Jean-Marc drague
Une fille fait du stop.
Jean-Marc arrête son véhicule et
se penche à la portière…
« Monte chérie, je ne suis pas
un de ces salauds qui n’embarquent que les jolies filles… »
En ce début d’année, je veux remercier
tous mes ami(e)s qui m’ont envoyé des chaînes de courriels pendant toute l’année
dernière.
Que ferais-je sans tous ces précieux
conseils ?
Car, grâce à votre bonté,
– J’ai arrêté de boire des colas car il
paraît que c’est excellent pour nettoyer les lavabos.
– Je ne vais plus au cinéma tellement
j’ai peur de m’asseoir sur une aiguille infectée par le virus du SIDA !
– Je pue car je ne mets plus de
déodorisant. Paraît que les désodorisants peuvent causer le cancer.
– Je ne stationne plus la voiture dans
aucun parking car j’ai peur qu’on me donne un échantillon de parfum pour me
droguer et puis me voler !
– Je ne réponds plus au téléphone, car
on peut me demander d’appeler un numéro long et stupide, et après, je vais
recevoir une facture infernale pour mes appels en Ouganda.
– Je ne bois plus des boissons en
canettes car je peux attraper une maladie des selles ou de l’urine de rat !
– Quand je sors dans les boîtes de
nuit, je ne drague plus les filles, même celles qui me font des avances.
Hé ! Je ne suis pas un imbécile :
Je sais qu’elles peuvent, une fois à l’hôtel, me droguer pour m’enlever un rein,
et le revendre sur le marché noir.
– J’attends toujours un rabais par la
poste pour l’achat de mon téléphone cellulaire, ainsi que les billets que j’ai
gagné pour Disneyland.
– J’ai remis 21 fois la surboum que
j’organise le jour où je reçois ma caisse de bière gratuite, et mes copains
invités, m’engueulent.
À toutes et tous… un GRAND MERCI !
Jean-Marc et sa femme constate que
si leur fils grandit en taille, son sexe reste minuscule.
Ils contactent le pédiatre qui leur
conseille de lui faire manger beaucoup de tartines.
Le lendemain matin, Germaine se lève la
première comme d’habitude et prépare une énorme pile de tartines.
Lorsque son fils se lève, elle lui dit :
« Prend les deux tartines en
haut de la pile. Toutes les autres sont pour ton père. »
Jean-Marc et Jean-Paul sont partis
tôt le matin (6 heures).
Pour vaincre le froid ils ont bu une
bonne rasade d’eau-de-vie.
À 10 heures ils se sont arrêtés pour un
casse-croûte qu’ils ont fait descendre d’un grand coup de vin rouge.
Vers 11 heures ils ont goûté au petit
vin blanc qu’ils avaient amené, c’est pour dégraisser.
À 13 heures ils se sont arrêtés pour
déjeuner à l’Hôtel-bar-restaurant « Le rendez-vous des chasseurs » : Apéro,
c’est ma tournée, c’est la tienne, c’est la nôtre, c’est celle du patron. Vin
blanc, vin rouge et digestifsssss…
Il est 16 heures et ils sont tous les
deux complétements bourrés.
Et ils parlent (enfin ils essaient) à
la chasse.
« T’as vu le lièvre qui est parti
devant moi » dit Jean-Paul en saisissant son fusil et en l’épaulant…
« Vous êtes dingues » dit la
patronne derrière son comptoir « de jouer avec un fusil dans un
bistrot… »
« Ouais ! » que dit Jean-Marc.
« T’es un peu con de tripoter ton fusil comme ça… »
« Mais non, l’est pas chargé… Patronne
remettez-nous un calva… »
« Et les pigeons » qu’il
continue, « ils sont partis sous mon nez… Alors vieux, j’ai tiré comme
ça… »
Il empoigne son fusil, le soulève et…
PAN !… le coup part dans le plafond !!!
« Je vous l’avez bien dit »
fait la patronne.
« Ah merde ! », dit
l’imprudent « Je croyais pas qu’il était chargé ».
« Mon plafond, vous l’avez bouzillé
mon plafond ! Et nom de Dieu, la petite bonne qui fait la sieste dans sa
chambre juste au-dessus.
Vous l’avez peut -être tuée. »
Les deux gaillards se précipitent dans
l’escalier et redescendent, rassurés.
« Non, ça va. La petite bonne n’a
rien, Elle dormait les jambes écartées, les plombs sont passés entre ses
cuisses.
Mais votre mari, lui, il est méconnaissable
! »
Trois femmes, mortes en même temps,
dans un accident de train, se présentent devant Saint-Pierre.
