Les « revenues » du moment !
Les « revenues » sont de plus
en plus nombreuses.
La plupart sont des « histoires d’en
rire » parties de ce blog à la conquête du monde d’Internet et de la
blogosphère et, un jour, de façon parfaitement inattendue, avec des délais plus
ou moins longs, elles me reviennent, parfois « intactes », parfois « enrichies » ou
simplement « adaptées ».
Et toujours, cela m’amuse en même temps
que j’en reste surpris.
Florilège :
C’est un couple sans problème, Germaine
et Jean-Marc, qui roupille.
Il est près de 2 h du matin et ils sont
plongés dans un profond sommeil.
Ils sont en train de rêver, quand tout
à coup Germaine, qui devait faire un cauchemar s’écrie très fort :
« Ciel ! Mon mari !!! »
Alors, Jean-Marc profondément
endormi, pris de panique, saute du lit et s’enferme dans le placard…
« – Maman, maman ! Raconte
pour moi une histoire !
– Écoute, non, je ne peux pas, je dois
préparer le dîner…
– Maman, maman ! Raconte pour moi une
histoire !
– Bon, bon… Il était une fois…
– Maman, maman ! Est-ce que toutes les
histoires commencent par ‘‘il était une fois’’ ?
– Non ma puce, parfois elles commencent
par ‘‘Chérie, j’ai une réunion ce soir et je dois rester tard au bureau…’’ »
Un patron demande à sa secrétaire qui se
pointe au bureau avec une heure de retard.
« – Dites-donc… Quelle est la
raison de votre retard ?
– Bien, c’est qu’il y avait un type
affreux… qui marchait derrière moi…
– Et alors ?
– Bien, il ne marchait pas très vite… »
Deux religieuses, curieuses de la
profession, discutent avec une prostituée de la rue.
« – Ainsi, les hommes, pour
pouvoir coucher avec vous, ils vous paient ?
– Oui.
– Combien ?
– Ça dépend… 50 €, 100 €, parfois plus.
– Ah oui ? Ah le salopard ! Le
curé nous a bien eu, avec ses deux barres de chocolat. »
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Ça fait 17 ans que je suis
marié et je suis toujours amoureux de la même femme. C’est’y pas merveilleux ça
?
– Oui, mais si ta femme l’apprend,
qu’est-ce que tu vas prendre ! »
Comment comprendre les femmes ?
– « Un point c’est tout » :
C’est l’expression utilisée par la femme pour finir une discussion quand elle a
raison.
L’homme a alors le devoir de se taire.
– « 5 minutes » :
Si la femme est en train de s’habiller, « 5 minutes » signifie une demi-heure.
« 5 minutes » signifie vraiment 5
minutes si elle a donné à l’homme 5 minutes pour regarder la télé avant de
l’aider à ranger la maison.
– « Rien » : C’est
le calme avant la tempête. Cela signifie « quelques chose ».
L’homme doit rester prudent.
Les discussions qui commencent par « rien
» finissent généralement par « un point c’est tout ».
– « Vas-y » : C’est
un défi pas une permission ! Ne faites rien.
– Long soupir : Bien qu’il ne soit
pas un mot, le long soupir n’est souvent pas compris par l’homme.
Un long soupir signifie que la femme
pense que l’homme est un idiot et qu’elle se demande pourquoi elle perd son
temps à discuter avec lui de « rien »
– « Bon d’accord » : C’est l’expression la plus dangereuse qu’une
femme puisse dire à un homme. « C’est d’accord » signifie qu’elle va
longuement réfléchir pour savoir quand et comment vous faire payer très cher
votre faute.
– « Merci » : C’est
le mot le moins souvent utilisé dans le vocabulaire féminin.
Si une femme vous remercie, ne posez
pas de question, prenez seulement conscience de votre chance et quitter la
pièce sans un bruit.
Jean-Marc et Jean-Paul :
« Quand nous vieillissons, nos
priorités changent.
L’autre jour, j’arrive à la maison et
je suis accueilli par ma femme, habillée seulement de sous-vêtements très sexy
et elle tenait deux petites cordes en velours.
– Attache-moi, m’a-t-elle ronronné, et
tu peux faire tout ce que tu veux…
– Donc, je l’ai attachée et suis allé
jouer au golf. »
Les mêmes, devant une bière :
« – Mon fils m’a demandé ce
qu’on devenait une fois qu’on mourrait. Je lui ai répondu qu’on était enterré,
puis que les vers venaient nous bouffer tout entier…
J’aurais peut-être dû lui dire la
vérité – que la plupart d’entre nous allait en enfer et brûlait pour l’éternité
– mais je n’ai pas voulu lui faire peur.
– Tu as bien fait : Il est encore
bien trop jeune… »
C’est Germaine qui se plaint à sa copine
d’enfance que son mari rentre à la maison trop tard la nuit sans qu’elle ne puisse
rien y faire.
Alors celle-ci, la copine, lui donne un
conseil :
« Je vais te donner un bon
conseil, tu vas faire ce que j’ai fait avec mon mari. Une fois qu’il ouvrait la
porte de la chambre pour se coucher alors qu’il était plus de trois heures du
matin, je lui ai dit « C’est toi Bernard ? » »
Alors Germaine, incrédule, demande :
« – Et ça, ça a suffi pour le
guérir de ses escapades nocturnes ?
