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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 14 janvier 2020

Le drame australien

La faute aux « écolologistes » locaux !
 
Merci à eux, car on en apprend de bien belles quand on sort des médias européens.
La « presse aux ordres », décidément, c’est la plaie de la pensée, mais c’est bien un outil de la « démocrature » ambiante.
Deux informations se sont télescopées sur mes écrans.
 
La première (et ça va enfler, croyez-moi), c’est qu’il faut s’attendre à des « vagues de froid » de plus en plus fréquentes sous nos tropiques tempérés à cause du réchauffement climatique !
Mais si !
Parce que si ça se réchauffe outrageusement, il va faire froid plus rudement, plus longtemps et de façon plus intense.
Ou seulement alternativement l’un de ces trois effets.
Rien de plus logique, n’est-ce pas, puisqu’il s’agit de « contrecoups » : S’il fait trop là, c’est qu’il va faire pas assez ailleurs…
 
Ceci dit, après nous avoir fait pleurer l’été dernier sur les incendies de l’Amazonie dont a été rendu responsable le président du Brésil (qui n’aura trouvé rien de mieux et de plus astucieux que de répliquer sur l’âge de « Bibi-Jupiter »), on vous fait pleurer actuellement sur les incendies en Australie.
Et il y a de quoi : En Australie, les feux de brousse ont débuté le 21 novembre. Ces événements ont beau être habituels, ils sont particulièrement virulents cette saison.
C’est plus de six millions d’hectares qui sont déjà partis en fumée en Australie.
Des fumées qui ont désormais atteint le Chili et l’Argentine.
La surface en cendres est plus de six fois supérieure à la partie de l’Amazonie qui avait brûlé durant l’été 2019…
Ce qui, à mon sens, relativise les prétentions des uns et des autres…
 
Notez que ce phénomène est habituel pour les Australiens. Néanmoins, il est d’une rare intensité cette année, en raison d’une conjoncture qui se fera de moins en moins exceptionnelle, nous dit-on…
(Ils ne savent déjà pas quel temps il fera dans plus de 48 heures, alors forcément ils « sachent » mieux que personne pour la même saison l’année prochaine…)
En effet, si on les suit, celle-ci est une nouvelle fois à imputer au réchauffement climatique « général ».
Or, de façon récurrente et régulière, les feux de brousse débutent entre janvier et mars. Cette saison, ils ont seulement deux mois d’avance.
En cause, une atmosphère particulièrement sèche et des températures records, lesquelles sont aggravées par des vents violents.
L’île-continent a d’ailleurs battu son record de chaleur en décembre, en enregistrant 41,9 °C au thermomètre (c’est l’été australe et la planète s’approche au plus près de son étoile, le Soleil, en cette saison), pendant que les Européens s’emmitouflaient dans leurs pulls.
 
Dans l’État de Victoria, l’un des plus touchés par les flammes, tout a démarré par une série d’impacts de foudre. Les feux naissants ont rapidement pris sur la végétation asséchée. En grandissant, ils créent des colonnes de fumée. La chaleur et les aérosols dégagés par l’incendie créent des nuages nommés « Pyrocumulonimbus ».
Et la foudre retombe un peu plus loin en aval.
Une boucle infernale.
 
Normal : Un panache de fumée s’élève sous l’incendie. Au fur et à mesure qu’il prend de l’altitude, sa température descend. La pression atmosphérique finit par causer la formation de nuages. Puis, l’instabilité de l’atmosphère provoque la naissance d’un orage (Pyrocumulonimbus). En contact avec l’air sec, la pluie du nuage s’évapore et refroidit, ce qui entraîne un déchaînement de pluie. Finalement, des éclairs apparaissent, suivis par de nouveaux départs de feux…
Quand on lit (et écoute) Pat McNamara, le président du fonds d’aide aux victimes des feux de forêt dans l’État de Victoria, aura prévenu : « Nous ne sommes pas encore dans ce qui est, en temps normal, la haute saison des incendies. Nous en avons probablement donc pour encore quatre ou cinq semaines avec cette météo. »
Qui plus est, les arbres en proie aux flammes sont principalement des eucalyptus.
Or, les eucalyptus contiennent une huile qui, en cas de températures très élevées, peut s’évaporer et contribuer à créer des couronnes de feux.
Par ailleurs, certaines recherches scientifiques suggèrent que la fumée pourrait inhiber le développement des nuages et de la pluie.
 