« – Quelle genre de vie
avez-vous mené ? » demande le vieil homme à la première.
« – J’ai aidé mon prochain
toute ma vie, j’ai prié tous les jours, j’ai…
– OK ! Ok ! N’allez pas plus loin.
Voici la clé du paradis. »
La deuxième s’approche…
« – Et vous ? Qu’avez-vous fait
de votre vie ?
– Bien, j’ai aidé les autres du mieux
que je pouvais. Bien entendu, il m’est arrivé de faire de petites bêtises, mais
rien de sérieux…
– OK ! OK ! Voici la clé du purgatoire.
Ça ne devrait pas être trop long. »
Arrive la troisième. Un méchant pétard.
« – Et puis vous ? Qu’avez-vous
fait de bon sur Terre ?
– Moi ? Je n’ai semé que du plaisir et
du bonheur autour de moi. La fête tous les soirs dans les bars, j’ai couché
avec des hommes, des femmes, j’ai bu les meilleurs vins, fait les plus beaux
voyages, etc. J’ai…
– OK ! OK ! Voici votre clé…
– L’Enfer ?
– Non, chez moi. »
Un nouveau venu arrive aux portes du
paradis !
« – As-tu déjà accompli une
action extraordinaire », lui demande St-Pierre ?
« – Oui, sur la route, j’ai
rencontré un groupe de motards qui voulait faire un mauvais parti à une jeune-fille.
J’ai arraché l’anneau au sourcil du chef, distribué des coups de pied à droite
et à gauche, crevé les pneus de deux ou trois motos, et sauvé, je crois,
l’honneur de la jeune fille.
– Bien. Très bien. Quand cela s’est-il
produit ?
– Il y a environ 5 minutes. »
La petite fille passe devant la chambre
de ses parents et la porte est ouverte…
« Wow ! Et maman qui ne veut
pas que je suce mon pouce ! »
Jean-Paul, le père du petit Jean-David
s’étonne de ne pas avoir encore reçu le bulletin scolaire de son fils et lui en
demande la raison :
« – Et ton bulletin il n’est
pas encore arrivé ?
– Si, si mais je l’ai prêté à Jean-Gabriel
pour qu’il fasse peur à son père, ton pote Jean-Marc ! »
Les membres d’un club de l’âge d’or
font une petite expédition de trois jours.
Après quelques heures de trajet, le
chauffeur de l’autobus fait descendre tout le monde à une halte routière pour
satisfaire certains besoins.
Alors que tout le monde est descendu,
une mamie vient faire une confidence à l’oreille du chauffeur :
« Monsieur, je pense avoir été
victime d’une agression sexuelle tout à l’heure, dans ce bus. »
Le chauffeur, sans vouloir mettre en
doute ses dires, reste tout de même incrédule. Il lui promet néanmoins de la
surveiller afin que cela ne se reproduise pas.
À midi, alors que l’autobus s’arrête
pour le dîner, une deuxième vieille dame va trouver le chauffeur et lui confie :
« Je viens d’être victime d’une
agression sexuelle ! »
Cette fois, le chauffeur commence à
considérer avec plus d’attention les propos des deux vieilles.
Il se lance au fond de l’autobus, à la
recherche du pervers.
Il tombe sur un petit vieux qui est là,
à quatre pattes entre les sièges. Il l’attrape par la veste et lui demande :
« Bonjour monsieur, est-ce que
je peux vous aider ? »
Le petit vieux le regarde et il lui
répond :
« Pour sûr que tu peux m’aider
fiston !
J’ai perdu ma moumoute et j’essaie de
la retrouver.
Par deux fois, je pensais avoir mis la
main dessus, mais les deux avaient la raie au milieu, alors que la mienne a la
raie sur le côté. »
Germaine dit à son mari, Jean-Marc
:
« – Mon chéri, tu ne trouves
pas que cette robe me fait de grosses fesses ?
– Ben oui ! C’est une robe
normale, pas une robe magique. »
Arafat, hospitalisé à Paris, se réveille
d'un premier coma et interroge son médecin :
« – Docteur, qui êtes-vous ?
– Je suis le professeur Israël. »
L'émotion est trop forte.
C’est l’alerte cardiaque à nouveau.
Les médecins se précipitent et
réussissent à réanimer le leader palestinien.
« – Où suis-je ? »
demande-t-il alors.
« – Vous êtes à Villejuif »,
répondent en chœur les médecins.