– Oui, oui !
Il faut dire qu’en fait il ne s’appelle
pas Bernard.
Il s’appelle Georges. »
On fête le 25ème anniversaire
du Père Jean-Gauthier par un souper d’adieu de sa paroisse.
Le député local, membre du comité, est
également invité pour donner un bref discours.
Comme il tarde à arriver, le prêtre
décide d’énoncer quelques paroles pour passer le temps.
« Ma première impression de ma
paroisse je l’ai eue avec la première confession que j’ai eu à écouter.
J’ai tout de suite pensé que l’évêque
m’avait envoyé dans un lieu terrible alors que la première personne me confessa
qu’elle avait volé un téléviseur, qu’elle avait volé de l’argent à son père,
qu’elle avait aussi volé l’entreprise pour laquelle elle travaillait en plus de
tenir des relations sexuelles avec l’épouse de son supérieur.
Aussi, à l’occasion, il s’adonnait au
trafic de stupéfiants.
Et pour terminer, il me confessa qu’il
avait transmis une maladie vénérienne à sa propre sœur.
J’étais atterré, apeuré, mais avec le
temps, je connus plus de gens et je m’aperçus que tous n’étaient pas ainsi.
J’ai vu une paroisse remplie de gens
responsables, avec de bonnes valeurs, croyant, ayant la foi. Et c’est pourquoi
j’ai vécu les 25 années les plus merveilleuses de mon sacerdoce. »
Au même moment arrive le politicien,
qui alors prend la parole.
Bien sûr, il s’excuse de son retard et
commence son élocution :
« Jamais je n’oublierai le premier
jour de l’arrivée du Père dans notre paroisse. En fait, j’ai eu l’honneur
d’être le premier à me confesser à lui ! »
« – Moi, je ne veux pas travailler,
et je n’ai pas l’intention de travailler.
– Alors, tu vas faire quoi pour vivre ?
– Je vais me marier…
– Facile ! Mais si ton gars ne
gagne pas assez d’argent, où s’il perd son emploi, tu vas faire quoi ?
– Je vais prendre deux maris alors… »
Jean-Marc, pour sa santé, fait de
longues marches, tous les jours.
Son fils âgé de six ans, reçoit son ami
Sébastien.
Quand Sébastien voit le père de son
copain partir pour sa marche, il se retourne et lui dit…
« Toi aussi ton papa n’a plus
d’argent pour acheter de l’essence ? »
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Sais-tu pourquoi la mer
recule ?
– Parce que tu es laid à lui faire peur
! »
C’est une « blague » Kameulf
(cf. Humour extraterrestre)
L’avocat de la défense :
« – Quel âge avez-vous madame ?
– J’ai 86 ans ».
L’avocat de la défense :
« – Pouvez-vous nous raconter
avec vos propres mots ce qui vous est arrivé ce jour d’avril de l’année 2015 ?
– J’étais là, je prenais le soleil
d’avril sous le porche de ma maison, lorsqu’un jeune homme beau comme Brad Pitt
s’est approché et est venu s’asseoir sur la chaise à côté de mon fauteuil…
– Vous le connaissiez ?
– Non, je ne l’avais jamais vu, mais il
semblait plutôt gentil.
– Qu’est-ce qui est arrivé après qu’il
se soit assis à côté de vous ?
– Il a commencé à me pétrir les seins.
– Et à ce moment-là, avez-vous tenté de
l’arrêter ?
– Non, je n’ai pas essayé.
– Et pourquoi donc ?
– Parce que j’aimais ça ! Personne ne
s’était occupé de moi comme ça depuis que mon Robert est mort, il y a plus de
30 ans.
– Qu’est-ce qui est arrivé ensuite ?
– Eh bien, au bout d’un moment, j’étais
devenue tellement excitée que j’ai écarté les jambes et que je lui ai dit « Prends-moi
maintenant, prends-moi ! »
– Et est-ce qu’il vous a « prise »?
– Bon Dieu non ! C’est à ce moment-là
que ce salaud a crié « Poisson d’avril ! » Et c’est pour ça que j’ai sorti ma
carabine et que je lui ai tiré dessus ! »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Moi ma femme ne simule
jamais l’orgasme !
– Ah ?
– Oui : On ne baise plus. »
Une femme totalement nue monte dans un
taxi.
Le chauffeur, la regarde intensément,
et n’avance pas.
« – Quoi ? T’as jamais vu une
femme nue ?
– Si.
– Alors, on avance… »
Le chauffeur ne bouge pas.
« – Hé, c’est quoi ton problème
?
– Ben je ne vois pas où vous allez
prendre l’argent pour me payer la course… »
Elle vaut au moins celle où la même
dame, dans le même appareil, veut se faire servir une bière…
Un gamin, perpétuellement inquiet,
demande à ses parents :
« – Est-ce que j'ai été adopté
?
– Pas encore, nous n'avons mis l’annonce
qu’hier ! »
Solutions de la semaine dernière :
Ah mettre le couvent en chaleur…
« Jean-Marc, tu as de la pisse à la moustache ! »
Germaine : « Je vais chercher les poux au châtelain… »
La sélection de la semaine :
« La cuvette est pleine de bouillon »
« Viens, on va à l'Opéra ! »
« Germaine se tordait les mains devant le sinistre »
Bonne week-end à toutes et à tous !
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