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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 28 janvier 2020

Il m’aura bien fait rire…

Un voyage délirant de « Jupiter » en Israël !
 
Moâ, je ne sais pas où il va chercher « tout-ça », mais il faut lui reconnaître un côté comique et humoristique indéniable.
Et accessoirement de la suite dans les idées voire des idées fixes telles que je m’inquiète pour son équilibre mental.
 
Il va comme ça représenter mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…), patrie internationale des droits de l’Homme, aux commémorations (internationales aussi) de la libération du camp d’Auschwitz-Birkenau et dénoncer la Shoa : Ce qui est très bien.
Ne jamais oublier que ce camp d’extermination a été libéré par l’Armée Rouge des « staliniens-cocos », créé en territoire « Polak » (et ses ghettos à « feujs »…) par des nazis élus au suffrage « majoritaire & démocratique » d’un pays à haute densité de « Huguenots » !
Conjonction des planètes ?
Je ne sais pas, mais ça ne justifie en rien un « génocide-dogmatique » qui aura fait des millions de morts inutiles : Une catastrophe pour l’Humanité toute entière…
Et n’aura pas vraiment rendu plus heureux pour autant le peuple « Teuton » du moment (ni leurs descendances)…
 
Ceci dit, il commence par dénoncer l’antisionisme comme assimilable à de l’antisémitisme quand il rencontre son homologue local.
Les « antis », d’une façon générale, je déteste.
Ce sont eux qui ouvrent les portes des déferlantes de haine et de violence s’auto-justifiant de détenir « la » vérité.
Et naturellement, l’antisémitisme étant devenu un délit d’opinion sévèrement réprimé dans mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…), en bon « juriste-légaliste », je me fais une joie d’en respecter jusqu’à la moindre virgule.
D’autant que je n’ai rien contre les « feujs » pour avoir plein de potes qui se prennent pour « le » peuple élu par le Divin.
Moâ, je veux bien – puisque Jésus Christ était feuj – mais, pour être « né-papiste », je considère qu’ils se trompent pour avoir biaisé le sens des messages prophétiques et louper le passage du Messie annoncé depuis des millénaires : Kon d’être aussi « têtu-dogmatique » que ça…
D’autant quand on est le « peuple élu » (les autres étant de la merde indignes de Yahvé), sans se rendre compte qu’ainsi ce sont eux qui ont inventé l’antisémitisme.
Passons, parce que rien ne le justifie, finalement, à l’Homme de raison…
 
En revanche, antisioniste, je ne le suis pas plus (toujours le respect de la loi, internationale celle-là), mais l’idée de faire un vaste ghetto de tout un pays et de les rassembler là « tous ensemble », ça m’en bouche un coin !
« Alya », je crois que ça s’appelle…
En plus, sur un territoire jusque-là mahométan, entouré que de mahométans avec des frontières et des murs partout infranchissables, je trouve ça franchement délirant voire ahurissant !
Si on voulait nuire aux « feujs », on ne ferait pas autrement, constate-je…
Re-passons également : Ce n’est pas vraiment mon problème…
 
Et puis il s’essaye dans les traces du « Chi » à nous refaire le couplet de cette police insolente de cet État-insolent (comme le qualifiait le Général De Gaulle à son époque…), des années 90 (les plus jeunes ne peuvent pas connaître…)
Lui c’est « I don’t like what you did in front of me » (« Je n’aime pas ce que vous avez fait devant moi »), a-t-il crié à un policier israélien qui essayait de lui frayer un chemin devant la porte d’une église visitée, territoire « gauloisien » dans la Vieille ville de Jérusalem. « Out » (« dehors ! »), a conclu le président après avoir sorti cette phrase d’anthologie : « Ève-rit one no ze roule » !
En fait, il fallait comprendre « Everyone knows the rules ! No one needs to provoke anyone, we stay calm » ce qui veut dire en francilien-natif : « Tout le monde connaît les règles, personne n’a besoin de provoquer personne, on reste calme » et lui de s’énerver tout seul et gratuitement…
Formidable !
Quoi de plus flagrante preuve que nos profs’ d’anglais sont absolument nuls chez « Les-ducs-à-Sion » patriotique ?
Et encore, on reconnaît bien l’accent titi-parigot : Il aurait eu un prof malien (ou encore une créole) comme moâ-même, ça aurait pu tourner à l’attentat raciste !
 