Pourtant, le seul facteur qui pourrait résoudre la situation est bien la pluie : Il faut absolument leur envoyer « Tagada-à-la-fraise-des-bois », en urgence. Lui, il est bon pour faire la pluie (le beau temps, c’est une autre affaire) ! Une pluie longue de plusieurs jours. Si les chances sont minces, cela reste possible puisque le « DOI » vient de redevenir neutre.
Le « DOI », ou « dipôle de l’océan Indien », c’est une oscillation des températures de surface de l’océan Indien.
Il est peu compris mais l’on sait néanmoins qu’une valeur positive tend à provoquer des sécheresses en Australie, tandis qu’une valeur négative augure de fortes précipitations dans cette région.
Jusqu'à présent, il était exceptionnellement positif, mais la tendance semble enfin s’inverser.
 
Remarquons par ailleurs qu’au-delà des phénomènes « classique » de la météorologie de cette partie de l’hémisphère-sud de la planète, on constate, avec un peu de recul, que le total des surfaces brûlées était plutôt en diminution ces dernières années, dans le bush australien, et que l’année 2019 fait plutôt figure d’exception.
On est en effet encore loin du record de surfaces brûlées, en 1974, dans le centre de l’Australie, mais les incendies de cette saison ont plus d’impacts car ils concernent des zones plus densément peuplées.
On parlait alors de 117 millions d’hectares détruits par les flammes, mais le réchauffement climatique n’existait pas encore et les « petites-bêtes » vivant dans « l’écosystème-détruit » avaient survécu par dizaines de millions d’entité…
Cette fois-ci, ce n’est plus le cas : On vous parle des Koalas, de plusieurs millions de bestioles qui auraient péri, incapables de se déplacer, de fuir, devant la menace des flammes !
Bien entendu…
 
Et vous aurez noté que pour toute votre presse « Gauloisieinne-aux-ordres », un seul coupable possible, c’est le réchauffement climatique, et surtout la posture climato-sceptique du Premier ministre australien Scott Morrison, libéral de surcroît, qu’il faudrait punir.
Or, la situation n’est cependant pas si simple. Dans un article d’Alan Jones paru dans le Daily Telegraph local du 18 novembre 2019, on peut trouver sur le site d’une association de pompiers volontaires, la VFFA, que : « La gravité des feux n’a rien à voir avec le ‘‘changement climatique’’ mais avec de nouvelles règles ‘‘environnementales’’ qui ont rendu l’entretien du bush impossible au nom de la biodiversité. »
Vous avez bien lu : Les hommes de terrain vous le hurle !
On ne peut plus accéder aux foyers parce que se sont des zones « protégées » !
Interdiction d’y faire des brûlis comme depuis l’aube des temps des bushmen : Gros gag…
 
On peut ainsi y lire que, dans les parcs nationaux où certains feux ont pris naissance, « les pistes que pouvaient emprunter les pompiers sont maintenant envahies par la végétation et sont devenues impénétrables.
Ces accès ont été barrés par de grosses pierres ou des barrières.
Comme il n’y a plus d’accès terrestres, les pompiers doivent avoir recours à des méthodes aériennes onéreuses et inefficaces de façon curative.
Les Verts assument cette stratégie, hormis le fait qu’ils ne veulent pas que soit utilisée de l’eau de mer pour arroser, mais de l’eau douce pour protéger l’environnement.
Le problème est que les pompiers manquent d’eau douce. »
D’autant qu’il y a trop de dromadaires dans le pays des kangourous et que des snippers ont reçu mission d’en abattre 10.000 : C’est que quand ça se met à boire, ces bestioles-là assèchent les cours d’eau qui ne remplissent plus les retenues naturelles ou artificielles du pays…
Un génocide-écolologiste en somme !
 
