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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 12 janvier 2020

Je poursuis ma quête de « savoirs »…

Et comme je reste mû par mon « unique neurone »
 
Celui du « nerf-honteux », ce dernier m’interroge sur son fonctionnement : Logique.
Question du moment : D’où vient le fait que l’orgasme soit si agréable ?
Afin d’inciter l’espèce à se reproduire, répondrait-on.
Pas bien sûr.
Ça aide, forcément, mais depuis l’apparition des méthodes et outils contraceptifs, rien n’empêche de se faire plaisir mutuellement sans pondre la génération suivante…
Et puis rappelons que le clitoris féminin reste un organe qui ne sert à rien d'autre que de déclencher un orgasme chez Madame quand il est sollicité !
Donc, ce n’est pas la bonne explication.
 
En fait, la bonne question est : D’un point de vue physiologique, que se passe-t-il ?
Eh bien, de nombreux travaux ont été dédiés à l’étude de ce phénomène et j’ai découvert que de multiples zones d’ombre persistaient, malgré de récentes avancées effectuées dans le cadre des neurosciences.
 
En gros (ce n’est pas moâ, je ne suis pas si gros que ça, seulement devenu « un enveloppé » après avoir beaucoup perdu de « mon importance »), il se trouve que si la jouissance rencontrée durant l’orgasme présente un intérêt évolutionnel paraît-il évident, l’origine même du phénomène reste assez obscure.
Ces récents progrès en neurosciences ont permis toutefois de mettre en lumière certains mécanismes clés dont la synthèse aura été publiée dans la revue « Socioaffective Neuroscience & Psychology ».
 
Figurez-vous que dans le modèle neuro-phénoménologique présenté dans ce papier, l’orgasme apparaît comme un état de conscience altérée issu de la stimulation rythmique des zones érogènes…
Vous avez suivi ?
Disons que plus précisément, cette stimulation induit une synchronisation des ondes cérébrales.
D’abord limitée à quelques réseaux neuronaux primaires, elle s’étend progressivement à l’ensemble du cerveau et on parle alors d’entrainement neuronal.
Je ne suis pas sûr de l’explication : Les zones « érogènes » peuvent ne pas être « activée » à l’occasion d’un orgasme, ai-je pu déjà constater.
 
Elle concrétise en fait la mise en place d’un processus de focalisation sensorielle.
Lorsqu’elle atteint une intensité telle que la conscience de soi et de son environnement est dépassée, le sujet entre dans un état de transe.
Je confirme de mon côté…
C’est l’orgasme.
Dans cette ascension vers le septième ciel, la rythmique des stimulations joue alors un rôle majeur.
 
« La synchronisation est importante pour la propagation du signal dans le cerveau, car les neurones sont plus susceptibles de s’activer s’ils sont stimulés plusieurs fois dans une fenêtre de temps étroite » explique l’auteur de l’étude.
« Sinon, les signaux s’évanouissent dans le cadre d’un mécanisme général de réinitialisation, plutôt que de s’amplifier les uns les autres ».
La physiologie de l’orgasme reste donc encore assez mystérieuse, finalement.
 
Car contrairement à une idée commune, les substances telles que la dopamine ou les endorphines ne sont pas la cause de l’orgasme, bien qu’elles soient libérées au cours de celui-ci. C’est plutôt une des conséquences appréciables qui font qu’on y revient un jour ou l’autre.
Car la dopamine joue un rôle-clé dans le circuit de la récompense.
Un réflexe qui incite à reproduire toute expérience procurant un plaisir notoire.
 
Enfin, notons que s’il est possible d’objectiver les mécanismes menant à l’orgasme, son ressenti reste subjectif, à l’image de notre vision du monde et ses couleurs, lesquelles n’ont pas d’existence propre.
Ce qui existe, ce sont des ondes électromagnétiques de différentes fréquences.
Pour l’orgasme, c’est pareil. Objectivement, il s’agirait d’une synchronisation généralisée des ondes cérébrales à une fréquence particulière.
Autrement dit un mélange de « création fantasmique » encouragée par les sensations vécues dans l’instant…
 
Présenté de la sorte, de manière un peu désenchantée, l’orgasme n’est finalement qu’une sorte de court-circuit cérébral !
À l’image des crises d’épilepsie, la perte de contrôle en est une caractéristique notable.
On retrouve d’ailleurs un parallèle fréquent entre les deux dans la littérature spécialisée.
« L’idée que les expériences sexuelles peuvent être analogues à des états de transe est à certains égards ancienne. Il s’avère que cette idée est soutenue par la compréhension moderne des neurosciences » précise le chercheur.
« En théorie, cela pourrait changer la façon dont les gens perçoivent leur sexualité ».
Car vu ce qui a été exposé précédemment, on comprend mieux pourquoi en situation de stress ou d’inconfort psychologique, des difficultés à atteindre l’orgasme peuvent être rencontrées : On l’a vu, ce dernier est un état de conscience altérée résultant d’une focalisation sensorielle.
En d’autres termes, un « lâcher-prise » inondé de dopamine.
 
Or, parfois, lorsque des pensées parasites apparaissent, le sujet garde un pied à terre et un niveau de conscience trop élevé pour que l’orgasme se déclenche.
« (Cela) peut servir de mécanisme assurant un choix adaptatif du partenaire » peut-on lire dans le résumé de cette étude.
Ainsi, peut-être les travaux décrits pourront servir à mieux accompagner et aider les personnes souffrant de troubles sexuels.
Autrement dit, on n’en sait pas beaucoup plus, sauf à avoir repéré récemment une sorte « d’inflammation » des neurones en imagerie médicale.
Pas seulement celui du « nerf honteux », mais de tout le cortex contaminé en démarrant justement par le cerveau primaire où aboutit le « nerf-honteux ».
 
Ceci dit, une recette éprouvée parmi d’autres réservée aux femmes frigides, c’est justement de les mettre en de bonnes dispositions « réceptives » en les faisant rire.
Même et y compris en les chatouillant (ce qui provoque des mouvements musculaires incontrôlés).
La difficulté c’est de découvrir les points sensibles aux « chatouilleries ».
Mais on peut aussi essayer en racontant des « histoires d’en rire » (de celles réservées pour la rubrique du même nom dans ce blog… Pas pour rien qu’ils sont postés la veille de vos week-ends langoureux et sensuels !)
Mais de ça, personne n’en parle jamais : Les « chercheurs » ont beau chercher, ils ne trouvent manifestement pas.
Dommage.
 
Quant aux troubles « masculins », là franchement, je ne suis pas encore expérimenté du tout : Je ne peux pas vous aider.
Désolé…
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3

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