Et puis le voilà qui se te vous fait son discours « mémoriel » et sur son retour « au pays » il précise qu’il y avait en démocratie des principes fondamentaux : « Le respect de l’autre », « l’interdiction de la violence » et « la haine à combattre », etc. qu’il renouvela d’ailleurs au pied du « mur des noms » du mémorial de la Shoa sur l’Île-de-la-cité.
Pire, il se lâche à 10 km d’altitude (et ses « ivresses ») : « Aujourd’hui s’est installée dans notre société, et de manière séditieuse par des discours politiques, l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’il y ait une forme de dictature qui s’est installée ».
« Essayez la dictature et vous verrez ! »
Et il devient plus précis : « Mais allez en dictature ! Une dictature, c'est un régime où une personne ou un clan décide des lois. Une dictature, c'est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. »
Pour finir par donner « la leçon » : « Il y a en démocratie un principe fondamental : le respect de l’autre, l'interdiction de la violence, la haine à combattre » !
« Tous ceux qui aujourd’hui dans notre démocratie se taisent sur ce sujet sont les complices, aujourd’hui et pour demain, de l’affaiblissement de notre démocratie et de notre République », m’aura-t-il accusé.
Non mais… quel culot !
Voilà qu’il a bien raison que je deviendrai presque « Jupitérien » pour ne pas vouloir décider d’être complice d’une telle ignoble forfaiture…
 
« Celles et ceux qui portent cette violence, celles et ceux qui avec cynisme quelquefois l’encouragent, ou ceux qui taisent tout reproche qu’il faut avoir, oublient une chose très simple : nous sommes une démocratie. »
Et il se fait encore plus précis : « Une démocratie c’est un système politique où l’on choisit nos dirigeants, c’est un système politique où l’on choisit les représentants qui auront à voter librement les lois qui régissent la société. »
« Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décide des lois ».
Et cela suppose « beaucoup d’exigence », puisque cela signifie, selon lui, que la liberté du peuple et sa souveraineté sont reconnues, mais suppose une contrepartie : « Dans une démocratie, on a un devoir de respect à l’égard de ceux qui représentent et portent cette voix, parce que précisément on a le pouvoir de les révoquer. On a l’interdiction de la haine parce qu’on a le pouvoir de les changer. »
Magnifique, n’est-ce pas !
 
Alors, moâ, je dénonce (avec sa bénédiction) dès avant qu’il ne s’envole (mercredi-dernier) les violences « légitimes » d’État parfaitement inutiles ordonnées et assumées par un régime « démocratique » qui semble être le sien.
Sans pour autant être haineux : J’ai de haine uniquement que contre mon prof de droât qui m’aura sacqué pour complaire à son pote de promotion qu’est mon oncle (celui de cette « hideuse famille » qui est la mienne) pour m’avoir fait perdre une année dans le cheminement de mes études de droât et contre l’assassin de « mon papa à moâ-même » (celui qui me fait toujours frémir quand je l’évoque…).
Le prof en question aura été viré de la fac pour avoir été « piégé » par une de mes copines du moment ; l’assassin est mort et enterré (il me manque encore d’aller pisser sur sa tombe) et mon oncle est cloué dans son lit-médicalisé au milieu de son salon à agoniser superbement pour expier sa « petitesse » de cœur et son étroitesse d’esprit…
Vous le constater, je ne suis pas très gourmand et en plus ça me dégoûte impérialement !
Tous les autres, je les respecte : Je suis né « papiste »…
 
Dans une « démocratie (…) on a le pouvoir de révoquer (les élus). Parce qu’on a le pouvoir de les changer. »
Pardon ?
Entre deux échéances électorales, il se passe quoi ?
On a eu « Mythe-errant » : Il n’a fait que ce qu’il a voulu durant deux ans puis s’est ravisé et a fait l’inverse sans demander rien à personne et surtout pas à ses électeurs, puis s’est payé une première cohabitation, ce qui lui a valu d’être renouvelé.
Il a volé, pillé, déçu et on a eu une seconde cohabitation…
On a voté pour le « Chi » et on a eu une troisième cohabitation.
On a renouvelé le « Chi » et il n’a rien fait de probant sauf à nous mettre « Bling-bling » dans les pattes pour un quinquennat complet !
Et ce dernier a été tellement mauvais que n’importe quel canasson-boiteux était capable de le battre, ce qui a été fait par « Tagada-à-la-fraise-des-bois » les doigts dans le nez et une bite dans le kul.
Qui nous aura légué soit la peste-blonde soit « Jupiter » !
Le choix de dingue…
On a « Jupiter » et sauf à le flinguer, il va falloir se l’enquiller jusqu’en 2022.
Et vous allez remettre ça à cette échéance-là ?
Il est où le changement, celui ou le peuple élira celui qui se mettra enfin au service du peuple et du pays ?
Elle est où la révocation mise en avant ?
Figurez-vous que je m’insurge…
 
Une démocratie est « un système politique où l’on choisit les représentants qui auront à voter librement les lois qui régissent la société. »
« Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décide des lois ».
Elle est où cette « représentation-libre » qui vote, doigt sur la couture au garde-à-vous comme une seule homme ce qui est dicté par un gouvernement qui n’aura même pas été élu mais « désigné »… ?
N’est-ce finalement pas un « clan » de ralliés à une seule personne, sans programme ni même une colonne vertébrale idéologique ou seulement « dogmatique » ?
Et je ne parle pas « d’idées » comme celles qui dégénèrent en « programme », ces « promesses électorales » sui generis sorties de nulle part hors le groupe Bilderberg ou des caciques de la « Trilatérale » d’un monde « avant à l’agonie », déphasé des réalités quotidiennes des peuples qu’ils « gouvernent »… contre les volontés populaires…
 
