Parfois déjà passées par ici.
En ce moment, il faut en profiter :
On solde car il en arrive de tous les côtés.
Je veux dire des « revenues ».
Au tribunal :
« – Elle avait trois enfants,
c’est ça ?
– Oui.
– Et combien de garçons ?
– Aucun.
– Y avait-il des filles ?
– … heu… »
…et encore…
« – Êtes-vous mariée ?
– Non je suis divorcée.
– Et que faisait votre mari avant que
vous ne divorciez ?
– Beaucoup de choses, mais je n’étais
pas au courant de quoi. »
…et encore une…
« – Quelle était votre relation
avec la plaignante ?
– Elle est ma fille.
– Et était-elle votre fille le 5 Mai
1996 ?
– … »
« – Est-ce que vous pouviez le
voir de là où vous étiez ?
– je pouvais juste voir sa tête.
– Et où était sa tête ?
– Sur ses épaules, pardi ! »
Je craque à chaque fois :
Jean-Marc et Jean-Paul
« – Qu’est-ce qui commence par
B et qui est très dangereux ?
– Tu me l’as déjà faite celle-là !
– Et alors, c’est quoi ?
– Bijour, ji sui le commandant di bord
et ji vous souhaite un bon voyachh… »
Encore une « incomparable »,
beaucoup plus récente :
La bonne fée dit, d’un air indigné, au petit
Jean-Marc, devant qui elle est apparue sur la plage :
« Quand, émue par ta misère, je
te suis apparue, en te promettant de réaliser ton vœu le plus cher, quel qu’il
soit, je m’attendais à ce que tu me réclames des millions d’euros, et pas du
tout à me retrouver toute nue, les mains liées au dos, sous ton regard lubrique
! »
Celle-là est revenue un peu « enrichie » :
Ça se passe dans un bar.
Jean-Marc, Jean-Paul et Jean-Charles,
tous les passablement avinés à cette heure-là de la matinée se font mousser.
« Hé les gars ! »
commence Jean-Charles, « j’ai acheté quelque chose à ma femme qui passe
de 0 à 100 en 6 secondes. »
Les deux autres ne voient pas de quoi
il parle.
« – Je lui ai acheté une
Porsche noire.
Ma femme a les cheveux noirs, une
Porsche noire colle parfaitement à sa personnalité.
– Eh bien », dit Jean-Paul, « j’ai
acheté quelque chose à ma femme qui passe de 0 à 100, en 4 secondes.
– Ça doit être une Ferrari ! » dit Jean-Marc.
« Exact. Elle est rouge, parce
qu’elle colle parfaitement à ses lèvres rouges. »
Jean-Marc se retient de rire… Quand on
connaît la situation de Jean-Paul et le physique de sa « Germaine-à-lui »…
Jean-Charles demande alors à Jean-Marc,
ce qu’il a acheté pour l’anniversaire de sa femme.
« – Moi ? Ce que j’ai acheté à
ma femme une engin qui passe de 0 à 100 en une seconde, et qui colle parfaitement à son physique !
– Hé ! Tu nous fais chier, là, ou quoi ?
– Mais, tu nous prends pour des imbéciles,
rien ne va plus vite qu’une Ferrari ! Pauvre con.
– Si ! Un pèse-personne ! »
« – Papa, combien ça coûte pour
se marier ?
– Je ne le sais pas. Ça fait vingt ans
et je paie encore ! »
Deux copines au resto.
« – Mais ta bague de mariage
n’est pas dans le bon doigt ?
– Oui. C’est parce que ce n’est pas le
bon mari ! »
Chez le libraire (probablement une
revenue) :
« – Bonjour ! Je cherche un
livre sur l’éducation des enfants.
– Désolé. Nous n’en avons plus madame.
– Ah bon…
– En revanche, je peux vous en
conseiller un autre.
– Allez-y !
– Comment se contrôler et ne jamais
perdre patience. »
Un vieux couple du village fête
soixante ans de mariage.
Le journaliste interroge le mari.
« – Au cours de votre vie
commune, vous avez sans doute vécu des moments difficiles ? Des chicanes ?