Nouvelle alerte…
Le cardiologue Moshe David prévient :
« Encore une alerte comme
celle-ci et je ne réponds plus de rien… »
Arafat ouvre alors une dernière fois
les yeux :
« Quel temps fait-il dehors ? »
Et tous de répondre en chœur :
« Maussade ».
C’est petite fille qui rentre chez elle
et raconte à sa maman que des garçons lui ont demandé d’aller chercher leur
ballon qui était resté accroché à une branche d’arbre.
La maman ayant compris la ruse des
gamins explique à sa fille :
« Mais c’était pour voir ta
culotte petite idiote ! »
Sans attendre et d’un air très sérieux,
la petite fille réplique :
« T’en fais pas maman je le
savais, c’est pour ça que je l’ai enlevée avant de monter… »
Jean-Charles, un copain de Jean-Marc
est routier… et après avoir passé sa semaine sur les routes, il est bien
content de retrouver se femme le samedi.
Ce dimanche matin, alors qu’il
s’envoyait en l’air avec sa femme, Jean-Charles entend frapper à la cloison et
une voix crier :
« Vous pourriez au moins
arrêter vos cochonneries le week-end ! »
Maintenant, passons à toutes ces questions
fondamentales restées sans réponse :
Le POURQUOI des choses ?
On n’a pas souvent l’occasion, en ces
temps agités, de se poser les vraies questions.
Et pourtant…
POURQUOI tu peux avoir une pizza livrée
chez toi plus vite qu’une ambulance ?
POURQUOI il y a un stationnement pour
handicapés en face des patinoires ?
POURQUOI les gens commandent un double
cheeseburger, des grosses frites et un coca-allégé ?
POURQUOI nous achetons des saucisses de
hot dog en paquet de 10 et des pains à hot-dog en paquet de 8 ?
Par ailleurs, vous êtes-vous jamais
demandé…
POURQUOI les femmes ne peuvent pas se
mettre du mascara en gardant la bouche fermée ?
POURQUOI le mot « abréviation » est si
long ?
POURQUOI pour arrêter Windows on doit
cliquer sur « Démarrer » ?
POURQUOI le jus de citron est fait de
saveurs artificielles et le liquide à vaisselle est fait de vrais citrons ?
POURQUOI il n’y a pas de nourriture
pour chat à saveur de souris ?
POURQUOI la nourriture pour chien est «
nouvelle avec un goût amélioré » : Qui l’a testée ?
Vous connaissez ces boites noires
indestructibles dans les avions : POURQUOI est-ce qu’ils ne fabriquent pas
l’avion au complet dans ce matériel-là ?
Si voler est si sécuritaire, POURQUOI l’aéroport
s’appelle le « terminal » ?
Et toujours…
POURQUOI est-ce qu’on appuie plus fort
sur les touches de la télécommande quand les piles sont presque à plat ?
POURQUOI est-ce qu’on lave nos
serviettes de bain : Est-ce qu’on n’est pas censés être propres quand on
s’essuie avec ?
POURQUOI les pilotes kamikazes portaient-ils
un casque ?
Quand on étrangle un Schtroumpf, il
devient de quelle couleur ?
Comment les panneaux « DEFENSE DE
MARCHER SUR LA PELOUSE » arrivent-ils au milieu de celle-ci ?
Est-ce que les analphabètes ont du
plaisir à manger un bouillon aux nouilles en forme de lettres ?
Quand l’homme a découvert que la vache
donnait du lait, que cherchait-il exactement à faire à ce moment-là ?
Si un mot dans le dictionnaire est mal
écrit, comment s’en aperçoit-on ?
POURQUOI ce couillon de Noé n’a-t-il
pas écrasé les deux moustiques ?
Est-ce que les ouvriers de chez Lipton
ont aussi une pause-café ?
POURQUOI les moutons ne rétrécissent
pas quand il pleut ?
POURQUOI « séparés » s’écrit-il en un
mot, alors que « tous ensemble » s’écrit en deux mots séparés ?
Je veux acheter un boomerang neuf : Comment
puis-je me débarrasser de l’ancien ?
POURQUOI les établissements ouverts 24
heures sur 24 ont-ils des serrures et des verrous ?
Solutions de la semaine dernière :
Ségolène est molle à la fesse…
Sarnez (élue McModem) s’est
retroussée jusqu’au ventre…
Un tien vaut mieux que deux tu l’auras.
Je vous avais dit que c’était facile.
La sélection de la semaine :
« Ah mettre le couchant en valeur… »
« Jean-Marc, tu as de la mousse à la pistache ! »
Germaine : « Je vais chercher les choux au patelin… »
Bonne week-end à toutes et à tous !
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