La drôle de guerre des droâtes…
Hier (et les jours précédents), j’étais en contact avec mes
« amis » du parti. Des rigolos !
D’une part, le « boss » essaye de rebondir sur les propositions
de réforme des retraites en s’appuyant sur des « sondages » d’opinion
des militants et sympathisants, ce qui ouvre la porte à des démagogies
contradictoires, et participe à des élucubrations « déconnectées » et
sûrement pas à un équilibre financier futur.
Je vous en ferai peut-être un aperçu, parce que ça vaut vraiment son
pesant de cacahouètes !
D’autre part, ils s’imaginent encore pouvoir foutre une raclée à
« Jupiter » et au « Air-haine » alors qu’ils se sont fait
bouffer aux dernières législatives et aux dernières européennes…
À se demander s’ils ne vivent pas dans un autre monde, le leur étant
complètement émietté et c’est le moins qu’on puisse en dire.
C’est marrant : « Jupiter » est finalement issu de la
banque, mais aussi de chez les « soces ». Pas de contradiction
essentialiste pour lui : C’est comme ça.
Et il a toujours su cajoler sa droâte…
La preuve, même son « premier sinistre » et une grande partie de
ses « sinistres » ont été débauchés de chez les « Républicains-Démocrates »,
il a viré tous les « MacMoDem », il a réussi à corrompre « Hue-L’eau »
l’écololo par excellence, et gardé quelques « soces » dans ce
gouvernement de pièces rapportées pour le faire faire une politique plutôt de « droâte »,
comme « Castagneur » aura pu avaler des couleuvres au ministère de l’intérieur,
« de l’ordre et des cultes ».
Même son « haut-commissaire aux retraites »,
« De-la-Voix » était un ancien ténor de la « chie-raquie »,
c’est dire…
Et les survivants ne se rendent compte de rien !
Or, même quand il se promène en Afrique, il ne pense plus qu’à une chose :
2020 et dans son viseur les municipales !
C’est d’ailleurs assez drôle : Ils ont commencé par me dire que
« Jupiter » souhaitait remplacer « Éd.Phil-Lippe » à
Matignon et qu’ils y voyaient bien « Gégé-L’Archer », le pédégé du
Sénat.
Franchement, je ne vois pas le « remplaçant » par intérim de
« Jupiter » (c’est dans la constitution en cas d’indisponibilité du
Président de la République) accepter de renoncer à cette hypothèse : La
table est bonne, la paye aussi et son tour de poitrine indique qu’il s’agit
d’un « piètre-sportif » qui risque la rupture d’anévrisme en cas d’effort
impromptu et de « coup de chaud ». Pourquoi accepterait-il de
renoncer à son confort de vie ?
« Parce que la base électorale (de « Jupiter ») s’est
profondément transformée ! »
Ça, c’est probablement vrai.
D’autant qu’il n’en a jamais eue.
Rappelez-vous, au second tour de 2017, personne n’a voté pour lui (parmi
ce qui ont voté, à peine la moitié des électeurs inscrits) mais contre
« Marinella-tchi-tchi ». Un « schéma gagnant » à reproduire
en 2022 : Il en rêve tous les soirs !
Quant au premier tour de la compétition, ils ont été un quart (24,01 %
exactement) des suffrages exprimés à se porter sur sa candidature (18,19 % du
corps électoral), parce que « Bébé-Roux » n’a pas candidaté, lui qui
fait autour de 10 % année après année…
Pour moâ, il s’agit plus en réalité comme d’un affrontement se déroulant
en plein cœur de la « Jupitérie ». Ils ne sont d’ailleurs pas très
nombreux à l’avoir relevé, mais finalement, à l’origine, « J’y-Pet-De-la-Voix »
est un « très proche » de « Bibi-Jupiter » : Ancien
député-maire dans le Pas-de-Calais, il a été élève au lycée de « La
Providence » à Amiens où celle-ci a enseigné quelques années plus tard.
Normalement, il ne se sont pas croisés, mais la Picardie sait créer des
liens : L’ancien « Chie-raquien » est également « très
apprécié » du président, selon un initié.
Alors qu’à droâte, il fut l’un des premiers dévoyés à le rallier, dès 2016…
Sa démission récente devenue inéluctable du fait de ses « oublis » auprès
de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) est donc
un coup dur pour l’Élysée et aussi pour cumul de rémunérations (ce qui va l’emmener
directement devant le tribunal correctionnel, le même que les « Bal-qu’Annie »,
« Nanar-Tapis » voire « Titi-Sol-Air », chacun pour des
motifs différents, mais tous élus-publics), une catastrophe ambulante.