En fait, les règles environnementales imposées dans les années 2000 ont créé des sanctuaires.
En tête de l’article, la VFFA a ajouté : « Il est temps que les bureaucrates et les politiciens (tous leurs « sachants » à eux) arrêtent d’accuser le ‘‘changement climatique’’, dans la crise des feux dans le bush, dont ils sont beaucoup responsables et qui met des vies en danger. »
Effectivement, suite à un incendie incontrôlable survenu en 2013 dans la banlieue de Canberra, un article du Daily Telegraph dénonçait déjà en janvier 2013 cette situation, où la pression des Verts sur les décideurs a généré cette catastrophe : Il aura fallu 6 ans et 21 morts pour leur donner raison…
 
Pour compléter, le codirecteur du Centre australien de recherche sur les feux de forêt (National Centre for Research in Bushfire and Arson), ajoute que le nombre d’incendies volontaires est, en moyenne, de 62.000 par an, et ce chiffre augmente.
Parmi eux, 13 % sont allumés volontairement et 37 % de façon suspicieuse, ce qui fait que 85 départs d’incendie par jour sont classés « volontaires », un sur deux.
S’il ne fait pas de doute que la température et la sécheresse qui caractérisent l’année 2019 (l’historique des précipitations montrant une tendance plutôt positive depuis 1970, selon les données du Bureau australien de météorologie) ont favorisé la propagation des incendies, sous la pression de ces critiques, le gouvernement fédéral va tout de même lancer une enquête afin de tirer au clair l’incidence des réglementations environnementales sur la gravité des feux et leur prévention.
 
S’il est probable que les « médias-aux-ordres » Gauloisiens ne vous parlerons pas des résultats de cette enquête, j’espère au moins que les australiens ne sont pas si kons que ça et qu’ils feront comme tout le monde.
1/ Une forêt, même naturelle, ça s’entretient.
On la nettoie régulièrement en défrichant au moins les passages pour les pompiers et on y intègre des « coupe-feux ».
Et on abat les arbres morts de vieillesse ou de maladie.
2/ Et quand ça flambe et qu’on n’a pas préparé des bouches d’incendie, on balance de la flotte, y compris d’eau de mer, ou des retardant sans attendre l’aval des dogmes écolologistes.
 
En « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » vous verrez ainsi des bouches d’incendie le long de quelques routes forestières « à risque ».
Des postes de vigie sur les points élevés.
Des gardes forestiers en patrouille pédestres dans les parcs nationaux.
On est même capable d’envoyer de la troupe entrainée en hélicoptère sur les massifs inaccessibles (parce qu’il y en a) attaquer les feux.
Et on fait patrouiller des Trackers ou des Canadairs quand il y a du vent ou que les températures sont élevées.
Parce qu’on ne peut pas non plus faire des « coupe-feux » dans les massifs escarpés. Le bush, c’est autre chose : On en fait bien dans les Landes ou en Forêt de Fontainebleau (et encore ailleurs).
Et puis, en termes de « coupe-feu », on va regretter l’écobuage naturel des troupeaux de caprins en estives et autres mouflons (qui vont jusque dans des endroits « impossibles » pour quelques herbes) et surtout d’avoir arraché les vignes pour se faire bien voir de la Commission de Bruxelles et ses quotas : Il n’y a pas meilleur barrage aux incendies, même par grand vent !
 
C’est d’ailleurs un conseil avisé : En cas d’incendie en plaine, prenez un seau d’eau et des serviettes, allongez-vous au milieu d’une vigne, et mouillez vos serviettes que vous placerez pour filtrer et protéger votre respiration des cendres…
Vous aurez la vie sauve.
Et même sans eau ni serviette, allez-y courir vous mettre à l’abri.
Alors que se précipiter sur les plages, comme beaucoup de touristes en Australie, reste un piège : La mer, c’est un cul-de-sac, infranchissable sans embarcation adéquate.
Question de bon sens aussi…
 
Mais le bon sens n’aura pas franchi les portes des « grandes ékoles de sachants ».
Quel que soit l’hémisphère, manifestement…

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