– Oui, mais nous avions un secret !
– Un secret ?
– Le jour de notre mariage, on a conclu
un pacte : Dès que la tension montait, je filais à l’écurie et je restais là.
– Ah bon. Voilà une bonne idée.
– Oui. Sauf que j’ai passé la majorité
de ma vie à l’écurie. »
Appelé pour donner l’extrême-onction, un
curé doit quitter son poste.
Or, c’est la période des confessions.
Personne pour le remplacer.
Il demande à son ami le rabbin de le
remplacer.
Ce dernier veut bien mais il ne sait
pas comment ça marche.
« C’est simple. Tu verras.
Viens avec moi dans le confessionnal et écoute. »
Une dame entre…
« – Mon père je m’accuse
d’avoir commis l’adultère.
– Combien de fois ?
– Trois.
– Bon. Vous réciterez trois « Je
vous salue Marie » et déposez 50 € dans le panier à la sortie. »
Un homme entre.
« – Mon père, je m’accuse
d’avoir trompé ma femme.
– Combien de fois ?
– Une. Seulement une fois.
– Vous réciterez trois « Je vous
salue Marie » et déposez 50 € dans le panier à la sortie. »
« Ok » dit le rabbin. « Je
comprends et je pense que je peux te remplacer. Allez, vas-y et ne sois pas
inquiet. »
Le rabbin s’installe dans le
confessionnal et attend…
Une dame arrive.
« – Mon père, je m’accuse d’avoir
commis l’adultère…
– Hum. Combien de fois ?
– Une fois.
– Une fois seulement ?
– Oui.
– Vous êtes certaine ?
– Oui, oui.
– Bon. Nous avons une promotion spéciale
cette semaine. Trois pour le prix de 50 €. Vous réciterez trois « Je vous salue
Marie » et déposez 50 € dans le panier à la sortie. Vous pouvez-donc y
aller encore deux fois… »
Une classique vieille de plusieurs
années :
Jean-Marc et Jean-Paul, devant
leur bière post-méridienne.
« – Sais-tu pourquoi Ben Laden
avait mauvaise haleine ?
– Non, là… Je ne sais pas…
– Parce qu’il craignait le rince bush ! »
Enfin la nouveauté de la semaine :
C’est la réponse à la grande question
que l’humanité se pose depuis ses débuts. Pourquoi les hommes pissent-ils
debout ?
Dieu avait presque terminé de créer
l’univers quand il s’aperçut qu’il lui restait deux articles dans son sac.
Aussi décida-t-il de les partager entre
Adam et Ève.
Il leur mentionna qu’un des articles
restants permettrait à son propriétaire de pisser debout.
« C’est un bidule très pratique
et je me demandais si un de vous deux apprécierait de le posséder. »
Adam se mit à sauter d’excitation :
« Oh, donnez-le-moi ! J’adorerais être capable de faire ça.
Ça semble être justement une chose que
seul un homme devrait pouvoir être capable de faire. »
Ève, en souriant, dit à Dieu que si
Adam voulait tellement l’avoir, qu’elle serait heureuse de le lui laisser.
Dieu donna à Adam l’article qui lui
permettrait de pisser debout et qui l’excitait tant.
Adam commença par viser le tronc d’un
arbre pour ensuite écrire son nom dans le sable riant de bonheur d’avoir autant
de plaisir avec son nouveau jouet.
Dieu et Ève le regardèrent pour un
moment et Dieu s’adressa à Ève :
« – Bien, voici l’article
restant, je suppose que tu peux l’avoir.
– Comment cela s’appelle-t-il ?
– Un Cerveau », répondit Dieu.
Une autre version veut que Dieu, qui
aura fait toute chose parfaite pour être à son image, courtois envers les
femmes, proposa le choix des deux articles restants à Ève… qui pris le cerveau.
Depuis Adam et ses descendants pissent
debout à s’en foutre plein les pompes !
Pourquoi les retraités n’ont jamais le
temps de rien faire ?
Réponse : En raison d’attaques de
D.F.M.A.A
C’est quoi une attaque de D.F.M.A.A ?