Parce qu’en cas de « casse », c’était lui le prochain
« premier des sinistres »…
Il aura loupé le coche à multiplier les salaires en bon cumulard du
« monde d’avant », une vraie religion chez lui.
« C’était bien une tentative de la vieille droâte de reprendre la main
», en disent certains qui ont laissé faire et se réveille un peu avec la gueule
de bois après cet épisode « abracadabrantesque ».
Pour la « vieille droâte », celle qui a du mal à moudre du grain
pour rebondir sur cette affaire de retraites (qui aurait dû être traitée
différemment), depuis le mouvement des « Gilets jaunes », l’ancien maire du
Havre se sait sur la sellette. À chaque épreuve, l’opération « bouc émissaire »
est déclenchée par l’Élysée, mais jusqu’à présent « Jupiter »
apparaissait trop présent sur le terrain médiatique pour aller jusqu’au bout de
cette tactique.
Sur le dossier des retraites, le « Premier sinistre » s’est
retrouvé forcément en première ligne, sans avoir vu la manœuvre arriver, ce qui
permettrait au président d’utiliser enfin cette carte.
Un classique des institutions de la Vème République où les
locataires de Matignon ont souvent servi de fusible, alors que sous la
quatrième et la précédente, le personnage était l’otage d’une Chambre des
députés volage !
Sous la seconde, c’est Louis-Napoléon qui a fait son hold-up…
Il me semble que c’est dans ce contexte qu’il faut comprendre les
relations tendues entre « De-la-Voix » et « Éd.Phil-Lippe »
marqué par exemple à leur désaccord sur la « clause du grand-père ».
Il y aura l’équivalent d’un « âge grand-père », finalement…
Au-delà des polémiques, le « premier sinistre » et son entourage
craignaient que « De-la-voix », ayant les faveurs du couple
présidentiel, puisse devenir un recours sérieux pour Matignon…
« C’est drôle de considérer le conseiller officieux d’Édouard Philippe,
Thierry Solère, disserter sur la probité d’un Jean-Paul Delevoye… et prodiguer
ses conseils en la matière », ironise un militant d’« En Marche
même-pas-en-rêve ». En effet, « Titi-Sol-Air », même s’il n’apparaît
sur aucun organigramme, est devenu l’agent de liaison du chef du gouvernement
au sein de la majorité… alors qu’il est mis en examen pour sept chefs d’infraction,
dont fraude fiscale, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité
publique, trafic d’influence, etc.…
Pas mal pour le même homme issu de « Boule-ogre-Bille-en-cours »
au lieu et place de « Gué-An » (un autre justiciable qui avait tapé
dans la caisse) et du maire actuel, « Cri-cri-Bague-Haie » (lui-même poursuivit
pour diverses frasques…) : Un sacré « nid à pervers » depuis que
« Four-cadre » n’y est plus !
Notez quand même que « De-la-Voix » n’est pourtant pas le seul
ennemi du « premier sinistre » dans la « Jupitérie ». Il y
a le duo d’enfer des « visiteurs du soir » (« Beau-Raie-l’Eau »
et le conseiller spécial « Phiphi-Grand-Jonc » qui ne cesse de pester
contre les « technos » du gouvernement, coupables à leurs yeux de mener le
président droit dans le mur.
Si
vous connaissez le premier, le dernier est un « ex » de la CFDT du
temps de « Nini-Colle-Nota » et reste le gardien du « en même temps
». Dans son esprit, il est nécessaire de ne pas oublier que le « Jupitérisme »
est « de « droâte et de gôche », et qu’en 2017, une bonne partie
des sympathisants socialistes a voté pour « Jupiter »…
Forcément puisqu’ils ont aussi « fait barrage » à « Marinella-tchi-tchi ».
Mais pour en connaître quelques-uns (aussi), je sais qu’ils se sont surtout
dispersés entre « Deux-Noix-Âme-Mont », « Mes-Luches », « Poux-toux »
et « Nath-Art-Tôt ».
Une analyse erronée mais partagée aussi par l’entourage de « J-Y.-Le-Riant »,
actuel ministre des « Affaires étranges & diplomatiques », qui menait
campagne pour que leur champion remplace « Éd.Phil-Lippe » à Matignon…
même si il paraît que « Le-Riant »
ne semblait pas très enthousiaste.
Interrogé sur « France-Intox », il a lâché à ce sujet : « Ne
me parlez pas de malheur ! »
Car depuis les élections européennes, la situation politique pour « Jupiter »
a changé. En deux ans à peine, sa base électorale s’est profondément
transformée. Le président rassemble désormais autour de lui l’électorat
traditionnel de la droâte, à savoir cette petite-bourgeoisie « Catho-papiste »
qui avait voté pour « Fifi-le-Souteneur » en 2017.