La « Jupitérie » n’est jamais qu’un clan qui décide bien de tout ou à peu près de tout dans ce pays, par ses lois, décrets, réglements, circulaires et autres, jusqu’à la taille de vos bagnoles et l’usage des gobelets à « usage unique ».
Un clan qui représente un peu moins de 17 % du corps électoral et qui détient pourtant la majorité absolue de l’Assemblée Nationale.
On se souviendra encore de cet incident minuscule, mais Ô combien révélateur, en juillet 2017, lorsque tout leur semblait permis : Lors d’une discussion sur un projet de loi en commission des affaires sociales, le député LFI « Adrien-Quatre-mains » demande à la présidente LREM si des amendements avaient été acceptés : « Est-ce qu’il serait possible, Madame la présidente, d’avoir un état des lieux du nombre d’amendements que nous avons traités jusqu’ici ? »
La présidente lui répond : « Il en reste 93 et nous en avons vu 77. »
« D’accord, avec un taux d’acceptation de 0 %, c’est bien ça ? » demande alors le députacrouille.
« Bah, évidemment, vous l’imaginez… » lui répond-elle en riant…
Plus qu’un symbole : Une réalité… démocratique fulgurante !
 
Pour rappel, il faut bien se souvenir que la dictature, ce n’est pas ce que « Jupiter » en dit, lui le « lettré ». Chez les grecs antiques et chez les romains et leurs Républiques respectives, la dictature pouvait exister temporairement, dans des circonstances exceptionnelles.
Son mandat n’était pas de cinq ans mais de seulement six mois !
Éventuellement renouvelable sous conditions.
La République romaine compta ainsi jusqu’à soixante-seize dictateurs entre 501 et 202 av. J.-C.
Avant César…
Et en première année de droit, on apprend que l’article 16 de notre Constitution permet, en quelque sorte, d’instaurer la dictature, au sens romain du terme : « Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacés d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le président de la République prend les mesures exigées par les circonstances. »
L’article 16 ne fut appliqué qu’une seule fois : du 23 avril au 29 septembre 1961, après le putsch des généraux d’Alger.
La dictature, ce n’est décidément pas tout un quinquennat !
 
Nous n’y sommes donc pas et « Jupiter » a tout faux : Nous sommes dans la tyrannie de la « démocrature » qui se prolonge pire qu’une dictature !
D’autant que faire voter des lois qui vont dans le sens de la restriction de la liberté d’expression – loi anti-« fake news », loi Avia –, ce n’est pas forcément aller vers plus de démocratie mais plutôt à son opposé.
Par exemple, avoir recours à 29 futures ordonnances (non débattues par la représentation démocratique) pour faire passer une réforme des retraites tellement nécessaire mais tellement mal expliquée, qualifiés d’« éléments structurants » par le Conseil d’État n’est-ce pas le glissement de la « démocrature » vers la dictature ?
On a vu ce qu’il en a été en début de quinquennat avec les ordonnances du Code du travail…
 
Je vous le crie depuis avril 2017 quand j’ai découvert qu’un des « conseiller de l’ombre » de « Jupiter » n’est autre que « Beau-raie-l’eau ».
Lui, je l’ai croisé dans le monde de mes « petites-crèches » : Un type presque « propre sur lui » qui règne sur quantité d’associations « démocratiques » (en piquant leur trésorerie et patrimoine accumulés) mais en inversant le fonctionnement desdites associations : Le pouvoir part du sommet qui « désigne » les personnels (très éphémères et sous contrainte « soft ») qui le conforte dans son pouvoir.
Ce qui m’a obligé de vous prévenir de ce qui vous attend.
Je me suis juste « planté » sur le calendrier, bouleversé à l’époque par cette « exigence » immédiate et impérative de réforme de la constitution (une de plus)…
 
Le temps a passé, cette exigence reviendra, mais dans un autre contexte peut-être plus tendu, plus exacerbé.
Car quand « Jupiter » parle d’autrui avec l’irrespect qu’on lui connaît, c’est en fait de lui qu’il parle (d’où mon inquiétude sur son état mental…)
Quand il fustige la démocratie, de ses principes et « l’irrespect », voire plus (bastonnades, embastillements, humiliations, mutilations) qu’elle porte à l’encontre de ses « autorités constituées », et qu’il parle de dictature, c’est bien ce qu’il a à l’esprit le concernant lui d’abord !
On n’est pas « Jupiter » pour rien et c’est finalement follement amusant…
 
Combien de temps encore resterez-vous sourds et aveugles ?
Il y a franchement de quoi en rire, n’est-ce pas !

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