de l’argent sans jamais prendre de croissant ?
– Non ! Je veux vous dire que le prix est maintenant de 75 centimes. »
 
Jean-Marc dit à son ami Jean-Paul…
« – Tu as l’air bien triste aujourd’hui ?
– Oui, normal. J’ai perdu mon chat.
– Pourquoi ne passes-tu pas une annonce dans le journal ?
– Bah. Mon chat ne sait pas lire. »
 
« – Garçon ! Ça fait une heure que j’attends après ma soupe !
– Ah monsieur ! La vie serait tellement belle si tout le monde avait votre patience ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Sais-tu ce qu’on trouve dans le manuel d’utilisation d’une Lada ?
– Bé non, je n’ai pas les moyens de m’offrir une Lada…
– L’horaire des bus… »
 
Les mêmes philosophant devant une bière :
« – La vie est comme un rouleau de papier de toilette : Plus on arrive vers la fin, plus ça va vite !
– Peut-être… Mais ça va si vite que tu sais que tu vis en l’an 2020 quand :
Par accident, tu tapes ton mot de passe sur le micro-ondes.
Ça fait des années que t’as pas joué au solitaire avec des vraies cartes.
T’as une liste de 15 numéros de téléphone pour joindre une famille composée de 3 personnes.
T’envoies un mail à ton collègue de bureau juste à côté du tien.
T’as perdu le contact avec tes amis ou ta famille, parce qu’ils n’ont pas d’adresse courriel.
T’arrives chez toi après une longue journée de travail et tu réponds au téléphone comme si tu étais encore au bureau.
Tu fais le zéro sur ton téléphone du domicile pour prendre la ligne.
T’es à ton poste de travail depuis 4 ans mais t’as travaillé pour 3 entreprises différentes.
Toutes les pubs télé ont une adresse web en bas de l’écran.
Tu paniques si tu sors de chez toi sans portable et tu fais demi-tour pour le prendre.
Tu te lèves le matin et la première chose que tu fais c’est de te connecter à Internet avant même de prendre ton café.
– Oui, c’est vrai… »
 
Un journaliste rencontre un entrepreneur qui est devenu immensément riche…
« – Quel est le secret de votre réussite ? De votre richesse ?
– Simple. Il faut avoir la conviction que l’argent n’a pas d’importance et que le travail acharné est la source du succès. Le travail, c’est la seule chose qui compte.
– C’est comme ça que vous êtes devenu riche.
– Oui. Quand j’ai réussi à mettre ça dans la tête de mon personnel. »
 
C’est l’histoire du bègue, il rencontre un copain et lui dit :
« – Sa-sa-lut, co-co-co-ment vas vas-tu ?
– Moi ça va mais toi, ça ne s’arrange pas, tu devrais aller voir le docteur Steinenberg, il parait qu’il a une méthode révolutionnaire pour guérir les bègues. Il appelle ça la méthode du réapprentissage de l’alphabet.
– Ha-Ha bon ? Je je-te-te-te remercie-cie je vais-vais y-y-y al-ler. »
Et il se rend chez le docteur Steinenberg.
Celui-ci lui dit :
« Je vois votre problème, nous allons commencer la rééducation, passez dans la salle d’examen, déshabillez le bas, installez-vous à quatre pattes sur la table, j’arrive. »
Le bègue se demande pourquoi il doit faire tout ça et il s’exécute sans trop comprendre.
Le médecin revient… Le bègue crie AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Le médecin lui dit : « C’est bien, rhabillez-vous, revenez demain pour le B. »
Ça vaut celle du gamin qui apprend à parler à son poisson-rouge qui fait des bulles dans son bocal : « Très bien pour les « O ». Demain on apprend les « A »…
 
Jean-Marc et Jean-Paul parlent de sexe devant une bière :
« – Qu’est-ce que tu préfères : Avant, pendant ou après ?
– J’aime mieux avant, parce qu’après, c’est pendant… »
 
Les solutions de la semaine dernière :
 
« La buvette est pleine de couillons »
« Viens, on va à l’apéro ! »
« Germaine se tordait les seins devant le ministre »
 
Les contrepèteries de la semaine :
 
« C’est long comme lacune… »
« Un mot vache ? »
« L’important quand on dîne, c’est la purée ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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