C’est la raison pour laquelle, alors que les sociaux libéraux de la
majorité ont appelé de leurs vœux à un « acte II » du quinquennat, plus social,
« Jupiter » aurait préféré rester droit dans ses bottes.
Pour 2020, le président garde dans son viseur les municipales. « Comme
toujours, il décide au dernier moment, seul dans sa tête », s’exaspère l’un
de ses soutiens. C’est comme ça que, pour remplacer le « premier sinistre »,
l’idée est apparue qu’il pourrait piocher de nouveau à droâte en proposant le
poste à « Gégé-L’Archer » : « En 2018, Larcher avait passé un accord
avec Macron pour être son Premier ministre, en échange de son intervention dans
l’affaire Benalla : il devait éviter que le Sénat transmette au parquet les
conclusions de la commission d'enquête », croit-on savoir chez les LRD.
Et ils en rêvent les yeux ouverts !
Tu parles : De la carabistouille en barre, d’autant que « Benne-Allah »
aura été particulièrement « bien traité » chez les sénateurs.
D’ailleurs, je rappelle qu’à l'époque, cette stratégie avait échoué…
Mais, aujourd’hui, cette « alliance » semblerait connaître une
nouvelle actualité avec les municipales, comme l’analyse les mêmes : « L’ancien
maire de Rambouillet est chargé d’obtenir la protection des élus LR devenus En
Marche et d'implanter un maximum de candidats LREM sur les listes LR, pour
saboter le parti LR. »
Comme quoi, on n’en a pas fini avec la guerre des droâtes…
Car ce qui va se passer, si changement radical doit être fait à Matignon,
je vois plutôt « Pruneau-La-Maire » (le plus capé du moment) « Dard-à-la-Main »
(le plus caustique) ou… « Barre-ointe » (le plus ancré dans les
territoires et autres réseaux « trois-points »).
Mais à la surprise générale, pourrait être nommé « Castagneur » :
Là ce serait vraiment très drôlatique-clownesque ! Après tout, c’est lui « l’homme
de confiance », vu les postes et fonctions qu’il a pu occuper jusque-là
dans la « Jupitérie ».
Ça les a un peu refroidis, « mes potes »…
Jusqu’à blêmir.
Du coup, je leur ai aussi donné la recette pour réformer durablement les
régimes de retraites, que ça a écourté notre entrevue.
Très simple : « Tu mets tout le monde à 60 ans et tu calcules
le point en fonction de l’espérance de vie à cet âge-là, sans changer le niveau
des cotisations, quitte à donner des points gratuits pour les métiers pénibles
et pourquoi pas quelques régimes spéciaux. »
Vous auriez vu la tête de ces « pseudo-gaullistes »…
De Gaulle, c’était aussi une politique « sociale avancée », mais
ils ont tous oublié.
« Là trois populations : Les pensionnés, tu n’y touches pas
et revalorise leur retraite en fonction de l’indice des prix et/ou des
salaires, le taux le plus élevé des deux, chaque année.
Les « grands-pères » : Tu transformes leurs
droits en point et tu attends.
Les milleniums : Ils payent pour tous les autres et ont
intérêt à faire des gosses pour leur payer leurs pensions ! »
Comme toujours, puisque les « entrants » payent pour les « sortants »,
comme dans une pyramide de Ponzi.
« Donc pas d’âge pivot ? »
Bé non et on règle le problème d’un trait de plume.
« Mais attention, le panard c’est que tu revalorises de 2 % par an
(ou 0,5 % par trimestre) au-delà de cet âge. Autrement dit à 65 ans tu
te retrouves avec une pension de 10 % supérieure à ce que tu as eu auparavant.
Si tu survis… Et, non seulement tu fais disparaître le « malus » (ou
les décotes) mais en plus, pour ceux qui peuvent travailler jusqu’à plus tard,
tu multiplies les points accumulés. D’autant que c’est en fin de carrière qu’on
a en général les salaires les plus élevés… »
Donc les cotisations aussi.
Autrement dit on se rapproche du régime actuel des fonctionnaires &
assimilés…
Du coup, plus de régimes spéciaux à maintenir, hors quelques-uns qui ont
su « anticiper » leur démographie déprimante par la capitalisation
obligatoire.
« Tu es fou Infree ! »
Bé ça se calcule, mais comme ils ne savent pas compter, je suis persuadé
que même « De-la-Voix » n’y aura pas pensé pour être issu de leurs
rangs…
Ça aurait pourtant évité tout ce remue-ménage délétère qui vous prive de
déplacements : On a pourtant payé assez cher, nos parents et
grands-parents également, un réseau ferré de substitution bien agréable, quand
il fonctionne…
Passons et bonne digestion à toutes et à tous !
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