Voici le diagnostic du D.F.M.A.A : Un
Dérèglement des Fonctions Mnésiques Amplifié par l’Âge.
Autrement dit, un désordre caractérisé
par les symptômes suivants :
« Je décide de laver ma voiture.
En me dirigeant vers le garage, je
remarque qu’il y a du courrier sur le petit meuble, dans l’entrée.
Je décide d’en prendre connaissance
avant de laver l’auto.
Je dépose les clés de ma voiture sur la
table, et je me débarrasse des envois inutiles, en les mettant sur le comptoir,
dans le tas de papiers que je dois jeter dans le bac de recyclage qui est dans
le garage.
Voyant que ça déborde, je décide de
remettre les factures sur la table, et de sortir d’abord les ordures.
Mais en y pensant bien, comme je devrai
de toute façon me rendre près de la boîte aux lettres, j’en profiterai pour
sortir les poubelles, et pourquoi ne pas commencer par payer les factures.
En prenant mon carnet de chèques sur la
table, je constate qu’il ne me reste qu’un seul chèque.
Je me rends donc dans mon bureau où je
peux en trouver d’autres dans le tiroir.
C’est alors que j’aperçois une
bouteille de bière que j’y ai laissée à moitié vide.
Je vais chercher mes chèques, mais il
me faut d’abord mettre la bouteille de bière en lieu sûr afin de ne pas la
renverser accidentellement.
Voyant que le contenu de la bouteille
est plutôt tiède, je décide de déposer la bière au réfrigérateur pour la garder
froide.
Je me dirige donc vers la cuisine avec
la bière.
En arrivant près du comptoir,
j’aperçois des fleurs dans un vase, elles ont bien besoin d’eau.
Je dépose la bière sur le comptoir, où
je découvre mes lunettes que j’ai cherchées tout l’avant-midi.
Je décide qu’il vaudrait mieux les
remettre sur mon bureau, mais je vais d’abord arroser les fleurs.
Je remets mes lunettes sur le comptoir,
puis je remplis un pot d’eau, et soudain, j’aperçois la télécommande du
téléviseur qu’un des enfants a laissée sur la table de la cuisine.
Je me dis que ce soir, quand nous
serons installés pour regarder la télé, nous chercherons sûrement cette «
sapristi » de télécommande, mais personne ne se rappellera qu’elle est sur la table
de la cuisine.
Je la rapporte dans le salon, où elle
devrait être, mais je vais d’abord arroser les fleurs.
Je vaporise un peu d’eau sur les
fleurs, mais la majeure partie du liquide se répand sur le plancher.
Je dépose la télécommande sur la table,
et je vais chercher des serviettes pour éponger la flaque d’eau.
Je me dirige ensuite vers l’entrée, en
essayant de me rappeler ce que j’avais l’intention de faire.
À la fin de la journée :
– La voiture n’a toujours pas été lavée
;
– Les factures ne sont pas payées ;
– Il y a une bouteille de bière chaude
sur le comptoir ;
– Les fleurs ne sont pas arrosées ;
– Il n’y a toujours qu’un seul chèque
dans mon chéquier ;
– Je ne parviens pas à retrouver la
maudite télécommande ;
– Je ne sais plus où j’ai crissé mes
lunettes ;
– Et je ne me souviens plus de ce que
j’ai fait avec mes clés d’auto qui restent introuvables.
Pourtant, quand j’essaie de m’expliquer
comment il se fait que je n’ai rien accompli aujourd’hui, je suis vraiment
déconcerté, car j’ai été occupé toute la journée.
Je réalise que j’ai un grave problème,
et je vais essayer d’aller chercher de l’aide pour le régler, mais il faut
d’abord que je vérifie mes courriels. »
Les solutions de la semaine
dernière :
« C’est con comme la Lune… »
« Un veau mâche ? »
« L’important quand on pine, c’est
la durée ! »
Les contrepèteries de la semaine :
« Germaine s’est souillé les mains. »
« Et les chèques en valeur ? »
« Madame fait la promotion des
sports en ferme ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon
« gardien » et « sa bibliothèque »
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